•  

     

    Le sujet "chasteté" sera grandement abordé et développé sur le site www.fessestivites.com  (GRATUIT) qui ouvre ses portes aux environs du 10 mai 2011.

     

    Pourquoi la chasteté ?

    Ce n'est pas sombrer dans les banalités de la psychologie que de rappeler que, dans leur grande majorité, les hommes et les femmes ont une approche sensiblement différente de la sexualité. Les femmes s'investissent dans une relation sexuelle sur un plan passionnel et émotionnel, le physique n'étant qu'une résultante. Les hommes, eux, s'investissent principalement physiquement et cérébralement, mais cette cérébralité est largement abstraite c'est à dire peu personnifiée, ce sont donc le contexte et la situation qui les motivent pendant l'acte, les sentiments étant relativement peu présents.

    Il faut savoir que les hommes fidèles sont fidèles parce qu'ils ont décidé de l'être et non parce que la relation sexuelle sans sentiment les rebute. Les femmes ont souvent du mal à comprendre cela mais c'est pourtant vrai. Preuve en est d'ailleurs que nombre d'hommes infidèles restent sincèrement très attachés à leur femme, alors qu'une femme qui trompe son mari est toujours mûre pour le divorce à brève échéance.

    Les hommes fidèles sont donc beaucoup plus facilement victimes d'une baisse d'intérêt pour les relations conjugales du fait d'une certaine routine qui s'installe dans le couple avec le temps et ce sans que leurs sentiments pour leur femme ne connaissent pour autant une quelconque baisse d'intensité. En outre, vous savez sans doute que, passé 30 ans, les besoins purement physiques de la plupart des hommes déclinent sensiblement.

    Même si la fréquence des rapports reste satisfaisante, votre mari n'a plus, ni physiquement ni cérébralement, les mêmes pulsions, la même envie de vous qu'avant. Sa motivation pour les préliminaires longs chute d'autant plus qu'il n'est plus capable de rester en érection sans pénétration pendant des heures comme il pouvait le faire à 20 ans. Vous avez toutes certainement constaté que, lors des préliminaires, son érection défaille s'il vous embrasse ou vous caresse sur tout le corps pendant une dizaine de minutes ! Consciemment ou non, il compense cette situation en voulant presque toujours raccourcir ces préliminaires pour aller au plus vite à la concrétisation.
    Trêve de considérations psychologiques, venons en au concret maintenant.

    Pourquoi la chasteté de votre mari peut elle vous apporter plus de satisfactions sur le plan sexuel ? La réponse à cette question est entièrement contenue dans une constatation que vous avez toutes pu faire un jour :
    Il vous est bien évidemment arrivé d'être séparée de lui quelques jours ou mieux quelques semaines. Les retrouvailles se font rarement directement dans le lit, le premier contact, après cette absence, s'est donc déroulé soit dans un lieu public, tel un aéroport par exemple, soit en présence des enfants ou d'amis et vraisemblablement vous avez dû patienter plusieurs heures avant de vous retrouver tous les deux seuls dans l'intimité.

    Pendant toute cette période d'attente, avez vous remarqué à quel point son comportement était plus câlin qu'à l'habitude : à tout moment il cherche votre contact, ses mains sont baladeuses, en quelques heures vous recevez plus de baisers même furtifs que vous n'en avez eu en un mois, il vous dit des mots gentils et vous fait des allusions grivoises. Bref, pendant quelques heures, vous avez le mari dont toutes les femmes rêvent. Puis vient le moment de l'intimité, vous cédez à son impatience, et ensuite ...;..il est redevenu votre mari de tous les jours !
    Cherchez l'erreur...;

    Puisque tant qu'il est excité sexuellement mais qu'il ne peut pas se satisfaire il est si tendre, si câlin, si attentionné, si caressant, etc. le seul moyen de l'empêcher de changer est donc de le maintenir dans cet état d'excitation sans lui donner la possibilité de se satisfaire. C'est aussi simple que cela. Privez donc votre mari de jouissance ( au sens d'éjaculation, pas au sens de plaisir ) et vous aurez un mari parfait 24H sur 24.

    Imaginez ce que serait votre vie si votre mari était en permanence dans cet état !!!!!

    Dans la journée, il n'oublierait plus jamais de vous appeler à votre bureau et au seul ton de sa voix vous sauriez qu'il pense fort, très fort, à vous. Après deux, voire trois orgasmes, dans la même soirée vous auriez à coté de vous, non pas une souche muette assoupie, mais un mari qui continuerait à vous embrasser et vous caresser. Avant de parvenir à l'orgasme, vous seriez léchée, caressée, embrassée pendant des heures jusqu'à n'en plus pouvoir de désir. Le soir, pendant votre trajet de retour, vous ne pourriez vous empêcher de penser au programme qui vous attend, une fois seuls tous les deux dans la chambre. Chaque fois que vous vous ennuierez, votre esprit pourrait s'évader pour repenser à combien votre jouissance de la veille avait été sublime et comment celle du soir pourrait être meilleure encore.
    Arrêtons là !

    Je suis sûre que vous êtes maintenant convaincue que cela vaut la peine d'essayer.
    Comment y parvenir ? Comment faire en sorte qu'il accepte de rentrer dans ces jeux qui, il faut bien le reconnaître, sont tout de même bien loin de ce qu'il est prêt à accepter spontanément ? Comment lui faire accepter le fait de ne pas jouir et ainsi le conduire à utiliser les seuls moyens physiques qui lui restent pour avoir malgré tout du plaisir à savoir les attouchements, les caresses, les baisers, les mots doux, etc.

    Le reste de cet article vous explique comment, par le biais des jeux de domination, parvenir à ce résultat.

    Vous allez sans doute penser que cela est impossible : « le mien n'acceptera jamais ça » direz vous. Détrompez vous, dès que vous aurez réussi le travail préparatoire nécessaire, vous vous apercevrez qu'il acceptera parfaitement cette situation et même qu'il deviendra complice de sa propre chasteté en ne cherchant pas à exploiter les situations où il aurait pu jouir ( notamment au moment des pénétrations ) en trompant votre vigilance.

    En fait, ce travail de préparation c'est à dire l'introduction progressive des jeux de domination est finalement plus difficile à réaliser que la phase de chasteté de longue durée car celle ci n'est qu'une suite logique de la précédente, elle viendra donc tout naturellement.

    Je me dois de devancer la réflexion que vous allez peut-être m'adresser : « dominer mon mari ? elle va me dire de m'habiller ce soir en cuir, de prendre une cravache et de lui dire : à genoux, esclave ». Si c'est ce que vous craignez, soyez rassurée, mon programme est tout différent. Il repose avant tout et surtout sur la progressivité. Pas question de vous transformer du jour au lendemain en caricature de dominatrice professionnelle. Ce que je vais vous expliquer et vous recommander c'est une longue évolution qui va vous conduire effectivement, mais à votre rythme, à dominer votre mari mais les modalités extérieures de cette domination c'est à vous de les inventer, de les imaginer et de les réaliser au gré de vos envies, vos goûts et vos préférences.

    Même si en lisant cet article jusqu'au bout, vous pensez que certaines pratiques ou certaines situations ne sont pas de votre goût, ne vous inquiétez pas, rien n'est indispensable, tout pourra se faire à votre façon, selon votre style, selon votre personnalité. Et puis, vous découvrirez, et vous en serez la première étonnée, que des pratiques ou des situations qui vous paraissent aujourd'hui peu attractives voire mêmes rebutantes vous feront un jour envie et que vous en éprouverez à les pratiquer un plaisir que vous ne soupçonniez même pas.
    Tout est affaire de progressivité, laissez vous guider par vos envies au fur et à mesure qu'elles naîtront, soyez seulement curieuse, imaginative et inventive, les nouveautés viendront d'elles-mêmes en leur temps.

    Chapitre 1; Comment commencer ? Introduction au Bondage
    Les jeux de « bondage » constituent à n'en pas douter la meilleure et la plus simple des préparations pour introduire la domination dans votre chambre à coucher. Pour celles qui l'ignorent « bondage » est un mot anglais signifiant littéralement esclavage mais qui, dans le cercle des adeptes de la domination signifie « ligotage ».

    Un sondage publié par le magazine « Elle » en 1998 révélait que 26% des femmes avaient, au moins une fois dans leur vie, attaché leur partenaire et 29% avaient été attachées par leur partenaire. J'ignore la fiabilité de ce sondage, mais il est certain que ces pratiques sont en évolution ne serait-ce que par ce que l'on voit dans les films ou à la télévision.

