• Récit de Baby Plast

    Récit de Baby Plast

    AUTEUR : Baby Plast

    Dernièrement, j'étais en déplacement à Orléans lorsqu'un soir je décidais d'aller faire un tour en boite. Inutile de préciser que sous mon pantalon, je portais une culotte en plastique ouvrante "Laborantine" avec une jolie couche droite de couleur bleue...

    Et c'est ainsi que je pénétrais dans un de ces clubs fréquentés essentiellement par des VRP en goguette et des militaires. Nous étions en semaine et il n'y avait pas grand monde... 10 clients tout au plus... Je commandais une vodka au bar et m'assis à une table sur le bord de piste. Une fois bue la vodka et inondée la couche, après avoir inspecté la salle, je commençais à m'ennuyer. La musique était upper-bottom et, comme je me levais pour m'en aller, une voix au ton rieur m'apostropha :
    - "Vous partez déjà ?"
    C'était une blonde d'une trentaine d'année, plutôt BCBG dans l'ensemble mais gaie. Heureusement qu'elle avait signalé sa présence car sinon je lui tombais dessus. Pour m'excuser de ma goujaterie et ne pas laisser une dame sur une si mauvaise impression, je l'invitais à partager une coupe, après avoir manifesté mon état d'esprit par des mots, qui, quoique d'usage n'en n'étaient pas moins sincères. Nous parlâmes de choses et d'autres pendant un bon moment...

    Elle était acheteuse de prêt-à-porter pour un grand vépéciste d'Orléans et, après une dure journée de négociation qui venait de s'achever, elle était venue boire un verre avant d'aller se coucher. Au bout d'un moment, elle me demanda si je voulais danser un rock avec elle. Je m'exécutais de bonne grâce. Puis ce fut un deuxième et un troisième. Puis tout à coup, la piste se fit plus sombre et un slow commença. Elle passa ses bras autour de mon cou, gentiment, naturellement. Et nous voilà parti dans un slow des plus lents. J'eus la chance de la faire rire.. Elle se rapprocha de moi.. Je la serrais un peu plus dans mes bras...
    Ma bouche frôla son cou puis se posa sur sa bouche, doucement... Elle s'empara de la mienne... Un baiser pareil ça se voit rarement. Ils en parlent encore dans cette boite... Tout à coup, une idée me transperça... Ma couche trempée et ma culotte plastique sous mon pantalon ça peut faire mauvaise impression. Le truc pas roots du tout. Mais alors ! Pas du tout. Et pourtant, je ne me voyais pas la plantant là ! Je poursuivis donc avec l'angoisse au ventre. Et puis tout à coup, je finis par conclure qu'on verrait bien.

    Tandis que nous nous embrassions, sa main descendit le long de mon dos et finit par se poser sur ma hanche. Je baissais la mienne a hauteur de ses fesses. Sa main se posa sur mes fesses. Je la sentais au travers de la couche... Une fois la série de slow finie, nous échangeâmes notre place contre une autre sur une banquette au sombre et à l'écart.

    Au cour d'une étreinte, sa main se posa sur la braguette de mon pantalon qu'elle appuya avec de plus en plus de force. Puis sa main enserra ce qui devait être mon pénis et explora le long de la braguette serpentant à l'entrejambe pour finir par se glisser sous mes fesses qu'elle souleva avec détermination.
    Puis, sa main revint par le même trajet à son point de départ. L'autre main la rejoignit et sans quitter ma bouche, elle entreprit de défaire ma braguette. Puis sa main se glissa à l'intérieur de mon pantalon à même la culotte de plastique. J'étais pétrifié de panique.
    - "Je n'osais le croire", me souffla-t-elle dans l'oreille. "Qu'est-ce qui t'arrive ?"
    Je me lançais dans une courte explication hachée par l'émotion. Un accident de voiture.. Un trauma crânien.... Séquelles... perte de contrôle de certains muscles... Incontinence. Elle me mordilla l'oreille puis me miaula :
    - "Pauvre chéri... ce n'est pas grave..."
    Sa main glissa de nouveau à l'intérieur de ma braguette et entreprit de me malaxer au travers de la culotte plastique. Le baiser fut passionné. Ma main qui s'était glissée sous sa jupe rencontra une culotte trempée garnie de ce qui me parut être une serviette périodique de grande taille.
    - "Tu vois, moi aussi parfois je m'oublie. Surtout dans les réunions qui durent. Il m'arrive de me faire pipi dessus.
    Sa main enleva la mienne."
    - "Viens ! On va chez moi", dit-elle en se relevant. "C'est tout à côté."

