• Où amènent les fantasmes

    Où amènent les fantasmes

    Un homme profite de l'absence de sa femme pour porter des couches, mais sa belle-soeur débarque à l'improviste et exige qu'il joue le jeu à fond...

    Titre original : inconnu Auteur : inconnu Traduction par : Rick44

    J'ai trouvé ce récit sur un site étranger et je l'ai remis en français (texte et prénom), tout en gardant l'énoncé à la première personne.
    J'avoue qu'il m'a fait fantasmer et je pense que vos lecteurs feront de même.
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    A force d'avoir des envies incongrues pour éprouver des sensations nouvelles, il fallait bien que j'ai un jour un problème. Je m'explique.

    Je suis un homme marié de 35 ans et ma femme, magnifique blondinette de 29 ans, sans être frigide, éprouve beaucoup moins d'envies que moi. Ce qui m'incite à chercher des dérivatifs pour assouvir mes pulsions. Comme je ne veux pas la tromper, j'ai tenté de me satisfaire à travers des fantasmes axés sur le SM et dernièrement sur les rapports DL. La lecture de certaines histoires m'a énormément excité et cela m'a incité à tenter d'en revivre certaines. C'est cela qui explique ce que je relate après et les problèmes (si l'on peut dire) rencontrés.

    Après avoir lu le récit d'un homme obligé de porter des couches à la maison, je me suis décidé un matin ou j'étais seul chez moi à aller acheter des couches et je suis parti au supermarché le plus proche. Devant le rayon, j'ai mis au moins vingt minutes à oser prendre un paquet de couches adulte. Je ne vous raconte pas la gêne éprouvée au passage à la caisse, avec l'impression que tous les gens me regardaient et se moquaient.
    Ouf ! Sorti de là, je rentrai vite à la maison déballer mon trésor et, pris de frénésie, je me dénudai et j'enfilai une couche. Quelle sensation ! L'impression d'être au chaud, bien protégé. Devant la glace de la salle de bain, je m'admirai et regardai avec excitation mon postérieur qui me paraîssait imposant. Après avoir mis un pantalon plus ample que d'habitude et prenant mon courage à deux mains, je me décidai à sortir pour aller chercher le journal. Là aussi, quelle sensation de parler à la libraire que je connaissais bien, jusqu'au moment où elle me demanda si je n'avais pas un peu épaissi depuis que j'avais arrêté de fumer. Subitement rouge, je lui répondis que si, un petit peu, et je vis qu'elle souriait, mettant ma rougeur subite sur le compte de sa réflexion. La leçon avait porté et je me dis qu'il faudrait que j'évite d'être en couche devant des gens que je connais, car ils remarqueraient la différence.

    Les semaines qui ont suivi me permirent de porter à plusieurs reprises des couches lors de l'absence de mon épouse, sans d'ailleurs faire pipi dedans, cependant je ne pris pas le risque de ressortir langé.

    La catastrophe arriva un lundi matin de juillet. Ma femme venait de partir pour la semaine en congé chez ses parents à Marseille, sans que je ne puisse l'accompagner à cause de mon travail tous les après-midis. Ce lundi donc, je me mis une couche et restai comme cela. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que ma belle-sœur, une mignonne chipie délurée deux ans plus jeune que ma femme, passe à la maison chercher des affaires. Comme elle avait la clé, je ne l'ai pas entendu entrer et c'est seulement son exclamation devant le spectacle qui m'avertit de sa présence :
    - Qu'est que c'est que ça ? Tu portes des couches maintenant ? Tu as un problème d'incontinence ?

    Je me sentis devenir rouge, incapable de parler, bredouillant vaguement une excuse idiote.
    Elle se mit à sourire, puis à rire en me regardant :
    - C'est pas vrai ! J'ai lu que certains hommes jouaient au bébé, mais je n'aurais jamais pensé que tu le faisais ! Assieds-toi et racontes-moi sans mentir.

    Toujours rouge comme une tomate, essayant bêtement de cacher ma couche avec mes mains (tu parles si c'est facile) je lui raconte mes envies que sa sœur ne veut pas satisfaire, mes tentatives SM sans succès (tout seul, c'est pas marrant) et comment j'ai eu envie d'essayer les couches, mais uniquement à la maison.

    - En voilà des idées ! me dit-elle en souriant. Mais comme je suis bonne pâte et que tu n'as pas trompé ma sœur, je vais t'aider à assouvir tes pulsions, cette semaine.
    - Euh, ne t'inquiètes pas, j'ai fini et je te promets de ne plus recommencer.
    - Pas de ça, mon petit gars, si tu ne veux pas que Joëlle (ma femme) apprenne des fredaines, tu vas m'obéir cette semaine et faire tout ce que je veux, ça va te plaire, toi qui aime le SM ! me répondit ma charmante belle sœur.

    Malgré mes suppliques, Hélène ne voulut pas en démordre et devant ses menaces d'appeler sa sœur, j'obéis à son premier ordre en allant lui chercher mes réserves de couches qu'elle inspecta avec attention.

    - Viens ici et allonges-toi sur la table de salon ! me dit elle.
    Elle entreprit de me mettre une deuxième couche par dessus la première. A peine eut-elle fini que je me relevai. Mon derrière était énorme et j'eu un peu de mal à serrer les cuisses, le paquet entre elles étant devenu très épais.
    - Va passer un pantalon que je vois l'effet, me dit Hélène.
    Toujours honteux et n'osant pas la rabrouer, j'allai chercher un pantalon, mais je m'aperçu vite que je n'arrivais même plus à le fermer. La bosse formée par le devant des couches était trop épaisse.
    - C'est pas grave, mets ton pantalon de jogging, il est plus large !

