• Patrick

    AUTEUR : TSM


    ATTENTION, le sujet abordé par ce texte est violent et aborde la vie très particulière d'un malade mental.


    ************************

    Laurie est loin d'imaginer qu'elle vient de se confier à un fou. Un véritable fou, un malade mental extrêmement dangereux, car son intelligence lui permet de raisonner pour vivre sa folie.


    Petite et frêle affichant avec grâce ses 19 printemps, Laurie est jolie, intelligente, pauvre et sans famille. Issue de la D.A.S.S, elle n'a connu qu'une vie misérable, habitée du souvenir d'une famille disparue lorsqu'elle n'avait que six ans. Vivant de petits boulots, mais aujourd'hui au chômage, le connard de patron du bistro où elle était serveuse ayant essayé hier, après la fermeture, de la coincer dans les toilettes. Laurie a pu lui échapper d'un coup de genou dans ses précieuses ridicules, perdant du même coup son emploi.

    Assise à la terrasse d'une brasserie, elle se confie à Patrick, un homme charmant qui l'écoute attentivement, sans jamais la couper. Profitant de cette oreille attentive à son désespoir, elle se laisse aller en confessions. Cela fait tellement de bien de vider son cœur de temps en temps.

    Il est lui aussi de la DASS. Mise en confiance, elle accepte sa proposition de la reconduire chez elle. Elle est même flattée quand, grand seigneur, il lui ouvre la portière comme on le ferait à une princesse. Son cœur résonne de l'émoi que déclenche ce quidam alors qu'elle s'assied avec le plus de grâce dont elle est capable, dans le riche cuir du véhicule sport. Un violent coup sur la tempe la plonge dans l'inconscience en plein cœur de son rêve.

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    Elle reprend conscience.

    Quelque chose gêne sa langue, elle a mal à la tête, ses bras et ses jambes sont immobilisés. Laurie reprend conscience lentement puis ouvre les yeux sur l'horreur absolue. Ce qui gêne sa langue, c'est une sucette de bébé maintenue dans sa bouche par un élastique qui fait le tour de sa tête, elle est nue, hormis une couche ! ! ! ! Ses bras et ses jambes sont liés aux barreaux d'un lit, un nounours en peluche est posé contre son cou !

    Dans un premier temps, elle se croit encore endormie et en plein cauchemar, avant de réaliser qu'elle est bien réveillée et que c'est bien un cauchemar qu'elle est en train de vivre. Elle recrache la sucette et se met à hurler des « au secours » désespérés en tirant sur ses liens comme une furie, mais en vain. Patrick entre dans la chambre d'enfant aux murs recouverts de papier peint rose orné de divers motifs représentant les personnages de Disney. Il sourit et tient dans sa main un biberon !

    Laurie explose dans une avalanche verbale faite de cris, d'insultes, d'ordres de libération et de menaces, mais il reste calme et souriant, placide. Cette quiétude horripile Laurie qui s'essouffle et pleure en se démenant contre les entraves. Il s'assoie près d'elle pour caresser son visage ruisselant de larmes d'un doigt léger qui se veut apaisant.

    - Chut, calme-toi, tonton est là et va bien s'occuper de toi !

    - Mais vous êtes fou, libérez-moi de suite ou je vais ....

    - Ou tu vas quoi ? Tu vas rien du tout, tu vas prendre ton biberon comme une grande fille, cela ira mieux après.

    - Allez vous faire foutre espèce de taré ! Hurle Laurie en détournant la tête pour esquiver le biberon qui s'approche de sa bouche.

    Même si le rapport de forces qui s'engage est inégal, les mains de Patrick qui déforment les joues du visage crispé pour faire ouvrir les mâchoires serrées ne parviennent pas à lui faire prendre en bouche la tétine qui commence à goutter.

    - Grosse vilaine, tu vas être punie ! Explose Patrick en posant le biberon sur la table de nuit avant d'ouvrir son tiroir pour en extraire un martinet qui n'a rien d'un martinet d'enfant.

    A sa vue, Laurie se met à hurler mais cela n'arrête pas Patrick dans ses intentions punitives. Il arme son bras puis entreprend de flageller les cuisses agitées de la captive criant sa douleur et son désespoir. Lorsqu'il se met à fouetter sa poitrine aux jolis seins en forme de poire, les ruades de souffrance sont telles, que le bruit du lit qui grince en ripant sur le carrelage est largement couvert par les cris inhumains.

    La correction ne voit son terme que lorsque la peau est uniformément bien rougie, signe pour Patrick que la punition est bonne. Pleinement satisfait, il range le martinet dans son tiroir et reprend son biberon pour s'asseoir près de sa victime à la peau écarlate.

    - Moi, j'aime les enfants, mais il y a toujours un parent qui le cherche et c'est chiant. Par contre toi, tu es seule et sans famille, alors tu vas jouer la petite fille pour moi. Je serai ton tonton et tu seras bon gros bébé. Tu es d'accord hein ? Tu vas boire mon biberon ?

    Après la raclée qu'elle vient de prendre, Laurie est d'accord avec tout, pourvu qu'il ne la frappe plus, pour gagner du temps aussi et reculer l'échéance fatale, parce qu'elle est maintenant convaincue que ce malade mental va la tuer après avoir fini le jouer à la poupée avec elle.

    Entre ses lèvres, la tétine trouve sa place sans résistance, les tremblements nerveux de ses mâchoires l'aident à faire couler le lait chocolaté et un anxiolytique puissant pour l'aider à assumer sa nouvelle vie de bébé. Patrick s'est étendu contre elle, il passe son bras sous la petite tête blonde puis la regarde téter en déposant des baisers sur les joues rouges de honte et mouillées de larmes. Le contact physique avec le visage chaud de son bourreau la répugne. Elle n'a de cesse que de mâchouiller la tétine pour mettre un terme au plus vite avec cette infamie.

    Le biberon terminé, il le dépose sur l'oreiller puis glisse la main sur son ventre pour la faire passer dans la couche qui protège encore sa pudeur en se serrant contre elle pour la dorloter un peu.

    - Non ! Arrêtez s'il vous plait. Pas ça. Pitié, libérez-moi.

    - Oh ! Tu es toute mouillée. Tu vois que tu es encore un gros bébé et que j'ai bien fait de te langer tout à l'heure. Rassure-toi, je vais te laver et t'en mettre une propre.

    Dans la tête de Laurie, l'horreur s'installe. Le débile mental farfouille dans sa couche pisseuse en se délectant semble t-il des poils de son pubis mouillé de ses urines tout en la touchant entre les jambes. Oh mon dieu, c'est ignoble !

    Même si elle s'est laissée aller quand il l'a battue comme un damné, elle ne veut pas être lavée par cet être abjecte, ce rebus de la société.
    NON elle ne veut pas qu'il la voit nue, qu'il la touche, elle veut vivre loin de lui. Elle veut partir loin de cette folie.

    Autour de son cou de jeune fille, il passe un horrible collier d'acier noir qu'il referme avec un cadenas avant de détacher ses poignets un par un qu'il entrave de force aux bracelets de cuir. L'emblématique de sa nouvelle condition lui saute aux yeux : elle est le bébé esclave d'un débile mental !

    Les jambes déliées, tenue d'une main ferme, elle marche avec ce truc qui frotte et pendouille entre les cuisses mais protège encore son intimité. Ils arrivent dans une salle de bain morbide, faite d'un lavabo, d'un bac à douche sans rideau et d'un miroir qui lui renvoie l'image de sa déchéance. Complètement désespérée, elle entre dans la douche puis le regarde lui retirer la couche humide de sa peur, mais aussi l'ultime protection de sa pudeur. Le jet d'eau est réglé, il mouille son corps puis se munit d'un gant qu'il savonne pour la laver comme un enfant, sauf qu'elle n'est plus un enfant !