    Et nous sortîmes bras dessus, bras dessous, amoureusement enlacés. Arrivés dans son appartement, elle me poussa contre le mur. Nous nous embrassâmes farouchement. Je pressais ses fesses au travers de sa robe. Elle me pelota le cul furieusement. Elle me plaquait et agitait ma couche entre mes jambes. Ma main caressait sa chatte inondée par dessus sa culotte et sa petite couche. Nous roulâmes sur le sol.
    - "Sale pissou ! sale pissou !" répétait-elle. Puis, soudain se dégageant :
    - "Viens on va se mettre à l'aise."
    Elle se dirigea alors vers ce qui semblait être le salon.
    - "Assieds toi", dit-elle me montrant un canapé. "Veux tu un scotch ?"
    J'acquiesçais de la tête tout en m'asseyant . Elle nous servit un verre à chacun. Puis, revenant vers le canapé, elle me tendit un verre bien rempli.
    - "Tu devrais enlever tout ça", dit-elle en pinçant mon pantalon entre le pouce et l'index.

    Je bus une grande gorgée de whisky autant pour me donner une contenance que pour m'instiller du courage. Je n'osais me montrer simplement muni d'une culotte de plastique blanche retenant une couche imbibée de pipi. Elle dissipa ma honte en enlevant d'un geste rapide sa robe courte me dévoilant une culotte qui avait peine à retenir une couche blanche, apparemment trempée et qui débordait à l'entre jambes. Pendant que j'ôtais mes chaussures elle se coucha sur le canapé sa tête posée sur mes genoux me faisant face. Ma chemise retrouva les chaussures sur le sol.
    - "Aller ! Enlèves ton pantalon."
    Comme j'hésitais, elle se leva et, sur un ton qui n'admettais pas de répliques, elle intima :
    - "Allonges toi sur le canapé que je vois comme tu es fagoté, petit pisseur !"
    J'obtempérais. Elle défit alors un à un les boutons qui fermaient mon futale puis tirant sur le bas à l'endroit des chevilles elle le tira et le jeta au loin avec le reste de nos affaires.

    J'étais à présent couché sur le canapé, nu, à l'exception de la culotte en plastique rembourrée dont la translucidité laissait clairement deviner l'état de la couche qui la garnissait. Elle glissa alors deux doigts à l'entrejambes entre la peau et l'élastique de la culotte. Le bouton pression du bas lâcha tandis qu'elle agrippait ma hampe toute raide. Ma main s'insinua à l'intérieur de sa culotte, entre la couche et sa peau mouillée. Elle s'assit à mes cotés comme si les jambes lui manquaient et me prenant les lèvres elle m'administra un baiser tandis que nous nous branlions mutuellement à même nos couches. L'orgasme nous laissa momentanément exténué.

    J'en profitais pour allumer une cigarette et finir mon verre. Nous entamâmes une discussion dont il ressortit que nous étions tous les deux fétichistes des culottes en plastique, des couches et des pipis. Notre bébéphilie ne comprenant pas d'attirance pour les suces et autres accessoires, nous étions heureux de pouvoir partager notre secret.

    Reprenant ses esprits, Maud se leva et se dirigea vers une autre pièce. Pendant ce temps j'entendais des portes qui s'ouvraient puis se fermaient. Apparemment Maud s'activait ferme. Imaginant qu'elle se lavait, je m'abandonnais à la quiétude ambiante et fermais les yeux.
    - "Tu ne vas pas rester ainsi tout seul le reste de la nuit ? Viens me rejoindre..."
    Je me dirigeais vers le son de sa voix qui me conduisit tout droit dans une coquette chambre. Sur le lit Maud avait étendu une alèse en caoutchouc bleu et tout autour, étaient disposés des lingettes, du lait pour bébé, de la crème pour le change et du talc. Sur le bord supérieur, à côté de l'oreiller trônaient couches, changes complets ainsi qu'une magnifique culotte de plastique rose irisée qui m'émut énormément.
    - "On ne va pas se coucher sans s'être changés, non ?" demanda-t-elle.
    - "D'accord, je vais te changer ta couche mon bébé."
    Elle s'étendit sur alèse et ferma les yeux.

    - "Je suis une vilaine. Regardes comme j'ai fait pipi dans ma couche. Ma culotte est toute mouillée. Tu ne vas pas me gronder, mon chéri ?" s'exclama-t-elle avec une voix enfantine que je ne lui avais pas encore entendue.
    Je passais ma main sur sa culotte trempe en insistant à l'endroit de sa foufoune.
    - "Ah ! c'est du propre. A ton âge. Pisser dans sa culotte. Heureusement que tu avais une couche car sans cela bonjour les dégâts. Sale petite pisseuse !"