    Il est donc probable que la plupart d'entre vous a déjà au moins une petite expérience dans ce domaine que ce soit comme liante ou comme liée ou plus vraisemblablement tantôt dans un rôle tantôt dans l'autre. Dans ce cas, il vous suffit de partir des bases déjà acquises pour aller plus loin.
    Pour les autres, il s'agit d'introduire ces jeux dans vos relations amoureuses avec votre mari mais, comme en toutes choses, la progressivité est essentielle. Il convient donc de créer les circonstances nécessaires pour que cela paraisse arriver naturellement.

    Pour ce faire, vous ferez en sorte que, lors de vos ébats amoureux, un objet pouvant servir de lien soit, comme par hasard, présent sur le lit : le plus simple est bien sûr une ceinture en tissu, que ce soit celle de votre robe ou celle de votre peignoir. Les ceintures en cuir ne conviennent guère pour débuter, par contre les ceintures en chaîne ( elles sont à la mode en ce moment ) peuvent aussi faire l'affaire. En dehors des ceintures, vous pouvez aussi vous arranger pour laisser traîner sur le lit un long ruban ou une ficelle provenant d'un paquet que vous avez ouvert quelque temps auparavant. A vous d'avoir de l'imagination. Multipliez les occasions, mais variez les de façon que cela ait l'air parfaitement naturel.

    Lorsque vous l'attacherez, pensez que les hommes ont du mal à résister à leurs envies, vous devez donc l'attacher avec un maximum de réalité car si ses liens sont trop symboliques il est probable qu'après un moment de passivité qui l'amusera, il mettra fin à sa situation pour pouvoir concrétiser au plus vite son désir de jouissance. Si votre lit est à barreaux ( s'il ne l'est pas, envisagez de le changer dès que vous pourrez, cela vous simplifiera la vie ultérieurement ) attachez lui les mains séparément et suffisamment écartées pour qu'il ne puisse pas atteindre avec une main les nœuds de l'autre main. A défaut de lit à barreaux attachez lui les poignets ensemble au dessus de sa tête, le plus simple étant de le faire en utilisant successivement deux ceintures de robes ou de peignoir : même si vous êtes encore totalement inexpérimentée dans cet art du bondage, cela devrait être largement suffisant à ce stade.

    Ca y est, il est à votre disposition, alors profitez en : léchez, embrassez, caressez, titillez, mordillez, recommencez, faites vous lécher, sucer, empalez-vous, sortez, entrez, en clair ...;.faites durer. Terminez ensuite par une bonne chevauchée, mais arrangez vous pour être prête à jouir rapidement car il risque d'être beaucoup plus rapide que vous et vous seriez alors obligée soit d'attendre le deuxième service soit de lui demander d'activer sa langue !

    Lors des premières fois, détachez le dès qu'il a joui : toutes les prostituées pourraient vous le dire, en état d'excitation l'homme est un être faible et facilement manipulable ( notamment pour lui soutirer des rallonges sur le tarif convenu ! ), par contre une fois son affaire faite, il retrouve aussitôt ses esprits, sa contenance et son statut de macho. En redescendant sur terre, sa position de victime pourrait le gêner voire le choquer et il se refuserait à recommencer. D'une manière générale et c'est une constante tout au long de ce chapitre et du suivant, ne réalisez vos sessions avec lui que dans le cadre d'un orgasme unique. Même si votre mari est parfaitement capable de rapports multiples, vous devez achever vos séances dès sa première jouissance et tout arrêter ensuite : plus de dominant, plus de dominé, vos rapports redeviennent « normaux ». Ceci est important non seulement pour la raison que je viens d'évoquer, mais beaucoup plus encore en vue de l'entraînement au programme de chasteté qui est le but final. Nous y reviendrons. Mais si vous avez déjà pratiqué ou pratiquez depuis quelques années, s'il éjacule il vous suffit de le punir. Pour bien faire vous le prévenez à l'avance : vous ne supporterez pas une goutte de sperme et si par malheur il ne se retient pas, il sera contraint de tout avaler et nettoyer. Sa position ne lui permettant pas de vous résister vous n'allez certainement pas vous gêner et vous pourrez le chevaucher sans vous retenir...;

    Parlez lui ensuite sur un ton gourmand de ce qui s'est passé : évoquez le plaisir que vous avez pris, et surtout complimentez le sur son érection qui était plus belle et plus longue que jamais (vous le savez, l'homme ne résiste jamais à de telles flatteries). Et bien sûr dites lui que vous avez très envie de refaire cela un jour.
    Laissez passer un peu de temps, et recommencez. Toutes ces séances initiales doivent bien sûr se passer dans la bonne humeur et la gourmandise, ne lui montrez pas que vous prenez cela au sérieux, mais soyez plutôt enjouée et faites lui constater que la simple évocation de ces jeux vous excite vraiment.
    Voilà, vous avez réussi à introduire le bondage dans votre relation amoureuse. Il s'agit maintenant d'aller plus loin et de commencer à introduire les jeux de domination qui sont préparatoires à ceux de chasteté. A ce stade le mot chasteté est beaucoup trop fort, parlons plutôt de jouissance différée.
    C'est la deuxième phase du programme.

    Chapitre 2 : La domination : Introduction à la jouissance différée

    Maintenant que la pratique du bondage à commencé à faire partie de vos jeux amoureux, sophistiquez peu à peu votre technique : ne vous contentez plus de lui attacher seulement les mains de façon plus ou moins efficace, mais commencez à réaliser des immobilisations plus complètes en lui attachant aussi les pieds. Si vous voulez un prétexte pour cela, il vous suffit de le titiller, de le mordiller un peu plus que de raison au niveau des jambes, il se mettra à se tortiller comme un ver ce qui vous gênera pour poursuivre votre travail ( attention aux coups de genoux, c'est douloureux ! ) : vous aurez là un parfait prétexte pour lui attacher aussi les chevilles.

    Commencez aussi à varier ses positions : au lieu de l'attacher seulement en position fixe sur le lit, attachez lui les mains dans le dos, il sera alors plus mobile et vous pourrez par exemple lui demander de vous embrasser sur tout le corps ou bien le faire mettre à genoux pour une petite « gourmandise » tandis que vous êtes debout contre un mur ou assise dans un fauteuil. Osez demander ce dont vous avez envie, osez le guider en lui indiquant ce que vous voulez qu'il vous fasse, petit à petit ces indications doivent prendre la forme d'ordre, tout cela bien sûr sur le ton de la plaisanterie :« Tu es mon prisonnier, tu dois m'obéir ! ». Petit à petit et insensiblement, vous passerez de situations de simple plaisir sexuel ( « embrasse moi partout » à des situations et positions de domination voire d'humiliation « embrasse moi les pieds »).

    Arrangez vous pour ne pratiquer ces séances que lorsque vous disposez de temps, de beaucoup de temps et faites durer. (Le temps joue pour ses fantasmes et donc pour vous)

    Il faut songer aussi à commencer à vous équiper : les ceintures de peignoirs devenant maintenant insuffisantes, passez aux cordes, et si vous sentez que les choses sont assez mures entre vous, achetez aussi des menottes, on en trouve partout ( évitez les sex-shops car elles y sont hors de prix ). Commencez à utiliser des bâillons ( au motif qu'il parle trop, bien sûr ), à ce stade un bâillon symbolique suffit, utilisez donc un foulard mais non pas sur la bouche, mais dans la bouche, ce n'est pas très efficace pour le rendre silencieux mais au moins ses lèvres seront accessibles quand vous aurez envie de l'embrasser et de plus il en retirera beaucoup plus de sensations.

    Progressivement étoffez votre équipement de bondage. Comme je vous l'indique au chapitre spécialement dédié au bondage, une grande partie de votre équipement viendra des magasins de bricolage. Intéressez vous aux cordes, aux chaînes, aux cadenas, aux crochets, aux poulies, etc.. Se promener dans les rayons d'un « Brico-quelque chose » en ayant quelques idées nouvelles nées de la vue d'un objet qui jusque là ne vous avait jamais rien inspiré, je vous assure que c'est un plaisir dont on ne se lasse pas. Vous ne regarderez plus les magasins de bricolage comme avant, croyez moi ! Et si vous avez la chance d'avoir un mari bricoleur, vous serez ébahie par les ressources que peut avoir un homme pour fabriquer les instruments de sa propre torture !

    Cette progression dans sa domination doit vous conduire maintenant à introduire les punitions. Au début appelez plutôt cela des gages et créez un climat de jeu et de bonne humeur pendant leur exécution.

    Quand vous sentirez les choses suffisamment mures, commencez à utiliser le terme de punitions, puis introduisez la première fessée qui sera certes plus symbolique que réelle mais sachez le, le symbole est fort ( si vous en avez déjà reçue une vous le savez, et dites vous que pour un homme c'est encore plus fort ). Soyez attentive à n'introduire ces premières punitions que dans des moments d'intense excitation, je l'ai déjà dit, c'est essentiel.
    Il est temps de commencer à parler de chasteté ou plutôt à ce stade de jouissance différée.