    Devant Hélène, j'avais l'air d'un imbécile avec mon gros cul bien moulé par le jogging (ceux qui en mettent savent que ces pantalons sont en tissus élastique et fluide) qui révèlait sans problème ce que je portais en dessous.
    - Bien, dit-elle, toi qui voulait être contraint, tu vas l'être ! Mets ton pull, on va faire des courses !
    - Non, je ne vais pas sortir comme ça ! Ca se voit trop ! Je ne peux pas !
    - Mon petit beau-frère adoré, ou tu sors ainsi ou je dis tout à Joêlle. Tu as le choix, mais si tu discutes encore, je te promets des complications pour ta semaine.

    Marcher dans la rue dans cette tenue me fit éprouver des sensations fortes. Honteux, essayant au mieux de me cacher, je suivis ma belle sœur qui m'entraînait vers le supermarché en me tenant la main. Arrivé devant l'entrée, je n'en menais pas large, mais Hélène resta discrète et ne fit pas de commentaire à voix haute.
    Elle se contenta de me dire de rester là et d'attendre qu'elle fasse ses achats.

    Rester debout devant une entrée de supermarché avec la foule qui passe est une vraie torture lorsqu'on est dans ma situation. Je poussai un soupir de soulagement en voyant Hélène arriver et m'empressai de la suivre vers la maison, avec toujours l'impression que tous regardaient mes fesses.

    En chemin, elle rit en me regardant et me dit :
    - Ne te presse pas tant, je t'assure que les gens ne font pas attention et si tu connaissais la suite, tu ne serais pas si pressé !

    Bien qu'inquiet à cause de ses paroles, je poussai un soupir de soulagement en rentrant.

    - Je fais le repas, on mange ensemble et je m'occupe de toi pour cet après midi, me dit Hélène.
    Le repas ne fut pas très gai pour moi, assis sur mon derrière rembourré, mais Hélène souriait pour deux.

    Le repas à peine fini, je déclarai que je devais aller travailler et me dirigeai vers la chambre pour remettre une tenue plus conforme à mes obligations, mais Hélène m'arrêta d'une phrase :
    - Tu ne penses pas pouvoir te délivrer, n'oublies pas que tu ne veux pas que Joëlle apprenne tes folies.
    Tu obéis sans discuter !

    Une demi-heure après,je partais effectivement travailler, mais pas dans la tenue que je voulais.
    Hélène avait changé ma couche, à ma grande honte, après m'avoir rasé les poils du pubis :
    - Tu diras à ta femme que c'est pour lui plaire !
    Elle m'avait talqué les fesses et ne m'avait remis qu'une couche culotte renforcée par une couche droite assez épaisse qu'elle avait acheté. De plus, elle m'avait passé en supplément un ensemble de lien de cuir autour de la taille et entre les jambes, qu'elle avait verrouillé avec un cadenas. Bien sûr, mon cul était moins imposant, mais je n'avais pas eu l'autorisation d'aller aux toilettes avant de partir et je sentais une forte envie arriver alors que je ne pouvais pas retirer mon harnachement.

    Je me suis retenu un maximum de temps, mais ne pouvant plus tenir, j'ai fini par me laisser aller dans mes couches que j'ai sentis s'alourdir au fur et à mesure que mon urine s'écoulait dedans.
    J'avais beau être seul dans mon bureau, j'ai passé l'après-midi en redoutant la venue d'une personne, l'odeur même légère me semblant impossible à ne pas remarquer.
    Dès 18h00, j'ai plié mes affaires et suit sorti pour trouver Hélène qui m'attendait à l'entrée en discutant avec certains de mes collègues. J'ai du attendre sans rien dire, en me dandinant sur place, qu'elle veuille bien rentrer car une envie de grosse commission m'avait pris.

    Arrivé à la maison, je lui demandai de me libérer pour aller à la selle, ce qui la fit rire à nouveau :
    - Tu n'as pas compris, Bébé tu voulais être, Bébé tu seras toute la semaine ! Et les bébés ne vont pas aux toilettes, ils ont des couches pour cela.
    Gémissements et plaintes n'y firent rien, je fini par me soulager dans mes couches que je du les garder jusqu'au matin quand Hélène me changea à nouveau. Toute la nuit je me suis tourné dans mon lit sans pouvoir dormir et l'odeur devenait nauséabonde.

    Le matin, Hélène arriva vers 8h00 et me délivra pour que j'aille me nettoyer mais me remis immédiatement la même chose : couche culotte renforcée par une couche droite. Puis nous sommes allé prendre le déjeuner à l'extérieur.

    Voilà, toute la semaine s'est passée à ce régime et je dois avouer que malgré ma gêne extrême, j'ai fini par prendre plaisir à être soumis à ma belle-sœur qui, à part pour me changer, ne m'a jamais touché ni permis de me soulager de mes tensions sexuelles. J'ai du attendre le vendredi après midi, juste avant le retour de Joëlle, pour être libéré et retrouver une tenue classique.

    Ma femme n'a jamais rien su de cette aventure mais en compensation de son silence, Hélène m'oblige à être garni selon ses souhaits les jours où ma femme est absente, ce qui souvent me donne des sueurs froides de peur de ne pas être délivré avant son retour.



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