• LA SOUMISE    (Un très joli conte pour adulte)

    Auteur : Kisha

    Il était une fois, il y a vraiment très longtemps, vivait une magnifique jeune femme qu'on surnommait Rosie. Elle était d'une beauté éblouissante, des yeux vert profond, couleur émeraude et des cheveux longs, d'un blond très pâle presque blanc. Cloîtrée dans un château à l'air plutôt sinistre, elle était une soumise parmi tant d'autres...

    Sa maîtresse était tyrannique et assez méprisable, sa soumise ne s'en plaignait guère, car n'ayant connu que cela, la pauvre ne se languissait pas d'une vie meilleure...

    Un jour, la maîtresse Ophélie ordonna à sa soumise d'aller cueillir des fleurs dans le jardin à coté, car elle attendait de la visite de dames très importantes ce jour là...

    Alors Rosie obéit à Madame et lui rapporta un merveilleux bouquet de roses toutes plus rouges les unes que les autres... Elle était fière de son gros bouquet qu'elle venait de ramasser, maîtresse sera sûrement contente se dit-elle, le sourire aux lèvres.

    Lorsque Rosie souriait, on pouvait remarquer que ces lèvres étaient d'un ton un peu orangé et surtout pulpeuses a souhait, elle était magnifiquement jolie, presque mystique...

    Elle entra dans le salon et les dames étaient déjà là. Elle passa devant elles et leur fit un léger sourire en guise de bienvenue, puis s'en alla à la cuisine mettre les fleurs dans l'eau et dans un magnifique vase de cristal, où l'on pouvait discerner dans le verre, deux jeunes femmes se faisant l'amour...

    Rosie prit soin de bien placer les fleurs afin qu'il y en ait de chaque coté du vase et alla le déposer sur la table, puis elle demanda à Ophélie si elle pouvait bien disposer. Madame lui répondit qu'elle devait faire un grand festin pour ses nouvelles invitées avant de disposer. Alors la jolie Rosie s'en retourna à la cuisine et commença le repas, un merveilleux canard farci aux olives et quelques petits gâteaux apéritifs et en guise de dessert elle leur ferait un super gâteau renversé au chocolat...

    L'odeur de toute cette cuisson sentais si bon, que rosie se dit que si elles n'appréciaient pas après tout le mal qu'elle s'est donnée, c'est qu'elles ne connaissent rien a la nourriture.

    Alors après avoir tout bien préparé et mis les couverts et fait d'une affreuse table de bois vraiment laide, une table décente à recevoir, elle alla rejoindre Maîtresse et lui dit que le repas était prêt, puis Ophélie lui ordonna de servir en lui disant : sert les invitées en premier et prend garde de ne rien renverser, sinon tu seras punie sévèrement ! La pauvre Rosie avait si peur de madame qu'elle ne parlait presque pas, elle se contentait de hocher la tête en signe approbateur...

    Rosie servit du mieux qu'elle le pût et avec toute la courtoisie nécessaire au service de ces jolies jeunes dames qu'elle servait... Elle souriait à chacune d'entre elles le plus poliment et le plus sensuellement qu'elle le pouvait... Lorsque le repas fût terminé, elle se retira dans sa chambre pour se détendre un peu... Elle s'étendit sur son lit et rêvait doucement de doux songes...

    Elle était presque endormie lorsqu'elle entendit un cri presque étouffé, Elle prit peur et se cacha sous les couvertures quelques instants, puis en ressorti et alla voir ce qui se passait. Elle était debout devant le salon et elle vit une scène pour la moins troublante... Il y avait la, les femmes et sa maîtresse qui étaient dévêtues et en tenues très légères. C'était terriblement sensuel et sexy comme vision... Rosie avait déjà 20 ans mais n'avait jamais eu de petit ami ni de petites amies... Les femmes étaient vêtues de porte jarretelles et guêpière énormément sexy autant les unes que les autres...

