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    TSM


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  • Ma femme veut entrer dans une maison de passe.

    AUTEUR : Bernard

    Je m'appelle Bernard, j'ai trente ans. Je suis marié depuis huit ans à Martine, de cinq ans ma cadette. Je suis grand et, sans prétention, pas trop mal fait. Je pratique de nombreux sports. Ma femme est une petite blonde aux yeux vert clair, de très beaux seins qui tiennent bien et un petit cul (taille 38). C'est une personne très calme, qui ne se livre pas facilement, même avec moi. Elle n'ose pas se montrer ni porter des tenues courtes. Au lit, c'est très classique. Elle n'accepte que très rarement la sodomie et la fellation, et encore elle ne va jamais jusqu'au bout. Vous allez me demander ce que je lui trouve? Eh bien, son corps est magnifique, une véritable sculpture!

    L'an dernier, nous sommes partis en vacances au bord de l'Atlantique, à Lacanau dans un club de vacances. Nous avions réservé pour trois semaines un bungalow. Dans celui qui était contigu au nôtre se trouvaient trois frères d'origine algérienne qui avaient l'air de bien s'amuser.

    Le premier jour, nous avons passé la journée à la plage à nous reposer. Le soir il y avait une soirée spectacle en plein air. Martine m'annonça qu'elle s'était acheté quelques tenues sexy pour les vacances. Effectivement, ce soir là elle mit une petite robe noire très moulante, ultra-courte qui découvrait largement sa poitrine et son dos. Pour paraître plus grande elle portait des sandales à lanières avec des talons très hauts. Je l'attendais au bar, j'étais en train de prendre l'apéritif avec nos voisins de bungalow lorsqu'elle pénétra dans le salon. Avec ses cheveux blonds sur sa robe noire et son corps bronzé, elle fit sensation.

    Elle en rougit tellement elle était gênée. Nos voisins lui firent de nombreux compliments. Elle avoua que c'était la première fois qu'elle s'habillait ainsi. Nos voisins se joignirent à nous pour le repas et le spectacle. Ils nous proposèrent de terminer la soirée dans la boîte du club. Martine accepta rapidement. L'un des trois frères (le plus âgé) l'invita à danser. Elle se colla à lui. Ensuite elle dansa avec les deux autres. A chaque fois ce fut très serré, les bretelles de sa robe glissaient sur ses épaules, dévoilant ses seins. De plus sa robe était remontée très haut et je notai qu'elle portait un string ce qu'elle n'avait jamais fait auparavant. Maintenant nos amis n'hésitaient pas à poser leurs mains très haut sur ses cuisses et sur ses épaules, en caressant ses seins. C'était la première fois que je la voyais se laisser aller ainsi, elle qui était très sérieuse, qui n'osait rien, n'hésitait plus à s'exhiber sans honte. Vers deux heures, on reprit le chemin des bungalows. Ils nous proposèrent de prendre un dernier verre chez eux.

    II faisait très chaud. L'aîné, Kady, proposa de se mettre à l'aise. Martine hésita une seconde, puis ce fut elle qui la première fit sauter sa robe: effectivement, elle était complètement nue avec juste son string. Ses seins fermes avaient leurs pointes qui durcissaient. Ses cuisses et son corps bien bronzé excita Kady. II se déshabilla, dévoilant un beau sexe, autant en largeur qu'en longueur. II fit s'agenouiller Martine (qui obéit tel un robot) et lui présenta son sexe. Elle ne se fit pas prier et elle commença par le caresser longuement avec sa langue dans tous les sens. Quand il fut bien humide, elle se saisit de la hampe entre ses dents: sa langue alla et vint, puis lentement, centimètre par centimètre, elle l'installa au fond de sa gorge jusqu'au moment où elle ne put plus respirer. Pendant un bon moment elle l'excita puis il se retira légèrement et jouit longuement dans sa bouche. Ils jouirent tous les deux. Elle avala son sperme lentement (chose qu'elle ne m'avait jamais faite, et j'étais curieux de voir jusqu'où elle irait).
    Après Kady, son frère Abdel se présenta et elle recommença immédiatement une nouvelle fellation. Kady s'était installé derrière elle et il commença à la pénétrer par la chatte après l'avoir soulagée de son string.

    Elle ondulait et quand Kady fut au fond de son ventre, il se mit à la défoncer très sèchement. Ses seins allaient et venaient. Mohammed, le plus jeune, se mit à les caresser. II se déshabilla complètement. II avait un sexe incroyable, encore plus gros que celui de ses frères. II se glissa sous elle. Pendant ce temps Kady avait quitté son ventre et commençait à la sodomiser. Elle se laissait faire, écartant largement ses cuisses et, avec ses mains, ouvrait largement ses petites fesses. Après qu'il lui eût enduit son petit trou convenablement, il s'introduisit brutalement. Elle hurla tellement il lui faisait mal. II n'arrêta pas pour autant, la défonçant de toutes ses forces; enfin il ralentit. Pendant ce temps, Mohammed, qui s'était glissé sous elle s'introduisit dans son ventre. Ils la limèrent pendant un long moment, puis décidèrent de jouir en même temps; elle aussi les rejoignit. Ils se reposèrent quelques instants puis reprirent rapidement; tous la sodomisèrent plusieurs fois. Là, elle avait moins mal sauf avec Mohammed dont le sexe énorme eut des difficultés, mais il la pénétra quand même jusqu'au fond. Ce fut une soirée fellation-sodomie.

    Vers sept heures, ils la ramenèrent dans notre bungalow. Elle avait fait une bonne douzaine de fois l'amour. Elle s'endormit épuisée. Le lendemain, j'étais installé dans les dunes, en train de bronzer. Elle me rejoignit, m'annonçant qu'elle avait fait quelques achats.
    Effectivement, elle portait une petite robe de plage ultra-courte, décolletée, qui ne cachait pratiquement rien. Elle m'annonça que pendant les vacances elle ne porterait aucun dessous; d'ailleurs à Paris elle ne mettait jamais de soutien-gorge (je ne l'avais même pas remarqué!). Elle qui n'osait pas se montrer en train de se déshabiller!