    Elle ouvrit largement ses cuisses dévoilant à l'envie les bords blancs de la couche se détachant sur sa culotte noire. J'attrapais sa culotte par les côtés et d'un geste énergique la fit glisser le long de ses jambes jusqu'à l'ôter. Je rabattis alors la couche sur le devant, entre ses jambes. Une doucereuse odeur de pipi
    monta jusqu'à mon nez me troublant.
    - "Je ne sais pas ce qui me retient de te donner une fessée pour t'apprendre à être propre. Tu te conduis comme une petite gamine mal élevée. Tourne-toi. Mets-toi sur le ventre."
    - "Non, je t'en prie pas de fessée. Ne me tapes pas. Je te promets de ne plus jamais recommencer. Je ne ferai plus pipi dans ma culotte."
    Saisissant alors sa couche trempe à plaine main, je lui en administrais trois ou quatre coups sur les fesses tout en lui mettant la culotte sous le nez.
    - "Sens cette culotte de petite fille attardée. Tu crois que je peux l'admettre ?"
    Ses fesses joliment rebondies se trémoussaient pendant qu'elle se débattait. Je me fis alors tout doux et passant ma main sur son cul je lui confiait :
    - "Chérie, tu as le derrière tout irrité de pipi. Heureusement que je suis là. Je vais bien prendre soin de toi mon bébé. Je vais te nettoyer ton beau petit derrière, changer ta couche et te mettre une jolie culotte de plastique pour que tu puisses faire de beaux rêves, au sec."
    Saisissant une lingette dans la boite, je l'imbibais de lait de toilette et entrepris de lui nettoyer les fesses doucement en insistant bien entre les lobes jusque dans le petit trou.
    - "Quel joli derrière il a mon bébé. Et, la petite foufoune ? Montre ta petite foufoune mon ange."
    Elle se retourna et je fis à l'identique sur le devant en insistant bien à l'endroit du sexe. Puis, estimant que la propreté régnait désormais, je me saisis du tube de crème babivéa . J'en extrayais une grosse noix que je mis en devoir d'étaler partout, devant et derrière, en insistant bien sûr à l'endroit du clito, de la vulve et du petit bouton de rose. Elle se trémoussait comme un vrai bébé. Gigotant des jambes pour marquer son plaisir. Sa zizounette recommençait à mouiller et mon doigt s'enfonçait dans n'importe lequel de ses petits trous comme dans du beurre. Je la caressais ainsi pendant un long moment évitant seulement de l'amener à l'orgasme. Elle criait de plaisir :
    - "Ouiiii ! ! ! C'est bon... J'aime... Je suis ton bébé... Encore... mets moi bien de la crème... pour que mon petit cul sente bon..."
    Quand je vis qu'il me devenait difficile de contrôler la situation, j'arrêtais de la caresser :
    - "Maintenant, mon bébé, tu sens le cucu propre. Cette nuit, tu pourras faire ton petit pipi dans ta couche sans risquer de bobos."
    Ce disant, je me mis en quête des différents langes que je voulais lui mettre pour la nuit. Il y avait là, des changes complets pour incontinent, des couches blanches spécial nuit bien épaisses , des langes en gros coton, des pointes à nouer en plastique, et une très jolie culotte en plastique d'un magnifique rose irisé. Je pris deux grosses couches en ouate, une pointe à nouer en plastique, une couche en coton et la culotte de plastique rose.

    Je glissais sous ses fesses la pointe à nouer munie des deux couches en ouate blanche. Je saupoudrais Maud de talc en même temps que j'en aspergeais les couches et la pointe. Dans la pièce s'avançait une douce odeur de talc. J'écartais bien les cuisses de Maud afin de disposer les deux couches épaisses puis nouait les côtés de la pointe dont vérifiais l'étanchéité en passant deux doigts à l'entrecuisse. Maud soupira de contentement. Sur la pointe, je disposais une couche en coton bien moelleuse et épaisse que je fixais à l'aide d'épingles de nourrice de bonne taille. Comme je me penchais pour fixer la seconde épingle, la plus éloignée de moi, je sentis une main pénétrer ma culotte en plastique et se saisir de mon vit qui se trouvait dans un état que ne renierait pas l'obélisque. L'autre main m'attira et je me retrouvais plaqué contre la
    bouche de Maud qui m'embrassa goulûment. Il me fallut beaucoup d'énergie pour résister à cette double agression et c'est au bord de l'éjaculation que je pus enfin reprendre le change de Maud.
    - "Il va falloir que tu m'aides petit chou... Regardes la jolie culotte rose que je vais te mettre pour que tu puisses faire pipi sans mouiller ton lit."

    J'introduisis alors la jambe gauche de Maud au travers de l'entrejambe de la culotte en plastique, puis la droite dans l'autre ouverture et tirais enfin la culotte vers le haut. Elle fit un joli bruissement de plastique quand je la fixais aux hanches de Maud. Je me reculais pour admirer mon travail.