    Ses yeux ruissellent de désespoir et de honte, quand il insiste entre ses jambes, entre ses fesses comme si elle était encore un bébé alors qu'elle est à l'aube d'une vie déjà bien difficile et cruelle dont la fin semble proche et devient un véritable enfer.

    Laurie meurt de froid quand il la sèche avec une serviette, sa peau de pêche n'est plus que chair de poule. Il s'assoie sur un vieille chaise de bois puis l'attire à lui. Assise sur ses genoux, elle regarde la main pileuse qui la sèche puis qui s'attarde aussi sur ses seins aux tétons en érection malgré eux. Les contrecoups de ce qu'elle a vécu emballent son cœur, il la serre dans ses bras et la berce.

    Pendant un instant, elle s'abandonne à lui, à sa chaleur et pose sa tête contre son épaule mais ce moment apaisant ne dure pas. La main s'aventure entre ses cuisses pour jouer un instant avec la toison de son pubis. Les poignets liés, elle ne peut que resserrer les jambes pour fuir la caresse perverse.

    - Je vais te faire un beau ventre bien lisse, tu seras plus jolie. Dit Patrick en la forçant à se lever.

    Debout dans la salle de bain, toute abasourdie, elle le regarde fouiller dans l'armoire à glace pour en extraire des ciseaux, de la mousse à raser et un rasoir. Laurie craque. Dans un premier temps, elle hurle un « non » puis se met à courir vers lui la tête en avant pour trouver un passage et fuir.

    Projeté contre la porte, Patrick s'écroule et heurte le mur avec sa tête. Furieux, il bondit aussitôt après la vilaine en lui criant qu'elle mérite une fessée. La vilaine en question n'est pas d'accord et fuit, mais elle est vite rattrapée dans le couloir sombre, elle glisse de ses pieds mouillés avant de s'étaler sur le carrelage froid.

    Tel un requin, le faciès de l'homme qui s'approche n'a plus rien d'humain. Elle déglutie avec peine et le supplie de la laisser partir. La prenant à bras le corps, il la soulève de terre et la porte jusque dans le salon, insensible aux coups de pieds de Laurie qui se contorsionne pour tenter d'échapper à son étreinte.

    Il s'assoie sur une chaise et la couche sur ses genoux. Elle se sent serrée contre son corps par un véritable étau, une jambe bloque les siennes, les fesses offertes à son courroux, elle n'a plus aucune liberté de mouvement. Laurie n'arrive pas à concevoir ce qu'il va lui arriver, elle ne peut pas l'admettre. Elle se débat pour se délivrer, rendue hystérique par la main devenue caressante comme la brise prévenante qui annonce l'orage.

    Ce n'est pas une fessée, mais une bastonnade fessière. La main devenue battoir claque terriblement fort sur l'épiderme en laissant les traces d'une giroflée à cinq branches à chacun de ses passages. Les cris d'agonie de Laurie galvanisent ses ardeurs punitives. Il bande comme un taureau, ce petit corps chaud agité contre son sexe prisonnier dans un jean, génère des mouvements provocateurs de désirs qu'il conviendra d'assouvir sans trop tarder.

    De grosses larmes roulent sur les joues de Laurie, pendant que ses lèvres tremblantes laissent échapper de longs gémissements. Elle est épuisée de crier, de lutter et subit maintenant sans résistance. Pour Patrick, la couleur bleutée des charmantes rondeurs correspond à ses critères de bonne fessée. Il s'est fixé une échelle d'indicateurs pédagogiques dans ses corrections, rouge devant, bleuté derrière mais pas plus, parce qu'après la peau éclate et c'est moche.

    Cette torture au-delà du supportable physiquement la fait sombrer dans une forme de léthargie. Immobile et choquée, elle ne réagit plus quand les doigts apaisants caressent ses formes brûlantes avant de s'insinuer entre ses cuisses pour venir visiter son intimité. Portée sur la table pour y être étendue sur le dos jambes écartées, elle n'a même plus honte du spectacle qu'offre sa fente béante dévoilant sans pudeur son puits des amours.

    Abandonnée un instant, Laurie ne bouge plus, stoïque, elle attend la suite de ses tourments en plongeant dans le gouffre psychologique de la déchéance imposée.

    *

    Paul regarde son doberman. Il a encore sauté la clôture et s'amuse dans le jardin du voisin. Loin de s'offusquer et de rappeler son chien, il se complait à imaginer la tête de Patrick quand il verra son nouveau massif détruit par un animal errant. Il n'aime pas le locataire du pavillon contigu au sien. Il le trouve impoli, débile et ne s'explique pas pourquoi il n'ouvre jamais ses volets et plante des massifs de roses la nuit !

    C'est le troisième qu'il voit pousser ainsi au milieu de la pelouse jamais arrosée ni tondue depuis qu'il s'est installé il y a six mois. Cette incohérence chagrine la logique.


    *

    Il l'a rasée, talquée puis lui a passé une grosse couche culotte. Elle n'a pas résistée, ni émis la moindre objection comme si sa voix s'en était allée avec sa pilosité. Avant de la coucher avec l'éternelle sucette de bébé, il l'a prise sur ses genoux pour lui donner un deuxième biberon de lait chocolaté agrémenté d'un somnifère et d'anxiolytiques.

    *
    Le lendemain

    Laurie est désespérée mais particulièrement vaseuse. Dans sa tête un songe étrange mine sa pensée embrumée. Cela est très confus, mais elle garde le souvenir d'avoir embrassé quelqu'un cette nuit et d'avoir apprécié des mains câlines. Cela ne peut être qu'un rêve lui crie sa volonté. Je ne peux pas avoir embrassé ce débile mental !

    La porte s'ouvre soudain pour laisser passer Patrick encore en pyjama mais avec un biberon à la main.

    - Ca va bébé ?

    - Je ne me sens pas bien et j'ai envie d'aller aux toilettes ! Répond Laurie après avoir craché sa sucette.

    - Il faut d'abord que je te donne ton biberon. Après, je te ferai voir où est le pot. C'est bien, tu grandis vite.

    Le monstre s'étend sur le lit, caresse son visage et ses seins en déposant une kyrielle de baisers sur la figure blême. Comble de l'horreur il lui murmure un « je t'aime » en la baisouillant du bout des lèvres. Tendrement enlacée, elle prend le biberon au lait narcotique en pleurant. Elle aimerait être comme ses larmes pour fuir son corps pendant qu'il mange délicatement son oreille gauche. Pour abréger ce lamentable contact, elle aspire comme une goulue sur la tétine, mais il la lui retire de temps en temps pour faire durer le plaisir.

    Le biberon bu, Laurie est levée, ses poignets sont entravés comme toujours derrière le collier d'acier qui ne la quitte plus. Patrick la guide vers la salle de bain maudite, lui retire sa couche puis l'invite à prendre place sur un seau qu'il appelle pot. Elle le supplie de la laisser, mais il refuse, c'est trop dangereux, elle pourrait tomber et se blesser. Uriner et déféquer devant lui est une étape humiliante supplémentaire qu'elle ne peut éviter, mais ce qui est horriblement dégradant c'est d'être essuyée.

    La douche ne lave rien de sa honte. Murée dans son silence, elle s'abandonne au gant puis à la serviette, l'honneur, la dignité et le respect sont comme sa liberté, réduits à néant. Ses jambes en coton longuement frottées la portent à peine, jusqu'au salon où il la guide pour les « soins obligatoires » d'après lui. Sur la table bancale, elle s'étend difficilement sur une grande serviette installée pour la préserver du froid du plateau de bois et lui offrir son intimité dans une monstrueuse position. Jambes écartées, cuisses repliées sur sa poitrine, elle s'attend maintenant à ce qu'il la viole, cela ne peut être autrement.