    En fait si vous avez suivi mes conseils jusque là, cette introduction s'est déjà faite toute seule: je vous ai recommandé de faire durer vos sessions le plus longtemps possible, de le maintenir en état d'excitation quasi-permanente, et de toujours retarder sa jouissance à la fin de la session. Il a donc passé son temps à vous désirer, vous l'avez excité comme jamais mais, étant attaché, il a été contraint d'attendre votre bon vouloir pour obtenir son but suprême, l'orgasme. Il s'agit donc bien là d'une première forme de chasteté temporaire.
    Petite parenthèse pour éviter tout malentendu : s'il est condamné à un orgasme unique et longtemps différé, par contre vous, vous ne l'êtes pas ! Prenez votre pied autant de fois que vous le voulez !

    Mais attention, sauf à parfaitement connaître les réactions de votre mari dans ces moments ( avec le temps on y arrive plus ou moins ), n'oubliez pas que le fait d'être attaché ne l'empêche pas de jouir : s'il est assez facile de le contrôler quand vous le sucez ou le masturbez, par contre il peut jouir sans prévenir en cas de pénétration. Privilégiez donc vos propres orgasmes buccaux ou manuels, ne pratiquez la pénétration que pour des durées très courtes et soyez vive à vous retirer au premier signe avant coureur de sa jouissance, tant pis si vous restez en rade ! Au passage je vous signale aussi qu'il n'y a rien de plus excitant que de se masturber en regardant votre mari ligoté qui bande comme un fou. Aucun homme n'est insensible à une femme qui se caresse et si vous n'avez jamais osé lui offrir ce spectacle, c'est l'occasion rêvée pour trouver le courage de le faire. Vous vous dites peut-être que vous n'oserez jamais faire cela, détrompez vous, vous n'imaginez pas à quel point peuvent reculer les limites de la pudeur et la timidité dans ces moments, je vous garantis que vous n'aurez pas à vous forcer, cela vous viendra tout naturellement. Après tout, il n'est pas le seul à être excité !

    A ce stade du processus d'éducation, il n'est peut-être pas inutile de faire un petit bilan intermédiaire. Repensez aux questions que je posais en Introduction ( « Depuis quand cela ne vous ? »). Je suis convaincue que vos réponses seront une puissante motivation à continuer le processus.

    Pour en revenir à notre sujet, vous avez donc commencé sans même vous en rendre compte ( lui par contre s'en est rendu compte ! ) à l'initier à l'orgasme différé. Il suffit maintenant d'officialiser progressivement la chose : avant de le faire jouir en fin de séance, demandez lui s'il pense vraiment avoir mérité de jouir, s'il a été bien obéissant, s'il vous a fait suffisamment bien jouir pour que vous vous occupiez de lui, etc.. Puis, lors d'occasions suivantes, menacez-le de le laisser dans cet état parce que vous n'êtes pas sûre qu'il ait été suffisamment méritant. Les premières fois, ne mettez pas votre menace à exécution, soyez patiente car vous atteignez là un virage crucial de son éducation, et il convient de ne pas le manquer..

    Avant d'en arriver à la première fois où il sera privé de son orgasme, faisons un petit retour en arrière car je m'aperçois que je n'ai pas évoqué les circonstances dans lesquelles il obtenait jusqu'à présent cette jouissance tant attendue. Doit-il être attaché ou non ? A-t-il droit à une pénétration ou seulement à une faveur buccale ou manuelle ? Doit-t-il se faire jouir tout seul devant vous ? Au deux premières questions, je répondrais sans hésitation, variez les plaisirs : tantôt attaché, tantôt libéré, tantôt vous venez sur lui, tantôt c'est l'inverse, tantôt avec vos mains, tantôt avec votre bouche. A vous de choisir selon votre humeur, je dis bien à vous de choisir, pas à lui ! Pour ce qui est de la troisième question, je suis beaucoup plus réservée : si vous appréciez vraiment cela tous les deux, alors vous pouvez l'inclure dans la panoplie mais personnellement je pense que cela est plutôt contre-productif. Tout d'abord parce qu'à de rares exceptions près, les hommes n'aiment pas du tout se masturber devant leur partenaire, et beaucoup plus encore parce que cela vous exclut totalement du but qu'il attend. C'est par vous que sa jouissance a été longtemps différée, c'est donc par vous qu'elle doit venir. La dépendance à votre égard n'en sera que plus totale et plus affirmée.

    Donc, après plusieurs menaces non concrétisées, vous choisissez une soirée où la séance s'est particulièrement bien déroulée, vous l'informez qu'il va rester en l'état toute la nuit. Ne vous attendez pas à le voir accepter son infortune de gaîté de cœur. Il va s'insurger, contester et dès qu'il sera détaché, vouloir vous pénétrer en faisant plus ou moins usage de la force. Plutôt que l'autorité, je vous conseille la persuasion, la gentillesse et la douceur, dites lui que ça vous ferait tellement plaisir, que vous en avez envie, qu'il peut faire ça pour vous, promettez lui que le lendemain matin vous lui accorderez ce qu'il aime le plus, que vous le ferez jouir comme jamais, que ...;, que...; Bref ; soyez convaincante mais restez ferme sur votre décision. Et surtout, le lendemain matin, ne tenez pas votre promesse ! Pour cela faites lui mettre sa cage toute la nuit au moins.
    Puis le matin félicitez le, remerciez le, montrez lui votre reconnaissance, dites lui combien vous êtes consciente de ce qu'il a fait pour vous, etc...; Dites lui enfin bien sûr combien vous avez très envie de recommencer prochainement.
    Et voilà, bravo, vous avez réussi.

    Avant d'aller plus loin, prenez votre temps, recommencez plusieurs fois en restant dans le même schéma : jouissance reportée avec fausse promesse et cage de chasteté jusqu'au lendemain matin. Une fois ce palier respecté pendant quelque temps, il conviendra alors de passer à la troisième et dernière phase : la chasteté de plus longue durée.

    Chapitre 3 : La chasteté de longue durée : la ceinture de chasteté
    Avant d'entrer dans le cœur de cette phase finale, je me dois de répondre à une question qui vous est peut-être venue à l'esprit : pourquoi ne pas le laisser attaché toute la nuit pour être sûre de son abstinence ? Si cela vous amuse, vous pouvez l'attacher pour la nuit. Mais sachez qu'il n'est pas possible de le faire dans n'importe quelle position : le faire dormir les mains attachées dans le dos est tout simplement irréalisable, d'abord parce qu'il ne fermera pas l'œil de la nuit ensuite parce qu'il nous pourra pas supporter toute une nuit les douleurs qui ne manqueront pas de venir au niveau des épaules. Si vous voulez l'attacher de façon quelque peu confortable, vous avez le choix entre trois techniques possibles.

    La première est celle de la camisole de force. Pas besoin d'en acheter une vraie ( si cet instrument vous excite, vous pourrez en acheter une à un stade plus avancé de votre relation, on en trouve sans problème sur Internet ), fabriquez en une vous-même : achetez un tee-shirt manche longue un peu trop grand pour lui, cousez très solidement par leur milieu 2 rubans aux extrémités de chaque manche ainsi que 2 autres au bas du tee-shirt ( un sur le devant et un sur le dos), il vous suffira d'enfermer chacune de ses mains dans une manche en nouant un ruban, puis, après lui avoir fait croiser les bras au niveau de la taille, de relier dans le dos les 2 manches entre elles avec les autres rubans ; terminez ensuite en nouant entre ses jambes les rubans avant et arrière cousus au bas du tee-shirt de façon à éviter que celui-ci ne remonte pendant la nuit. Une autre technique consiste à relier ses mains à un collier fixé à son cou, vous pouvez réaliser cela en utilisant un collier de chien pour le cou et des bracelets de cuir pour les poignets ou à défaut ( mais ce sera moins confortable ) des cordes.

    Enfin, la dernière méthode consiste à enfermer ses mains dans des sortes de moufles que vous pouvez fabriquer ( à défaut utilisez des gants de toilettes ), puis vous attacherez une corde autour de sa taille en la faisant aussi passer 2 fois entre ses jambes pour éviter que la corde ne puisse tourner autour de sa taille, et pour finir, avec du ruban adhésif vous fixerez tout à la fois chaque moufle à son poignet et à la corde de chaque coté de sa taille.