    Cette vision troublait atrocement notre jolie Rosie, elle était émue de tant de douceur et de sensualité, elle était habillée d'une chemisette de nuit et d'un petit string blanc... Elle glissa un doigt dans sa petite culotte et se caressa tout doucement, elle ne voulait pas qu'on la surprenne comme ça. Elle voyait les femmes se toucher entre elle, s'effleurer du bout des doigts. Elle pouvait sentir une immense chaleur envahir son ventre, elle sentait l'odeur de la cyprine lui monter au nez tel un parfum dont on ne peut se passer, elle se rapprocha un peu plus de ces odeurs si excitantes...

    Rosie se rapprocha de la salle aux désirs à pas feutrés, elle appuya sa main contre le mur et se laissa aller à son petit plaisir tout en s'émouvant de la scène presque interdite, qu'elle regardait avec tant d'envie. Elle caressait ses seins qui pointaient magnifiquement sous sa chemise de nuit, on pouvait même y voir la couleur de ses mamelons percer à jour contre le tissu. Elle les frôlait du bout des doigts et les pinçait un peu avec ses ongles. Elle s'émerveillait devant tant de beauté, devant cet acte d'amour qu'elle ne connaissait pas encore.

    Rosie caressait son corps a la recherche de plaisir, elle glissa une main sur le coté de son sein droit très doucement jusqu'a ses hanches et eut un léger frisson qui parcourut tout son corps. Elle s'avança encore un peu plus près du salon et entra furtivement et alla s'asseoir sur le canapé. Puis elle replongea sa main entre ses cuisses humides et alla chatouiller son petit bouton d'amour du bout des doigts. Une dame s'est levée et s'est approchée de Rosie puis lui a ôté la main de sa culotte et a léché le doigt plein de cyprine délicieuse. Rosie était déjà si excitée, qu'elle décida de se laisser faire.

    La dame mis sa main dans les cheveux de Rosie et l'embrassa avec tant de passion et de désir que Rosie devait se contenir pour ne pas lui griffer le dos tant cette caresse l'avait mise en émoi. Rosie passa ses bras autour du cou de sa nouvelle amie et lui caressa le creux des reins puis remonta à ses fesses chaudes et les pinça de ses mains délicates. La dame fit agenouiller Rosie par terre, sur un ton de jouissance, elle susurra à son oreille de la lécher. Un peu gênée, elle mit ses mains sur les cuisses de cette femme pour se donner une contenance et se mis d'abord à sentir cette si jolie chatte qui s'offrait à elle et du bout de la langue, elle se mit à lécher très doucement son petit bouton d'amour, elle le lécha et le titilla tout a la fois et la dame la tenait par les cheveux ne lui laissant pas le choix de continuer et on l'entendait jouir à chaque coup de langue qui s'infiltraient dans sa petite chatte déjà toute mouillée de désir par la charmante Rosie.

    Ophélie se dégagea de l'étreinte de l'autre femme et vint auprès de Rosie et lui jeta d'abord un regard jaloux. Rosie comprit bien vite qu'il fallait qu'elle fasse la même chose a maîtresse, sinon elle serait très fâchée. Alors elle cessa ses caresses sur sa nouvelle amie et se releva debout afin de contempler sa maîtresse. C'était la première fois que Rosie la voyait nue, elle était vraiment très belle et paraissait beaucoup moins dure de cette façon, elle avait laissé tomber ses cheveux noirs dans son dos en cascade et s'était maquillée avec des couleurs très douces, ce qui lui donnait un air de jeune fille malgré ses 39 printemps. Rosie s'approcha d'un pas incertain afin d'embrasser Ophélie qui aussitôt l'attira tout contre elle et l'embrassa avec tant de chaleur, tant de sensualité et de désir refoulé que Rosie en chancela presque.

