• Esclave de Maîtresse Sabrina

    Esclave de Maîtresse Sabrina


    J'écris ceci sur ordre de ma Maîtresse Sabrina. Elle m'a ordonné de vous expliquer comment elle me trait et me dresse.


    Qu'est ce que la traite, allez-vous demander? Certains pensent que c'est le fait de vider à fond l'esclave en le branlant jusqu'à ce qu'il ne puisse plus ni cracher ni même bander. D'autres pensent que c'est le fait de l'exciter jusqu'à ce qu'il soit sur le point de cracher sans pouvoir l'y autoriser. Quoique ces formes de traites puissent avoir la faveur de certaines Maîtresses et quelques fois des esclaves eux-mêmes, la vraie raison de la traite est d'être une forme de punition envers le mâle et le parfait contrôle de la Maîtresse sur sa sexualité. Une vraie traite doit lui refuser le plaisir suprême de pouvoir jouer avec son sexe pour jouir. La vraie traite, c'est la stimulation de la prostate jusqu'à l'écoulement du sperme. J'utilise le mot écoulement plutôt que décharge, car ce n'est pas à une éjaculation normale, mais plutôt le ‘drainage' du sperme.

    La prostate est une petite glande chez les hommes, située autour de la vessie et de l'urètre. Ses fonctions premières concernent le flux séminal. Elle peut être plus importante pour les hommes au-delà de la quarantaine. Il est aussi normal pour les hommes de plus de quarante ans d'effectuer un examen de la prostate, à cette occasion, le praticien met ses doigts dans le rectum pour palper la glande. La traite du male consistera à continuer de masser continuellement cette zone. Au bout d'un moment, cela fera couler le sperme. On peut effectuer le massage avec les doigts ou avec une gode. Les doigts permettent une meilleure sensation, mais l'emploi du gode est aussi très bien et en plus il humilie l'esclave en le transformant en tapette. Avec l'usage, je recommande l'emploi de gode d'environ dix huit centimètres de long. Comme expliqué plus haut, à l'inverse de la masturbation, qui procure des sensations très érotiques, (éjaculation), le massage de la prostate pour la traite n'est pas aussi excitant et agréable. La traite de l'esclave est un procédé long qui consiste à drainer la semence de l'esclave à travers le pénis. Certes ce n'est pas désagréable, mais cela n'est pas comparable à une bonne masturbation. Ce n'est qu'un écoulement. Pour aider lors de la traite, la Maîtresse peut saisir la base du pénis de l'esclave et l'agiter un peu.
    Maîtresse apprécie cela, car il n'y a pas de manipulation complète du sexe. Lorsqu'elle utilise un gode, il appartient à l'esclave de faire en sorte que le gode travaille la prostate. Ainsi la Maîtresse ne sodomise pas seulement l'esclave, elle oblige aussi ce dernier à se sodomiser lui-même. L'autre intérêt de la traite, est, que ce long procédé de l'écoulement du sperme, laisse l'esclave à moitié satisfait et donc sexuellement frustré. L'esclave est constamment sur le point de cracher, ce qui l'oblige à se travailler lui-même pour espérer cracher un peu plus.