    Tout naturellement ( si l'on peut dire ) vous trouverez des raisons de ne pas le soulager au petit matin et de reporter cela au soir. Le soir venu avant de passer à la récompense tant attendue, faites le attendre, imposez lui des épreuves, attachez le, punissez le au moindre prétexte, et surtout imposez lui de vous satisfaire la première ( pourquoi pas 2 fois voire plus ?). En un mot, progressez dans votre domination, soyez de plus en plus exigeante, plus dure, plus sévère, je dirais même plus injuste : commencez à l'habituer à ne pas toujours respecter vos promesses ( attention, je parle exclusivement dans ces moments d'intimité particulière, pas dans la vie courante !), à le punir sans raison, parce que tel est votre bon plaisir. En un mot, soyez la plus parfaite des garces.
    Il est parfaitement naturel, s'il n'a pas joui depuis 24 ou 48H alors que vous l'avez excité comme jamais que vous soyez inquiète sur son comportement tout au long de la journée qu'il passe loin de vous : taquinez le sur les fantasmes qu'il a dû avoir au contact des femmes, faites lui part de vos inquiétudes et dites lui donc ...;.qu'il va falloir que vous lui fassiez porter une ceinture de chasteté.

    Poursuivez dans cette idée, reparlez en à chaque fois. Et puis un jour passez à la réalisation.

    Voilà vous avez achevé votre long voyage initiatique. Il vous reste maintenant à profiter de tout le travail accompli. Le principal instrument dont vous avez besoin maintenant c'est votre imagination. Pour vous aider à la fertiliser, lisez sur www.fessestivites.com les articles sur la chasteté.




    votre commentaire
  • La poste libération d'ABDL

    Pour tester son délire d'auto contrainte en couche, par 3 fois Paul s'était adressé des clés par la poste. En les mettant le matin avant la levée, il les avait reçues le lendemain en fin de mâtiné. Aujourd'hui, il le ferait une quatrième fois avec les clés du cadenas qui allait l'obliger à rester en couche. Le premier jour de ses congés qu'il voulait 100% érotique, le jeune homme âgé de 26 printemps se rendit donc à la poste de bonne heure pour s'adresser la fameuse enveloppe renforcée contenant la dite clé. Rien que de glisser l'enveloppe dans la boite, l'excita grandement !!!!

    Arrivé chez lui, il se confectionna une sévère épaisseur de couches en perçant la première, puis la seconde avant de mettre la troisième. L'idée était de s'assurer d'avoir assez de protections absorbantes pour ne pas « fuir ». Par-dessus, il passa sa culotte en plastique de contrainte équipée d'une chaîne en guise de ceinture. En la cadenassant, il eut le sentiment très jouissif qu'il allait vivre une aventure érotique titanesque. Il passa la fin de la mâtiné à surfer sur www.fessestivites.com visionna des photos et lu de textes très érotiques. Excité comme une puce, il s'offrit un apéro, puis deux, puis trois puis...

    Le cerveau embrumé par l'alcool, il prit vers 13 heures sa pizza et le laxatif qu'il avait prévu de prendre le soir, histoire de corser un peu son délire. Quand il passa l'après-midi à délirer sur sa chasteté forcée, avec autant d'apéro, les pipis furent assez fréquents et assez excitants. Son ventre se mit à gargouiller, une petite crampe et les vapeurs d'alcool se dissipant le ramenèrent un peu sur terre. Prenant conscience qu'il risquait d'avoir les fesses très sales longtemps, il tenta de se retenir.

    Le premier apéro du soir consommé, il quitta son bureau pour aller s'en chercher un second mais marcher en serrant les fesses pour ne pas « fuir » n'est pas aisé surtout quand les cuisses ne peuvent pas trop se rapprocher pour causse de gros volumes entre les jambes. S'il parvint à la cuisine sans trop de difficultés, le retour ne se passa pas de la même façon. Debout, droit comme un « i » contracté jusqu'aux oreilles au milieu du salon, son anus ne put résister à la pression des excréments rendus liquides par le laxatif. La matière fécale se mit à envahir la couche. Si le sentiment de violer un interdit généra quelques troubles émotions en lui, s'asseoir lui posa un problème et un sentiment de dégout. En regrettant d'avoir pris le laxatif trop tôt, il reprit ses lectures érotiques. Pour dîner, il préféra rester debout... En écoutant le journal télévisé, il faillit s'étouffer avec sa clémentine lorsque David Pujadas annonça un mouvement de grève à la poste. L'horreur ! ! !

    Trouver le sommeil fut donc difficile pour Paul avec les fesses très sales et l'annonce du mouvement de grève perturbant ses plans. Réveillée de bonne heure pour cause d'inconfort, il se précipita sur l'ordinateur pour essayer d'avoir des informations sur la Poste. Son sang se glaça dans ses veines en lisant que 80 % du personnel suivait le mouvement. Convaincu de ne pas recevoir sa clé, il décida de briser le cadenas. N'étant pas bricoleur de nature, Paul n'avait pas d'outil dans son appartement, les seuls qu'il possédait étant dans le coffre de la voiture. Après avoir tordu quelques couverts innocents sur le cadenas, il dut se résigner à se vêtir pour se rendre au parking situé à 400 mètres de l'immeuble alors que sa boite à lettre n'était qu'à trois pas de son appartement, pas qu'il avait prévu de faire en peignoir. GRRRRRR

    Mettre un pantalon sur trois couches pleines n'est pas choses aisée. Même en s'acharnant il n'y parvint pas vraiment et dut se résigner à laisser la braguette et le bouton ouverts. Avec sa ceinture serrée au maximum et un gros pullover en plus de son plus gros blouson pour masquer ses formes, il se rendit en plein mois d'août au parking. Chacun de ses pas furent difficiles car en essayant de marcher normalement malgré le volume général entre ses jambes cela l'obligeait à serrer les couches pleines. Si l'aller se fit sans trop d'encombre, le retour fut abominable pour son moral.

    Le voisin l'interpella pour prendre des nouvelles sur sa santé en le voyant aussi chaudement vêtu en plein mois d'août. Tout en bredouillant quelques mensonges improvisés sur sa santé ; il serra les cuisses pour tenter de dissimuler son embarras mais ses protections martyrisées se mirent à fuir. En sentant quelque chose glisser le long de sa jambe, il crut défaillir. Rentrer chez lui avec ses outils fut bien plus délicat pour son moral que d'aller les chercher.

    Au loin il vit passer son facteur et remercia le ciel en lui promettant de doubler ses entraines pour le calendrier. Une serviette sous les pieds et l'oreille collée à la porte, il attendit sa clé avec impatience. A pas de velours il se glissa dans le hall de l'immeuble, ouvrit sa boite à lettre pour constater qu'il n'avait que des factures et que son enveloppe pourtant postée à 3 kilomètres de chez lui devait être bloquée au centre de tri.

    Avec une sérieuse détermination, il entreprit le cadenas récalcitrant avec pinces et tournevis. Une demi-heure et quelques coupures plus tard, il put enfin laver ses fesses.

    TSM

    Le site www.fessestivites.com propose des solutions plus sécurisantes que la poste pour vos cadenas. Voir la rubrique chasteté pour obtenir des informations sur les cadenas avec libération différée. C'est peu onéreux, plus fiable et sécurisant.



    1 commentaire
  • La poste libération d'ABDL

    Pour tester son délire d'auto contrainte en couche, par 3 fois Paul s'était adressé des clés par la poste. En les mettant le matin avant la levée, il les avait reçues le lendemain en fin de mâtiné. Aujourd'hui, il le ferait une quatrième fois avec les clés du cadenas qui allait l'obliger à rester en couche. Le premier jour de ses congés qu'il voulait 100% érotique, le jeune homme âgé de 26 printemps se rendit donc à la poste de bonne heure pour s'adresser la fameuse enveloppe renforcée contenant la dite clé. Rien que de glisser l'enveloppe dans la boite, l'excita grandement !!!!

    Arrivé chez lui, il se confectionna une sévère épaisseur de couches en perçant la première, puis la seconde avant de mettre la troisième. L'idée était de s'assurer d'avoir assez de protections absorbantes pour ne pas « fuir ». Par-dessus, il passa sa culotte en plastique de contrainte équipée d'une chaîne en guise de ceinture. En la cadenassant, il eut le sentiment très jouissif qu'il allait vivre une aventure érotique titanesque. Il passa la fin de la mâtiné à surfer sur www.fessestivites.com visionna des photos et lu de textes très érotiques. Excité comme une puce, il s'offrit un apéro, puis deux, puis trois puis...

    Le cerveau embrumé par l'alcool, il prit vers 13 heures sa pizza et le laxatif qu'il avait prévu de prendre le soir, histoire de corser un peu son délire. Quand il passa l'après-midi à délirer sur sa chasteté forcée, avec autant d'apéro, les pipis furent assez fréquents et assez excitants. Son ventre se mit à gargouiller, une petite crampe et les vapeurs d'alcool se dissipant le ramenèrent un peu sur terre. Prenant conscience qu'il risquait d'avoir les fesses très sales longtemps, il tenta de se retenir.