    Et jusqu'à la fin de nos vacances, nous avons fait du naturisme. Inutile de vous dire que son corps a rapidement pris une couleur très ambrée. Les soirées qui ont suivi, Martine portaient des tenues que je ne connaissais pas. Ces nuits se terminaient toujours dans le bungalow des trois frères où ils en profitaient jusqu'au matin. Ils pratiquaient ainsi la double pénétration, tant dans sa chatte que dans son cul. Je n'arrivais pas à croire que dans un si petit cul on pouvait mettre deux bites aussi grosses! Le plus fou c'est que c'était elle qui le demandait. La journée et la nuit qui précédèrent notre retour, elle les passa chez ses trois amants. Ils la prirent plus d'une vingtaine de fois. Elle en redemandait: c'étaient des garçons qui avaient des réserves.
    Enfin on est rentré sur Paris. Depuis elle s'est totalement libérée, c'est à dire qu'elle ne porte plus de dessous, hormis des bas et porte-jarretelles. Ses jupes se sont considérablement raccourcies. De plus, tous les vendredis soirs, elle part passer le week-end chez ses amis les trois frères. Elle m'a avoué récemment que depuis quelques semaines, ils ne sont plus trois à profiter de son corps, mais souvent ils sont cinq, voire six. Je dois dire que le dimanche soir lorsqu'elle rentre, elle est dans un drôle d'état.
    Je ne sais plus trop quoi faire avec elle, ce que je pensais être un jeu, une passade, s'est transformée en une folie sexuelle. Je crois même qu'elle se prostitue pour les trois frères, car depuis maintenant deux semaines, en plus du week-end, ils viennent la chercher deux fois par semaine le soir pour, paraît-il, sortir.

    A chaque fois, elle porte des tenues hyper suggestives et très dénudées; d'ailleurs quand elle rentre le matin elle est souvent complètement nue sous son imperméable.
    Apparemment, elle veut divorcer car elle voudrait vivre en Allemagne. Je pense que c'est pour être incorporée dans une maison de rendez-vous. Je suis un peu abasourdi de ce qui arrive.

    L'an dernier, à cette même époque, j'avais affaire à une femme délicieuse, calme, un peu renfermée sur le plan sexuel, mais là c'est un véritable chaudron qui ne pense qu'au sexe. Je ne sais plus trop quoi faire...




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  • Mon mari, ma soubrette

    Résumé Christine, 32 ans entre en gynarchie et transforme son mari en soubrette.

    AUTEUR Christine 32 ans

    Loïc et moi, nous formons un vrai couple depuis dix ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une fanfaronnade de sa part. "Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande !" Prétendait-il.

    Moi, je doutais un peu. Loïc m'a limée longtemps, très longtemps, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure. Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.

    - Loïc, je vais t'habiller en femelle, et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
    Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite, pour l'humilier. "Ta queue est raide comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Loïc a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités, et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
    J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Loïc gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus, en le félicitant d'avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.

    Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, Loïc couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. J'en revenais pas mon mec était une vraie salope.

    Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou, et je lui en ai donné vingt coups sur le cul. Loïc se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Loïc, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J'étais lâchée et toute exitée...

    J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
    Loïc a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts, et j'ai joui.

    Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Loïc et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
    Je me prenais à fond au jeu puisque lui aussi, apparemment adorait cela... j'en rajoutais alors...

    Loïc reçu l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection grimpant jusqu'au nombril, et ses cuisses musclées gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.

    J'avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois Loïc s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.

    Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip, j'ai retroussé son prépuce, et j'ai sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue, et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que les couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.

    Depuis ce jour, Loïc me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.

    Dernièrement avec mon amie Brigitte, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Loïc. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Brigitte est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Loïc voulu discuter comme quoi c'était trop, mais Brigitte lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre se mit en position sur "le punissoir".

    Il s'agit d'un tréteau assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)

    Avec Brigitte nous nous sommes partagées les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Loïc au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.

    Au cours de la discussion, Brigitte me dit soudainement "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire." Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt "C'est une bonne idée que tu as là, c'est que maintenant ce n'est plus vraiment un homme."

    En tournant la tête vers le coin où Loïc était en pénitence, je lui dis de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Brigitte ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara "Et en plus ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu."

    J'étais subjugué de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui ou je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n'avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s'ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui... Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Loïc de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Brigitte évoquais des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter.

    Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Brigitte se positionna derrière Loïc qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit vibro dans le cul. Durant toute l'opération Loïc continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Brigitte continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : "Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants." Elle se mit alors à pistonner l'anus de Loïc vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter "Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps." Au même moment j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis. Nous l'avons insulté de s'être laissé allé comme ça et remis au coin.

    Lorsque Brigitte fut partie, je me tournais vers lui et dit : "Tu vois puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça." Il ne dit rien et baissa la tête.
    Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien !




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  • Les garces !


    AUTEUR TSM

    .......................................

    Marie a trente ans, de jolis yeux bleus, de longs cheveux presque blonds, une poitrine généreuse et un corps bien proportionné. Je me suis étonné que cette perle soit encore célibataire. Si je dis perle, c'est parce sur le net et lors de notre rencontre dans une brasserie j'ai constaté avec plaisir qu'elle est également cultivée et très « libre » d'esprit.

    En rédigeant cette présentation, j'imagine déjà le lecteur agacé ! Belle, blonde, les yeux bleus, intelligente et libre d'esprit, cela tient du fantasme. Et bien non !