    Maud était magnifiquement belle avec son gros paquet rose autour des fesses. Elle se leva et alla s'admirer dans le miroir. Elle poussait des petits cris en battant les bras. Manifestement elle aimait. Je me laissais alors tomber sur le lit en fermant les yeux. Trop... c'était trop... J'entendis alors un doux froufroutement et la voix de Maud me susurrer :
    - "Laisse toi faire et n'ouvre pas les yeux, mon petit bébé chéri."

    Quoiqu'il arrive j'avais décidé de me laisser faire.
    Je sentis ses doigts défaire les 6 boutons pressions de ma culotte et en rabattre le devant de la poche en plastique contenant la couche trempe sur mes jambes.
    - "Pauvre petit garçon, ta couche est toute mouillée. Heureusement que je suis là."
    Ce disant elle me fit soulever le bassin et, faisant glisser promptement la culotte en plastique par-dessous mes fesses, me l'ôta.
    - "Il était temps ! Il faudrait te changer plus souvent. Ta nurse ne te l'a pas déjà dit ?"
    - "Je n'en n'ai pas."
    - "Il va falloir y remédier rapidement. Un petit garçon dans ton genre a absolument besoin de quelqu'un pour s'occuper de lui et vérifier l'état de sa couche plusieurs fois par jour."
    Ces mots eurent un effet sur moi que je ne pourrais décrire ; la seule réaction visible fut que je sentis mon pénis se durcir et prendre une érection à la limite du douloureux.
    - "Mon petit chéri veut jouer au grand alors que, comme moi, c'est un vilain petit pisseux qui ne peut se passer de nurse pour le langer. A ton âge Il n'y a pas de quoi pavoiser."
    Et, sur ces paroles, elle s'en fut soudain dans une autre pièce. Dans la demi pénombre de la chambre, je l'attendais, nu sur l'alèse en plastique.
    Je ne sais si c'est l'alcool ou bien la difficulté de la journée mais, bientôt une douce léthargie me gagna. Je m'abandonnais au sommeil.

    Je me réveillais en sursaut. Elle se tenait à califourchon sur ma poitrine. Je sentis l'odeur plastique de sa culotte et, ses mains chaudes se posèrent sur mes bras. - "Non..., que fais tu?"
    - "N'aie pas peur, mon tout petit. N'ayant pas de nurse je suis sûre qu'on ne s'occupe pas de toi comme il faudrait. Alors j'ai décidé de vérifier tranquillement."
    - "Non! S'il te plaît Maud, pas ça ! Pas ça!"
    J'étais littéralement paniqué. Jamais je n'aurais imaginé un tel enchaînement. J'essayais de me débattre en agitant les jambes tant que je pouvais.
    - "Arrête de faire le vilain ou je t'attache les jambes aussi. Si tu continue je vais te donner une fessée."
    Elle était toujours sur moi. Elle me caressa doucement les cheveux puis se pencha vers mon oreille :
    - "Tu vas aimer mon petit poupi. Je t'assure que tu vas aimer."
    Ceci eu pour résultat de me tranquilliser. Alors elle m'embrassa passionnément. Sa langue s'agitait dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Brusquement elle se dégagea.

    Je ne sais si c'est à cause de sa position sur mon ventre ou de l'angoisse que je venais de me payer mais soudain une envie de faire pipi me prit d'assaut, violemment.
    - "Pipi! J'ai envie de pipi."
    - "et tu n'as pas de couche ! Attends !
    Je me sentais désemparé. Nu, attaché, couché, à sa merci.

    Elle se saisit alors de mon zizi, entrebâilla sa culotte, le glissa tout au fond de la moiteur ses langes et me souffla à l'oreille :
    - "Vas y, mon bébé fait pipi."
    Et elle recommença à m'embrasser.
    Je libérais alors le flot qui comprimait ma vessie pendant qu'elle me caressait la poitrine, puis les fesses. Sa main se mit à tourner autour de mon petit trou, soudain je sentis un doigt me pénétrer le cul.
    - "Tu aimes ça, hein ?"
    Tu parles si j'aimais ça. C'était fou. Sa main libre avait plongé dans ses couches saturées par mon pipi et elle se branlait furieusement.

    Soudain elle sembla se calmer un peu. Elle changea de position pour venir mettre la tête à hauteur de mon sexe qu'elle prit dans sa bouche sans arrêter de se caresser. Elle entreprit alors de me faire une fellation en bonne et due forme. La jouissance nous atteignit en même temps et nous laissa harassés, pantelants et exténués.

    Au bout de quelques temps, elle eut la force de me mettre un change complet sous les fesses qu'elle emplit de lait nettoyant pour bébé, et, sans me détacher, se lova contre moi. C'est ainsi que le sommeil nous emporta...

    Baby Plast



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