    Le premier apéro du soir consommé, il quitta son bureau pour aller s'en chercher un second mais marcher en serrant les fesses pour ne pas « fuir » n'est pas aisé surtout quand les cuisses ne peuvent pas trop se rapprocher pour causse de gros volumes entre les jambes. S'il parvint à la cuisine sans trop de difficultés, le retour ne se passa pas de la même façon. Debout, droit comme un « i » contracté jusqu'aux oreilles au milieu du salon, son anus ne put résister à la pression des excréments rendus liquides par le laxatif. La matière fécale se mit à envahir la couche. Si le sentiment de violer un interdit généra quelques troubles émotions en lui, s'asseoir lui posa un problème et un sentiment de dégout. En regrettant d'avoir pris le laxatif trop tôt, il reprit ses lectures érotiques. Pour dîner, il préféra rester debout... En écoutant le journal télévisé, il faillit s'étouffer avec sa clémentine lorsque David Pujadas annonça un mouvement de grève à la poste. L'horreur ! ! !

    Trouver le sommeil fut donc difficile pour Paul avec les fesses très sales et l'annonce du mouvement de grève perturbant ses plans. Réveillée de bonne heure pour cause d'inconfort, il se précipita sur l'ordinateur pour essayer d'avoir des informations sur la Poste. Son sang se glaça dans ses veines en lisant que 80 % du personnel suivait le mouvement. Convaincu de ne pas recevoir sa clé, il décida de briser le cadenas. N'étant pas bricoleur de nature, Paul n'avait pas d'outil dans son appartement, les seuls qu'il possédait étant dans le coffre de la voiture. Après avoir tordu quelques couverts innocents sur le cadenas, il dut se résigner à se vêtir pour se rendre au parking situé à 400 mètres de l'immeuble alors que sa boite à lettre n'était qu'à trois pas de son appartement, pas qu'il avait prévu de faire en peignoir. GRRRRRR

    Mettre un pantalon sur trois couches pleines n'est pas choses aisée. Même en s'acharnant il n'y parvint pas vraiment et dut se résigner à laisser la braguette et le bouton ouverts. Avec sa ceinture serrée au maximum et un gros pullover en plus de son plus gros blouson pour masquer ses formes, il se rendit en plein mois d'août au parking. Chacun de ses pas furent difficiles car en essayant de marcher normalement malgré le volume général entre ses jambes cela l'obligeait à serrer les couches pleines. Si l'aller se fit sans trop d'encombre, le retour fut abominable pour son moral.

    Le voisin l'interpella pour prendre des nouvelles sur sa santé en le voyant aussi chaudement vêtu en plein mois d'août. Tout en bredouillant quelques mensonges improvisés sur sa santé ; il serra les cuisses pour tenter de dissimuler son embarras mais ses protections martyrisées se mirent à fuir. En sentant quelque chose glisser le long de sa jambe, il crut défaillir. Rentrer chez lui avec ses outils fut bien plus délicat pour son moral que d'aller les chercher.

    Au loin il vit passer son facteur et remercia le ciel en lui promettant de doubler ses entraines pour le calendrier. Une serviette sous les pieds et l'oreille collée à la porte, il attendit sa clé avec impatience. A pas de velours il se glissa dans le hall de l'immeuble, ouvrit sa boite à lettre pour constater qu'il n'avait que des factures et que son enveloppe pourtant postée à 3 kilomètres de chez lui devait être bloquée au centre de tri.

    Avec une sérieuse détermination, il entreprit le cadenas récalcitrant avec pinces et tournevis. Une demi-heure et quelques coupures plus tard, il put enfin laver ses fesses.

    TSM

    Le site www.fessestivites.com propose des solutions plus sécurisantes que la poste pour vos cadenas. Voir la rubrique chasteté pour obtenir des informations sur les cadenas avec libération différée. C'est peu onéreux, plus fiable et sécurisant.



    votre commentaire
  • AUTEUR : White

    Je m'étais accordé quelques jours de repos à Londres. Durant les derniers mois, je n'avais pu penser à autres choses qu'à mes recherches pour mon mémoire de master. La soutenance passée, le diplôme en poche, je me sentais léger pour déambuler dans cette ville inconnue.

    Un programme tout à fait classique m'attendait en ce début de mois de juillet. La cloche de Big Ben avait retentit dans mes oreilles, j'avais parcouru l'histoire de l'Angleterre au travers du capharnaüm de l'abbaye de Westminster. Les horses guard avaient paradé pour la relève de la garde.

    Installé dans St James Park pour déjeuner, le doux soleil du climat océanique caressait légèrement ma peau pas encore prête à affronter les durs rayons des plages françaises. Je remontais alors triomphalement The Mall pour atteindre la National Gallery of London. Je déambulais dans les vastes salles de ce magnifique musée lorsque je tombais en admiration devant deux chefs d'oeuvres l'un admirant l'autre.

    Au mur l'un des quatre tableaux de l'allégorie de l'amour peint par Véronèse, devant fasciné par la peinture et plus précisément le nez collé sur l'entrejambe du modèle, une magnifique femme raffiné et de grande classe. Mon objectif de visiteur perdu de son ardeur, ma volonté ne put lutter contre l'envie d'accompagner du regard cette beauté qu'aucun tableau ne pouvait égaler à mes yeux.

    Tel un détective, je filais discrètement ce mirage. De nouveau, elle fixa son attention sur l'anatomie d'un modèle. Levant les yeux, j'aperçus la Vénus à la toilette de Vélasquez et saisissant l'occasion je pris mon courage à deux mains pour aborder la belle: « Devant tant de grâce je ne sais quels modèles regarder »

    Deux yeux verts limpides se posèrent sur moi d'abord excédés d'être ainsi détournés de leur cible, puis adoucis par mon sourire de bienheureux qui fit exploser de rire la belle. Elle ajouta avec un accent so british: « Tous les mêmes ces français! Mais vous avez de la chance j'aime bien cette impertinence, nos hommes sont trop respectueux et je le regrette parfois. Et votre joli minois me plaît, voulez-vous vous joindre à moi pour la suite de la visite. Mais je vous préviens elle est très sélective, il n'y a que les nus féminins qui m'attirent, c'est mon péché mignon c'est comme cela que vous dites en français. Je les scrute en détail, je suis fascinée par la puissance des coups de pinceaux de ces peintres pour transcrire leur passion du corps féminin. »


    « Ce n'est pas pour me déplaire, les courbes féminines qu'elles soient de chair ou de toiles me transportent également et vous me donnez la chance de pouvoir lier les deux que de demander de plus ».

    Elle me prit par le bas et colla sa hanche à la mienne, je me liquéfiais sur place, sur un nuage le reste de la visite je me laissais guider par mon ange. Pour que ce moment hors du temps ne cesse, à la sortie en gentleman, je lui proposais pour la remercier de lui offrir un verre de vin ou une pinte de bière.

    Elle accepta d'emblée et me proposa une de ses adresses favorites. Dans la rue son déhanchement s'amplifia, ses escarpins étaient démesurés, j'en eu des frissons et je ne pus m'empêcher de lui dire: « Je vais peut être passer pour un goujat mais votre démarche chaloupée m'est insupportable et me donne des idées, j'ai envie de vous toucher. »
    Sans retenue elle me répondit: « Mais faites mon ami, il n'est pas si courant qu'un jeune homme ose me désirer de la sorte, c'est plutôt plaisant. »

    Ma main alla à la rencontre de sa cuisse soyeuse, irrésistiblement attirée par l'entrejambe. Arrivé à la lisière du bas, je découvris la chaleur de sa peau. Mon doigt poursuivit son introspection et découvrit ses poils pubiens déjà humides de désir. Elle lâcha un petit cri de surprise.

    Le doute m'envahit, l'aurais-je offusquée? Pour rattraper le coup je tentai l'humour: « Vous n'avez rien oublié en vous habillant ce matin? » Et de nouveau elle partit dans un grand éclat de rires et me confia: « Sachez jeune homme, que je n'enfile jamais de culotte, j'aime sentir la caresse du vent ou le mordant du froid sur mes lèvres. Les seules sous vêtements que vous trouverez sur moi sont un bustier et des porte-jarretelles, vu! » et comme pour me le prouver elle attrapa mon autre main et se la plaqua sur le sein.

    Son audace me paralysa et un instant figé j'eus le sentiment de ne pas être à la hauteur de cette femme fatale. Elle me sortit de ma torpeur en me disant: « Toutes ces émotions m'ont donnée soif, vous me l'offrez ou pas cette pinte. » Nous nous retrouvâmes dans la rue à siroter notre bière, sa descente me surprit.