    La chance peut sourire à un homme abandonné par sa douce moitié à 40 ans.

    PREMIÈRE DÉCONVENUE

    Notre deuxième rencontre à la maison s'est déroulée.
    Mon champagne avec générosité a coulé.
    (Il faut dire qu'elle a une bonne descente)
    Au piano de tout mon charme j'ai usé.
    Mais en vain. Elle était indisposée.
    Et sur ma faim je suis resté.

    CE SOIR J'Y CROIS !

    J'ai invité Marie à dîner à la maison. En préparant le repas avec un service sur assiette, je repense à nos conversations. Passionné par le SM, aussi bien S que M, je m'interroge : me suis-je trop vite dévoilé ? Cette perle viendra t'elle ?

    20 HEURES

    Marie va arriver.

    21 HEURES

    Marie n'est pas là j'en suis au troisième pastis et désespère en regardant la pub à la télé.

    21 HEURE 30

    Le son de la sonnette charme soudain mes oreilles.

    23 HEURES

    La bouteille de vin par elle amenée et ma bouteille de champagne vides se désespèrent côte à côte sur la table à l'idée de finir à la poubelle.

    - Nous pourrions jouer un jeu SM après le dîner m'as-tu proposé et bien je te propose d'ouvrir une deuxième bouteille de ton mauvais champagne, (ouf) de me sortir ta caisse à jouets de petit pervers car je suis sûre que tu en as une, et d'aller prendre une douche pendant que j'en ferai l'inventaire ! Me lance Marie d'un regard provocateur avec des yeux à faire damner un saint.

    C'est aux pieds du lit, que l'on voit l'homme au pied du mur. Rouge comme une pivoine, j'ouvre donc la bouteille demandée et lui apporte ma caisse métallique à archives, particulièrement gêné de son sourire moqueur quand elle s'en saisit et me lance qu'il est temps que j'aille « gratter le cochon » !

    Tout en prenant ma douche, je me plais à imaginer ses charmantes rondeurs rougies par mes soins, son corps gigotant sur mes genoux et ses excuses entrecoupées par de petits cris. Mais ce soir, les rôles seront inversés. Hum, petit frisson et gros délire cérébral puis l'espoir qu'elle me contraigne à rendre à sa superbe poitrine l'hommage buccal qu'elle mérite.

    La pudeur étant, même si je suis naturiste, j'enfile un boxer pour masquer les effets de mes pensées érotiques avant d'aller la retrouver au salon.

    Et là, surprise ! La belle de jour, ou plutôt de nuit, a renversé la totalité de mes accessoires des plaisirs sur la table de la salle à manger et sirote tranquillement mon champagne, vautrée dans le canapé.

    - Passe ça autour de ton cou ! Me lance Marie en me jetant un ensemble de liens.

    Il s'agit d'un kit « mains pas libres », fait d'un large collier de cuir muni d'une sangle qui descend dans le dos et de deux bracelets. Le tout est d'une qualité moyenne, mais pour jouer c'est déjà sympathique.

    Je suis à la fois gêné et excité de passer le collier, emblème de ma soumission proche. Marie se lève et me lie les poignets dans le dos en prenant soin de bien les remonter pour tirer sur mes épaules. Je suis dans tous mes états, pour ne pas dire dans un état second.

    - Ton truc c'est de la camelote, tu as du l'acheter aux puces ! Me lance Marie amusée qui se saisie d'une cordelette de ma caisse à jouets puis renforce les attaches de mes poignets avec visiblement une solide expérience en terme de ligotage.

    D'une main ferme, elle saisit mes cheveux et m'attire vers elle pour m'embrasser à pleine bouche. Son baiser est plutôt surprenant tant il est vorace. Sa langue généreuse force ma bouche accueillante pendant un instant, puis soudain, plaquant la main entre mes cuisses, elle malaxe mes attributs à travers mon boxer. Hum, je suis aux anges. Etant autant S que M, j'aime bien quand une femme prend fermement la direction des opérations.

    Je m'abandonne donc à son baiser sauvage et à sa main câline qui me transporte mais la douleur qui croît progressivement entre mes cuisses m'inquiète un peu. Aurait-elle décidé de broyer mes bijoux de famille. ?

    - Doucement s'il te plait !

    - Oh ! Mon pauvre petit ! Et tu oses dire que tu aimes le SM ? Si tu commences à gémir dès que je te caresse un peu c'est que tu es une mauviette ! Me lance Marie avec son regard provocateur et ses yeux bleus pétillants de malice. Voyons voir ce que tu caches sous ce boxer ridicule.

    D'une main leste, elle tire sur le tissu qui voile mon intimité. Popaul, tout tendu, plie mais ne rompt pas. Soudain libéré, l'auguste membre déploie toute sa vigueur, rapidement saisi entre ses longs doigts fuselés et chauds, il est un instant caressé. Marie se penche, le prend entre ses douces lèvres pulpeuses puis s'amuse à le tourmenter avec sa langue, provoquant un afflux sanguin et mes plaintes lascives. Quel délice ! Ses lèvres chaudes et sa langue agile me transportent.

    - Il est d'une taille à peine respectable et tu vas devoir te surpasser pour me mériter ! Me lance t-elle provocatrice en stoppant soudain l'exquise caresse de ses doigts fermes et de ses lèvres câlines.

    Après une grande claque sur mes fesses sans défense, l'exquis bourreau féminin me laisse en plan et retourne se vautrer dans mon canapé pour siroter son champagne. Avec le boxer bloqué au-dessus des genoux et mes poignets liés, j'ai l'air fin devant cette fille qui se délecte de ma gêne. !

    Je perçois clairement que son fantasme n'est pas réellement le SM mais le plaisir d'humilier, quand elle décide de jouer avec mes nerfs en me faisant prendre des poses qui commencent à m'ennuyer profondément.