    Ophélie entraîna Rosie dans sa chambre pour avoir un peu plus d'intimité et laissa les deux autres femmes dans le salon à leur plaisir. Rosie était surprise de voir sa maîtresse agir ainsi car elle avait toujours cru qu'elle ne l'aimait pas. Elles grimpèrent l'escalier qui menait à la chambre et Ophélie poussa brusquement Rosie sur le lit. Elle prit peur de ce geste mais resta néanmoins. Ophélie leva la chemisette de Rosie et enleva sa petite culotte d'un geste extrêmement délicat tout en lui caressant les jambes au passage.

    Rosie l'attira par la main près d'elle et lui vola un baiser langoureux et sauvage. Elle se pressa contre elle, seins contre seins, elles étaient si bien. Ophélie passa sa main entre les cuisses de Rosie tout en lui titillant le bout des seins déjà durcit par tant d'émotion et d'excitation. Les mains de Rosie parcouraient le corps splendide de sa maîtresse et elle ne cessait d'effleurer sa peau de velours du bout des doigts. Rosie prit la bouche d'Ophélie lui lécha la lèvre inférieure et l'embrassa de nouveau d'un baiser tendre et plein de désir. Elles s'enlacèrent longuement et fiévreusement, la douceur de leur peau se mélangeait. Ophélie la regarda passionnément et tendrement puis entra un doigt en Rosie, elle savait qu'il fallait qu'elle le fasse très doucement car elle se doutait que c'était sa première fois. Rosie échappa un petit cri de plaisir, elle aimait cette délicieuse caresse. Elle dit à Ophélie sur un long soupir de jouissance :
    - Ne t'arrête pas, je t'en pris...

    Ophélie à ces mots prononcés, répondit en la doigtant avec encore plus de ferveur encore un bon moment. Elle cessa et descendit entre les cuisses de la jeune femme pour aller chatouiller et titiller son petit bouton exquis. Rosie se mit à crier au premier contact de cette langue si douce et chaude qu'elle recevait, c'était pour elle une si grande extase, elle avait si longtemps rêvée d'être initiée à l'amour. On pouvait entendre au loin les deux autres femmes d'en bas qui jouissaient déjà bien fort, ce qui excita Rosie et Ophélie encore plus...

    Rosie caressa les cheveux de sa maîtresse et les lui tirait parfois lorsqu'elle jouissait beaucoup. Elle était toute en extase sous les merveilleuses caresses de sa maîtresse. Ophélie qui a toujours désirée Rosie secrètement, prenait un malin plaisir à la faire jouir le plus et du mieux qu'elle le pouvait, ses jambes entrouvertes et le nez dans sa chatte, elle sentait la cyprine de Rosie lui monter à la tête rapidement. Elle s'enivrait de ce doux parfum et dégustait son précieux nectar. Rosie criait sous ses caresses, elle la pénétrait toujours d'un doigt et la léchait si bien. C'était si doux et si fort a la fois cette caresse, elle haletait sous l'immense plaisir qu'elle lui procurait. Ophélie se releva et alla embrasser sa tendre soumise d'un baiser sauvage, comme s'il y avait des années qu'elle en aurait eu envie. Ce baiser fit presque jouir Rosie tellement il était enflammé, leurs langues se mélangèrent et tournèrent ensemble. Rien n'égalait ce baiser, il était si doux et si sauvage à la fois.

    Rosie se leva à son tour et sourit à sa maîtresse, puis descendit vers son entrejambes déguster le fruit interdit, elle s'approcha doucement et senti l'odeur d'Ophélie lui monter au nez et a la tête, c'était divin. Elle fit glisser sa langue chaude sur le petit bouton de sa si douce maîtresse qui déjà criait de plaisir, Juste de savoir qu'elle était là, entre ses jambes. Rosie donnait de petits coups de langue furtifs et de plus en plus rapide, la cyprine d'Ophélie coulait dans sa bouche, c'était divin. Puis elle cessa un peu et entra un doigt dans la petite fleur de sa maîtresse et elle l'entendit jouir aussitôt. Elle criait fort, elle transpirait, des gouttes de sueur perlèrent sur son front. Elle était presque en extase lorsque Rosie décida d'arrêter. Elles se placèrent pour une position qui les ferait jouir toutes les deux en même temps et elles descendirent toutes les deux vers la chatte de chacune. Ophélie entra un doigt en Rosie la doigtant fort et la léchant le plus vite qu'elle le pouvait, elle avait tant envie de l'entendre jouir. Puis sa soumise imita le geste et entra deux doigts en Ophélie et la léchait vite et lentement, elle voulait faire durer ce si bon plaisir...