    Patrick n'en est pas encore à cette étape dans son processus diabolique qui la conduira à la mort, non, il veut reproduire les étapes d'une vie heureuse qu'on lui a volée. Il étale délicatement sur les cuisses frémissantes du lait de bébé, qu'il accompagne de ses gros doigts dans les moindres replis. L'index agile masse avec précaution les nymphes exposées puis entre les fesses avec insistance. Le petit anneau s'est affolé pour rien quand il y a déposé de la crème parfumée, non, il n'a pas l'intention de la forcer, enfin, pas encore.

    - Hum ! Tu sens si bon qu'on en mangerait ! Dit Patrick en souriant avant de déposer avec une joie perfide des baisers sur la vulve lisse et exposée.

    Il l'abandonne un instant et va quérir les accessoires indispensables pour assouvir sa folie, une couche, une jupe rouge à carreaux, une grande étoffe en coton rose, une boite de suppositoires à la glycérine. A la vue de l'ovule, Laurie fait des signes de la tête pour dire « non » mais les souvenirs cuisants de la veille lui rappellent que la résistance inutile lui a valu deux corrections d'une violence inouïe.

    Les jambes écartées et les cuisses ramenées sur la poitrine, son fondement attise les attentions câlines du pervers débile. Il s'abandonne en tendresses déplacées par de petits baisers bruyants sur la peau des fesses qui portent encore les stigmates de la bastonnade fessière. Par prévenance, il se met à humidifier l'anus peureusement contracté en léchant attentivement la zone située entre les deux hémisphères rebondis puis en titillant le petit anneau plissé de la pointe de la langue.

    Le contact froid provoque la contraction du sphincter mais cette résistance toute naturelle ne dure que le temps de le dire. Le colon de Laurie est rapidement investi de l'ovule accompagné dans les profondeurs par un index précautionneux ou curieux, arrachant un gémissement à la captive submergée de honte et en proie à une crise d'angoisse. La phalange installée, s'agite en de petits mouvements circulaires comme s'il y avait besoin de remuer après avoir inséré, pendant que les lèvres et la langue de Patrick chagrinent le clitoris peu motivé à sortir de son écrin ce qui est une très sage idée.

    En effet, pour Patrick, le bébé fille est bien une enfant, car si elle s'était mise à mouiller et à se trémousser sous sa langue en acquiescant, il aurait violée et étranglée sur le champ l'enfant devenue salope !

    Rassuré sur la moralité de sa captive, le débile mental se relève en arrachant sans plus de précaution l'index de l'étroit conduit qui aurait préféré plus de douceurs dans le retrait. C'est avec une grande satisfaction que Laurie le voit saisir une couche. Comme l'on peut s'en douter, il n'a point besoin d'user de la force pour enfiler la protection qui lui servira surtout à protéger son intimité. Ce dont ne se doute pas cette pauvre fille, c'est qu'aller dans le sens de son bourreau pour être épargnée sur l'instant ne sera pas toujours une bonne idée.

    Malgré le fait qu'elle est été invitée avec gentillesse à se relever, elle observe les faits et gestes de Patrick avec une boule d'angoisse sur l'estomac et le cœur battant d'appréhension. L'étoffe est savamment enroulée autour de son buste pour compresser sa poitrine et la jupe rouge à carreaux est enfilée autour de sa fine taille. Guidée par la nuque, elle prend place sur les genoux de son bourreau pour être longuement coiffée avec une grande attention ce qui lui permet d'apprécier toute la misère du lieu.

    Les chaises en pin dénotent avec la table en chêne et le buffet en teck des années soixante-dix, bien usé par le temps. Aux murs couverts de papier jauni, s'alignent des cadres avec des photos de famille, la vitre de certains étant fendue, aucun n'étant droit. La femme de ménage a du être congédiée il y a fort longtemps au vu de la poussière installée tout comme les « moutons » qui s'entassent au sol ça et là. Le mur face au canapé troué est dédié à une exposition réservée à un bébé, toujours le même, dont on peut voir la passion des parents désireux d'immortaliser chacun des premiers instants de leur trésor emmailloté.

    Laurie est prise d'un sentiment de tristesse pour cette famille éclatée ou disparue, puis, lorsqu'il entreprend de lui faire de couettes sur les côtés, se dit dans un instant d'amertume qu'il faudrait interdire à de tels malades mentaux de procréer.

    L'état psychologique de Patrick est particulièrement complexe. Il manque cruellement d'affection, d'en donner comme d'en recevoir, il vit avec une haine farouche pour les femmes tout en ayant besoin d'elles pour assouvir ses envies. Les prostitués sans aucun sentiment ne peuvent être une solution, le self-service n'a rien de sentimental, il éprouve une passion sans limites pour les enfants sans pour autant être pédophile.

    Il a très mal vécu la séparation difficile avec son ex femme. Tellement effrayé de perdre son enfant, il avait alors réagi avec violence et, dans un accès de colère plus fort que les autres, avait perdu son self contrôle et jeté au visage de son épouse une poêle d'huile bouillante avant de se barricader avec son bébé.

    Comble de détresse et pour parachever de construire le monstre qu'il a fini par devenir, en perdant son épouse, Patrick a définitivement perdu sa petite fille si essentielle à son équilibre déjà précaire. Il n'aura plus jamais l'occasion de retrouver sa famille, disparue à l'occasion de son internement en hôpital psychiatrique après cet incident.

    ****

    Ils sont installés dans le canapé devant la télévision qui diffuse des dessins animés comme tous les dimanches matins. Blottie malgré elle dans les bras de Patrick qui la berce comme un bébé, elle sombre dans une léthargie médicamenteuse et s'abandonne contre sa poitrine sous de tendres et sages caresses paternelles. Le flash publicitaire pour un film d'adolescents réactive la névrose en titillant les neurones malades.

    La bouche de Laurie est soudain investie par une langue répugnante pendant qu'une main jusqu'à présent simplement affectueuse s'insinue sous la jupe avec des intentions clairement affichées. Même si elle se doutait bien qu'à un moment ou un autre il la violerait, elle ne peut s'y résoudre et se contorsionne pour essayer d'échapper aux mains et aux lèvres avides.

    Ramenée à la raison par une pluie de gifles et de claques magistrales sur ses cuisses, qui arrachent à Laurie des cris et hurlements, elle se laisse embrasser à pleine bouche en pleurant à chaudes larmes terrassée de douleur et terrifiée par l'inévitable à venir. Repoussée manu militari, elle le voit avec horreur baisser son pantalon de pyjama pour un extraire une verge bandée.

    - Regarde ma jolie poupée, elle a envie de toi. Il va falloir être gentille et la prendre dans ta bouche pour lui faire des bisous. Oui de gros bisous parce que moi aussi j'ai droit aux bisous, dit Patrick avec un sourire malsain inscrit sur le visage en tenant Laurie, sous le menton, bien serrée, tête haute.

    Les larmes et suppliques n'altèrent en rien ses pulsions perverses. Il passe la main derrière sa nuque et la referme fortement comme s'il voulait lui broyer ses vertèbres cervicales en la guidant vers son sexe nauséabond. Laurie ne peut qu'abdiquer et prend dans sa bouche l'appendice en réprimant une nausée quand le gland fétide heurte sa luette.

    *

    Paul s'étonne de l'acharnement de son doberman à vouloir creuser le même massif depuis deux jours. Lorsqu'il le rappelle, une forme émergeant des roses attire son attention. Ne parvenant à définir clairement ce que cela peut être, il va quérir sa longue vue. Passionné d'astronomie, sa dernière acquisition lui permettrait sans problème de compter les pétales s'il en éprouvait l'envie. De la fenêtre de la chambre située au premier étage de sa maison, ce qu'il découvre par l'objectif justifie largement le fait qu'il s'assoie un instant sur le lit avant de dévaler quatre à quatre les escaliers pour appeler la police.