    Marie me demande de retirer mon boxer, en rigolant bruyamment de mes mouvements de jambes puisque mes mains sont liées. Le rire de l'autre dans ces moments là n'est pas un instant particulièrement excitant. Me faire déambuler ainsi puis me mettre au piquet comme un gamin non plus, du moins pas pour moi. Au bout de quelques minutes, Marie me rappelle et c'est les dents serrées pour taire une révolte grandissante que je vais à sa demande et à genoux jusqu'à ses pieds aux ongles roses vernis que je dois embrasser avec respect.

    Cela ne m'excite point mais j'accède à sa demande. Après tout, chacun ses fantasmes. Si au moins elle était en robe ou en jupe, je pourrais me rincer l'œil, pardon, apprécier du regard le triangle érogène et peut-être les lèvres délicates de son intimité sous le tissu brodé d'un joli slip féminin.

    Mon regard est attiré par ses mains qui se décident enfin à déboutonner son jean taille basse. Repoussé du pieds, je frémis de la tête aux pieds en la regardant retirer ce rempart aux plaisirs. La belle a omis de mettre une culotte, son triangle féminin est orné d'une généreuse pilosité qui masque à peine ses lèvres épanouies.

    Si je brûlais de découvrir son jardin secret et même de le déguster, je n'en ai pas le choix ! Sa main leste saisit mes cheveux et m'y plaque en même temps qu'elle se rassoit. Sans les mains pour me retenir ou jouer sur l'équilibre, emporté par le poids de mon corps je m'affale lamentablement au confluent de ses cuisses fuselées.

    Cet incident est vite réprimé par un soufflet derrière la tête et un « doucement » fermement prononcé. C'est avec plaisir que je vais lui accorder ce qu'elle désire, tant j'aime découvrir et déguster la fleur émotive au centre des pétales qui ne vont pas tarder à s'épanouir sous ma langue gourmande. Un léger parfum naturel chagrine mes narines mais le charme de l'instant et l'excitation me permettent de passer outre facilement.

    Quelques instants plus tard, alors que je me noie de plaisir dans ses goûteuses et généreuses sécrétions. Mon attention est attirée par ses mouvements. Je relève la tête et m'étonne de voir ses mains saisir son portable dans son sac.

    Une pensée angoissante me fait frémir. Et si j'étais tombé dans un piège ?

    - Que fais-tu qui appelles-tu ?

    - J'envois un texto pour fêter l'anniversaire de ma meilleure amie. Me répond Marie qui plaque d'une main mon visage sur son sexe et me bloque la tête de ses jambes posées sur mon dos.

    Complètement déconcerté et déçu du peu d'effet produit par mes câlines attentions, j'écoute donc les bips bips en léchant son minou soudain moins savoureux.

    Le texto adressé, Marie soulève ma tête et m'embrasse tendrement. Nos langues jouent une folle sarabande, ses mains s'égarent sur mon corps, caressent mes attributs et mes tétons qu'elle s'amuse à pincer sans méchanceté, simplement pour le plaisir. Délicieux !

    - Tu es une fine langue et je te donnerai peut-être ce que tu désires, mais en attendant je vais t'attacher pour pouvoir prendre une douche tranquille car dans l'état où tu es, tu pourrais avoir des malsaines pensées ! Me dit Marie en se levant.

    Convaincu de ses projets câlins à court terme, c'est donc sans aucune résistance que je la laisse lier mes chevilles aux pieds de la table de la salle à manger.

    Soudain, sa main serre mes bijoux de famille pour me forcer à tendre les fesses vers l'arrière pendant que de l'autre, poussant sur mon dos, elle m'invite à m'allonger sur le plateau froid de la table. Quelques claques appuyées s'abattent sur mes fesses pendant qu'elle continue de malaxer fermement mes attributs. Qui ne dit mot consent mais je sens bien que cette fille a une poigne certaine.

    Un féroce doigt inquisiteur, force mon étroit passage naturel sans aucune lubrification ni préparation câline. L'intrusion sauvage me fait gémir mais la belle n'en a que faire. Cette caresse aurait pu être voluptueuse mais ainsi pratiquée le plaisir n'est pas au rendez-vous.

    D'une main décidée, elle entreprend d'écarter davantage le sillon de mes fesses puis, sans crier gare, son index rejoint le majeur solitaire pour tyranniser mon anus qui aurait pu être gourmand si la pratique avait été moins brutale.

    A la troisième phalange curieuse, je ne peux retenir un cri de douleur. Un sentiment de révolte me pousse à rompre le charme de l'instant, pour lui lancer un peu rageur, qu'un brin de lubrification ne nuirait pas.

    - Et ça se dit maso ! Tant de gémissements pour quelques doigts. Bon, nous allons passer à autre chose ! Dit-elle en retirant toujours sans précaution, ses phalanges de mon anus douloureusement révolté.

    Sur la table du salon, Marie saisie un gode ceinture. Là je commence à imaginer des choses, mais elle me le fourre de force dans la bouche en m'ordonnant de bien le lubrifier. La saveur du plastique n'est pas à mon goût et son regard brillant de méchanceté m'affole un peu.

    Lorsqu'elle le retire des lèvres pour faire le tour de la table, je l'implore d'aller doucement car je suis entré dans son jeu, pour le meilleur, pas trop pour le pire.

    - On va faire mieux que ça, ne t'inquiète pas. On va te faire vivre d'intenses moments SM ! Me répond Marie en pouffant.

    Les deux « on » provoquent en moi un réel sentiment d'inquiétude. Le gode ceinture est peut-être pour elle, un compagnon de jeu du moins je l'espère. Au contact du phallus de plastique entre mes fesses offertes à sa tyrannie, je me soumets donc à ses intentions sodomites en me cambrant pour en faciliter l'introduction.