    Rosie se mit à trembler et à crier plus fort, elle jouissait fortement et était sur le point d'avoir son orgasme, elle se mit à doigter et lécher Ophélie de plus en plus vite et elle l'entendit gémir et crier.

    Leur corps ne faisait plus qu'un, elles jouissaient fort toutes les deux, elles allaient atteindre leur orgasme. Rosie tremblait d'excitation et Ophélie elle, devenait si chaude, son corps brûlait tant il avait brûlé d'envie pour sa douce et délicieuse soumise. Elles continuèrent un bon moment ainsi à se lécher et à se doigter très fort puis on entendit crier très fort, Rosie venait d'avoir le plus gros orgasme de sa vie, elle était essoufflée et encore toute tremblante. Elle voulait qu'Ophélie jouisse autant qu'elle, elle accéléra la cadence, la doigtait très fort et lui titillait son clito et même le mordillait un peu et lui caressait les hanches en même temps. Ophélie ne mit pas longtemps à jouir dans des secousses et des cris de femme qui avait si longtemps refoulé ses pulsions...

    Ophélie se dégagea de l'étreinte de Rosie et vint se coucher à coté d'elle et lui murmura tout bas :
    - je t'aime et t'ai toujours aimé secrètement.
    Rosie fut si surprise de cette révélation, elle n'arrivait pas à le croire, alors elle demanda à Ophélie
    - Mais pourquoi, vous avez toujours été méchante avec moi, ne m'avez jamais montré le moindre signe d'affection ?

    Ophélie lui répondit :

    - Je savais que tu étais vierge et je ne voulais pas être la cause de ton orientation sexuelle, alors il fallait que je sois la plus distante possible envers toi, j'avoue que je n'ai pas toujours été très gentille, mais cela me mettait hors de moi de ne pas pouvoir te toucher, je m'y refusais.

    Elles s'embrassèrent très longuement d'un baiser tendre et passionné. Puis Ophélie dit à Rosie qu'elle avait le choix, rester ici en colocataire ou partir mais jamais plus en tant que bonne ou soumise. Rosie la regarda avec toute la bonté du monde et l'attira à elle pour prendre ses lèvres et l'embrasser fougueusement. Rosie venait de faire son choix, elle resterait ici avec sa tendre amante, car tout au fond d'elle-même, elle l'avait aussi toujours aimé en silence. Maintenant que le silence était rompu plus rien ni personne ne pourrait jamais le faire revenir.

    Kisha



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  • Une douce surprise pour la Saint-Valentin
    par Pacsou


    J'avais passé toute la journée à faire du ski. J'étais épuisée, mais c'était le 14 février, et mes amies et moi avions prévu de nous retrouver, chez Ammy, vers les six heures du soir. Mon frère devait assurer mon transport ainsi que celui de ma meilleure amie Debby, mais ce soir là, une tempête de neige sévissait à l'extérieur et elle décida, comme ça, à la dernière minute, de rester à la maison. Je tenais à cette soirée et il était hors de question que je reste chez moi. C'est donc furieuse contre mon frère et armée de courage que je me rendis à l'arrêt d'autobus. Bien entendu, avec la température, je m'attendais bien à ce que les transports en commun ne soit pas à l'heure, mais tout de même, c'est aux alentours de cinq heures trente, que j'arrivai devant le bureau de Debby. Heureuses de nous voir, nous nous étreignirent, et ensemble nous nous dirigèrent chez Ammy parlant de tout et de rien.