    - Le 17 j'écoute !

    - Un cadavre est enterré dans le jardin de mon voisin.

    - Si c'est une plaisanterie, vous risquez la prison monsieur.

    - Vous êtes con ou quoi ? Une main qui dépasse de terre vous semble une plaisanterie ?

    - Je vais prendre votre adresse et vous envoyer une patrouille, mais si elle se déplace pour rien, je vous collerai en plus un outrage à agent. Vous êtes monsieur .....


    Vingt minutes plus tard, deux inspecteurs se présentent au domicile de Paul. Il leur explique la situation et les conduit à sa longue vue toujours installée à la fenêtre. La réaction ne se fait pas attendre, un rapport est immédiatement fait au commissariat par radio. Il ne s'agit pas d'une plaisanterie !

    En attendant les équipes compétentes pour ce genre d'affaire, l'inspecteur Moiret fouine autour de la maison pendant que son collègue finit de restituer son petit déjeuner sur le trottoir de la rue. Toutes les portes et fenêtres sont fermées, il n'y a pas de voiture, la maison semble abandonnée.

    Par la fente d'un volet particulièrement endommagé, ce que découvre l'inspecteur Moiret dépasse l'entendement dans le monstrueux. Face à lui, une jeune fille en larmes, avec une sucette de bébé dans la bouche, est entravée sur un cheval à bascule qu'un homme d'une quarantaine d'années semble violer en s'amusant de la bascule qu'il agite par une corde passée autour du cou de sa victime qui doit s'étrangler au vue de la couleur de son visage.

    Devant l'urgence de la situation, il est hors de question d'attendre. L'inspecteur se précipite vers l'entrée du pavillon, tire trois balles dans la serrure, pousse la porte et s'engouffre à l'intérieur. La rencontre avec le pervers débile se fait dans le couloir qui mène à la chambre. L'inspecteur glisse sur une couche sale et s'étale sur le carrelage. Patrick se précipite sur l'intrus venu casser son rêve, avec la ferme intention de le massacrer avec son rasoir.

    L'inspecteur tire. La première balle dans l'épaule ralentit à peine le pervers, la deuxième tapisse le plafond de neurones malades, accompagnée d'une troisième inutile dans la logique de défense mais qui parachève le travail en repoussant le corps qui allait s'écrouler sur lui.

    Au moins, celui-là, on ne lui trouvera pas de circonstances atténuantes ! Dit son collègue en libérant Laurie de son carcan d'enfant avant de la prendre dans ses bras pour tenter de la consoler un peu, mais bien plus naturellement que Patrick.

    Fin d'une sombre histoire.





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  • La poste libération d'ABDL

    Pour tester son délire d'auto contrainte en couche, par 3 fois Paul s'était adressé des clés par la poste. En les mettant le matin avant la levée, il les avait reçues le lendemain en fin de mâtiné. Aujourd'hui, il le ferait une quatrième fois avec les clés du cadenas qui allait l'obliger à rester en couche. Le premier jour de ses congés qu'il voulait 100% érotique, le jeune homme âgé de 26 printemps se rendit donc à la poste de bonne heure pour s'adresser la fameuse enveloppe renforcée contenant la dite clé. Rien que de glisser l'enveloppe dans la boite, l'excita grandement !!!!

    Arrivé chez lui, il se confectionna une sévère épaisseur de couches en perçant la première, puis la seconde avant de mettre la troisième. L'idée était de s'assurer d'avoir assez de protections absorbantes pour ne pas « fuir ». Par-dessus, il passa sa culotte en plastique de contrainte équipée d'une chaîne en guise de ceinture. En la cadenassant, il eut le sentiment très jouissif qu'il allait vivre une aventure érotique titanesque. Il passa la fin de la mâtiné à surfer sur www.fessestivites.com visionna des photos et lu de textes très érotiques. Excité comme une puce, il s'offrit un apéro, puis deux, puis trois puis...

    Le cerveau embrumé par l'alcool, il prit vers 13 heures sa pizza et le laxatif qu'il avait prévu de prendre le soir, histoire de corser un peu son délire. Quand il passa l'après-midi à délirer sur sa chasteté forcée, avec autant d'apéro, les pipis furent assez fréquents et assez excitants. Son ventre se mit à gargouiller, une petite crampe et les vapeurs d'alcool se dissipant le ramenèrent un peu sur terre. Prenant conscience qu'il risquait d'avoir les fesses très sales longtemps, il tenta de se retenir.

    Le premier apéro du soir consommé, il quitta son bureau pour aller s'en chercher un second mais marcher en serrant les fesses pour ne pas « fuir » n'est pas aisé surtout quand les cuisses ne peuvent pas trop se rapprocher pour causse de gros volumes entre les jambes. S'il parvint à la cuisine sans trop de difficultés, le retour ne se passa pas de la même façon. Debout, droit comme un « i » contracté jusqu'aux oreilles au milieu du salon, son anus ne put résister à la pression des excréments rendus liquides par le laxatif. La matière fécale se mit à envahir la couche. Si le sentiment de violer un interdit généra quelques troubles émotions en lui, s'asseoir lui posa un problème et un sentiment de dégout. En regrettant d'avoir pris le laxatif trop tôt, il reprit ses lectures érotiques. Pour dîner, il préféra rester debout... En écoutant le journal télévisé, il faillit s'étouffer avec sa clémentine lorsque David Pujadas annonça un mouvement de grève à la poste. L'horreur ! ! !

    Trouver le sommeil fut donc difficile pour Paul avec les fesses très sales et l'annonce du mouvement de grève perturbant ses plans. Réveillée de bonne heure pour cause d'inconfort, il se précipita sur l'ordinateur pour essayer d'avoir des informations sur la Poste. Son sang se glaça dans ses veines en lisant que 80 % du personnel suivait le mouvement. Convaincu de ne pas recevoir sa clé, il décida de briser le cadenas. N'étant pas bricoleur de nature, Paul n'avait pas d'outil dans son appartement, les seuls qu'il possédait étant dans le coffre de la voiture. Après avoir tordu quelques couverts innocents sur le cadenas, il dut se résigner à se vêtir pour se rendre au parking situé à 400 mètres de l'immeuble alors que sa boite à lettre n'était qu'à trois pas de son appartement, pas qu'il avait prévu de faire en peignoir. GRRRRRR

    Mettre un pantalon sur trois couches pleines n'est pas choses aisée. Même en s'acharnant il n'y parvint pas vraiment et dut se résigner à laisser la braguette et le bouton ouverts. Avec sa ceinture serrée au maximum et un gros pullover en plus de son plus gros blouson pour masquer ses formes, il se rendit en plein mois d'août au parking. Chacun de ses pas furent difficiles car en essayant de marcher normalement malgré le volume général entre ses jambes cela l'obligeait à serrer les couches pleines. Si l'aller se fit sans trop d'encombre, le retour fut abominable pour son moral.

    Le voisin l'interpella pour prendre des nouvelles sur sa santé en le voyant aussi chaudement vêtu en plein mois d'août. Tout en bredouillant quelques mensonges improvisés sur sa santé ; il serra les cuisses pour tenter de dissimuler son embarras mais ses protections martyrisées se mirent à fuir. En sentant quelque chose glisser le long de sa jambe, il crut défaillir. Rentrer chez lui avec ses outils fut bien plus délicat pour son moral que d'aller les chercher.

    Au loin il vit passer son facteur et remercia le ciel en lui promettant de doubler ses entraines pour le calendrier. Une serviette sous les pieds et l'oreille collée à la porte, il attendit sa clé avec impatience. A pas de velours il se glissa dans le hall de l'immeuble, ouvrit sa boite à lettre pour constater qu'il n'avait que des factures et que son enveloppe pourtant postée à 3 kilomètres de chez lui devait être bloquée au centre de tri.