    C'est parfait pour la Maîtresse, car comme chacun sait, juste après avoir craché leur foutre, les esclaves sont moins soumis à leur Maîtresse. Et s'il il y a moins de soumission, la Maîtresse perd un peu de son contrôle sur l'esclave. Ce qui n'est pas le cas avec cette pratique, car ainsi l'esclave n'est jamais satisfait sexuellement et donc reste frustré, soumis, obéissant et attentif. Il va supplier sa Maîtresse de le sodomiser de façon à ce qu'il puisse jouir un peu plus. Il reste sans plaisir. Maîtresse dit que ce que je ressent ainsi peut être assimiler à une stimulation clitoridienne par massage manuel ou par une langue agile, ou une belle queue. Si la stimulation est faite longtemps et correctement, la femme va jouir très fort, comme pour une éjaculation masculine. Les esclaves qui ont le privilège de lécher le sexe des Maîtresses, savent combien elles peuvent avoir un plaisir très fort. La traite elle, oblige les esclaves à vouloir se donner encore plus pour avoir un semblant de jouissance. La vérité est cruelle : cela ne sera jamais le cas. Bien au contraire : il aura juste un écoulement lent. Il devra alors se sodomiser encore plus fort. Ainsi donc, en utilisant l'excitation, l'interdiction de la masturbation et la pratique de la traite, la Maîtresse va conditionner l'esclave pour qu'il jouisse sans se branler. Elle arrive à le convaincre d'aimer être enculé et de reconnaître que son sexe ne lui sert à rien d'autre si ce n'est pisser et suinter du foutre. C'est cette sorte d'esclave que je suis devenu auprès de Maîtresse Sabrina, ou plus exactement comme elle préfère dire, son esclave à traire. Je ne peux plus me passer de cette façon de jouir par la traite, et maîtresse le sait. Laissez-moi vous expliquer comment j'en suis arrivé là.
    En tant qu'esclave, j'ai été dressé depuis des années à être dominé, humilié, transformé en tapette par ma Maîtresse. J'ai appris à jouir du cul grâce à des sodomisations forcées. J'adore quand ma Maîtresse me défonce, car souvent elle me branle en même temps. Pour elle, je dois cependant jouir sans aucun plaisir pour mon sexe, juste en me faisant travailler la rondelle. J'apprécie maintenant cette forme de plaisir. Je lui dis d'ailleurs que j'aime être enfilé et que dès fois mon sperme suinte un peu, ce qui est la meilleure forme de punition pour moi dans mon éducation de tapette docile. J'ai d'ailleurs commencé par me masser moi-même la prostate pour arriver à me faire jouir. Quand j'ai montré mes progrès à ma Maîtresse, elle m'a donné le choix entre jouir uniquement de cette façon ou alors ne plus lui appartenir. C'est comme ça que je suis devenu son esclave à traire. Elle a établit des règles que je dois suivre à la lettre.


    Règle n°1: Le corps de Maîtresse Sabrina doit être vénéré, honoré et soigné. Mon sexe est pour elle d'aucune utilité. Seules, mes mains et ma bouche peuvent lui donner du plaisir. Aussi, dois-je avoir les mains douces, les ongles coupés courts. Je dois exercer ma langue le plus possible. Maîtresse veut que ma langue soit résistante pendant qu'elle est assise sur moi pour que je lui suce l'anus.
    Règle n° 2: Je n'ai pas le droit de toucher mon sexe. Pour m'aider dans cette démarche, elle me fait porter une cage de chasteté dont elle a exclusivement la clé. Elle ne m'enlève la cage que pour me punir, m'exciter ou me travailler durement et pour voir mon sperme couler quand elle me trait. Dès que je suis libre, je bande. Elle aime mettre un gode à coté pour comparer les tailles et dire que je suis ridicule. Dès fois, elle le touche en se caressant la chatte d'abord et mettant ensuite ses doigts humides sur ma queue et déclare « que c'est la seule chose que j'aurai de son sexe merveilleux". Quand elle dit ça mon sexe est tendu à mort. Mais elle me le remet bien vite dans la cage.
    Dès fois l'envie est si grande de me toucher moi-même que je rêve de me branler et je supplie Maîtresse de me laisser avoir ce plaisir pendant quelques instants. De temps en temps, elle passe sa main autour de ma queue et le branle une ou deux fois tout en disant qu'elle est minable et combien cette idée de m'en servir est ridicule. Elle me dit que si j'ai vraiment une grosse envie de branler une queue, elle peut me résoudre ce problème. Elle fera venir un autre esclave. Elle lui annonce que s'il la satisfait pleinement, il aura le droit de cracher normalement, non pas de sa main, mais de la mienne. Maîtresse me fait me lubrifier mes mains avec de l'huile pour bébés, et fait installer l'autre esclave confortablement sur le dos. Je dois alors branler le sexe de l'esclave de façon douce et continue. Maîtresse demande alors à l'esclave de lui dire le bien que cela lui fait de se faire branler par moi. Maîtresse m'ordonne alors de lui dire combien j'aime caresser un sexe et je dois remercier du plaisir qu'elle me permet comme ça. Et quand l'autre esclave aura joui, je devrais lécher sa semence, comme indiqué à la règle n° 4.
    Règle n°3: Je dois garder mon anus propre et mon sexe parfaitement rasé. Je me fais donc des lavements de façon régulière. Je dois aussi garder dans mon cul le plug quand je suis à la maison ou en présence de ma Maîtresse, même en public. Je dois porter des dessous féminins et pas de caleçons. Je dois mettre des serviettes périodiques pour essuyer les gouttes d'humidité de mon sexe, notamment quand je suis excité.