    Toute la soirée, Ammy, Alexandra, Marilyne, Debby et moi-même échangèrent des histoires sur nos vies, nos amours et nos chagrins. Minuit passé, nous décidâmes d'organiser la chambre de Nadia de façon à pouvoir accueillir cinq personnes. Nous étions couchées depuis à peine vingt minutes quand Ammy, Alexandra et Marilyne décidèrent d'aller manger un petit quelque chose à la cuisine. Je restai donc seule, dans la chambre avec ma meilleure amie, Debby. J'étais assise en indien le dos calé au mur. Couchée sur le dos, Deb avait la tête sur mes jambes. Tout en lui jouant dans les cheveux, Debby me racontait ses interminables échecs amoureux avec les hommes. Pleurant dans mes bras, j'essayai de la réconforter du mieux que je pouvais en la berçant. Il faisait noir et notre intimité était totale.

    Tout à coup, je remarquai la proximité de sa bouche sur la mienne. Je n'avais qu'à entrouvrirent les lèvres pour l'embrasser. Ma tête tournait sous l'émotion et je n'arrivais pas à comprendre ce qui se passait.

    - Que se passe-t-il ?, me dit-elle.
    - Je ne sais pas...

    J'avais une envie terrible de l'embrasser mais je n'osais agir. La peur et cette soudaine réalité me clouaient littéralement sur place.

    - Promets-moi que ça ne changera rien entre nous ?, me demanda- t-elle.
    -Je te le promets.

    Tout doucement je posai mes lèvres sur les siennes, l'embrassant timidement, mais rapidement la passion eue le dessus sur nous deux. Elle glissa sa main sur ma nuque, m'amenant vers elle, me dominant. Notre baiser d'abord timide, devint rapidement furieux et impatient. Elle tournait et taquinait ma langue avec la sienne. Amoureusement, elle jouait dans mes cheveux.

    Rapidement la fièvre s'emparait de nos deux corps. Mes mains jusque là immobiles se mirent à l'exploration de son corps sous son petit chemisier de nuit. Je caressais ses jolis seins fièrement dressés sous mes doux assauts. Un à un, je détachais les boutons de son pyjama. Je pris l'un de ses seins dans ma bouche et taquinai doucement son mamelon. Sa respiration s'accentua. Elle gémissait sourdement. Nerveusement, je fis glisser son string, prenant bien soins d'effleurer son sexe. Elle frissonna de plaisir.

    Lentement, je descendis vers sa toison pubienne et gentiment je posai ma langue sur son clitoris. Surprise, elle sursauta et j'hésitai à continuer, mais rapidement elle s'empara de ma tête de ses deux mains et me dirigea là où quelques instants plutôt, j'avais posé ma langue. Je l'embrassais avec fougue encouragée par ses gémissements de plaisir. Tendrement, je pénétrai de mon doigt sa douce moiteur et doucement, je commençai un mouvement de va-et-vient. Elle se mit à bouger son bassin de plus en plus vite. Je sentais de plus en plus son désir longtemps refoulé. J'étais complètement trempée d'excitation devant ce spectacle grandiose. Elle était d'une beauté hallucinante, là, se mouvant sous mes doigts, au bord de la jouissance. Je décidai de la pénétrer d'un deuxième doigt. Elle m'enlaça, m'embrassa avec passion et là je sentis dans un ultime spasme, la jouissance prendre totalement possession de sont corps.

    Elle retomba sur le dos et je me couchai à son côté, l'enlaça tout en l'embrassant. Je lui redonnais son string et son chemisier. Je boutonnai chaque bouton un à un avec grand soin. Je tirai la couverture sur nous, puis la prit dans mes bras où elle s'endormit juste après m'avoir chuchoté ...

    - Je t'aime...