    Avec une sérieuse détermination, il entreprit le cadenas récalcitrant avec pinces et tournevis. Une demi-heure et quelques coupures plus tard, il put enfin laver ses fesses.

    TSM

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  • La poste libération d'ABDL

    Pour tester son délire d'auto contrainte en couche, par 3 fois Paul s'était adressé des clés par la poste. En les mettant le matin avant la levée, il les avait reçues le lendemain en fin de mâtiné. Aujourd'hui, il le ferait une quatrième fois avec les clés du cadenas qui allait l'obliger à rester en couche. Le premier jour de ses congés qu'il voulait 100% érotique, le jeune homme âgé de 26 printemps se rendit donc à la poste de bonne heure pour s'adresser la fameuse enveloppe renforcée contenant la dite clé. Rien que de glisser l'enveloppe dans la boite, l'excita grandement !!!!

    Arrivé chez lui, il se confectionna une sévère épaisseur de couches en perçant la première, puis la seconde avant de mettre la troisième. L'idée était de s'assurer d'avoir assez de protections absorbantes pour ne pas « fuir ». Par-dessus, il passa sa culotte en plastique de contrainte équipée d'une chaîne en guise de ceinture. En la cadenassant, il eut le sentiment très jouissif qu'il allait vivre une aventure érotique titanesque. Il passa la fin de la mâtiné à surfer sur www.fessestivites.com visionna des photos et lu de textes très érotiques. Excité comme une puce, il s'offrit un apéro, puis deux, puis trois puis...

    Le cerveau embrumé par l'alcool, il prit vers 13 heures sa pizza et le laxatif qu'il avait prévu de prendre le soir, histoire de corser un peu son délire. Quand il passa l'après-midi à délirer sur sa chasteté forcée, avec autant d'apéro, les pipis furent assez fréquents et assez excitants. Son ventre se mit à gargouiller, une petite crampe et les vapeurs d'alcool se dissipant le ramenèrent un peu sur terre. Prenant conscience qu'il risquait d'avoir les fesses très sales longtemps, il tenta de se retenir.

    Le premier apéro du soir consommé, il quitta son bureau pour aller s'en chercher un second mais marcher en serrant les fesses pour ne pas « fuir » n'est pas aisé surtout quand les cuisses ne peuvent pas trop se rapprocher pour causse de gros volumes entre les jambes. S'il parvint à la cuisine sans trop de difficultés, le retour ne se passa pas de la même façon. Debout, droit comme un « i » contracté jusqu'aux oreilles au milieu du salon, son anus ne put résister à la pression des excréments rendus liquides par le laxatif. La matière fécale se mit à envahir la couche. Si le sentiment de violer un interdit généra quelques troubles émotions en lui, s'asseoir lui posa un problème et un sentiment de dégout. En regrettant d'avoir pris le laxatif trop tôt, il reprit ses lectures érotiques. Pour dîner, il préféra rester debout... En écoutant le journal télévisé, il faillit s'étouffer avec sa clémentine lorsque David Pujadas annonça un mouvement de grève à la poste. L'horreur ! ! !

    Trouver le sommeil fut donc difficile pour Paul avec les fesses très sales et l'annonce du mouvement de grève perturbant ses plans. Réveillée de bonne heure pour cause d'inconfort, il se précipita sur l'ordinateur pour essayer d'avoir des informations sur la Poste. Son sang se glaça dans ses veines en lisant que 80 % du personnel suivait le mouvement. Convaincu de ne pas recevoir sa clé, il décida de briser le cadenas. N'étant pas bricoleur de nature, Paul n'avait pas d'outil dans son appartement, les seuls qu'il possédait étant dans le coffre de la voiture. Après avoir tordu quelques couverts innocents sur le cadenas, il dut se résigner à se vêtir pour se rendre au parking situé à 400 mètres de l'immeuble alors que sa boite à lettre n'était qu'à trois pas de son appartement, pas qu'il avait prévu de faire en peignoir. GRRRRRR

    Mettre un pantalon sur trois couches pleines n'est pas choses aisée. Même en s'acharnant il n'y parvint pas vraiment et dut se résigner à laisser la braguette et le bouton ouverts. Avec sa ceinture serrée au maximum et un gros pullover en plus de son plus gros blouson pour masquer ses formes, il se rendit en plein mois d'août au parking. Chacun de ses pas furent difficiles car en essayant de marcher normalement malgré le volume général entre ses jambes cela l'obligeait à serrer les couches pleines. Si l'aller se fit sans trop d'encombre, le retour fut abominable pour son moral.

    Le voisin l'interpella pour prendre des nouvelles sur sa santé en le voyant aussi chaudement vêtu en plein mois d'août. Tout en bredouillant quelques mensonges improvisés sur sa santé ; il serra les cuisses pour tenter de dissimuler son embarras mais ses protections martyrisées se mirent à fuir. En sentant quelque chose glisser le long de sa jambe, il crut défaillir. Rentrer chez lui avec ses outils fut bien plus délicat pour son moral que d'aller les chercher.

    Au loin il vit passer son facteur et remercia le ciel en lui promettant de doubler ses entraines pour le calendrier. Une serviette sous les pieds et l'oreille collée à la porte, il attendit sa clé avec impatience. A pas de velours il se glissa dans le hall de l'immeuble, ouvrit sa boite à lettre pour constater qu'il n'avait que des factures et que son enveloppe pourtant postée à 3 kilomètres de chez lui devait être bloquée au centre de tri.

    Avec une sérieuse détermination, il entreprit le cadenas récalcitrant avec pinces et tournevis. Une demi-heure et quelques coupures plus tard, il put enfin laver ses fesses.

    TSM

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  • Où amènent les fantasmes

    Un homme profite de l'absence de sa femme pour porter des couches, mais sa belle-soeur débarque à l'improviste et exige qu'il joue le jeu à fond...

    Titre original : inconnu Auteur : inconnu Traduction par : Rick44

    J'ai trouvé ce récit sur un site étranger et je l'ai remis en français (texte et prénom), tout en gardant l'énoncé à la première personne.
    J'avoue qu'il m'a fait fantasmer et je pense que vos lecteurs feront de même.
    ................................................................


    A force d'avoir des envies incongrues pour éprouver des sensations nouvelles, il fallait bien que j'ai un jour un problème. Je m'explique.

    Je suis un homme marié de 35 ans et ma femme, magnifique blondinette de 29 ans, sans être frigide, éprouve beaucoup moins d'envies que moi. Ce qui m'incite à chercher des dérivatifs pour assouvir mes pulsions. Comme je ne veux pas la tromper, j'ai tenté de me satisfaire à travers des fantasmes axés sur le SM et dernièrement sur les rapports DL. La lecture de certaines histoires m'a énormément excité et cela m'a incité à tenter d'en revivre certaines. C'est cela qui explique ce que je relate après et les problèmes (si l'on peut dire) rencontrés.

    Après avoir lu le récit d'un homme obligé de porter des couches à la maison, je me suis décidé un matin ou j'étais seul chez moi à aller acheter des couches et je suis parti au supermarché le plus proche. Devant le rayon, j'ai mis au moins vingt minutes à oser prendre un paquet de couches adulte. Je ne vous raconte pas la gêne éprouvée au passage à la caisse, avec l'impression que tous les gens me regardaient et se moquaient.
    Ouf ! Sorti de là, je rentrai vite à la maison déballer mon trésor et, pris de frénésie, je me dénudai et j'enfilai une couche. Quelle sensation ! L'impression d'être au chaud, bien protégé. Devant la glace de la salle de bain, je m'admirai et regardai avec excitation mon postérieur qui me paraîssait imposant. Après avoir mis un pantalon plus ample que d'habitude et prenant mon courage à deux mains, je me décidai à sortir pour aller chercher le journal. Là aussi, quelle sensation de parler à la libraire que je connaissais bien, jusqu'au moment où elle me demanda si je n'avais pas un peu épaissi depuis que j'avais arrêté de fumer. Subitement rouge, je lui répondis que si, un petit peu, et je vis qu'elle souriait, mettant ma rougeur subite sur le compte de sa réflexion. La leçon avait porté et je me dis qu'il faudrait que j'évite d'être en couche devant des gens que je connais, car ils remarqueraient la différence.