    Je n'imaginais pas une femme de cette classe avalant de la sorte une boisson si populaire. Alors que j'eus du mal à venir à bout de mon premier demi-litre elle ingurgita deux verres. Je doutai de nouveau sur mes capacités à la satisfaire, elle semblait jouir de la vie sans retenue et sans complexe.

    Elle me demanda de la raccompagner en taxi, installés à l'arrière, elle me supplia de reprendre les caresses qui l'avaient électrisée. L'alcool aidant, elle remonta sa jupe et écarta les jambes sans pudeur. Le chauffeur m'en rata rien. Son corps réagissait vivement à mes doigts, au bout de quelques temps je ne pus m'empêcher de plonger la tête entre ses cuisses, je sentis sa jouissance venir sous mes coups de langue, elle laissa échapper un long râle de plaisir.

    Le temps de recouvrer ses esprits, nous arrivions dans le quartier hupper de Hyde Park. Elle me dit: « Maintenant que nous sommes intimes, le moment est peut être venu de me présenter: Dorothy White, ravi de vous avoir croisé », je bégayais la bouche encore humide « Vincent Durant ».

    Et là, je ne sus si ma technique était au point ou si elle avait déjà l'idée en tête mais elle me proposa de dîner chez elle. J'en fus flatté et toujours aussi impressionné. Bon prince, je réglai la course. La demeure victorienne immense, une jeune servante vint nous ouvrir et prit nos vestes. Le salon très luxueux, elle pria la bonne de nous amener un apéritif et sans plus de préalable et sans même m'inviter à m'asseoir mon hôtesse me dégrafa le pantalon et sortit mon sexe gonflé.

    D'une main, elle le caressa et de l'autre empoigna mes testicules, les malaxa. Elle pointa la langue pour récupérer une perle de liquide séminale à l'entrée du méat. Son whisky arriva, elle y trempa mon gland et lécha méthodiquement. Elle reconduisit l'opération à plusieurs reprises. Mon sexe était à son apogée. Je compris alors que sa passion n'était pas que pour les sexes féminins peints, je vous l'assure, son application à engloutir sans relâche et sans faiblir ma queue révéla son amour du sexe masculin en chair.

    Elle leva la main et pointa le doigt en l'air, la bonne visiblement habituée des excentricités de sa patronne comprit tout de suite. Elle s'approcha et me déshabilla. En Angleterre, comment aurais-je pu penser me retrouver entre les mains de deux femmes pour mon plus grand plaisir. Tous les stéréotypes les qualifiaient de coincer et de prude, je me rendais à l'évidence de la bêtise de ces à priori.

    Elle ordonna à son employée de me donner sa culotte à renifler. Elle souhaitait être maître de la situation et diriger les opérations. Je m'y prêtais de bonne grâce. Une culotte blanche raffinée prit vie dans les mains de la bonne et se colla à mes narines, je m'enivrai du musc d'une journée de travail tandis que la maîtresse de maison reprenait avec énergie et expertise sa fellation.

    Je comprenais la métaphore gorge profonde entre ses lèvres, j'avais par hasard rencontrer une pro du sexe et allais m'en souvenir toute ma vie. Au prix de longues respirations et de contrôle, je parvins à ne pas l'asperger de ma semence, un exploit! Mais surtout parce qu'elle abandonna l'objet pour me gratifier d'un effeuillage. Debout de dos, elle m'ordonna de baisser la fermeture à glissière de sa robe. Elle dégagea de la bretelle, une épaule puis l'autre. La robe, comme au cinéma, tomba à ses pieds.

    Un bustier de soie noire rehaussant avantageusement sa poitrine sans en dissimuler les globes et les mamelons pointés m'apparut. D'un demi-tour elle me présenta son et féline, vint frotter ses fesses à mon sexe. Un bruit de porte claqua dans le vestibule, elle s'écria: « Sky, my husband! ». Dans la foulée, elle laissa éclater un rire franc, commanda à la bonne un autre verre. Puis en enfilant un déshabillé transparent, elle s'éclipsa à grande enjambée en direction de son mari.

    Dépité et éberlué, j'en perdis mes moyens, mon pénis débanda. Je me retrouvai seul dans le salon cosy à demi nu, diverses idées traversèrent mon esprit quant à la réaction d'un mari jaloux. J'étais penaud ne trouvant pas d'issue, lorsque je la vit revenir rayonnante, et dit: « Darling, voici le petit frenchy effronté rencontré à la National Gallery. »

    Un homme distingué d'une cinquantaine d'année,le cheveu poivre et sel, paré d'un costume trois pièces très strict transpirant la finance s'approchait. Il me tendit la main et ajouta: « Enchanté, c'est bien ainsi que l'on se salue en France ». A quoi, faisait il référence? J'étais désorienté .Et sans plus protocole, il prit place sur le sofa face à moi. La jeune servante accourue, un whisky à la main. Ma belle anglaise s'agenouilla à mes pieds et s'appliqua à me redonner de la consistance.

    La frayeur passée, je perçus le fonctionnement de ce couple et mon inconscient donna l'ordre à mon sexe de rebander. Mon membre gonfla dans sa bouche, sous l'action de ses doigts sur ma hampe, au maximum de ses possibilités. Ses mains se frayèrent un passage pour se plaquer sur mes fesses et imprimèrent un mouvement de basculement à mon bassin. Sans bouger la tête, elle avalait l'objet.

    Son mari était un spectateur attentif. Il semblait apprécier ce spectacle improvisé. Au bord de l'explosion, je réussis à me contenir de justesse à deux reprises. Elle le compris et me délaissa quelques secondes le temps de se positionner à quatre pattes sur le sofa. Son époux, avec un flegme britannique, d'une pression sur la tête enfonça sa queue profondément dans la gorge de Dorothy. Ses fesses impudiques étaient orientées vers moi, il émergeait de son oeillet un rosebud orné d'un saphir.

    Quel homme n'a pas rêvé d'une telle scène! Sous le charme je sentis, par derrière, les mains expertes de la bonne m'enfiler un préservatif. Le message était clair. Mon hôtesse fit un petit signe pour que j'approche. Elle tenailla mon pénis et le guida dans sa fente. La servante me poussa en avant imprimant l'oscillation. A chaque coup de boutoir, elle avalait jusqu'à la garde et le bijoux frottait mon pubis et laissait échapper un râle étouffé. Elle eut raison de nous, elle avala jusqu'à la dernière goutte.

    La jeune soubrette annonça: « Madame, Monsieur le dîner est servie ». J'en fus ravi car je commençais à me dire que je ne résisterais pas à l'appétit sexuel de cette femme, un temps de repos m'était nécessaire. Le couple était charmant, distingué et très cultivé. Je passais une soirée merveilleuse. Le repas se terminait et je me préparais à regagner heureux mon auberge de jeunesse.

    Je n'imaginais pas à cette instant que nous en étions qu'au début.
    Le café nous fut servi au salon, je me préparais à prendre congé lorsqu'elle sortit d'un tiroir un énorme gode noir en latex me priant de rester. Son mari me lança un clin d'oeil amusé haussant les épaules signifiant « Eh oui, elle est insatiable mais je l'aime, et vous n'avez pas le choix, elle a encore besoin de vous ».

    Le spectacle vivant n'était pas terminé, elle fixa par la ventouse sur la table du salon. Nous sirotions notre café assis côte à côte son mari et moi, nous délectant de l'introduction lascive du phallus d'ébène doux et énorme dans ses chairs. Les fesses collées à l'autel de son intromission, l'objet juste visible, son corps s'exaltait, en transe.

    Elle s'inclina en avant et extirpa le bijou que j'avais oublié mais certainement pas elle. Au passage du renflement, elle lâcha un petit cri et se releva laissant béant ses orifices. Sa porte de l'enfer était prête à recueillir le bâton du diable. La gouvernante à l'affût des moindres désirs de ses maîtres, déposa une noix de lubrifiant sur le gland factice et une à l'entrée de l'anus.

    Assise de nouveau l'olisbos dans les entrailles, elle reprit ses ondulations, s'astiquant le bourgeon. Aucun de nous deux ne put rester insensible à cette danse de sabbat , nos pénis respectifs se gorgèrent de sang. La cérémonie dura, son regard était ailleurs. Le tintement de la tasse que son mari venait de déposer, la sortit de son isolement. Ses yeux se braquèrent aussitôt sur les deux membres dressés pour elle.

    Délaissant l'inanimé, à califourchon, elle s'embrocha par la chatte béante sur son cher et tendre. De nouveau, je sentis les doigts de la petite bonne m'enfiler une capote anglaise. Ma bourgeoise londonienne m'agrippa le bras pour me positionner derrière elle. Je compris le message et sans un mot investit son oeillet.