    Règle n°4: Je dois apprendre à aimer être enfilé (trait) avec un gode et je dois apprendre à jouir de cette façon. Maîtresse estime que l'orgasme male est inutile et que c'est une activité idiote. D'autant que la véritable nature soumise du male étant clairement établie quand il est en état de frustration sexuelle, il vaut mieux le maintenir dans cette situation de manière continuelle. Et comme je l'ai dit plus haut, c'est par la traite que l'on peut réaliser cela. Ce qui vaut pour mon cas. Cela prend du temps, mais dès que le massage commence, mon pénis se met à suinter et couler un peu. Comme je l'ai dit, quand la traite est faite au moyen d'un gode, pour avoir une meilleur stimulation de la prostate, c'est l'esclave qui doit faire le travail sur sa prostate. Ce qui fait que quand ma Maîtresse me lime, je dois tortiller des hanches et bouger mon cul comme une bonne tapette de façon à avoir le gode bien positionné sur ma prostate. Celle-ci est devenu pour moi comme un clitoris et les godes de ma Maîtresse, ses meilleurs amis. Ma queue a de moins en moins d'intérêt pour moi. Elle devient même une nuisance : bien sur j'ai des désirs et des envies, que j'aimerais réaliser en éjaculant normalement, mais suite aux punitions, à l'interdiction de se masturber et aux règles strictes imposées, le dressage de ma Maîtresse et son conditionnement pour associer éjaculation et douleur ont porté leurs fruits. D'un autre coté, la traite est suivie d'une récompense et de plaisir. J'ai donc petit à petit accepté cette idée de traite en remplacement de l'éjaculation. D'une certaine façon, ma Maîtresse m'a émasculé. Je ne suis plus un male, ni une femme totalement. Je ne suis qu'une tapette bonne à traire. Il m'arrive encore de me dire que ce serait bien de pouvoir me branler. Je supplie Maîtresse de me le permettre. A la longue, cela l'agace et elle me punit. La punition comprend une fouettée sévère du sexe, fessées et pas de traite pendant un long moment. Elle me provoque aussi souvent que possible. Elle me fait mettre à genoux devant elle, pour lui masser les pieds. Pendant que je fais cette tache, elle écarte lentement les cuisses. Je dois alors lui ôter sa culotte avec mes dents. Elle me montre après son sexe merveilleux. Tout doucement, elle met un doigt dessus et commence à se caresser. Elle me dit combien elle aimerait à cet instant avoir un très gros sexe viril sous la main. Elle regarde alors ma petite queue et rigole et m'ordonne de lui apporter un vibro. Je continue à lui masser les pieds pendant qu'elle se fait jouir.


    J'ai appris ainsi à me taire à propos de mes envies de cracher. Maîtresse Sabrina ne s'intéresse pas à mes suppliques. Quand elle m'enfile (me trait) et que je dois cracher, Elle me dit que je suis un bon esclave Elle me caresse les fesses et mes testicules et se fait lécher les pieds et l'anus. Si j'ai réussi à bien me vider, elle recueille le foutre sur ses pieds merveilleux et me les fait lécher après. Je suis devenu sa tapette. Rien que le fait pour elle de parler de me baiser me fait bander, de même que quand je la vois avec son gode ceinture en position. Quand elle me défonce, je veux lui faire plaisir, et avoir son contentement. J'aime toutes les positions où elle me sodomise. Certaines sont plus stimulantes que d'autres. J'aime être à quatre pattes pendant qu'elle me défonce bien à fond et je peux alors sentir ces merveilleuses cuisses contre mes fesses. Maîtresse aime bien aussi cette position, car elle peut voir mon foutre couler de mon sexe inutile : elle me demande ce que cela fait d'avoir un chatte anale que l'on lime jusqu'à ce qu'elle soit humide et juteuse, comme une chatte doit l'être.