    Les semaines qui ont suivi me permirent de porter à plusieurs reprises des couches lors de l'absence de mon épouse, sans d'ailleurs faire pipi dedans, cependant je ne pris pas le risque de ressortir langé.

    La catastrophe arriva un lundi matin de juillet. Ma femme venait de partir pour la semaine en congé chez ses parents à Marseille, sans que je ne puisse l'accompagner à cause de mon travail tous les après-midis. Ce lundi donc, je me mis une couche et restai comme cela. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que ma belle-sœur, une mignonne chipie délurée deux ans plus jeune que ma femme, passe à la maison chercher des affaires. Comme elle avait la clé, je ne l'ai pas entendu entrer et c'est seulement son exclamation devant le spectacle qui m'avertit de sa présence :
    - Qu'est que c'est que ça ? Tu portes des couches maintenant ? Tu as un problème d'incontinence ?

    Je me sentis devenir rouge, incapable de parler, bredouillant vaguement une excuse idiote.
    Elle se mit à sourire, puis à rire en me regardant :
    - C'est pas vrai ! J'ai lu que certains hommes jouaient au bébé, mais je n'aurais jamais pensé que tu le faisais ! Assieds-toi et racontes-moi sans mentir.

    Toujours rouge comme une tomate, essayant bêtement de cacher ma couche avec mes mains (tu parles si c'est facile) je lui raconte mes envies que sa sœur ne veut pas satisfaire, mes tentatives SM sans succès (tout seul, c'est pas marrant) et comment j'ai eu envie d'essayer les couches, mais uniquement à la maison.

    - En voilà des idées ! me dit-elle en souriant. Mais comme je suis bonne pâte et que tu n'as pas trompé ma sœur, je vais t'aider à assouvir tes pulsions, cette semaine.
    - Euh, ne t'inquiètes pas, j'ai fini et je te promets de ne plus recommencer.
    - Pas de ça, mon petit gars, si tu ne veux pas que Joëlle (ma femme) apprenne des fredaines, tu vas m'obéir cette semaine et faire tout ce que je veux, ça va te plaire, toi qui aime le SM ! me répondit ma charmante belle sœur.

    Malgré mes suppliques, Hélène ne voulut pas en démordre et devant ses menaces d'appeler sa sœur, j'obéis à son premier ordre en allant lui chercher mes réserves de couches qu'elle inspecta avec attention.

    - Viens ici et allonges-toi sur la table de salon ! me dit elle.
    Elle entreprit de me mettre une deuxième couche par dessus la première. A peine eut-elle fini que je me relevai. Mon derrière était énorme et j'eu un peu de mal à serrer les cuisses, le paquet entre elles étant devenu très épais.
    - Va passer un pantalon que je vois l'effet, me dit Hélène.
    Toujours honteux et n'osant pas la rabrouer, j'allai chercher un pantalon, mais je m'aperçu vite que je n'arrivais même plus à le fermer. La bosse formée par le devant des couches était trop épaisse.
    - C'est pas grave, mets ton pantalon de jogging, il est plus large !

    Devant Hélène, j'avais l'air d'un imbécile avec mon gros cul bien moulé par le jogging (ceux qui en mettent savent que ces pantalons sont en tissus élastique et fluide) qui révèlait sans problème ce que je portais en dessous.
    - Bien, dit-elle, toi qui voulait être contraint, tu vas l'être ! Mets ton pull, on va faire des courses !
    - Non, je ne vais pas sortir comme ça ! Ca se voit trop ! Je ne peux pas !
    - Mon petit beau-frère adoré, ou tu sors ainsi ou je dis tout à Joêlle. Tu as le choix, mais si tu discutes encore, je te promets des complications pour ta semaine.

    Marcher dans la rue dans cette tenue me fit éprouver des sensations fortes. Honteux, essayant au mieux de me cacher, je suivis ma belle sœur qui m'entraînait vers le supermarché en me tenant la main. Arrivé devant l'entrée, je n'en menais pas large, mais Hélène resta discrète et ne fit pas de commentaire à voix haute.
    Elle se contenta de me dire de rester là et d'attendre qu'elle fasse ses achats.

    Rester debout devant une entrée de supermarché avec la foule qui passe est une vraie torture lorsqu'on est dans ma situation. Je poussai un soupir de soulagement en voyant Hélène arriver et m'empressai de la suivre vers la maison, avec toujours l'impression que tous regardaient mes fesses.

    En chemin, elle rit en me regardant et me dit :
    - Ne te presse pas tant, je t'assure que les gens ne font pas attention et si tu connaissais la suite, tu ne serais pas si pressé !

    Bien qu'inquiet à cause de ses paroles, je poussai un soupir de soulagement en rentrant.

    - Je fais le repas, on mange ensemble et je m'occupe de toi pour cet après midi, me dit Hélène.
    Le repas ne fut pas très gai pour moi, assis sur mon derrière rembourré, mais Hélène souriait pour deux.

    Le repas à peine fini, je déclarai que je devais aller travailler et me dirigeai vers la chambre pour remettre une tenue plus conforme à mes obligations, mais Hélène m'arrêta d'une phrase :
    - Tu ne penses pas pouvoir te délivrer, n'oublies pas que tu ne veux pas que Joëlle apprenne tes folies.
    Tu obéis sans discuter !

    Une demi-heure après,je partais effectivement travailler, mais pas dans la tenue que je voulais.
    Hélène avait changé ma couche, à ma grande honte, après m'avoir rasé les poils du pubis :
    - Tu diras à ta femme que c'est pour lui plaire !
    Elle m'avait talqué les fesses et ne m'avait remis qu'une couche culotte renforcée par une couche droite assez épaisse qu'elle avait acheté. De plus, elle m'avait passé en supplément un ensemble de lien de cuir autour de la taille et entre les jambes, qu'elle avait verrouillé avec un cadenas. Bien sûr, mon cul était moins imposant, mais je n'avais pas eu l'autorisation d'aller aux toilettes avant de partir et je sentais une forte envie arriver alors que je ne pouvais pas retirer mon harnachement.

    Je me suis retenu un maximum de temps, mais ne pouvant plus tenir, j'ai fini par me laisser aller dans mes couches que j'ai sentis s'alourdir au fur et à mesure que mon urine s'écoulait dedans.
    J'avais beau être seul dans mon bureau, j'ai passé l'après-midi en redoutant la venue d'une personne, l'odeur même légère me semblant impossible à ne pas remarquer.
    Dès 18h00, j'ai plié mes affaires et suit sorti pour trouver Hélène qui m'attendait à l'entrée en discutant avec certains de mes collègues. J'ai du attendre sans rien dire, en me dandinant sur place, qu'elle veuille bien rentrer car une envie de grosse commission m'avait pris.

    Arrivé à la maison, je lui demandai de me libérer pour aller à la selle, ce qui la fit rire à nouveau :
    - Tu n'as pas compris, Bébé tu voulais être, Bébé tu seras toute la semaine ! Et les bébés ne vont pas aux toilettes, ils ont des couches pour cela.
    Gémissements et plaintes n'y firent rien, je fini par me soulager dans mes couches que je du les garder jusqu'au matin quand Hélène me changea à nouveau. Toute la nuit je me suis tourné dans mon lit sans pouvoir dormir et l'odeur devenait nauséabonde.