    En guise de prélude, elle force fortement mes sphincters lorsqu'elle sent l'anneau de chair éclore sous le gland et enfonce l'intrus dans mes reins d'un seul trait avec le strict minimum de précautions. Simplement avec ma salive en guise de lubrifiant, c'est plutôt douloureux. Plutôt que d'attendre quelques instants pour laisser le temps à l'hôte de s'habituer, Marie le bloque et se sert des sangles pour le fixer en l'enfonçant plus profondément encore.

    Si je voulais du SM, je commence à me dire que je vais être servi quand je vois la belle saisir deux cordes et le couteau que je laisse avec mes accessoires pour pouvoir couper un lien en cas d'urgence. Vue la douceur des évènements précédents, j'ai peur, je l'avoue.

    La belle s'agenouille pour libérer une de mes chevilles, y enroule la corde et fait un nœud sévère. En laissant un peu de mou, elle reproduit le lien sur mon autre cheville avant de la libérer du pied de la table. L'excès de corde est coupé créant ainsi des entraves qui m'interdiront de donner des coups de pieds mais en me permettant de marcher à petit pas. Ces précautions m'affolent.

    - Que fais-tu ? Que me réserves-tu comme tendres attentions ?

    - Surprise, surprise ! Me répond Marie en me faisant tourner sur moi-même pour enrouler la deuxième corde à la racine de mes attributs avant de clore le tout par un double nœud enserrant mes testicules rapidement et douloureusement serrés.

    C'est donc à petits pas, les bras liés dans le dos douloureusement remontés vers ma nuque, que je suis Marie qui me tire par la corde liée à mes coucougnettes révoltées jusqu'à la salle de bain. A chaque pas, l'engin sec irrite mon fondement.

    C'est la première fois, que je vais si loin dans mon fantasme. Dépassé par les évènements, débout et attaché par les C... aux robinets du lavabo, je contemple la délicieuse qui se dévêt complètement pour s'enfermer trop rapidement à mon goût dans la cabine de douche. La paroi opaque motive mon voyeurisme vite réprimé par les effets du gonflement certain qui se répercute sur ta pression exercée sur mes testicules affolés.

    Quelques minutes plus tard, le charme de son corps en une silhouette troublée par la vitre embuée, est soudain rompu dans la sonnette qui me fait bondir. Marie coupe l'eau et sort rapidement pour prendre mon peignoir en me disant : « c'est ma copine Nelly » !

    - Tu aurais du m'en parler et me demander mon avis pour inviter quelqu'un chez moi ! Détache-moi, je ne joue plus !

    - Oh mon chou, tu sais que tu es mignon quand tu es en colère. Ecoute, tu ne vas pas me faire un vélo pour si peu et puis tu verras, elle est géniale ! Me lance Marie en quittant la salle de bain.

    - Tu fais chier, libère-moi ou je vais faire un malheur !

    Fou de rage je tire sur les bracelets de mes poignets et mon cou pour me libérer mais en vain car la corde rajoutée par là belle me bloque totalement. Je m'entends hurler que je vais la massacrer quand elle va me libérer puis me dis aussitôt, que je viens peut-être de dire une grosse connerie !

    Le bruit de la porte d'entrée et les voix des filles provoquent en moi un frisson d'appréhension, quelques gouttes de sueurs froides coulent dans mon dos.

    Ces garces prennent le temps, le temps ... de quoi ? Après tout, je n'en sais rien. Peut-être sont-elles en train de me cambrioler ou de saccager mon appartement. Putain con ! Je me suis mis dans la merde. Je sens monter en moi un mélange explosif fait de honte, de lassitude, de peur et d'agressivité extrême. Le sablier du temps doit être couché. Les minutes qui s'égrainent lentement sont un martyr supplémentaire, mon avenir immédiat prend soudain des allures dramatiques.

    Marie entre la clope au bec dans la salle de bain pour délier la corde qui me maintient par les couilles aux robinets du lavabo.

    - Libère-moi s'il te plaît !

    - Pas tout de suite, je vais d'abord te présenter ma copine ! Me répond Marie en me tirant vers le couloir.

    Je tente de m'opposer à sa volonté mais la traction de la corde sur mes testicules érode rapidement ma résistance. Je finis donc par la suivre à petits pas tel un condamné dans le couloir de la mort, décomposé, tremblant comme une feuille avec la gorge sèche.

    Dans un tourbillon de sentiments de honte et de désespoir, les jambes en coton et en ravalant ce qu'il me reste de fierté, j'entre dans le salon en offrant la vision de mon corps nu et entravé à une fille rousse vautrée dans mon fauteuil.

    - Il a un peu de ventre mais il est mignon le bougre ! Lance la rousse amusée par mon malaise et le ridicule de la situation.

    Toutes mes demandes de libération restent vaines, pire, elles se foutent carrément de ma gueule en buvant mon champagne. J'en hurlerais de rage. La greluche en question daigne se lever et me tripote les attributs sans vergogne en me traitant de gros pervers. Je suis pris d'une envie de meurtre. Marie, que je déteste maintenant, se colle contre mon dos et de ses doigts agiles titille mes tétons en mordillant mon oreille.

    La rousse, dans un élan de compassion, libère mon sexe de sa corde puis enroule ses doigts frais autour de ma verge pour exercer de doux mouvements masturbatoires. Sa main gauche, toute aussi fraîche, caresse mon épaule, glisse derrière ma nuque.

    Attirant mon visage vers le sien, elle dépose de petits baisers sur mes lèvres étonnées. Son baiser devient gourmand et se prolonge. Nos langues commencent à jouer, dans un même temps elle malaxe ma verge avec un peu de fermeté. Marie agace mes seins. Nelly caresse mes fesses d'une main puis appuie sur le god toujours en mon fondement. Entre leurs mains, je suis en perdition.