    J'aime aussi quand elle me met sur le dos, avec mes jambes écartées et attachées au lit, en l'air, ce qui lui offre mon anus et mon sexe pour des jeux cruels. Cette position humiliante permet aussi une bonne stimulation de la prostate. J'aime quand Maîtresse est allongée sur le dos pendant que je m'abaisse sur le gode pour me défoncer totalement pour pouvoir cracher. Dans cette position Maîtresse peut me voir m'enfoncer le gode bien à fond en essayant de me faire jouir. Quelque soit la façon dont elle m'enfile, j'adore quand le gland du gode me pénètre et qu'elle me lime à grands coups profonds. Lorsque j'en arrive au point de cracher, j'arrive à faire couler un peu de sperme comme si je pissais. Cela m'oblige à resserrer mon anus autours du gode, et donc permet à ma Maîtresse de me pénétrer encore plus en force. Je la supplie de ralentir un peu la défonce et de rester au niveau de ma prostate. Et c'est moi qui en poussant mon cul, fait pression sur ma prostate et me fait jouir encore un peu. Après ça, Maîtresse reprend son enculage. Mon sexe devient alors tout mou. Maîtresse dit que cela ne devrait pas arriver, car elle aime me voir en train de bander et ne pas pouvoir me satisfaire, ce qui est plus humiliant pour moi et plus amusant pour elle. Mais elle sait que son dressage fonctionne, car avec ce genre de traite, mon sexe est devenu inutile, et mes désirs sexuels sont uniquement concentrés sur sa façon de me traire.
    Règle n° 5: Je dois apprendre à aimer avaler du foutre Car en plus d'être un esclave à traire par ma Maîtresse, je suis aussi une tapette. Aussi, quand Maîtresse me trait, elle collecte mon foutre dans une coupe. Je dois le déguster pendant qu'elle regarde. Elle aime aussi en mettre sur son gode ceinture et me le faire lécher après. Cela m'apprend à sucer une queue en prévision de la règle suivante n°6. Elle m'a aussi fait part de son désir de me faire assister quand son amant viendra la prendre. Avec mon plug anal en place, j'aurais l'autorisation de la voir se faire enfiler et jouir sur sa queue. Quand elle aura eu tout son plaisir, j'aurai le droit de nettoyer sa chatte correctement de leurs jus mêlés.
    Règle n° 6: Je dois apprendre à aimer sucer des queues, comme une bonne tapette, aimer ça et jouir en même temps. Quand je suce, Maîtresse apprécie que je sois à genoux devant elle, avec mon plug dans le cul. En m'agenouillant, je baisse mon cul jusqu'au sol et je m'enfile bien le gode. Puis, Maîtresse se place devant moi avec son gode ceinture. Tandis que je suce, elle aime me questionner et je dois m'efforcer de répondre la bouche pleine. Je dois arriver à la faire jouir ainsi et elle m'enfonce le gode profondément pour se masser le clitoris. Quand je serais performant, elle me fera sucer de vraies bites.
    A la fin, Maîtresse m'a promis, si je continue à lui faire plaisir, qu'elle m'autorisera à participer à ces après midi où elle invite ses amies à prendre le thé. Elle dit que je ferais une bonne bonniche et que je ferais le service. Bien sur, j'aurais mes sous vêtements roses, mon porte-jarretelles et mon plug anal bien en place. Pour son plaisir, Maîtresse fera une démonstration de traite de l'esclave pendant que ce dernier suce une vraie queue male en se faisant défoncer par une gode ceinture. Ses amies pourront à leur tour me défoncer et me traire pendant que je suce leurs godes ceintures
    Voila comment je suis devenu l'esclave tapette à traire de Maîtresse Sabrina. Ci-dessous une image décrivant la prostate.
    Humblement;


    Esclave de Maîtresse Sabrina


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