    Le matin, Hélène arriva vers 8h00 et me délivra pour que j'aille me nettoyer mais me remis immédiatement la même chose : couche culotte renforcée par une couche droite. Puis nous sommes allé prendre le déjeuner à l'extérieur.

    Voilà, toute la semaine s'est passée à ce régime et je dois avouer que malgré ma gêne extrême, j'ai fini par prendre plaisir à être soumis à ma belle-sœur qui, à part pour me changer, ne m'a jamais touché ni permis de me soulager de mes tensions sexuelles. J'ai du attendre le vendredi après midi, juste avant le retour de Joëlle, pour être libéré et retrouver une tenue classique.

    Ma femme n'a jamais rien su de cette aventure mais en compensation de son silence, Hélène m'oblige à être garni selon ses souhaits les jours où ma femme est absente, ce qui souvent me donne des sueurs froides de peur de ne pas être délivré avant son retour.



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  • Agnès Mon Initiatrice

    AUTEUR : byromane

    Il y a longtemps que je devais faire du rangement dans le grenier. Je ne jette rien, au grand dam de ma mère. Je lui interdis de toucher à quoique ce sois dans le grenier.

    Il y a quelque jour, je suis montée au grenier et j'ai ouvert une à une mes malles. J'ai replongé dans le passé.

    Il y avait, mélangé, mes cahiers d'école, mes magazines préférés, mes petites culottes en coton, puis mes premières petites culottes plus affriolante. Je retrouvais des sous- vêtements que j'avais complètement oublié, parce que plus à la mode : culotte fendu plein de froufrou, etc... Faudrait que je penses à elles lors d'une prochaine soirée déguisé.

    Enfin bref, parmi tout ce fatras, je retrouvais mon journal intime. Lui aussi je l'avais oublié.

    J'oubliais le rangement pour le lire. J'y avais écrit mes fantasmes, mes rencontres, mes aventures. En lisant mes fantasmes d'adolescente, je souriais devant la légèreté des histoires et le manque de repère. Je souriais aussi me rappelant que les femmes étaient fières d'arborer un pubis luxuriant contrairement à maintenant. Je racontais mon trouble lorsque je vis mon premier film porno à la télévision sur une chaîne payante et surtout celui d'avoir vu deux femmes faire l'amour.

    La vision de ces deux femmes ne me quitta plus. On m'avait toujours dit que un couple était constitué d'un homme et d'une femme et de voir que deux femmes pouvaient aussi se procurer du plaisir... Je regardais mes copines sortir avec des mecs, mais moi je n'éprouvais pas grand chose pour eux. Je n'avais pas non plus de l'attirance pour mes copines non plus. J'étais dans un no man's land, au milieu de tout cela ne sachant pas où aller.

    Je restais aussi jusque l'âge de seize, ne sachant pas ou aller, mais attendant toujours les scènes d'amour entre femmes dans les films pornos.

    Ma mère avait une amie, Agnès, qui vivait seule depuis toujours. On disait des choses sur ses mœurs, des choses tabous et jamais en ma présence. Elle restait pourtant une grande amie de ma mère. C'était une femme sportive, toujours en voyage à faire du trecking et une surtout une belle femme.

    Cette femme, et oui, cette femme fut le déclencheur de ma sexualité. Cette femme vouait sa vie au culte de Sapho. Je ne me suis jamais posée la question si ma mère et elle ... Dans mon journal, j'avais noté le jour où il s'était passé quelque chose entre nous. Je vous rapporte mon histoire avec la maturité que j'ai aujourd'hui.

    "Le dernier lundi des vacances d'été, Maman m'annonça, en partant travailler, qu'Agnès passerait à la maison afin de profiter des derniers rayons chaud du soleil dans le jardin.

    Sans la moindre arrière pensée, j'installais les matelas sur les bains de soleil dans le jardin.

    Après un bref coup de sonnette, une belle apparition blonde s'avança dans le hall. Elle déposa sur mes joues deux bises chaleureuses.

    - Bonjour, Romane. Je ne vais pas t'ennuyer le moins du monde, tu sais. Juste un bout de jardin et un rayon de soleil."

    La vue des deux bains de soleil sembla lui faire plaisir.

    - Comme c'est gentil de me tenir compagnie! Je suis sûre que nous avons des tas de choses à nous raconter."

    Elle me regarda plus intensément qu'à l'habitude.

    - Je n'avais jamais remarqué que tu étais si jolie." Je rougis. "Ne soit pas timide." Elle me prit par l'épaule "Allons vite au soleil."

    Elle ôta délicatement ses chaussures et posa sa robe rouge sur une chaise. Son bikini me permit de contempler son opulente maturité. La tonicité évidente de son corps sportif s'enveloppait du charme moelleux de la quarantaine, qu'elle portait dans un troublant épanouissement.

    Elle s'agenouilla près du matelas pour déposer ses diverses affaires. Je pus alors admirer sa cambrure, l'érection arrogante de sa poitrine généreuse mais ferme.

    Je me sentis petite, mal foutu. Elle sortit de son sac un tube d'Ambre solaire. A cette époque, on prenait de l'huile pour rôtir au soleil et non se protéger.

    Elle me sourit. Je ne savais que dire. Cette femme me troublait au plus haut point. Elle dut s'en rendre compte.

    - Qu'attends tu!" me dit elle d'une voix soudain plus rauque, "Otes tes vêtements que je vois comment tu es faîtes?"

    Je retirais ma robe. Ses yeux brillèrent.

    - Hummmm! Tu dois faire des envieuses sur les plages."

    Elle tâta d'un doigt mes cuisses et mon ventre. Je frémis.

    - C'est vraiment beau un jeune corps. Tu es très appétissante ma petite Romane."

    Ce compliment me toucha beaucoup. Elle s'enduisit le corps de sa crème brune. Etait- ce dû au soleil? Je sentais des montés de chaleur qui envahissait mon corps par longues vagues. C'était nouveau pour moi.

    Elle se massait m'observant de ses grands yeux de miel, les paupières un peu plissées à cause du soleil. Un malin plaisir se devinait dans ce regard.

    Toujours à genoux, elle se retourna et me présenta son dos.

    - Peux- tu me passer un de crème, ma chérie?"

    J'approchais. Mes doigts glissèrent timidement sur ses épaules. Sa peau, bien bronzée, était douce et chaude.

    - Descends un peu, s'il te plait."

    J'arrivais au sillon de sa colonne vertébrale. Sous mes caresses, car il s'agissait bien de cela, elle se cambrait avec de légers tressaillements. Je ne me reconnaissais plus. Je me laissais aller à mon instinct.

    - Oh! Mais tu me donnes un tas de frissons, tu sais!"

    J'enduisais maintenant ses reins et les massais. Elle ondulait à chacun de mes gestes.

    - Un peu plus bas..."

    J'arrivais à la lisère du maillot. J'avais de plus en plus chaud. Elle se retourna.

    - Cela te dérange si je retire mon maillot."

    Je regardais autour de moi comme si je découvrais que l'on était à l'abris du moindre regard. De plus, j'avais déjà bronzé nue.

    - Heu, non..."

    - Vois- tu, j'ai horreur des marques blanches sur le corps."

    Elle se leva et fit glisser le slip le long de ses cuisses, dévoilant un somptueux postérieur d'une rondeur irréprochable.

    Ma main était encore tendu, enduite d'Ambre solaire. Elle resta debout, me présentant ses globes affolants, qui luisaient sous le soleil.

    Choisissant le silence, elle tendit à mes doigts fébriles ses courbures fabuleuses.

    Attirée, irrésistiblement, ma main déposa sur ses fesses quelque gouttes de crème et ma paume glissa bientôt, câline, sur la douce peau caramel.