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  • Cathy, ma voisine chérie
    par Etranges Delires

    A 30 ans, je n'avais encore jamais eu d'expérience homosexuelle et je n'en avais même jamais eu le fantasme. Non pas que de voir des femmes ensembles m'eusse dérangé, chacun mène sa vie comme il l'entend, mais en mon âme et conscience ce n'était pas mon truc. Aujourd'hui encore je ne pense pas être lesbienne, même si souvent les apparences sont contre moi. En tout état de fait je ne me ressens pas comme telle. D'ailleurs, Catherine mise à part, je n'éprouve vraiment aucun désir de ce côté.

    La Catherine en question est une petite brune mignonnette qui est venue s'installer avec son mari près de chez nous il y a trois ans environ. Aussi brune que je peux être blonde, mais à peu près le même gabarit : 1 m 65, 50 kilos, petits seins pointus, fesses rebondies et petite foufounette très peu poilue, mais bien sûr ça ne se voit pas quand les gens nous croisent dans la rue. J'ai tout de suite sympathisé avec elle, dès les premiers jours en fait. Nous allions faire nos courses ensemble et je l'ai très vite affranchie sur tout ce qui peut être intéressant dans notre petite ville... En deux ou trois mois c'est devenu une de mes meilleures copines. Je dois dire que c'est loin d'être le cas de nos maris respectifs. Je ne sais pourquoi mais ils n'ont jamais pu se blairer malgré nos efforts respectifs pour essayer de les rapprocher. C'est vrai qu'au départ ils n'ont pas beaucoup d'atomes crochus. Le mien est cérébral, spirituel, cultivé et intellectuel alors que le sien est plutôt du genre sportif à fond la caisse aussi bien dans les salles de sport que devant sa télé. Mais malgré tout ils auraient quand même pu faire un effort d'autant plus que Claude est charmant et que Damien, malgré sa timidité, est très abordable. Mais non, il doit y avoir quelque chose de particulier dans leurs caractères respectifs, quelque chose de répulsif qui fait qu'ils ne peuvent pas se supporter. Et après avoir imposé deux ou trois soirées, Catherine et moi, pendant lesquelles ils se sont regardés en chien de faïence, nous avons décidé d'arrêter. Et nous nous voyons sans eux, dans la journée, pour ne pas les déranger.

    Nos rapports faits d'amitié et de complicité auraient pu rester ainsi toute la vie si un jour en rentrant chez Catherine à l'improviste, je ne l'avais trouvée à moitié nue sur son canapé et en train de se caresser. Elle était allongée sur le dos, la tête posée sur l'accoudoir, la jupe complètement relevée et les cuisses largement écartées. Elle se branlait comme une folle en fermant les yeux et en se mordant les lèvres et avait l'air de vraiment prendre son pied. Pour moi c'était nouveau, c'était la première fois que je voyais une fille se caresser en réel devant moi-même si bien sûr je l'avais déjà vu dans des films érotiques. Aussi, je restai là quelques instants par simple curiosité. Simple curiosité oui, aucun voyeurisme et aucun désir trouble. Je pensais même que j'allais m'éclipser pour la laisser tranquille et que je reviendrai plus tard. Partir à petits pas de loup comme j'étais venue, sans rien dire pour qu'elle ne se sente surtout pas violée dans son intimité, et j'allais le faire... Mais tandis que je reculais, j'entends une voix qui me dit :

    - Excuse-moi Valérie, je suis désolée, j'aurais du pousser le verrou pour faire ça.

    Et je la vois qui se redresse lentement.

    - Euh ! Non, c'est moi, j'aurais du frapper avant d'entrer.

    Et comme je continue à reculer.

    - Non, reste, tu ne me déranges pas. D'ailleurs j'ai fini et je peux recommencer plus tard si j'en ai envie.
    - Je suis navrée, je t'ai tout coupé ma pauvre.

    Elle éclate de rire.

    - Oh ! Arrêtes, ce n'est vraiment pas grave. Je ne t'ai pas choquée au moins.
    - Non pas du tout, moi aussi ça m'arrive. (Ce qui était vrai, bien qu'assez rare j'en conviens !)
    - Et si on le faisait ensemble ? Tu penses à quoi quand tu le fais ?