    Emplie de deux belles queues, elle se déchaînait. A travers la fine paroi qui nous séparait, je perçus les soubresauts annonciateurs de l'imminence de son éjaculation. Il se répandit en elle et il stoppa l'action. Elle se dégagea. Le sperme coulait le long de sa cuisse. Je restais le sexe dressé dans le vide, le temps que son homme l'embrasse et prenne congé, suivi de près par la bonne. Ma bite se dégonfla laissant tomber le préservatif à terre.

    Main dans la main, elle m'attira dans la salle de bain. Elle m'expliqua qu'avec son mari depuis de nombreuses années, ils pratiquent les chambres séparées et la petite tient compagnie à son époux. Elle garnissait son lit d'amant de passage et parfois du jardinier pour jouer à Lady Chatterley. Une douche chaude nous dynamisa. Je m'imaginais dans son lit à baiser encore et encore .

    Lorsqu'elle me dit qu'il n'était que vingt deux heures et que nous étions jeudi, la soirée commençait à peine selon elle. Elle me dit: « Je vais te trouver un smoking dans les armoires de mon chéri et moi passer une robe de soir. Nous allons à une fête. »
    Elle se para d'une robe fourreau très près du corps avec un dos à la limite de la décence et nous voilà dans une jaguar cabriolet Angleterre oblige.

    En chemin, elle m'expliqua: « nous nous rendons chez la femme d'un riche industrielle. Son mari s'absente pour contrôler la fabrication de sa production en Indes, deux soirs par semaine, la mondialisation a parfois du bon. Alors, pour pallier à son oisiveté et garantir son train de vie (elle pense qu'il ne l'entretient pas suffisamment), elle organise des bacchanales avec tout le gratin londonien. C'est une très bonne amie, nous avons étudié ensemble au collège. Ses soirées sont très à la mode, c'est une véritable nymphomane et a des atouts. D'une pierre deux coups! Elle prend du plaisir et gagne de l'argent. Je me demandais qui de nous deux était la plus obsédée avant qu'elle ne me raconte une de ses nuits. Elle avait gagné 75 000 pounds à raison de 3000 pounds par homme soit vingt cinq hommes qu'elle avait assouvies pendant la soirée. Elle m'avait assurée que tous étaient sortis secs et épuisés alors qu'elle en voulait encore. D'ailleurs rare sont les hommes voire les femmes de la haute, de la classe dirigeante qui n'est pas connu ses faveurs. Elle est très respectée car elle possède un pouvoir: les confidences sur l'oreiller.

    A une trentaine de kilomètres de Londres, nous arrivâmes à l'entrée d'un immense parc préservé par un gardien. Il s'approcha de la voiture et reconnut sa conductrice. Il lui souhaita la bienvenue d'un large sourire entendu, elle lui glissa 1000 pounds dans le creux de la main.

    C'était le sésame. La porte en fer forgé s'ouvrit sur le jardin arboré. Au loin les lueurs d'un manoir victorien scintillaient. Nous roulions au pas, l'allée me parut interminable , Dorothy en profita pour m'expliquer: « pour participer une femme seule doit débourser 500 pounds, un couple 1000, et un homme seul 3000. Prix de la tranquillité et de l'assurance de rester entre gens de bonne compagnie... »

    Un voiturier, sur un énorme perron, vint à notre rencontre pour nous dérouler le tapis et rouge. Une exclamation nous cueilla à peine le seuil du hall franchi: « Oh! Dorothy, ma chérie, il y a bien longtemps que je ne t'avais vue à mes soirées. Mais dis moi petite cachottière, quel est ce beau jeune homme. Est ce lui qui t'as accaparée durant ces longues semaines. » la femme qui s'exprime ressemble à une star hollywoodienne, chevelure blondes, des seins énormes mis en valeur par un décolleté à paillettes.

    Sa main glissa sur la hanche de son amie et se colla pour l'embrasser sur la bouche. Dorothy lui expliqua notre rencontre fortuite de l'après midi et lui dit: « Je voulais lui faire découvrir les frasques d'albion, lui montrer que les français non pas le monopole des plaisirs. »

    Elle lui rétorqua: « Nous allons lui montrer » Des doigts agrippèrent mon bras pour m'entraîner dans un tourbillon que je ne suis pas prêt d'oublier. La première pièce, un salon où grouillaient des hommes distingués accompagnés de femmes sublimes, à cette heure là, je pouvais encore penser me trouver dans un fête mondaine, tous semblaient très sages.

    Dans une seconde pièce, une bibliothèque avec billard, j'aperçus des jambes, quelques robes étaient retroussées, des couples s'embrassaient mais rien d'exceptionnel. Des gémissements attirèrent mon attention, dans l'embrasure d'une porte, je distinguais un écran sur lequel était diffusé un porno-chic. Mon amante se décolla du trio que nous formions pour saluer un invité, m'abandonnant aux bras de l'hôtesse qui me souffla à l'oreille: « Jeune homme, votre accompagnatrice va nous mettre de l'ambiance!


    Heureusement qu'elle est arrivée notre soirée était bien morne... »
    Effectivement après avoir honorer d'autres convives et bu un verre de champagne. Ma maîtresse grimpa sur le piano au centre de la pièce, et débuta une danse lascive. La main d'une délicieuse maîtresse de maison se posa sur mon sexe et commença à le caresser.

    Dorothy entamait un strip-tease langoureux, la température monta dans la pièce, à chaque degré, l'incursion et les frictions dans mon caleçon. Son amie Londonienne était définitivement nue libre de tout vêtement s'intensifiaient. Jambes largement écartées, elle se caressait impudique, mimant de chaud coït, se pénétrant de plusieurs doigts. Un nombre incalculable de mains s'approchait pour l'effleurer, la toucher.

    Je compris que je ne la reverrais plus avant notre départ. Mais j'étais en de bonnes mains, la sculpturale blonde était à genoux à mes pieds à dégrafer mon pantalon. Mon exotisme devait jouer à plein car pour la deuxième fois dans la même journée, une splendide créature jetait son dévolu sur moi. Jusqu'à tard dans la nuit, elle me garda à ses côtés comme si nous formions un vieux couple libertin, je veillais sur elle.

    Nous partagions tout. Je pus mesurer, de visu, sa belle nature généreuse. Elle ne trichait pas et se donnait sans retenue. Sa vénalité disparaissait dans l'action. Elle sollicita ou consentit une bonne vingtaine d'assaut, des doubles, des triples... toujours avec un égal enthousiasme et un égal plaisir.

    Le hasard voulut qu'elles se retrouvent face à face avec Dorothy pour une dernière cavalcade. Elles s'embrassèrent, se caressèrent, imperturbable malgré les assauts des deux seuls hommes encore en état de bander. A quatre heures trente, nous prîmes congé de notre amphitryon, la remercia chaleureusement de son accueil. Le voyage fut plus calme, nous restâmes muets.

    Elle m'ouvrit sous lit, cette fois pour dormir, je m'y écroulais la tête posée sur son sein. A sept heures, elle se leva fraîche et disponible pour accompagner son mari durant le petit déjeuner comme une femme docile et amoureuse. Personnellement, j'émergeais péniblement à onze heures. Sans aucun regret, j'avais visité un Londres un peu plus intimes et interlope, les monuments m'attendraient.

    Elle m'appela un taxi et me confessa avoir apprécier ces dernières heures. La voiture partie, je me retournais et à travers la vitre, je la vit articuler « Ne m'oublies pas, reviens me voir! » et m'envoyer un baiser.

    Quatre mois plus tard, je débutais une thèse à Londres, merci monsieur Erasmus. Elle m'hébergea...



    votre commentaire
  • Une noire vaut deux blanches...