    Je me plaisais à fantasmer d'être sans défense au milieu d'un groupe de femmes en chaleur, d'être goûté par de multiples bouches avides, que leurs mains courent sur mon corps mais le fait d'avoir été piégé et la peur de l'inconnu gâche mon plaisir.
    ......
    ...........
    ...............
    Finalement, être immobilisé et offert à la merci de ces filles qui me font l'amour, déclenche en moi de troubles sensations. Quelque chose de pervers anime de nouveau mon bas ventre !

    Marie caresse à son tour ma verge tendue à tout rompre.

    - Ben mon salaud, pour quelqu'un qui voulait me massacrer, ton érection démontre que tu changes d'avis rapidement ! Lance Marie moqueuse.

    Et de mon nuage des plaisirs, je m'entends lui répondre « Salope » !

    Une douleur traverse aussitôt mes reins. Le coup de genou qu'elle vient de donner dans mes fesses toujours comblées, a repoussé profondément et subitement le phallus de plastique qui colle aux parois de ma rondelle plissée. La douleur et la surprise m'arrachent un cri. Un deuxième coup plus violent encore s'abat sur ma fesse gauche. Si je n'avais pas pivoté un peu, cette folle m'aurait blessé.

    Comprenant que le mot « salope » l'a vexée, je m'en excuse en tentant de lui expliquer que je ne voulais pas la blesser. Mais hélas, la belle ne décolère pas. En guise de réponse à mes plus plates excuses, Marie va vers les accessoires des plaisirs éparpillés, saisit le martinet et revient vers moi en arborant un sourire sans équivoque.

    Son visage pointu et son petit nez lui donne un petit air félin ravissant mais son regard brillant et empli d'un désir de vengeance sauvage, me fait carrément peur !

    Pendant un instant, l'envie de pleurer monte en moi suivi aussitôt d'un violent sentiment de révolte contre cette fille qui m'a piégé et me domine sans que je sache réellement ses intentions à long terme. En même temps, nu, débout dans le salon avec les bras entravés dans le dos devant ces deux filles, je me sens ridicule, écrasé de honte.

    - Aller, ouste petit morveux, va te coucher sur le dossier du canapé et prépare ton matricule !

    Cet ordre, Marie l'a donné avec une voix calme pleine de promesses de volupté et de sensualité en caressant d'une main douce le galbe de mes fesses. Joue t'elle ? Que désire-t-elle réellement ?

    La situation est invivable, je veux savoir à quel cauchemar je dois me préparer. Je veux savoir. Je veux savoir. Je veux savoir. Avalant difficilement ma salive, j'hésite un instant, avant de ma lancer le cœur serré.

    - Allez-vous me massacrez et me cambrioler en partant, ou puis-je espérer un instant câlin après votre savant jeu de domination cruelle et humiliante ?

    Les filles se regardent et se taisent. Le silence est lourd, puis effrayant.

    - Non ! Ton fric ne m'intéresse pas et en tant qu'homme tu ne m'intéresses que si tu fais mes quatre volontés. Tu me plais si tu es mon esclave, ma chose, si je peux t'exhiber, te salir, te dominer et te faire souffrir ! Me répond Marie en me toisant.

    - Tu nous prends pour quoi petit con ? S'énerve Nelly. Tu avais raison dans ton texto, il a besoin d'être éduqué celui-là ! Ecoute, on va te donner une bonne leçon, mais rassure-toi demain il ne manquera rien chez toi et tu seras entier !

    Les voir vexées de ma question me soulage un peu, mais le doute subsiste, la trouille également.

    - Ne vous fâchez pas les filles, mais sache Marie, que ton jeu de dominatrice se rapproche d'un viol et je ne connaissais rien de tes intentions !

    - Il est pas beau lui ? Attend du con, tu m'as fait de savants discours sur l'attrait de l'inconnu dans les situations BDSM. Tu t'es dépoilé tout seul et tu t'es passé le collier autour du cou comme un grand !

    - On le plante là et on se casse ? Demande la fausse rousse prudente.

    ???????????????????????? @@@@@@@@@@@ ???????????????????????

    - Non ! On reste pour éduquer le macho ! Tu voulais SM, tu vas avoir SM ! Me lance Marie en m'attrapant par les cheveux pour me tirer vers le canapé.

    M'offrir corps et âme à deux femme inconnues ou presque était un de mes fantasmes, mais passer du rêve à la réalité de la sorte est tout de même difficile à vivre.

    A genoux dans le canapé, le buste dans le vide par-dessus le dossier, je me sens tout drôle quand Marie debout bloque ma tête entre ses cuisses. Ma peur se mélange également à une trouble sensation. Alors que les lanières s'abattent sur mes reins, devant mes yeux passent les jambes de Nelly qui semble se rendre à la cuisine.

    Le martinet étant un accessoire de supermarché, la douleur est modérée malgré la violence des coups assénés avec conviction. Mes fesses chauffent un peu et je commence à apprécier la multitude de picotements savoureux de mon épiderme.

    Entre mes paupières apparaît soudain une tête rousse souriante.

    - C'est pour qui ça ?

    Nelly agite devant mes yeux une écumoire et une spatule en bois ! A la vue des accessoires culinaires et de son sourire pervers, un frisson d'angoisse me fait frémir. Je gigote, proteste mais rien n'y fait. Le plat de la spatule rejoint les lanières puis, comme dans une danse bien rythmée, passe son tour à l'écumoire. Le souffle coupé par la douleur intense qui me traverse les reins, je serre les dents.

    Nelly ouvre les liens du gode et le retire de mon petit anneau martyrisé. Elles frappent en cadence mes fesses agitées de soubresauts qui ondulent de droite à gauche, dans une tentative de fuite dérisoire. Les lanières atteignent par trois fois mon petit orifice m'arrachant des gémissements à peine étouffés. Abandonnant toute fierté, je rue maintenant de douleurs en criant : « Je vous en prie, ça me fait trop mal... Non .....j'ai trop mal. Arrêtez s'il vous plaît !

    Devant mes cris perçants et peut-être la couleur de mes fesses, les filles cessent de rudoyer mes rondeurs. Libéré des cuisses musclées de Marie, ma tête est aussitôt tirée par mes cheveux saisis dans sa poigne ferme et décidée. Traîné comme un malpropre, je me retrouve à genoux devant le fauteuil face à son triangle érogène largement exposé par ses jambes impudiquement écartées.

    - Lèche-moi ! Lance Marie en ouvrant totalement son peignoir .

    L'ordre impératif et la vue imprenable m'électrisent et me font l'effet d'un électrochoc. Peut-être allons-nous enfin câliner. Lorsque mes lèvres entrent en contact avec les parois trempées de l'intimité féminine exposée, je suis passablement ému de m'exhiber devant sa copine dans cet acte tendre et pourtant commun.

    Pendant que je me délecte de l'écrin de velours tout émoustillé, la main de Nelly triture ma verge comme pour la traire. Mes lèvres emprisonnent la fleur émotive au centre des pétales épanouis. J'aspire légèrement pour faire jaillir l'ergot sensible jusqu'à présent épargné pour le lutiner à son tour.

    La belle sauvageonne se cambre et laisse échapper un gémissement qui charme mes oreilles. Bien décidé à la conquérir de mes tendres attentions, j'alterne les baisers attentifs du bourgeon sensible avec une langue exploratrice qui joue également l'inquisitrice à la porte du puits d'amour. Le charme de cet instant magique est soudain rompu par Nelly.

    - Je me suis toujours demandée ce que ça fait de prendre un homme.

    - Fais-lui ce que tu veux, mais je veux qu'il continue à me bisouiller.

    La rousse abandonne mes attributs, quel dommage, pour s'en aller fouiller dans mes accessoires. C'est en la voyant pouffer de rire lorsqu'elle s'harnache d'un gode-ceinture par-dessus son jean, que dans un éclair de lucidité je lui lance que sans lubrifiant cela ne marche pas. Par chance, Marie ne relève pas et Nelly prend le tube de Vaseline.

    S'agenouillant entre ses jambes pour me contraindre à les garder ouvertes, elle fait couler une grosse quantité de lubrifiant froid entre mes fesses mais sans aucune considération pour mon tapis d'orient qui en récolte l'excès.

    Le gland en plastique froid effleure ma délicate rondelle mais je ne cherche pas à fuir l'inévitable intention. Au contraire, avec l'expérience de ce type de plaisir, je me cambre et « pousse » quand l'objet gras et froid distant mon petit anneau récemment martyrisé. La garce, me saisit par les flancs en poussant d'un grand coup de reins brutal. Mes sphincters forcés comme enflamés, se contractent douloureusement sur le gode froid. Les premiers mouvements sont horribles et la souffrance difficilement supportable.

    Je râle et tente de me soustraire à la sauvage pénétration. Marie, par pitié ou par intérêt, demande à sa copine d'aller plus doucement en me recommandant de me laisser faire sous peine de représailles puis en forçant mon visage entre ses jambes pour que je reprenne mon office.

    Quelques instants plus tard, les vas et vient usent la résistance de mon étroit orifice qui finit par se décontracter un brin. Marie, sous ma langue gourmande, soupire en ondulant du bassin. Je me sens abusé, violé mais pourtant troublé.

    Dans mes reins, la douleur du début fait place à un feu entretenu tandis qu'une marée de bonheur emplit l'intimité de la fille qui se cambre sous ma langue. Quel plaisir que de l'entendre feuler, râler, soupirer. J'avoue m'enivrer des fragrances de l'amour et des mouvements de cette fille qui s'offre à moi sans retenue.

    Elle gémie, respire bruyamment, se crispe, se détend, s'abandonne, relève sa tête, la laisse retomber et se met à crier son plaisir. Râles et spasmes s'enchaînent. Repue de luxure, Marie m'attire contre elle en me serrant tendrement dans ses bras.

    Ce geste m'a libéré dieu merci de Nelly et de son expérience masculine des plus rudes. Le contact avec le corps doux et chaud de Marie éveille mes sens. L'instant est magique, la tête calée contre sa poitrine je me laisse aller à son étreinte câline. Si j'étais un chat, je ronronnerais.

    Sans être de race féline, mes instincts de chasseur me poussent à l'aventure. Un petit mouvement de tête met à la porté de mes lèvres avides, une tétine rose pointant fièrement au milieu d'une auréole brune qui contraste bien avec sa peau légèrement hâlée.

    Une caresse en appelant une autre, nous commençons à câliner mais hélas, la belle ne semble toujours pas décidée à rendre leur usage à mes mains ankylosées. Ses doigts taquins jouent les explorateurs comme attirés par mes organes génitaux qui ne demandent qu'à proposer leurs services. Sa main abandonne ma verge tendue pour plonger à nouveau dans son sac à main.

    Là, j'ai très peur !

    Je suis particulièrement soulagé, pour ne pas dire aux anges, de la voir en sortir un carré rouge qu'elle déchire pour en extraire un préservatif, geste qui représente le prélude du souhait qui sommeille en moi depuis notre première rencontre.

    Mon désir recouvert de son petit chapeau, je suis conduit d'une façon surprenante par la main qui n'a pas lâché mes attributs jusqu'à la table du salon. L'exquise délicatesse de Marie se dévoile totalement dans sa manière de déplacer les accessoires érotiques qui encombrent la table ! D'un revers de main, elle balaye le plateau de bois vernis et jette tout par terre.

    C'est un véritable moment de bonheur que de la voir se courber, offrant à mon regard envieux sa chute de reins cambrée en dévoilant le cœur de cible qu'il va mettre difficile d'atteindre sans une aide extérieure puisque Popaul pointe vers le plafond et qu'elle s'allonge sur la table en tendant les fesses.

    Dans son indicible bonté, la belle saisit à mon approche ma verge dressée pour la guider vers son intimité humide, chaude et particulièrement accueillante. La délicieuse pénétration guidée est gâchée par deux choses : les liens de mes poignets frémissants et une demande faite à Nelly.

    - Prend-le encore avec ton truc, sinon il va craquer tout de suite !

    La rousse, vêtue de son jean maintenant taché de lubrifiant à l'entre jambes toujours équipé du gode ceinture, écrase sa cigarette roulée et au contenu douteux puis s'approche de nous les yeux flous.

    Mes mouvements savoureusement délicieux dans le fourreau intime de la belle sont perturbés par l'introduction douloureuse de cet objet que présentement je ressens comme un corps étranger dont je me serai bien passé. Ne comprenant pas cet acharnement contre mon cul en feu suite aux martyrs qui lui ont déjà été imposés, j'essaie de me concentrer sur la belle qu'il me convient d'honorer dignement.

    Cet acte charnel longtemps désiré, n'est pas des plus facile pour moi étant réellement perturbé par sa copine « machotisée ».

    - Allez bouge !

    Pour me convaincre, ou me montrer le chemin, les mains de Nelly posées sur mes hanches m'attirent et me repoussent vers sa complice de mon martyr érotique. Marie et Nelly prennent le contrôle de mon corps et en font maintenant ce qu'elles veulent.

    L'une me tient d'une main par les bijoux de famille et se caresse pendant que je la prends, l'autre traumatise mon fondement échauffé en titillant mes tétons exacerbés ou en claquant mes fesses suivant ses aspirations.

    J'ai mal au croupion mais dans le même temps, une vague inouïe d'excitation me submerge. Des mouches passent devant mes yeux, une impérieuse envie monte en moi, je suis outrageusement satisfait de l'instant, du moins côté face.

    Dans un plaisir d'un nouveau genre, la soumission à ces femmes me transporte. Je ne suis plus moi-même mais un esclave consentant qui cherche le coït et la sodomie, totalement pris dans un délice inédit qui restera une énigme bien après cette aventure.

    Elles m'ont tellement excité, que les claques sur mes fesses galvanisent mes ardeurs. Je fornique comme un animal en rut. Ma jouissance arrive soudain, fait de souffrances et de plaisirs, mais aussi motivé par le ahanement des louves l'une forçant mes reins profondément, l'autre m'accueillant profondément aussi.

    C'est un moment de délire total, le plaisir à son extrême, Cela fait mal, mais mon dieu que c'est bon ! L'extase ressentie est telle que j'ai l'impression de basculer dans un autre univers. En fait, je me rends compte quelques instants plus tard, que j'ai effectivement « basculé » en m'écroulant sur Marie qui tente de me repousser pour se dégager.
    ....................................

    4 HEURES s'affiche à l'écran de mon lecteur de K7 vidéo

    Allongé sur le sol, je fulmine de rage.

    Ces garces m'ont fait boire du champagne dans une coupelle posée à même le sol en faisant des photos de ma déchéance puis contraint de lécher leurs mains pleines du sperme recueilli dans le préservatif. Pour me débarrasser du goût, je laperai bien le fond de champagne mais je ne le peux point car avant de partir, elles m'ont ligoté autrement en prenant un maximum de précautions.

    Mes pieds joints par une corde sont reliés à mes testicules m'obligeant ainsi à garder les jambes pliées. Mes poignets menottés sont maintenus sur mes reins, attachée par une corde à mes attributs. Elle passe entre mes fesses et irrite mon anus à chacun de mes mouvements. Cette garce de Nelly a trouvé amusant de fixer à mes seins des pinces que je n'arrive pas à retirer pour cause de mouvements limités.

    Ma libération est programmée par un gros glaçon que mes doigts glacés manipulent depuis un long moment afin de libérer les clés du « ice-timer » réalisé par la Marie particulièrement organisée et calculatrice. (Sal...... Elle avait tout prévu).

    Mon cou est libre de tous liens et ma sécurité n'est pas menacée, mais je les déteste même si elles ne m'ont rien volé ou cassé ! J'ai mal partout, j'ai été humilié et me tortille maintenant à même le sol comme un vers de terre pour ouvrir, à l'aveugle, la serrure de ces p....de menottes.

    4 HEURES 30

    Finalement libéré des liens et cordes puis de ces fichues pinces qui m'ont fait un mal de chien lors de leur retrait, je me précipite aux toilettes pour un besoin dès plus urgent. Assis sur mon trône, les paroles de la chanson de Renaud me viennent à l'esprit « Et le roi des cons sur son trône... »

    Dans la position du penseur, je médite et me pose une foule de questions. Que vont-elles faire des photos ? Vont-elles essayer de me faire chanter ? J'imagine avec horreur les photos sur Internet !

    Et dire que lorsqu'elles sont parties, elles m'ont dit « à bientôt » !

    Alors que je m'apprête pour une douche salvatrice, mon portable sonne. Nu comme un vers, je me précipite. A cette heure là, c'est Marie ou c'est pour m'annoncer un drame.

    - Allo !

    - Ah, tu t'es libéré ! Ca va ? Tu te remets de tes émotions câlines ?

    - On dira que ça peut aller ! Qu'allez-vous faire des photos ? Et si je ne m'étais pas libéré, qu'auriez-vous fait ?

    - Je serai revenue. Ah j'oubliais, Nelly qui brûle de te revoir t'a emprunté un CD et tes clés sont sous le paillasson. Bisous ! Bip, bip, bip

    Les garces !

    TSM




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