    Je suis très gênée car je n'ai pas trop l'habitude de ce genre de confidence, même à ma meilleure amie.

    - Euh ! A Damien... Je revois des scènes érotiques.
    - J'aimerais te demander quelque chose Valé mais je n'ose pas trop.
    - On est copines ou pas ?
    - Comme tu voudras ! Maintenant que tu m'as vue faire, est-ce que ça te gênerait beaucoup de me montrer comment tu fais toi, comme ça nous serions à égalité.

    Je suis sous le choc, je n'ai pas imaginé ça, inutile de dire que je n'ai pas du tout envie.

    - Euh...
    - Si tu n'as pas envie dis-le-moi franchement, je ne t'en voudrai pas.

    Malgré moi, presque à contrecœur, je me vois relever ma jupe et commencer à me caresser maladroitement par-dessus la culotte. Je suis hyper gênée, d'autant plus qu'elle me matte les yeux grands ouverts. J'essaie de m'appliquer. Sans grande conviction, j'écarte ma culotte et glisse mes doigts entre mes lèvres fines. Elle n'en perd pas une miette. De son côté, elle a relevé de nouveau sa robe et a recommencé à se caresser. Elle ne porte pas de culotte et sa petite chatoune est presque entièrement rasée avec simplement une petite touffe en haut. Elle est plus douée que moi en tout cas. En plus je suis stressée, coincée, je fais cela entièrement pour lui faire plaisir, mais pour ma part je n'ai aucun plaisir. Elle s'en aperçoit bien entendu.

    - Allez viens Valé, c'est juste pour rigoler, viens t'asseoir près de moi, si tu veux on arrête.

    Je viens près d'elle tout en continuant à la regarder. En passant à ses côtés, je sens son odeur qui me monte au nez, qui me monte à la tête. L'instant d'avant impersonnelle, maintenant je suis troublée. Alors assise à côté, je recommence à me caresser mais cette fois pour de vrai, je me sens mouiller, j'ai envie de plaisir et surtout je ne peux pas me détacher de l'odeur qui émane de son fruit. Alors je fais quelque chose qui me semble insensé, je me penche sur sa chatoune et pose mon nez sur sa touffe. Je suis bientôt saoule de son odeur, saoule et complètement excitée, ma langue glisse entre ses lèvres, ma bouche l'aspire, j'embrasse ce fruit défendu dans cette union qu'on dit contre nature. Et au lieu de me dire que je suis folle et de me repousser, la voici qui tombe en arrière pour m'offrir toute son intimité. Et moi de la lécher au plus profond de son ventre et de chercher son bouton d'amour avec ma langue...

    C'est ainsi que tout a commencé. Et depuis c'est presque tous les jours malgré nos vies de couple et nos occupations professionnelles. Nous nous arrangeons toujours pour nous retrouver, ne serait-ce que quelques minutes, nous ne pouvons plus nous en passer. Et pourtant aucune de nous deux n'avait eu la moindre expérience féminine avant cette rencontre. Nous avons peu à peu appris à mieux nous connaître, à apprécier nos réactions et à les domestiquer, à nous exciter mutuellement, en cherchant à nous donner le maximum de plaisir. Et vraiment ce sont des moments inoubliables.

    Depuis, elle et son mari ont quitté la ville, alors on s'est écrit, on s'est téléphoné, puis les contacts se sont espacés, trop espacés, sa ligne ne répond plus, sans doute a-t-elle déménagé une fois de plus...

    Je n'ai jamais remplacé Catherine, et n'envisage pas de le faire... Je me masturbe en pensant à elle

    Si un jour tu lis ce texte, Cathy, je suis convaincue que tu te reconnaîtras. Je veux que tu saches que je n'ais jamais éprouvé autant de plaisir qu'avec toi et que tes caresses me manquent de trop, mon adorable petite chérie...



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