    Agnès se déhanchait d'une fesse sur l'autre, visiblement satisfaite. Sa voix se fit plus impérieuse :

    - J'aime... Continue!"

    Je passais fiévreusement d'une fesse à l'autre. Mes tempes bouillaient, frappaient fort sous le soleil triomphant. Je me sentais prise d'un désir tumultueux. La belle croupe ondulait sous ma main, se tortillait à proximité de mon visage en sueur. Ce n'était pas un film. C'était moi avec une superbe blonde. J'étais maintenant dans le film.

    Les cuisses de la belle s'écartèrent.

    Je faufilais mes doigts en dessous pour caresser leur face interne.

    - Remonte!" dit elle

    J'hésitai. Au- dessus de ma menotte, son ardente féminité prenait somptueusement naissance.

    - Remonte, t'ai- je dis!"

    Je ne pouvais reculer. Mon pouce et mon index se risquèrent vers la luxuriante toison d'or qui s'offrait, impudique, à leur exploration. L'entrecuisse moussu s'écarta davantage.

    La tiède liqueur odorante dont il regorgeait, se répandit sur le bout de mes doigts. Que de découverte. Le passage était large, lubrifié à merveille. Ma main investit bientôt le chaud et accueillant repli. J'y allais à l'instinct priant que cela dure longtemps. Agnès haletait, remuait doucement, telle une vague, râlait quelques encouragements, dont je n'avais nul besoin.

    Je pétrissais à pleins doigts les bourrelets charnus et juteux de ses grandes lèvres ouvertes. Mes doigts émerveillés s'infiltraient aisément dans le canal bouillant.

    - Ouiii! Ooooh continue, petite diablesse! Masse- moi bien!"

    Et ma main entière s'enfonça sur cette vulve effervescente. Bientôt je la malaxais de toute mon ardeur qui était grande. Son odeur suave m'emplissait les narines et m'invitait à y porter la bouche. J'étais ivre de son odeur. Agnès était cambrée, les paumes lascivement posées sur ses cuisses écartées, le menton tourné et les yeux sur mes doigts.

    - Ta bouche! Je veux ta bouche!"

    Je n'hésitais pas cette fois. Je plongeais mon visage dans cette chair onctueuse.

    Je léchais, suçais, bus, avalais,... Elle rugissait comme une lionne. Ma frénésie m'emportait. Ma pudeur s'envolait. Après avoir bien pourléché sa fentine, mes désirs grimpèrent vers son anneau sombre et étroit. Une pression furtive du doigt m'apprit que cette fleur secrète était élastique au- delà de tout souhait.

    J'y enfilais un majeur. La réaction fut immédiate. Ma langue titilla quelque secondes le pertuis plissé. Agnès se redressa alors, se resserra. Elle descendit à mon niveau et m'allongea tendrement sur le matelas.

    - Ma coquine, ma cérébrale, ma vicieuse. Comme je t'aime déjà!"

    Elle semblait au comble de l'excitation. Ses lèvres se pressaient sur mon nombril. Je sentais ma culotte totalement imbibée d'un liquide révélateur. Sa bouche cheminait vers ma vulve inondée. Dans la lumière aveuglante, accablée par la chaleur, j'entrevoyais son visage se penchant entre mes cuisses. Elle extirpa ma culotte avec ses dents et m'emboucha sans ménagement. J'avais droit à ma première bouche.

    Je gémis sous le violent et profond baiser. Ma dégustatrice m'agrippa le bassin , renversa mes jambes contre mon buste, où mon pauvre cœur battait la chamade, coinça ma tête entre ses cuisses serrées, m'interdisant ainsi tout mouvement, étouffant mes cris sous sa chair bronzée, et me rendit, mais avec ô combien plus de fougue et d'expérience, tous les plaisirs que je lui avais prodigués. Elle me dévora avec un appétit sans pareil, allant furieusement de l'un à l'autre de mes deux virginaux orifices. Ses doigts effilés et sa langue dardée savaient provoquer des fulgurances de plaisir que je n'avais jamais soupçonnées. J'offrais ainsi de bonne grâce, mon petit cul aux profondes percées de sa langue experte.

    Pendant plus de 20 minutes, elle se délecta goulûment de mes parties les plus charnues et les plus secrètes, au mépris de mes plus violents orgasmes, qu'elle me faisait accumuler de force. Je hurlais dans ses chairs. Se relevant enfin, les cheveux sur le visage, les lèvres béantes, elle se retourna à quatre pattes, cambrée, ls seins lourds, me rappelant à nouveau l'image altière d'un beau fauve. Je m'aplatis sur le matelas.

    Quelle nouvelle perversion allait- elle faire subir à la proie de ses désirs? Elle dandina sur mon corps, devant mes yeux, me montrant avec obscénité chaque morceau de sa peau et de ses deux seins. Ceux ci passèrent plusieurs fois devant mes lèvres. Elle alla ensuite chercher quelque chose, fébrilement, dans son sac de plage. Elle en sortit un objet long et blanc. Une cousine très délurée, m'avait déjà fait voir cet objet sur des photos cochonnes échangées avec sa correspondante Allemande. Je découvrais l'existence bien réel d'un godemiché.

    - Chérie! Fixe- toi vite ça!"

    Je saisis l'engin qu'elle m'aida à mettre en place vu mon manque d'expérience. Je me sentais bizarre affublée d'un sexe mâle. Elle se retourna et agita sa croupe somptueuse, comme dans un geste de franche invite. Elle s'écarta elle même les fesses. Ses doigts indiquèrent nettement la direction à emprunter. M'enhardissant, j'osais auparavant assouvir mon premier désir : déposer un fervent baiser dans la profonde séparation de ses fesses superbes. Ma langue se fourra facilement dans son petit orifice que je lubrifiais de mon mieux avant l'intromission.

    Elle me laissa faire, appréciant mes vicieux progrès.

    Je m'approchais alors avec précaution. Elle guida elle- même mon diabolique engin entre ses fesses écarquillées. J'attrapais ses hanches et la pénétrais attentivement. Dès qu'elle se sentit saillie, elle fit un bond, râla, rugit. Je me délectais de ce jeu pervers. Sentir cette bête d'amour sodomisée par mes soins et par un godemiché interposé, me comblais d'aise.

    J'apprenais vite. D'un geste lent, régulier et profond, je l'introduisais chaque fois un peu plus. Au bout de une minute, l'engin démentiel pénétrait entièrement et glissait de mieux en mieux entre les parois lubrifiées au maximum et goulues. Elle poussait des cris hystériques. J'accélérais, appuyais. Elle délirait.

    Je l'emmanchais jusqu'à la garde. Elle hurlait de plaisir, la garce.

    Comme je continuais à un rythme frénétique, elle déversa des mots crus, d'une voix rauque, animale. Durant de longs instants, je la sodomisais à fond. Elle finit par rouler sur le côté m'entraînant sur la pelouse avec elle. Mon "épée" jaillit de sa fleur défoncée. Elle me sauta dessus, suça longuement mon pénis artificiel, puis vint empaler son vagin en furie sur sa virile grosseur.

    Je n'avais pas finis mon histoire dans le journal, peut- être trop occupé à me caresser. Je me souviens portant encore de la suite. Cela a encore duré une bonne vingtaine de minute avant qu'elle ne rende grâce. J'avais aussi joui en la regardant prendre son pied.

    Elle me dévora le visage et la bouche de baisers en guise de remerciement. On avait oublié le soleil, préférant jouir de nos corps. Agnès fut mon initiatrice. Elle m'apprit beaucoup de choses et me fit vaincre ma timidité. Je n'ai plus peur de montrer mes charmes.

    Le jour où elle a disparu dans un accident de voiture, je suis restée prostrée pendant plusieurs mois. Elle avait été mon plus grand amour.

    Elle me manque beaucoup.



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