    AUTEUR : George

    En vacances, au cours d'une sortie en boite, j'ai repéré une jeune black, apparemment seule, quand je dis black ! Elle en est presque bleue ! Des yeux magnifiques les cheveux ondulés, Vêtue d'une micro robe, les seins libres....çà me fais soupirer !! Annie a tout de suite vu vers où se dirigeait mon regard !!
    - Chéri, tu aimerais te faire une petite noire ?? Alors qu'attends-tu ??
    - Pourquoi tu me dis çà ? Tu veux que je la drague ?? Je n'ai aucune chance, elle refuse tous les hommes qui viennent l'inviter à danser !!
    - Peut être, mais moi je peux essayer ....ce serait bien de se là faire tous les deux non ??
    - .... Oui mais....
    - Ne fait pas la fine bouche, je suis sure que tu crèves d'envie de t'allonger entre ses cuisses !!!
    - Évidement, çà ne me déplairais pas !! Ce qui me freine un peu, c'est que tous les jours nous la voyons sur la plage, et elle garde son bas de maillot.... C'est pourtant un endroit naturiste ??? C'est dommage car elle a un cul magnifique !! Et ses seins, de vrais obus !!
    - Oui, tu as raison, mais qu'est ce que çà nous coute d'essayer !! Aller, va l'inviter à danser!!
    - OK ! Tu vas voir, je reviens de suite !!
    - Bonsoir mademoiselle, voudriez vous s'il vous plaît, m'accorder cette danse ??
    - OH ! Excusez-moi, mais je ne préfère pas ...pas ce soir...excusez moi encore.
    - Mais, je vous en prie, il n'y a pas de soucis, bonne soirée tout de même !
    Je rejoins Annie.
    - Voilà ! Tu es contente ! Je viens de me prendre un râteau !!
    -C'est pas grave ! Il fallait bien tenter !!
    Le lendemain, à la plage, la première tête que nous voyons, c'est notre petite noire, nous sommes à vingt mètres d'elle et elle porte toujours son bas de maillot ! Mini, mais maillot quand même !! Je dirais quand même, qu'elle n'en est que plus sensuelle.
    Nous lézardons, quand un ‘coucou' nous fait ouvrir les yeux.
    - Je vous ai reconnus, et je voulais m'excuser pour hier soir, j'ai refusé de danser et je le regrette....
    - Asseyez vous dit Annie en se reculant sur sa serviette - sans se faire prier, elle s'assied aux pieds de ma femme.
    - Vous savez, ce n'est pas grave,
    - Je me suis faite larguée il y a peu de temps, mais je commence à m'en remettre, nous pratiquions l'échangisme, tout comme vous... car si monsieur est venus m'inviter, je suppose que vous aussi ??
    - Oui, effectivement, mais ce n'est pas une obligation, nous nous faisons aussi de simples amis !!
    - Ah ?? Et bien cela me ferais plaisir que nous devenions amis !! Je peu me joindre à vous ?? J'aimerais beaucoup parler... je m'appelle Lisa !! Je viens d'arriver en vacances et je compte bien en profiter !!
    - Nous c'est Annie et Georges !!
    Elle part chercher sa serviette, - chérie, tu vas lui faire la conversation ! Car moi....
    - Mais oui, en tout cas elle a l'air vachement sympa !

    C'est vrais, au cours de l'après midi, je l'ai appréciée, une bonne humeur, rigolote, et ouverte à tout, si bien qu'elle est venue le soir, nous rejoindre à l'apéro, vêtue d'un paréo, les seins nus. Après deux verres, le courant passe bien entre les deux filles, le paréo de Lisa est tombé ! C'est vrais qu'elle a du ‘vécus' car les histoires de sexes ne l'effraient pas !! Elle en rajoute même !
    Le lendemain soir, après avoir passés l'après midi encore ensembles c'est elle qui nous invite chez elle pour l'apéro.
    Lisa n'a sur elle qu'un string, c'est Annie qui a un paréo !!
    Après quelques verres, le climat est au beau fixe.

    - Je suis sure que vous vous demandez pourquoi je ne quitte jamais mon slip....çà me gène, je vais vous dire pourquoi, ou plutôt, je vais vous faire voir, pourquoi...

    Elle se lève, et lentement fais glisser le bout de tissu...une chatte imberbe apparait, mais, ce qui est le plus surprenant, c'est le clitoris....il doit faire deux centimètres, une gaine comme une petite bitte d'où émerge un petit gland rose, nous n'avons jamais rien vus de tel.

    - Vous comprenez pourquoi j'ai honte de m'exhiber toute nue ??
    - Tu es folle ?? dit Annie, moi je trouve çà beau, c'est peu être rare, mais justement c'est ce qui fait son charme !!
    - C'est ce que l'on me dit, mais quand le complexe est là ...
    - Hé bien moi, j'aimerais beaucoup jouer avec !! Pas toi Georges .... !!
    - Euuuh... oui, c'est vrai !!
    - Vous êtes deux cochons, s'écrie t elle en riant - alors je ne remets pas ma culotte !! Car je vois que çà fait bander Georges !!!Et puis après tout, j'ai tellement avec vous deux....vous venez ?? On va sur le lit...

    Allongée nue, sur son lit, les bras et les jambes à l'équerre, je peux voir une comme une cicatrice rose qui contraste avec la noirceur de sa peau... ce sont ses lèvres déjà brillantes de mouille, qui s'ouvrent et qui laissent voir l'intérieur de sa vulve.
    Annie, est la première à se mettre elle aussi nue et s'allonge aux cotés de Lisa, elles s'embrassent en se caressant les seins.
    Je les regarde en me déshabillant, je bande comme un âne, si on m'avait dit que je me ferais une petite black ce soir !!

    - Viens Georges approche, laisse-moi toucher ta queue !!
    Je m'exécute, à genoux prés d'elle, ma bite bouge de bas en haut, la goute au gland, Lisa s'en saisie ses lèvres lippues s'enroulent autour, je ne peu réprimer un ‘Hà' de satisfaction !! Sa bouche est brulante.

    Annie en profite pour s'emparer de la chatte noire et rose, à cet instant, je l'envie !! Mais mon tour viendra !!En attendant je baise la bouche confortable, je lui soulève la tête d'une main pour qu'elle soit plus à ma hauteur, et de l'autre je malaxe les seins durs comme de la pierre.
    La bouche est tellement bonne que ma jouissance monte, Lisa le sent, et me maintient pour ne pas que je me retire, en lâchant un cri rauque, je me laisse aller dans la bouche accueillante, pas une goute ne se perd, elle me remercie en me faisant un grand sourire.

    - Annie ! Viens me voir, laisse la place à Georges il veut visiter mon entre cuisses !!Donne-moi ta chatte à lécher !!Le sperme de ton mari a très bon gout ! Fait moi gouter ta mouille !!
    Enfin ! Je peu voir ce clitoris extraordinaire !!C'est vrai qu'on dirait une petite bitte il se décalotte pareil !je le prends entre mes lèvres et je ‘fais une pipe a Lisa ‘!!Tandis que mes doigts s'enfoncent dans le vagin ouvert par ma chérie. Le contraste est hallucinant, ce rose presque rouge et le noir plus foncé des lèvres que du reste de sa peau....
    En tout cas elle est sensible de la chatte, j'ai de la peine à la maintenir en place, son jus de femme coule dans ma bouche, je finis le travail d Annie en la faisant jouir sous ma langue.
    Ma queue a repris un aspect combatif !les femmes s'en aperçoivent, Annie dit - Hé bien, tu va nous baiser toutes les deux en même temps !!

    - Comment ??
    - Regarde... elles s'allongent l'une sur l'autre au bord du lit, les deux chattes à la même hauteur. Elles rient comme deux folles !! Annie qui est dessous écarte les jambes au maximum, et Lisa en crabe sur ma femme, est complètement écartelée elle aussi, les deux vagins sont ouverts, luisants de mouille.
    Je présente mon gland à la moule de notre hôte !galanterie oblige !! Sans efforts, malgré le conduit serré, je l'emmanche jusqu'aux couilles, un petit cri de surprise de sa part !!
    Puis je me mets en action, une dizaine d'allers retours et je change de partenaire, Annie aussi pousse un cri quand je l'investie sans crier gare !! Une dizaine de coups dans elle aussi, puis, j'adopte un rythme de croisière, je me tiens au petit cul rebondis de Lisa d'une main et de l'autre je change de trou !! Je les secoue, c'est bon !! Et surprenant, les deux salopes crient ensembles mais comme elles sont soudées par la bouche ce sont des bruits étouffés qui fusent
    A part pour crier :

    - Aaaaah, Ouiiiii salaud tu nous fais du bien ... baise nous encore, fais nous jouir...
    Au moment ultime, Annie me dit - encule Lisa elle en a envie - Ooooh, Ouiiiii Georges, décharge moi dans le cul, j'ai vraiment envie...
    Il était temps !! J'allais me soulager dans les deux chattes en leurs faisant profiter de mon foutre à toutes les deux !!

    Je pointe donc mon gland sur la rondelle palpitante de Lisa, même son cul mouille !!
    Sans forcer outre mesure mais d'une seule poussée mes couilles touchent rapidement sa chatte
    J'attends un moment, car je suis presque sur le point de non retour, deux ou trois va et vient, et je vais décharger !!

    C'est quand elle me le réclame que je me remets en action, comme prévus, j'inonde ses intestins de foutre. Je laisse ma bite se retirer seule du petit cul, et elles se désaccouplent !!

    - Houaaa !!Qu'est ce qu'on a pris !! dit Lisa !! On remet çà ???
    - Tu es folle vous voulez ma mort ??
    - Alors demain soir c'est trop bon !!N'est ce pas Annie ???
    - Pour moi c'est OK !! Chéri, prend des vitamines les vacances vont être longues..........
    - Un scoop !! Demain je me mets à poil carrément !!!!



    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires