• L'homme-chien

    AUTEUR : piedestal

    Elle avait savouré la situation dès les premiers instants, lorsqu'elle lui avait demandé de se déshabiller devant elle. Il était si gêné... Elle, très calme, était assise sur le canapé, jambes croisées, jouant distraitement avec sa cravache tout en lui donnant ses directives. Elle ne s'était levée qu'après qu'il eût adopté la position qu'elle souhaitait lui voir prendre, à genoux, mains derrière le dos, tête baissée, soumis à elle. Elle s'était alors approchée de lui, avait caressé sa peau nue du bout de la cravache, comme pour lui faire sentir l'étendue du pouvoir qu'elle entendait exercer sur lui. Et comme si en réponse il avait voulu l'assurer de sa soumission, il avait baisé avec délicatesse la main qu'elle avait présenté à ses lèvres, puis le bout de ses doigts. C'était le seul contact physique qu'elle lui avait accordé. Tandis qu'elle lui attachait le collier avec une application tranquille, il ne pouvait s'empêcher de repenser à la manière dont les choses s'étaient déroulées... Lorsqu'elle lui avait annoncé avec gourmandise qu'elle allait prendre plaisir à le dresser, ce n'était encore que des mots. Mais dès qu'elle lui avait donné ses premiers ordres, d'une voix douce mais ferme, il avait senti toute sa détermination à le dominer. Elle habillée, lui quasiment nu, cette image le troublait. Il se sentait si vulnérable, sans défense face à la volonté supérieure de cette jeune femme qui faisait déjà de lui un animal qu'on contemple, qu'on caresse, dont on cherche à apprécier la valeur. Représentant le sexe fort, il s'était laissé dépouiller de sa dignité, acceptant de lui offrir la démonstration de sa véritable faiblesse en gage de respect et d'admiration pour elle. Elle lui avait juste demandé de lui retirer ses bottes afin de se sentir plus à l'aise, et rien de plus. C'était le premier et dernier acte de servitude qu'elle avait réclamé avant de se saisir du collier et de s'approcher de lui. Jamais aucune des femmes qu'il avait connues avant elle n'aurait songé lui imposer une telle humiliation, le traiter comme un animal encore un peu sauvage que l'on domestique. Le contact du collier, la sensation de gêne lors du serrage, c'était lui faire sentir physiquement ce qu'être soumis veut dire.

    Soudain, un ordre bref le tira de ses réflexions : "A quatre pattes"

    Surpris, il obéit, mû par réflexe, sans même s'apercevoir qu'il venait ainsi de se mettre dans la peau de l'animal qu'elle voulait qu'il soit pour elle.

    L'instant d'après, une traction sur la laisse lui fit comprendre que les choses sérieuses commençait. Elle se contenta dans un premier temps d'une simple petite promenade, une sorte d'échauffement. Il la suivait un peu maladroitement, ne sachant trop quelle posture adopter pour cette première expérience pratique de soumission. Il prit immédiatement conscience de la difficulté qu'il éprouvait à se déplacer sans se meurtrir les genoux. Mais s'il tentait de ralentir la cadence afin de mieux coordonner ses membres, il subissait alors la traction inconfortable de la laisse sur son cou. C'était sa sanction s'il ne parvenait pas à adapter son rythme au pas de sa maîtresse. Après quelques tours, la jeune femme s'arrêta et il en fit aussitôt de même, soulagé. Elle en fut fâchée et tira sèchement sur la laisse

    "Au pied !" lâcha-t-elle d'un ton autoritaire

    Penaud, tête basse, il vint se positionner près de la jambe de sa maîtresse, comme l'aurait fait un chien. Un instant, il hésita à se coucher au sol, puis il se dit que ce n'était pas l'ordre qu'il avait reçu. Au pied... ces deux petits mots tout simples lui avaient fait l'effet d'un coup de fouet mental. Des sentiments mêlés se bousculaient en lui. Honte, excitation, admiration pour cette femme qui osait le traiter de la sorte, le dresser comme un chien.

    Sur un ton de reproche, la jeune femme enchaîna "Il va falloir que tu apprennes à mieux suivre mon pas. Il faut que tu t'appliques si tu ne veux pas me décevoir. Est-ce compris ?" Elle lui donna une tape appuyée sur l'arrière de la tête, puis enroula la laisse autour de sa main afin d'en raccourcir l'allonge. De cette manière, elle limitait la marge de manœuvre dont il disposait et dès qu'elle se remit en marche, il ressentit beaucoup plus directement la traction qu'elle imprimait sur son collier. Cette fois-ci, la translation de sa force lui parvenait sans délai et ne lui laissait plus d'autre alternative que de suivre fidèlement la cadence qui lui était imposée. Mais la douleur qu'il ressentait dans les articulations et les genoux n'en était que plus forte, puisqu'il lui était impossible de décomposer suffisamment ses mouvements pour atténuer les chocs de la marche. Ce n'était pas le souci de sa maîtresse, qui continuait à se déplacer tantôt vite, tantôt moins, changeant de trajectoire au gré de ses envies ou en fonction des obstacles, attentive aux réactions de son nouvel homme-chien. Non, décidément, il ne parvenait pas à garder un rythme assez fluide pour qu'elle soit satisfaite... Elle s'était arrêtée de nouveau, à côté du canapé. Juste le temps de récupérer la cravache et d'en porter un coup bien dosé en guise de punition. Il poussa un cri, plus de surprise que de douleur et entendit simplement ces deux mots "applique-toi". Déjà, la traction sur la laisse le contraignait à reprendre sa progression. Il prenait toute la mesure de l'épreuve qu'elle lui imposait et du pouvoir qu'elle exerçait sur lui. La petite main féminine qu'il avait embrassée avec ferveur tenait la laisse qui le guidait. Il savait désormais qu'elle pouvait aussi le battre. Tout en marchant, il regardait cette main à laquelle le reliait la laisse, comme s'il cherchait encore à se convaincre que ce qu'il vivait était bien réel. Et il prit conscience qu'il était fasciné par l'autorité féminine parce qu'elle représentait un mélange de charme et de cruauté auquel il était tout simplement incapable de résister. Après plusieurs tentatives ponctuées d'autant de coups de cravache, il avait fini par progresser sensiblement. Non seulement il marchait bien mieux en laisse courte, le regard fixé sur les pieds de sa maîtresse, mais il avait aussi appris à exprimer sa reconnaissance pour la peine qu'elle prenait à le dresser en embrassant sa main après chaque coup qu'il recevait.

    Après de si vaillants efforts, le temps était venu de jouer.

    Tandis qu'il restait à quatre pattes, tête basse, il vit que sa maîtresse retirait ses chaussettes blanches. Il ne put s'empêcher de dévorer des yeux les pieds charmants qu'elle offrait à son regard, mais ce plaisir fut de courte durée. Déjà, elle s'approchait de lui, une chaussette à la main. En riant, elle la lui pressa contre le visage puis le nez, lui commandant de la flairer comme le ferait un chien.

    "Allez, sens, on va voir si tu es un bon chien..."

    A vrai dire, il n'y avait pas grand chose à sentir. Certes, le coton était encore chaud, à peine humide, mais l'odeur qui s'en exhalait était vraiment toute douce, très délicate... encore quelques inspirations chahutées par un frottement vigoureux et la chaussette vola au travers de la pièce

    "Rapporte"

    Complètement subjugué, il se précipita, accompagné par le rire clair de sa maîtresse.

    Vraiment, il avait du potentiel. Elle l'avait domestiqué avec une aisance qui la ravissait. Parvenu au bout de la pièce, il s'était déjà saisi de la chaussette et la rapportait entre ses dents. Quelques secondes plus tard, il la déposait délicatement aux pieds de sa maîtresse, ployant l'échine devant elle.

    "Bon chien" dit-elle, "donne" Elle n'allait tout de même pas se baisser pour ramasser ! Sitôt la chaussette récupérée, elle la lança de nouveau et le jeu reprit. N'était-il pas merveilleux qu'un homme soit convaincu de la supériorité d'une femme au point d'accepter qu'elle fasse de lui son chien ? Bien sûr, c'était humiliant et elle voyait qu'il évitait son regard. Il devait certainement éprouver de la honte, mais pour elle, la satisfaction n'en était que plus grande car c'était la preuve qu'il était capable de sacrifier sa fierté pour lui plaire. Il pouvait être ce qu'il voulait, faire ce qu'il voulait mais en sa présence, il ne devait plus être que son jouet si elle en décidait ainsi. Le temps qu'il aille chercher et revienne auprès d'elle en soufflant, la chaussette entre les dents, elle avait été prendre un foulard. Elle s'en servit pour lui bander les yeux puis frotta de nouveau la chaussette sous son nez.

    "Flaire, je suis sûre que ça te plait" "Maintenant, tu vas suivre cette odeur comme si je te tenais en laisse. Si tu dévies, je te punirai" C'était un jeu cruel, mais elle se sentait d'humeur espiègle. Elle agita la chaussette à quelques centimètres du nez de son petit mâle soumis et se mit à avancer en vérifiant qu'il suivait bien. C'était amusant, au début elle lui laissa une chance de suivre mais ensuite il ne fallait pas grand chose pour le désorienter et qu'il se trompe, déclenchant la punition. Elle tournait autour de lui, le frôlant, jouant en riant à lui faire perdre jusqu'au sens de l'équilibre. Les coups de cravache qu'elle lui donnait le prenaient toujours par surprise, lui arrachant de petits gémissements très excitants. Elle ne cherchait pas à lui faire mal, juste à le dominer. C'était bon de le tenir ainsi à sa merci. Au bout d'un moment, elle estima qu'il ne devait plus savoir du tout où il en était, mais qu'il avait amplement mérité une récompense pour sa soumission. Elle retira le foulard de ses yeux et lui saisit la mâchoire dans sa main, le contraignant à lever les yeux vers elle. Il ressentit alors un véritable frisson d'admiration et de crainte devant toute la puissance qui émanait d'elle lorsqu'elle le toisait ainsi. Elle le lâcha et lui présenta sa main. Sans hésitation, il se mit à la couvrir de baisers avec une dévotion qui ne la laissait pas insensible. Elle lui sourit puis retourna s'asseoir sur le canapé... D'un petit sifflement, elle lui fit comprendre de la rejoindre, montrant le sol à ses pieds.

    Elle s'étira voluptueusement tandis qu'il restait à quatre pattes face à elle, dans l'attente de ses ordres. Prêt à satisfaire ses moindres désirs. Le voir si humble la comblait d'aise. Homme-chien, homme-objet, si épris d'elle qu'il n'existait que pour lui plaire. Elle remarqua qu'il gardait son regard fixé vers le sol et elle sourit. Elle croisa ses jambes et se mit à balancer doucement son pied nu, vérifiant qu'il ne le quittait pas des yeux.

    "Embrasse mon pied" exigea-t-elle en pointant légèrement son pied vers lui

    Sans hésiter, il s'inclina et commença à embrasser le bout du pied de sa maîtresse avec une exquise délicatesse. Elle sentait son souffle chaud sur sa peau et le contact de ses lèvres sur ses orteils lui procurait une agréable sensation de pouvoir et de bien-être. Encore quelques instants pour se délecter de ce respectueux hommage à sa toute-puissance et elle lui ordonna d'arrêter. Il s'exécuta sans entrain, frustré. Le spectacle de ce petit pied si féminin qui continuait à se balancer si près de son visage sans qu'il puisse l'adorer comme il en avait envie lui arracha un gémissement de dépit dont il ne se rendit même pas compte...

    "Regarde-moi" lui dit-elle.

    De la pointe du pied, elle lui fit lever le menton, l'invitant à obéir. Elle pouvait sentir dans ses yeux toute la détresse qu'il éprouvait à se sentir dominé au point de devoir renoncer à ses propres envies. Mais c'est ce qu'elle attendait de lui. Il était si docile, si soumis à ses moindres volontés. Elle s'amusa à lui faire incliner la tête de droite et de gauche en se servant de son pied. Plus ses mouvements étaient doux, moins il semblait en mesure de résister. C'était comme si elle dissolvait sa résistance physique au point de lui faire épouser ses propres gestes.

    "Interdiction d'embrasser" annonça-t-elle effleurant les lèvres de son esclave de la pointe de son pied. Il se mit à gémir douloureusement. Elle au contraire sentait sa propre excitation croître à mesure qu'elle développait cette torture sensuelle. Petites pressions des orteils contre ses lèvres, subtils effleurements, petites griffures du bout de l'ongle, son souffle s'accélérait mais il n'osait pas désobéir. Bientôt, elle n'y tint plus et commença à dégrafer les boutons de son pantalon. Elle avait reposé ses pieds au sol, désespérant un peu plus son homme-objet, mais elle n'en avait cure, déjà elle faisait glisser le pantalon le long de ses jambes. Elle se leva pour s'en défaire totalement. Lui restait à quatre pattes, un peu perdu. Elle l'empoigna par les cheveux et le fit mettre à genoux devant elle. Avec une certaine brutalité due à l'excitation, elle lui plaqua le visage contre son bas-ventre afin qu'il puisse pleinement participer à a montée en puissance de son plaisir. Elle le sentit embrasser son sexe à travers la fine pièce de lingerie qu'elle avait conservée, puis y frotter l'arête de son nez pour l'exciter davantage. C'était bien de le voir dans de telles dispositions, agenouillé aux pieds de sa maîtresse et prêt à lui donner du plaisir, mais pour elle, ce n'était pas assez confortable à son goût. Elle s'allongea sur le canapé et il vint à elle tandis qu'elle commençait à se caresser. Comme attiré par le pied qu'elle laissait le plus à portée de ses lèvres dans son abandon, il commença par lui embrasser le bout des orteils, le dessus du pied, la cheville, attentif à ses réactions. Puis il continua à monter vers elle en couvrant la jambe de caresses et de baisers. Enfin, il se positionna de manière à pouvoir déposer de petits baisers très doux, très délicats à l'intérieur des cuisses de sa maîtresse. Mais c'est elle qui décida du moment d'amener son visage contre son bas-ventre afin qu'il lui fasse le cunnilingus intense dont elle avait envie.

    Après avoir repris ses esprits et s'être étirée, elle remarqua non sans plaisir que son homme-chien était retourné sagement s'agenouiller au sol et qu'il attendait, soumis à son bon vouloir. C'était vraiment délicieux de pouvoir dominer un homme à ce point se dit-elle. Elle lui adressa un grand sourire et tendit sa jambe pour lui présenter son pied. Récompense, affirmation de son autorité, quelle importance, il embrassa le pied qu'elle lui offrait avec une émotion palpable. D'ailleurs c'est vrai, elle prenait goût à ces démonstrations de soumission. Il y avait un côté romantique à voir un homme aussi disposé à lui baiser les pieds dès qu'il en recevait l'ordre ou l'autorisation. Au moins était-il conscient de sa vraie place et la fierté qu'elle retirait d'être l'objet d'une telle dévotion n'était pas pour lui déplaire...

    "Lèche-moi les pieds" décida-t-elle

    Sans l'ombre d'une hésitation, il obéit. Quelle sensation merveilleuse cette langue douce et agile qui lui caressait les orteils. Ne rien faire que se laisser adorer. Un instant, l'idée que ses pieds ne devaient plus être très propres après avoir longuement foulé le sol lui traversa l'esprit. Mais après tout, elle s'en moquait. Si ses pieds étaient sales, il entrait pleinement dans les attributions de son esclave de les nettoyer avec sa langue. N'était-ce pas une manière de joindre l'utile à l'agréable ? Cette pensée lui plaisait beaucoup. Déjà, elle pouvait sentir de nouvelles ondes de plaisir monter en elle...



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  • Un drôle remède à la déprime

    AUTEUR : inconnu


    J'ai 49 ans et j'habite dans les Vosges (France). Mon Mari, Martin, a 53 ans. est représentant de commerce, il a été licencié voici trois ans et il n'a toujours pas retrouvé de travail.

    Nous nous lassons de toutes ces recherches et son moral est très bas. Heureusement, je travaille, alors nous avons quand même mon salaire. Mais il se sentait très dévalorisé, lui qui gagnait bien sa vie avant. Je sentais qu'il déprimait peu à peu. Le soir il sentait de plus en plus souvent le vin, il tenait des propos ironiques ou destructeurs sur tout. Je songeais presque au divorce, tant il avait changé. Nous n'avions plus de relations sexuelles, dues à son complexe "infériorité" présumée.

    Alors l'an passé, avec vos premières histoires masochistes, j'ai imaginé de transformer sa passivité en soumission, puisqu'il pense avoir perdu sa dignité masculine (encore un fois c'est lui qui croit ça, je souffre pour lui de cette perte de travail). C'est tout un univers que je découvrais. Grace à notre fils qui nous a mis l'internet on peut dire, j'ai vu que des tas de sites existent et donc que c'est une relation qui concerne beaucoup l'imagination des hommes
    et des femmes.

    Alors un soir, l'été dernier, quand notre fils et sa fiancée nous ont quitté après une soirée bien arrosée, Martin s'est assoupi sur la chaise longue de notre terrasse. Il était à plat dos et commençait à ronfler.

    J'avais déjà acheté trois paires de menottes à un outilleur ambulant. J'en ai profité pour lui menotter les pieds ensemble et chaque main aux montants du relax. Ce qui l'a réveillé, c'est quand j'ai déboutonné sa chemise. Je l'ai embrassé à pleine bouche pour l'empêcher de rouspéter et me suis assise à califourchon sur son ventre. Il s'agitait pas mal, et il est plus fort que moi. Alors comme une cowboy sur un cheval furieux, j'ai serré les cuisses et tenu bon. Il s'énervait parce qu'il ne pouvait pas m'empêcher de lui malaxer les têtons. Sous mes fesses
    je sentais que ça commençait à grossir et il se débattait moins. J'ai cessé de le bécoter et lui ai dis de ne pas parler sinon je lui mettais du ruban noir sur les yeux et la bouche (un gros scotch en tissu qu'on utilise sur les cageots pour faire des étiquettes à marquer à la craie dans l'agriculture)
    Il était vraiment surpris, il ne disait plus rien, mais gardait la bouche ouverte. Ca m'a donné une idée. J'ai hotté mon tshirt et mon soutien gorge et lui ai enfourné mon sein gauche (celui qui est le plus gros et le plus sensible) entre les lèvres. Il roulait de ces yeux mais il lèchait et suçait comme il pouvait. Comme ca me plaisait j'ai appuyé beaucoup plus fort, il était écrasé le pauvre pouvait presque plus respirer. Mais surprise sa trique me soulevait presque à travers son pantalon tellement ca lui faisait de l'effet.

    Alors je me suis soulevée les fesses tout en le tenant étouffé sous mon sein et j'ai eu beaucoup de mal à lui faire glisser le pantalon et le slip. Son sexe était vraiment bien gros et dressé, ça faisait longtemps que j'avais plus vu ça. Détache moi qu'il a dit. Moi j'ai fait non pas question. C'est à cause des menottes et de l'étouffement qu'il trique, alors moi, je suis peut-être pas aussi bête qu'il croit :Je ne risquait pas de le libérer. J'avais décidé d'en profiter au maximum. J'ai ôté vite ma jupe en gardant que ma culotte et Je me suis rassise sur sa queue en la relevant contre son ventre.

    Il avait toujours du mal à respirer j'entendais son air sortir bruyamment par le nez contre ma poitrine. Je me frottais la chatte contre son sexe dur. J'appuyais de tout mon poids dessus son bâton car je sentais que ca venait toute bouffée du sein que j'étais. J'ai eu dans un grand soupir, ca faisait vraiment longtemps que j'avais pas jouie.

    Je me suis reculée pour le regarder en face, alors il m'a demandée de le sucer. Allez là tu peux courir, c'est toi qui va sucer: ton truc ne sent pas bon . Faudrait voir à te laver mieux que ca, tu te laisses aller mon petit bonhomme. Je me suis levée pour aller chercher un préservatif que je lui ai mis. C'était juste car il mollissait déjà.. Je lui ai un peu malaxé les parties et dès qu'il a été plus dur, j'ai oté ma culote et je suis montée à cheval dessus. J'y suis allée franco parce que j'avais encore envie et que j'étais bien mouillée.

    Il faisait une drole de tete. Il était contrarié et sa trique recommençait à faiblir. Moi aussi ca m'a contrariée. En me tenant fermement en arrière des deux mains à ses genoux, j'ai soulevé mes jambes et mis mes pieds en l'air. Ensuite je les ai plaqué sur son visage. Il rouspétait la dessous. Pour le faire taire l'ai mis mon pied gauche en travers de sa bouche, et puis délicatement du pied droit, j'ai coincé son nez entre mon gros orteil et l'orteil suivant. La tête plaquée contre le dossier du transat, il ne pouvait pas m'en empêcher.

    Il respirait à grand peine, des fois j'écartais les orteils pour qu'il reprenne un souffle normal, des fois je serrais pour lui rendre la respiration très difficile. L'air chaud et humide sifflait entre mes doigts de pieds. Avec l'étouffement et en plus mon odeur, mon Martin s'est remis à triquer ferme. J'avais plus qu'à bouger du bassin (je suis une femme un peu forte) pour sentir son sexe profondément en moi. A quel bon moment. C'est dommage, c'est venu très vite pour moi. J'avais chaud, je brulais de partout. Je me suis relevée pour aller me doucher.

    Il a commence à rouspéter et je lui ai dit que je me douchais pendant qu'il réfléchissait. S'il débarrassait tout et faisait toute la vaisselle alors lui autoriserais de me faire l'amour au lit. Sinon il n'avait qu'à se rhabiller.

    Quand je suis revenue, je ne croyais pas trop qu'il accepterait. Mais son sexe était toujours bien droit et violet, ca m'a encouragée. Je lui ai dis alors quoi, que fais-tu ? Il a fermé les yeux et m'a répondu tout bas de peur que les voisins l'entendent surement, c'est bon , je vais t'aider. Alors la j'étais furieuse. Non tu vas pas m'aider, tu vas tout faire tout seul. Moi, je vais faire un petit tour et quand je reviens c'est tout propre.

    Il n'a pas répondu de suite, mais j'ai bien vu qu'il triquait toujours bien droit. La, je savais que j'avais gagné. Et il a dit oui. J'ai détaché les deux paires de menottes des mains et j'ai bien laissé celles des pieds. J'ai plein d'idées qui me germent maintenant. Je tiens l'homme par le bon bout. Il n'était pas content et il a dit eh mes pieds. J'ai répondu ca c'est pour etre sur que tu penses bien à moi pendant mon absence. ah ah ah. Et je suis partie une bonne heure ce soir la.

    A mon retour ce n'était pas parfait, mais il avait tout fini. Je l'ai détaché et envoyé se doucher. Au lit, je lui ai un peu sucé le sexe pendant qu'il était à plat dos. Mais rapidement je me suis couchée sur le dos et je lui ai ordonné de mettre le préservatif et de venir.
    C'est bien fini l'époque de la Jacqueline qui lui faisait ses quatre volontés. J'ai bien vu qu'il faisait la tête, mais il avait tellement besoin qu'il s'est pas fait prier. Pendant l'amour, Je lui ai bien malaxé les fesses pour lui faire voir qu'il est bien à moi, puis je lui ai mis mon majeur droit dans le trou, histoire de bien enfoncer le clou. Alors il a hurlé d'un coup et il a joui comme un fou.

    Ca été le début de ma nouvelle relation avec lui. Il est toujours au chômage alors en partant le matin, je lui fais sa liste. Comme je fais presque plus rien, à la maison à part la lessive parce que la il m'ait fait que des bêtises avec la machine, j'ai du temps pour imaginer des tas de choses pour la soirée. Je le dis aux femmes qui doivent supporter un mari dépressif ou chômeur à la maison, faites le baiser et bosser, enfin plutôt bosser pour avoir le droit de baiser, alors il aura plus le temps de gamberger. Merci de ne pas mettre mon adresse parce que Martin ne doit rien savoir. Je vous embrasse.

    Jacqueline.

     


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  • Un drôle remède à la déprime

    AUTEUR : inconnu


    J'ai 49 ans et j'habite dans les Vosges (France). Mon Mari, Martin, a 53 ans. est représentant de commerce, il a été licencié voici trois ans et il n'a toujours pas retrouvé de travail.

    Nous nous lassons de toutes ces recherches et son moral est très bas. Heureusement, je travaille, alors nous avons quand même mon salaire. Mais il se sentait très dévalorisé, lui qui gagnait bien sa vie avant. Je sentais qu'il déprimait peu à peu. Le soir il sentait de plus en plus souvent le vin, il tenait des propos ironiques ou destructeurs sur tout. Je songeais presque au divorce, tant il avait changé. Nous n'avions plus de relations sexuelles, dues à son complexe "infériorité" présumée.

    Alors l'an passé, avec vos premières histoires masochistes, j'ai imaginé de transformer sa passivité en soumission, puisqu'il pense avoir perdu sa dignité masculine (encore un fois c'est lui qui croit ça, je souffre pour lui de cette perte de travail). C'est tout un univers que je découvrais. Grace à notre fils qui nous a mis l'internet on peut dire, j'ai vu que des tas de sites existent et donc que c'est une relation qui concerne beaucoup l'imagination des hommes
    et des femmes.

    Alors un soir, l'été dernier, quand notre fils et sa fiancée nous ont quitté après une soirée bien arrosée, Martin s'est assoupi sur la chaise longue de notre terrasse. Il était à plat dos et commençait à ronfler.

    J'avais déjà acheté trois paires de menottes à un outilleur ambulant. J'en ai profité pour lui menotter les pieds ensemble et chaque main aux montants du relax. Ce qui l'a réveillé, c'est quand j'ai déboutonné sa chemise. Je l'ai embrassé à pleine bouche pour l'empêcher de rouspéter et me suis assise à califourchon sur son ventre. Il s'agitait pas mal, et il est plus fort que moi. Alors comme une cowboy sur un cheval furieux, j'ai serré les cuisses et tenu bon. Il s'énervait parce qu'il ne pouvait pas m'empêcher de lui malaxer les têtons. Sous mes fesses
    je sentais que ça commençait à grossir et il se débattait moins. J'ai cessé de le bécoter et lui ai dis de ne pas parler sinon je lui mettais du ruban noir sur les yeux et la bouche (un gros scotch en tissu qu'on utilise sur les cageots pour faire des étiquettes à marquer à la craie dans l'agriculture)
    Il était vraiment surpris, il ne disait plus rien, mais gardait la bouche ouverte. Ca m'a donné une idée. J'ai hotté mon tshirt et mon soutien gorge et lui ai enfourné mon sein gauche (celui qui est le plus gros et le plus sensible) entre les lèvres. Il roulait de ces yeux mais il lèchait et suçait comme il pouvait. Comme ca me plaisait j'ai appuyé beaucoup plus fort, il était écrasé le pauvre pouvait presque plus respirer. Mais surprise sa trique me soulevait presque à travers son pantalon tellement ca lui faisait de l'effet.

    Alors je me suis soulevée les fesses tout en le tenant étouffé sous mon sein et j'ai eu beaucoup de mal à lui faire glisser le pantalon et le slip. Son sexe était vraiment bien gros et dressé, ça faisait longtemps que j'avais plus vu ça. Détache moi qu'il a dit. Moi j'ai fait non pas question. C'est à cause des menottes et de l'étouffement qu'il trique, alors moi, je suis peut-être pas aussi bête qu'il croit :Je ne risquait pas de le libérer. J'avais décidé d'en profiter au maximum. J'ai ôté vite ma jupe en gardant que ma culotte et Je me suis rassise sur sa queue en la relevant contre son ventre.

    Il avait toujours du mal à respirer j'entendais son air sortir bruyamment par le nez contre ma poitrine. Je me frottais la chatte contre son sexe dur. J'appuyais de tout mon poids dessus son bâton car je sentais que ca venait toute bouffée du sein que j'étais. J'ai eu dans un grand soupir, ca faisait vraiment longtemps que j'avais pas jouie.

    Je me suis reculée pour le regarder en face, alors il m'a demandée de le sucer. Allez là tu peux courir, c'est toi qui va sucer: ton truc ne sent pas bon . Faudrait voir à te laver mieux que ca, tu te laisses aller mon petit bonhomme. Je me suis levée pour aller chercher un préservatif que je lui ai mis. C'était juste car il mollissait déjà.. Je lui ai un peu malaxé les parties et dès qu'il a été plus dur, j'ai oté ma culote et je suis montée à cheval dessus. J'y suis allée franco parce que j'avais encore envie et que j'étais bien mouillée.

    Il faisait une drole de tete. Il était contrarié et sa trique recommençait à faiblir. Moi aussi ca m'a contrariée. En me tenant fermement en arrière des deux mains à ses genoux, j'ai soulevé mes jambes et mis mes pieds en l'air. Ensuite je les ai plaqué sur son visage. Il rouspétait la dessous. Pour le faire taire l'ai mis mon pied gauche en travers de sa bouche, et puis délicatement du pied droit, j'ai coincé son nez entre mon gros orteil et l'orteil suivant. La tête plaquée contre le dossier du transat, il ne pouvait pas m'en empêcher.

    Il respirait à grand peine, des fois j'écartais les orteils pour qu'il reprenne un souffle normal, des fois je serrais pour lui rendre la respiration très difficile. L'air chaud et humide sifflait entre mes doigts de pieds. Avec l'étouffement et en plus mon odeur, mon Martin s'est remis à triquer ferme. J'avais plus qu'à bouger du bassin (je suis une femme un peu forte) pour sentir son sexe profondément en moi. A quel bon moment. C'est dommage, c'est venu très vite pour moi. J'avais chaud, je brulais de partout. Je me suis relevée pour aller me doucher.

    Il a commence à rouspéter et je lui ai dit que je me douchais pendant qu'il réfléchissait. S'il débarrassait tout et faisait toute la vaisselle alors lui autoriserais de me faire l'amour au lit. Sinon il n'avait qu'à se rhabiller.

    Quand je suis revenue, je ne croyais pas trop qu'il accepterait. Mais son sexe était toujours bien droit et violet, ca m'a encouragée. Je lui ai dis alors quoi, que fais-tu ? Il a fermé les yeux et m'a répondu tout bas de peur que les voisins l'entendent surement, c'est bon , je vais t'aider. Alors la j'étais furieuse. Non tu vas pas m'aider, tu vas tout faire tout seul. Moi, je vais faire un petit tour et quand je reviens c'est tout propre.

    Il n'a pas répondu de suite, mais j'ai bien vu qu'il triquait toujours bien droit. La, je savais que j'avais gagné. Et il a dit oui. J'ai détaché les deux paires de menottes des mains et j'ai bien laissé celles des pieds. J'ai plein d'idées qui me germent maintenant. Je tiens l'homme par le bon bout. Il n'était pas content et il a dit eh mes pieds. J'ai répondu ca c'est pour etre sur que tu penses bien à moi pendant mon absence. ah ah ah. Et je suis partie une bonne heure ce soir la.

    A mon retour ce n'était pas parfait, mais il avait tout fini. Je l'ai détaché et envoyé se doucher. Au lit, je lui ai un peu sucé le sexe pendant qu'il était à plat dos. Mais rapidement je me suis couchée sur le dos et je lui ai ordonné de mettre le préservatif et de venir.
    C'est bien fini l'époque de la Jacqueline qui lui faisait ses quatre volontés. J'ai bien vu qu'il faisait la tête, mais il avait tellement besoin qu'il s'est pas fait prier. Pendant l'amour, Je lui ai bien malaxé les fesses pour lui faire voir qu'il est bien à moi, puis je lui ai mis mon majeur droit dans le trou, histoire de bien enfoncer le clou. Alors il a hurlé d'un coup et il a joui comme un fou.

    Ca été le début de ma nouvelle relation avec lui. Il est toujours au chômage alors en partant le matin, je lui fais sa liste. Comme je fais presque plus rien, à la maison à part la lessive parce que la il m'ait fait que des bêtises avec la machine, j'ai du temps pour imaginer des tas de choses pour la soirée. Je le dis aux femmes qui doivent supporter un mari dépressif ou chômeur à la maison, faites le baiser et bosser, enfin plutôt bosser pour avoir le droit de baiser, alors il aura plus le temps de gamberger. Merci de ne pas mettre mon adresse parce que Martin ne doit rien savoir. Je vous embrasse.

    Jacqueline.

     


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  • Chômeur dominé par 2 lesbiennes perverses

    AUTEUR : TSM Création février 2011


    Résumé : un chomeur en grandes difficultés financières piégé mais aussi envouté par deux riches lesbiennes perverses ne manquant pas d'imagination.


    Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village.

    - La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé.

    Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas tendres avec cet homme âgé de 41 ans et le renvoient mais à force de persuasion, il parvient à convaincre ces très jolies femmes dégageant un certain magnétisme de lui faire faire un essai d'une semaine.

    - Je vous préviens, au moindre manquement, au moindre truc cassé vous êtes viré. Lui dit Carole, la plus virulente des deux.

    Henri se doute bien en appuyant sur la sonnette à 7 heures avec une petite inquiétude que les deux femmes d'après-lui lesbiennes vont lui en faire baver. Sa plus grosse crainte est qu'elles aient changé d'avis, qu'elles soient désagréables ou de vraies connes peu importe, pour lui l'important est d'avoir un travail.

    Lorsque Carole la grande brune pulpeuse lui ouvre la porte, il mesure aussitôt à quel point cela va être difficile. Elle ne répond pas à son « bonjour », lui remet une liste de choses à faire puis un plan de la maison avec les endroits où il trouvera le nécessaire.

    - Je vous ai fait un plan sommaire de la maison avec des indications, car vous les hommes, ne seriez pas capables de trouver de l'eau à la mer ! Lui dit-elle en lui tournant le dos aussi sec.

    Henri dépité, ne répond pas et décide de démontrer sa motivation pour le poste en se mettant immédiatement au travail. Pour ne pas les gêner dans leur intimité, il commence par le salon, chiffons et produits en main il fait les poussières avant de nettoyer les pieds des chaises de l'immense table de la salle à manger. Par-dessous la table, il aperçoit la fausse blonde mince et au corps superbement bien dessiné par la mère nature sortant de la douche complètement nue. « Oh, oh », se dit-il, si elles sont agressives et hautaines, ce n'est pas la pudeur qui les étouffe. Comme si de rien n'était et convaincu qu'elles le provoquent pour le pousser à la faute, il s'attèle à la tache comme si de rien n'était.

    - Le café, c'est moi qui le fais ? Aboie presque Carole en entrant dans la pièce, vêtue d'un tailleur strict.

    - Non Madame, mais je ne voulais pas vous gêner dans votre intimité.

    - Quand on prend du personnel de maison, on est forcément gêné dans son intimité du con ! On ne te demande pas de réfléchir mais de travailler. Ca commence mal, fait ce que tu as à faire et ne t'occupes pas ne notre intimité.

    - Bien madame ! Répond Henri perturbé par l'agression. Passant aussitôt de « femme de ménage » à serveur de ces dames il se rend à la cuisine pour leur préparer le café et mettre la table pour leur petit déjeuner.

    - Met-ça, pour servir, cela t'évitera de te tâcher. Lui dit France aux yeux d'un bleu profond en lui tendant un tablier avant de s'asseoir à table.

    Comprenant qu'elles ont décidé de le tester, Henri subit sans broncher toutes les remarques humiliantes et va jusqu'à leur ouvrir la porte en leur souhaitant une bonne journée. Lorsqu'elles rentrent le soir, la maison est limpide, la table est mise, un petit plat mijote dans la cuisine.

    « Ouahou, ça sent bon le propre » dit France avant que son amie Carole toujours aussi agréable ajoute « et ça pue la bouffe » Les filles font l'inspection puis ravies le félicitent ce qui le comble et surtout le rassure sur son avenir financier. Carole se rend à la salle de bain pendant que France allume son ordinateur pour surfer. Au bout d'un moment, Henri ne sait que faire car elles ne lui ont pas indiqué d'horaires. Carole le coupe dans ses réflexions en l'appelant de la salle de bain.

    - Oui Madame ! Lui répond Henri derrière la porte entre-ouverte.

    - Entre et vient me laver la tête !

    Gêné, il hésite et n'ose entrer. Taper à la porte lui semble une solution pour éviter tout qui propos.

    - Entre du con, quand je t'appelle tu viens !

    Immergée dans son bain, elle lui tend un champoing qu'il saisit aussitôt de ses doigts tremblants. Perturbé et penché sur elle, il entreprend de lui laver la tête quand soudain elle lui intime l'ordre de se mettre à genoux pour épargner son dos. Rétorquant qu'il n'a aucun souci de santé, il poursuit le massage du cuir chevelu de cette brune pulpeuse qui sans aucune pudeur s'assoie soudain en lui dévoilant sa magnifique et généreuse poitrine.

    - Tu te mets à genoux ou je te vire sur le champ ?

    L'envie d'appuyer brusquement sur sa tête et de lui faire boire la tasse lui vient mais il parvient à se contenir pour garder son emploi et s'agenouille. Une fois la tête lavée et rincée, elle lui demande de lui passer un démêlant puis de lui masser les épaules pendant que le produit agit. Si l'ambiance est pesante, toucher ce corps titille l'émotivité masculine.

    - Hummmm, je crois que l'on va vous garder si vous continuer d'obéir car vous massez très bien. Rincez-moi et séchez-moi ! Lui dit-elle en se levant d'un bon.

    Envouté, Henri ne sait plus où il en est devant cette femme d'une quarantaine d'années nue devant lui. Il règle la température de l'eau et la rince, puis passe avec beaucoup de précautions et de distance une serviette sur ce corps lui retournant littéralement les sens. Le pied sur le bord de la baignoire, Carole ne semble pas éprouver la moindre gêne en lui dévoilant son sexe glabre pendant qu'il sèche ses jambes. Elle s'appuie sur lui pour sortir de la baignoire avant de lui sécher l'autre jambe avec la même désinvolture.

    - Tu bandes ?

    Cette question lui glace le sang, ne sachant que dire, il répond qu'il est gêné par la question. Ni une ni deux, elle plaque sa main sur son pantalon et constate qu'il n'est pas resté de marbre.

    - Vous êtes si belle que je suis ému mais je...

    - Tait-toi ! Crapule. Passe-moi mon peignoir et va nous servir une coupe de champagne, il y en a au frigo.

    Sans demander son reste, c'est avec un certain soulagement qu'Henri quitte la salle de bain pour aller servir deux coupes de champagne qu'il apporte au salon. Carole appelle son ami et le jauge de la tête aux pieds.

    - Monsieur bande quand il me lave ! Dit-elle à l'arrivée de France mais il masse admirablement bien et fait ce qu'on lui demande sans trop rechigner. On va peut-être le garder.

    Ne sachant que faire de ses mains, Henri les passe dans son dos comme un gamin devant son instituteur en baissant les yeux très gêné par les révélations sur son érection.

    - Je t'ai dit d'aller nous servir une coupe de champagne, combien y en a-t-il sur la table ?

    - Deux Madame !

    - Nous sommes trois, sert-t-en une !

    Henri la remercie et se sert une coupe.

    - Je vais t'expliquer les choses clairement mais écoute bien parce que j'ai une sainte horreur de me répéter. Tu as été embauché pour 35 heures, tu en feras sûrement le double voir plus mais je te payerai grassement la différence au black. Tu devrais percevoir entre deux et trois mille euros par mois si tu acceptes nos conditions. Tu seras également nourri, habillé et parfois logé. Tu travailles bien, tu masses bien et tu as l'air assez obéissant mais comme tu l'as constaté, nous ne sommes pas pudiques et on n'a rien à foutre que tu nous vois nues ou même en train de baiser. Ne rêve pas, tu ne risques pas de nous tringler, nous sommes cent pourcent lesbiennes. Par contre, que tu bandes me gêne alors si tu veux bosser ici, je veux que tu portes une cage de chasteté. Soit tu acceptes et nous trinquons, si tu refuses je te donne 200 euros pour ta journée et tu te casses. Trinquons-nous ensembles ? Lui dit-elle en plongeant ses yeux dans les siens comme pour l'hypnotiser.

    Très mal à l'aise Henri ne sait que répondre, deux à trois mille euros par mois pour un travail proche de chez lui alors qu'il n'a même plus de voiture est la solution à tous ses problèmes, mais ces femmes lui posent un réel cas de conscience. Face à elles, ses valeurs semblent s'envoler, quelque chose d'indéfinissable génère en lui des émotions et sensations perturbant insidieusement ses pensées chaque fois qu'elles plongent leur regard dans ses yeux.

    - Je sais que tu es célibataire, mais as-tu une copine ? Lui demande France avec un regard envoutant.

    - Non madame ! Répond Henri de plus en plus mal à l'aise.

    - Alors accepte mes conditions ! Lui dit Carole. Tu ne le regretteras pas et tu vivras avec nous une vie que beaucoup d'hommes rêvent d'avoir d'après mon ex-mari. Je compte jusqu'à trois, si à trois tu ne m'as pas répondu oui, pose ta coupe de champagne et casse-toi ! Un, deux ....

    - Oui madame, j'accepte répond Henri à deux doigts de pleurer.

    - Trinquons alors à ton entrée dans la maison.

    Le champagne a un goût amer pour Henri en totale perdition et ne sachant plus que penser. Il est congédié par les filles souriantes qui le félicitent pour son courage. Carole lui donne un petit sac noir avec une inscription « CB 3000 » et 20 euros avec pour mission d'acheter des croissants et du pain frais pour le lendemain en lui indiquant qu'il pourra garder la monnaie.

    - Demain tu reviens avec ça sur ta bite et tu me donneras la clé. Je te libérerai tous les jours pour ta toilette. File d'ici et ne soit pas en retard ou il t'en couterait ! Lui dit-elle en lui donnant une petite claque sur les fesses.

    La nuit d'Henri est difficile et à la fois très érotique. Accepter de se soumettre ainsi à deux lesbiennes en échange d'argent le révolte et le hante mais en même temps, si excité par l'aventure avec ces filles si envoutantes il en arrive à se masturber deux fois entre ses tests avec la cage de chasteté en imaginant les deux lesbiennes l'obligeant à leur faire des choses très coquines.

    Au petit matin, dans sa salle de bain avec sa cage de chasteté à la main, les yeux d'un bleu profond de France reviennent à son esprit émiettant façon puzzle ses valeurs masculines avant de les ventiler dans la nature. Après tout qu'est-ce que je risque, se dit-il en fermant la cage de chasteté, ce n'est qu'un truc en plastique avec un petit cadenas facile à casser. Je vais me faire du fric en m'éclatant avec deux lesbiennes, alors pourquoi m'en priver, qui le saura ? Personne !

    Fermer ce tout petit cadenas lui procure un obscur plaisir sexuel mais Henri n'imagine pas un seul instant à quel point ce dangereux et symbolique bout de métal va changer sa vie.


    CHAPITRE DEUX

    A la boulangerie il a une peur bleue que l'on voit la bosse sur son pantalon, mais la cage de ne se voit pas trop comme il a pu le constater dans son miroir. A 7 heures tapante, c'est avec une dizaine de croissants et du pain frais qu'il sonne à la porte. Comme le premier jour, Carole lui ouvre et ne répond pas à son bonjour. C'est au petit déjeuner que les choses se corsent quand France entre dans la cuisine et l'engueule parce qu'il n'a pas mis son tablier de soubrette. Ravalant sa colère, il l'enfile en s'excusant puis fait le service. Carole entre à son tour et se fait servir un bol de café avec un sucre en exigeant qu'il soit bien remué.

    - Alors, on a enfermé son petit robinet après avoir joué avec hier soir ? Lui demande Carole en lui adressant un sourire charmeur très complice, fait-nous voir que l'on vérifie.

    Faire voir son sexe dans ce truc en plastique est très humiliant pour Henri à deux doigts de craquer. Les filles se lèvent, l'entourent, la main sur son épaule elles se font charmeuses pour obtenir qu'il dégrafe son pantalon. Devant ses hésitations, lorsque Carole s'attelle à la braguette, il n'ose plus réfuter.

    Après avoir vérifié la fermeture du cadenas, elle demande la clé qu'il lui remet de sa main moite tant il a honte. Grandement félicité parce qu'il a eu les couilles de le faire, tout heureux il prend acte de ses missions de la journée avec en plus aujourd'hui la lessive et le repassage. Il se met dont à l'ouvrage dès qu'elles sont parties en vidant le panier à linge. Les tenues et les sous-vêtements féminins qu'il imagine sur les filles l'excitent, mais la cage contient douloureusement son érection en étirant ses testicules. La machine tourne, il fait le lit, le ménage, les vitres, se fait à manger en se disant que jamais le ménage n'avait généré en lui de si grande sensations érotiques.

    Vautré dans leur canapé il prend un café en regardant les infos quand soudain la porte d'entrée s'ouvre sur Carole et une de ses amies. A son regard furieux, il comprend qu'une engueulade l'attend. Le thé, servi, il se fait discret en retournant à la blanchisserie pour y découvrir en sortant le linge de la machine qu'il a fait des bêtises. Le pull angora blanc n'est plus blanc, il a tellement rétréci qu'il ressemble à un vêtement de poupée. Les filles ressortent, Henri blême va étendre le linge plutôt que le mettre au sèche-linge tant il a peur de faire d'autres bêtises. Pour essayer de se faire pardonner, il dresse la table en mettant des roses cueillies dans le jardin et leur mitonne un superbe dîner. Vers 18H30, le bain de Carole est prêt, la porte de la cuisine est fermée pour que la maison ne sente pas la cuisine et comme il les guettait, il leur ouvre la porte.

    Ravies de cet accueil, elles entrent d'un pas décidé en lui faisant un sourire enflammant son cœur. Carole va inspecter la maison, découvre les fleurs sur la table de la cuisine et demande où est le linge propre. Après avoir regardé par la fenêtre désignée, le regard qu'elle lui jette annonce un orage imminent. Pour essayer d'apaiser la foudre, Henri lui indique que son bain est prêt et qu'il ne reste qu'à ajouter un peu d'eau chaude mais France râle en disant que c'est à son tour d'avoir les fameux massages.

    En lui prenant la main pour elle l'emmène à la salle de bain, sans aucun pudeur, elle se met nue en lui demandant de dégrafer son soutien-gorge. La sublime chute de reins et les jambes délicieusement galbées font immédiatement tourner la tête d'Henri, c'est avec plaisir qu'il accepte aujourd'hui de se mettre à genoux pour laver la tête blonde et masser ses fines épaules. Dans son slip, le plastique de la cage de chasteté frise l'implosion lors du massage. Il s'imagine au paradis, cette beauté divine l'illumine à lui en brûler la rétine et ondule de plaisir sous ses mains.

    Carole les rejoint en annonçant qu'il est l'heure de la toilette du « petit robinet ». L'érection perd de sa superbe sans pour autant disparaître totalement. C'est avec les neurones en perdition qu'il retire son pantalon et son slip puis laisse Carole toujours aussi directive, autoritaire et sûre d'elle lui retirer le tube de la cage de chasteté pour qu'il se lave devant elles. Devant les difficultés pour faire entrer son sexe gorgée de désir dans le tube, elles lui imposent d'entrer dans le bain pour calmer le petit « oiseau rebelle ».

    Sa chemise retirée, intégralement nu entouré de deux lesbiennes déchaînées dont une encore nue, il cède aux requêtes. Le jet d'eau froide met rapidement un terme à la fierté masculine ne tardant pas à retrouver sa prison sous les quatre mains féminines décidées. La « chose » rangée en son étui rigide, France d'humeur taquine avec un regard plein de malice décide de lui prêter une chemise de nuit en ajoutant qu'elle ira à merveille à l'homme maintenant obligé de s'asseoir comme les filles pour aller faire pipi. Henri réfute aussitôt, ne se sentant pas de se travestir.

    - Quand tu auras vu ton pull angora, tu hésiteras à lui prêter des vêtements ! Dit Carole en braquant son regard sévère dans les yeux d'Henri soudain très gêné. Met-la immédiatement nous parlerons de tes bêtises après.

    Sa fierté masculine baisse les bras contrairement aux siens qu'elles lui relèvent pour lui enfiler la chemise de nuit en satin avant qu'il ne change d'avis. Une claque sur ses fesses nues lui montre le chemin de la cuisine où il se rend furieux d'avoir cédé. En réchauffant le repas, Henri se pose mille questions. Comment se fait-il que je n'arrive pas à refuser quoi que ce soit à ces filles démoniaques ? Comment se fait-il que j'accepte tout ça ? Comment se fait-il que je sois excité et bande en me laissant ainsi mettre une cage de chasteté ? Tout cela dépasse mes problèmes d'argent que m'arrive-t-il ?

    Des cris provenant de la salle de bain attirent son attention. En tendant l'oreille, il décode immédiatement qu'il ne s'agit pas d'une dispute, bien au contraire.... Son voyeurisme auditif, l'incite à écouter, quand soudain des bruits de claques et des propos surprenant le titillent. Petite coquine.... Tu la mérites....... Lèche-moi pour te faire pardonner...... Oubliant ses questions, Henri se fait des films érotiques, le tube de sa cage de chasteté est rapidement comblé, sa tête s'échauffe. Sans même qu'il ne s'en rende compte ses mains s'insinuent sous la si douce chemise de nuit pour se toucher le plastique lui rappellant aussitôt sa condition.

    C'est avec une érection monumentale étirant ses testicules qu'il se retourne prestement vers les fourneaux lorsqu'il les voit sortir de la salle de bain en peignoir. Le repas se passe comme si de rien n'était, il oublie presque la chemise de nuit en faisant le service. Carole dévoile à la fin du repas les bêtises d'Henri puis qu'il se vautre dans le canapé pour regarder la télé au lieu de travailler. Debout près de l'évier en regardant le sol comme un gamin qui va se faire gronder, il ne sait plus où se mettre ni que faire de ses mains qu'il croise dans le dos. D'une petite voix, il propose de rembourser les vêtements abimés, France lui demande s'il pourra aussi acheter les souvenirs allant avec son pull. Cette question restée évidemment sans réponse le met terriblement mal à l'aise.

    - Il est hors de question que tu payes quoi que ce soit, non seulement tu n'as pas d'argent et ce serait trop facile, tu seras donc puni. Ici les punitions sont données le vendredi, tes bêtises d'aujourd'hui seront notées dans ton cahier de punitions. Tu peux disposer, va t'habiller et rentre chez toi avant que je m'énerve. Lui indique Carole d'une voix calme.

    En quittant les lieux, Henri est ravi d'avoir esquivé l'engueulade mais les promesses de punitions le titillent. Est-ce la cage de chasteté qui génère les pensées érotiques de sa nuit difficile, personne ne nous le dira, mais il rêve d'obligation de lécher France comme punition. Par trois fois, il est réveillé par des érections douloureuses pour ses testicules et se lève pour aller faire pipi en s'asseyant comme une fille.

    LE LENDEMAIN

    Lorsqu'elle lui ouvre la porte, Carole ne répond pas à son bonjour comme d'habitude mais lui désigne le petit meuble de l'entrée où il aperçoit 100 euros, des clés et une feuille de papier avec des indications.

    Henri,
    Ces 100 euros sont pour que tu nous achètes des croissants et du pain tous les matins. Quand il n'y aura plus d'argent, redemande-en. Tu as le droit de te prendre un croissant par jours.
    France t'a collé un mode d'emploi sur la machine à laver et le sèche-linge pour que tu ne détruises plus le linge. Elle était très peinée ce pull avait une grande valeur sentimentale pour elle. Aujourd'hui en plus de ton travail habituel, fait les chambres à fond puis attaque-toi au jardin. Ces clés sont celles de la maison, nous avons décidé de te faire confiance, essaye d'en être digne.
    Carole

    Comme d'habitude, Henri prépare le petit-déjeuner et le sert avec son tablier pour essayer de se faire pardonner par France. Elle remarque son effort vestimentaire et le félicite d'y avoir pensé, ce compliment accompagné d'un sourire enjôleur lui chauffe le cœur. La journée se passe sans encombre, hormis une très sévère érection lorsqu'il découvre des menottes et un martiné en changeant les draps. Ne sachant qu'en faire, il les replace dessous en se faisant des films érotiques n'arrangeant en rien ses érections contrariées et douloureuses. En faisant la chambre d'ami, il découvre que le lit est équipé d'anneaux dans les angles, découverte lui permettant d'imaginer que cette chambre ne sert pas qu'au repos des invités. La pièce fermée à clé et à laquelle il n'a pas pu accéder jusqu'à présent, lui permet de penser qu'elle ne contient pas forcément des vieilles affaires. De fait, son imagination débordante s'enflamme tout comme ses testicules étirés par la cage de chasteté.

    Le soir à leur arrivée, les filles apprécient qu'il ait désherbé le devant de la maison et taillé les vieux rosiers. La soirée commence donc pour Henri ému par le compliment de Carole et une bise de France se faisant aussitôt rabrouer pour excès de familiarités. Le bain des filles et la toilette du « petit robinet » se déroulent maintenant plus facilement que la veille en présence des deux filles. Elles discutent sur sa pilosité trop généreuse ne pouvant que nuire à l'hygiène de la zone odorante quand il retire son slip. Qu'elles lui disent que son slip sent l'urine, le gêne monstrueusement, pour sa défense il essaye d'expliquer que c'est à cause de la cage de chasteté qui fait des gouttes, mais elles persistent à dire que c'est à cause des poils.

    Ni une ni deux, Carole attrape des ciseaux pour débroussailler la zone. Henri affolé se protège, rabroué pour son geste « déplacé » et les mains tenues par France, il la regarde avec beaucoup d'inquiétude lui couper les poils du pubis. Son sexe manipulé n'affiche aucune érection, la peur et la gêne castrant toute pensée érotique même si la sublime poitrine de France touchant son dos finit par titiller ses neurones coquins.

    - Tu vas apprécier d'être débarrassé de ça, la première fois cela surprend mais après, tu ne supporteras plus d'avoir des poils. Beaucoup d'hommes chics s'épilent pour être bien propres, les mamans devraient l'expliquer aux enfants mais bon, la pudeur empêche se genre de discussion en famille. Ecarte les jambes et ne bouge plus ! Lui ordonne Carole.

    Le sexe et le pubis intégralement recouvert de crème épilatoire, il se sent « con » en restant seul jambes écartées à la salle de bain le temps que cela agisse. Les six minutes d'attente lui semblent des heures. Elles reviennent toutes les deux « achever le travail » et lui manipulent le sexe comme si c'était normal qu'un employeur épile son employé. Une fois lisse, en les regardant lui passer une crème hydratante sur son sexe de bébé, il commence à être perturbé et excité. Avant que les choses prennent de l'ampleur, elles lui passent l'anneau, la tige et la cage qu'elles cadenassent prestement.

    - Te voilà beau et propre, un merci serait bien qu'en penses-tu ? Lui demande Carole.

    Emmené dans un état de soumission psychologique par la succession des évènements, Henri remercie Carole de sa gentillesse quand soudain France entre avec une robe blouse à carreau bleu et blanc.

    - Je l'ai achetée pour toi, cela te permettra d'être plus à l'aise pour travailler et protègera tes vêtements. Enfile-la que je vois si j'ai pris la bonne taille.

    N'étant pas porté sur le travestissement Henri refuse. Carole lui rappelle sa condition et qu'il serait mieux de remercier celle lui offrant un vêtement même s'il détruit les siens. Le sourire ravageur de France posant sa main sur son épaule nu brûle ses neurones révoltés, la salle de bain est pour lui le cirque d'une arène close, propre à l'oubli de sa fierté masculine.

    Encore une fois, sa révolte est brisée par ces femmes diaboliques qui le mènent par le bout du nez et le tiennent au sens propre et au sens figuré par les « couilles ». La mort dans l'âme, il passe la robe se fermant avec des boutons sur le devant puis prétexte qu'il lui reste à finir le repas pour partir de l'arène et se cacher dans la cuisine. Dix minutes plus tard, le mot « champagne » est crié du salon. Ne sachant s'il doit prendre deux ou trois coupes, il en sert deux par prudence qu'il apporte sur un plateau.

    - Comme tu fais parti de la maison, tu peux en prendre une coupe avec nous quand il n'y a pas d'invité. Quand il y aura du monde, si tu te sers un verre, tu le feras dans la cuisine.

    France se fait resservir et profite qu'il s'approche pour soulever sa robe. Le premier geste d'Henri est de la baisser, il se fait aussitôt rabrouer et traiter de chochotte pudique. Complimenté sur la beauté de son sexe bien plus beau ainsi, il est renvoyé tout ému en cuisine où quelques minutes plus tard, il assure le service de table. Peu habitué aux manches larges, il renverse la coupe de Carole, son champagne se repend aussitôt dans son assiette et se met à mousser. En se confondant en excuses, il tente désespérément de réparer les dégâts.

    - Va dans notre chambre, dans ma table de nuit il y a un carnet, ramène-le ! Lui ordonne Carole.

    Aussitôt demandé, aussitôt fait, Henri apporte le carnet prestement pour ne pas la faire attendre. En le déposant sur la table, il se fait incendier et taper sur les fesses pour avoir oublié de prendre le stylo qu'il repart chercher au pas de course avec sa cage ballotant entre ses jambes. A son arrivé, elle lui demande d'ouvrir le carnet à la première page puis d'y écrire : « renverse la coupe de champagne dans l'assiette de Madame Carole ». Il constate en l'ouvrant que toutes ses bêtises y sont consignées, les promesses de punitions pour le vendredi lui reviennent à l'esprit, son sang se glace dans ses veines. Le service et la vaisselle faite, il demande à Carole s'il peut avoir une avance sur salaire. Elle lui promet de virer 500 euros le soir même en échange de son RIB, puis, avant de le congédier, lui indique que vendredi soir il n'est pas impossible qu'il doive rester tard parce qu'elles ont du monde.

    Heureux d'avoir obtenu son avance, Henri fait le soir même un chèque pour son loyer en indiquant qu'il a trouvé un emploi et pourra rapidement payer l'intégralité de ses dettes sans savoir que sa procédure d'expulsion est déjà lancée. En prenant sa douche, laver son sexe épilé autour de la cage l'excite. La peau douce sous ses doigts l'encense et finie par générer une sourde excitation. Les images du corps de France dans son bain lui viennent en mémoire puis ses yeux rieurs, son sourire enjôleur et surtout le baiser qu'elle lui a donné en entrant à la maison.

    Sans même en avoir conscience, il commence à tomber amoureux de cette sublime lesbienne inaccessible mais à la fois si proche de lui. La poitrine de Carole finalement pas si méchante qu'elle veut le paraître, inonde insidieusement ses pensées. Dans son mal-être et ses problèmes, ces filles sont pour lui une oasis. En travaillant pour elles un havre de paix se dessine dans son horizon même s'il subit quelques affronts et humiliations. Pour garder cet emploi et rester près d'elles il serait maintenant prêt à se battre s'il le fallait. C'est avec ces pensées qu'il s'endort paisiblement. Hormis les pipis nocturnes plus fréquents à cause de la cage, il dort cette nuit-la comme un bébé.

    Ayant maintenant la clé, Henri entre chez ses patronnes dix minutes avant l'heure pour leur prendre son service. Les croissants posés sur la table, il enfile sa robe blouse par-dessus son pantalon et se met au travail. En entrant dans la cuisine, France lui fait une bise appuyée fort troublante avant d'ajouter qu'une robe ne se porte pas sur un pantalon. Pour lui être agréable, il le retire immédiatement. Si ce geste démontre sa volonté de lui faire plaisir, il expose également ses chaussettes et ses chaussures de ville ce qui n'est pas du plus bel effet. Carole les ayant rejoints, la discussion du petit déjeuner tourne autour de ses tenues et des chaussures qu'il faudrait lui trouver pour qu'il soit plus élégant. En quittant la maison, Carole lui donne les indications pour la soirée. Ils seront six à table, il devra faire un repas poisson et faire le service mais dinera seul à la cuisine.

    Bien décidé à tout faire pour leur être agréable, Henri se change pour sortir faire des courses, se surpasse en ménage et en cuisine. La table de la salle à manger dressée avec une rose sur chaque serviette, il passe à la salle de bain pour se recoiffer en faisant couler un bain avec des sels parfumés. Les filles entrent vers 17 heures les bras chargés de sacs, Carole inspecte la maison et l'interroge sur le dîner. Grandement félicité, Henri rougit, elle lui aurait donné une prime cela ne lui aurait pas fait plus plaisir. France ajoute elle aussi des compliments, il est particulièrement ému de cette avalanche de gentillesse et de leur reconnaissance.

    Lorsqu'elles ouvrent les sacs posés dans l'entrée en lui indiquant que c'est une surprise pour lui, il éprouve l'envie de disparaître sous le carrelage. France toute heureuse lui fait voir les chaussures noires de femme avec un petit talon de cinq centimètres qu'elle lui a achetées en lui disant qu'il sera plus joli ce soir. Avec un grand sourire, Carole lui offre des leggins noires pour masquer la pilosité de ses jambes. Certes ils ressemblent un peu à un pantalon mais avec des broderies aux mollets elles n'en font absolument pas un vêtement masculin. Il croit défaillir lorsqu'elles lui font voir une robe noire de serveuse et un chemisier blanc.

    Même après une avalanche de compliments, Henri ne se sent pas de porter cette tenue et encore moins devant des invités. Ses réfutations sont vaines, pris en charge par les filles expertes en manipulation, il est immédiatement déshabillé dans l'entrée par les deux moulins à paroles bien décidés à le faire abdiquer. Dix minutes plus tard, après une bise faite en même temps sur ses joues par les deux lesbiennes déchaînées, il fait ses premiers pas en talon et dans la tenue de leur choix.

    Pour qu'il ne se tache pas, elles se passent de ses services pour le bain qu'elles prennent ensembles en le chargeant de préparer l'apéritif et de s'en servir un à la cuisine. Il se sert un double pastis pour trouver le courage de ne pas s'enfuir. Déambulant dans la maison en petite tenue, elles se préparent comme toutes les femmes en s'énervant sur les vêtements, les kilos superflus, les choses qui ne leur vont plus. France vient plusieurs fois lui demander son avis, sur des hauts, sans pour autant mettre de bas comme une jupe ou un pantalon. La voir ainsi lui présenter ses fesses à demi voilées fait des effets dévastateurs sur son sexe encagé.

    L'heure fatidique approche à grands pas en même temps que l'angoisse d'Henri grandit. La sonnette fait sur son estomac l'effet d'un seau d'acide. Sommé d'aller ouvrir, il n'y parvient pas, une claque sur ses fesses donnée par France le pousse dans l'entrée. En transpirant soudain de la tête aux pieds, il se cache derrière la porte en l'ouvrant, sa gorge sèche peine à murmurer le mot « bonsoir ». Comme si sa tenue féminine était dès plus normale, deux femmes d'une trentaine d'années entrent et lui confient leur sac. Elles embrassent chaleureusement Carole et France dans un flot de paroles avant de lui confier leurs vestes. Henri laissé dans l'entré comme un porte manteau, elles s'installent sur le canapé pour discuter bruyamment. En se faisant le plus discret possible, il range les affaires et tout honteux va se cacher dans la cuisine. Carole l'interpelle et lui demande de servir l'apéritif.

    Pour Henri, entrer dans le salon avec un plateau et une bouteille de champagne est bien plus difficile que d'entrer vêtu de rouge dans l'arène en étant attendu par un taureau de combat.

    Les invitées ne font aucune réflexion, aucune remarque et font comme si de rien n'était. Cette ignorance hautaine apaise Henri qui, pour se remettre de ses émotions se prend une grande rasade de pastis en cachette dans la cuisine. Appelé pour un deuxième puis un troisième service, l'alcool aidant, il éprouve beaucoup moins de difficulté à se mouvoir dans l'arène. Fier des assiettes joliment décorées, il assure un service impeccable pour les entrées. C'est pendant qu'il apporte les assiettes elles aussi savamment décorées de poisson et petits légumes avec une sauce à l'aneth, que la discussion s'oriente sur lui.

    - Il est bien votre homme de ménage ! Très bien même, vous le prêtez ? Demande la brune vêtue d'une robe noire ultra sexy.

    - Ah non, le petit personnel est dur à trouver et le former n'est pas une sinécure, nous ne prendrons pas le risque de se le faire piquer par une chipie. Répond Carole au tac au tac.

    - C'est vrai que tu lui fais porter une cage de chasteté ? Demande l'autre brune aux cheveux ultra courts.

    - Ai-je l'habitude de dire des bêtises ? Lui répond Carole aussi sec.

    Devant l'évolution de la discussion et la demande de la voir sa cage de chasteté, Henri rougit et mort de honte s'enfuie aux cuisines. Rejoint par France très aguicheuse puis les trois filles ultra motivées, aculé il peine à leur résister. Sa robe soulevée par Carole, expose les bosses de la cage à travers les leggins. Désirant en voir plus, la brune aux cheveux courts s'agenouille devant lui pour tirer le dernier rempart de sa pudeur. Les discussions sur son service trois pièces et la cage de chasteté vont bon train, Henri rouge comme une écrevisse est paralysé. Carole lui intime l'ordre de se rhabiller pendant que les filles partent au salon poursuivre leurs discussions sur les biens faits de la chasteté masculine.

    La grande brune en robe sexy demande si elles savent la différence qu'il y a entre un photocopieur et le sexe d'un homme. Devant l'absence de réponse, elle leur répond qu'il n'y en a aucune, les deux servent uniquement à la reproduction. Cette tirade faisant rire les filles, la discussion s'oriente sur la gynarchie, un monde uniquement gouverné et géré par des femmes. Seul dans sa cuisine, pour se remettre de ses émotions, Henri se ressert un 102, soit deux doses de 51 qu'il descend d'une seule traite. Ce n'est pas qu'il affectionne le pastis, mais c'est la seule bouteille d'alcool se trouvant dans la cuisine et utilisée pour sa sauce.

    Les desserts et cafés consommés, il patiente en briquant sa cuisine. Appelé au salon pour servir du champagne, il s'y rend avec un plateau et la bouteille emmenée par les invitées. Ce qu'il voit en arrivant le perturbe au plus haut point et génère une réaction quasi immédiate sous ses leggings. France et la brune aux cheveux courts, sont à moitié nues et s'embrassent à pleine bouche en se caressant mutuellement. En essayant de ne pas trop faire le voyeur, il se concentre sur le service. L'attention détournée par des cris de plaisirs, il fait grandement déborder une coupe ce qui génère une engueulade immédiate et l'ordre d'aller chercher le carnet. La queue encagée entre les jambes, il n'ose réfuter et lui rapporte le carnet où elle lui fait noter devant tout le monde : « au lieu de me concentrer pour le service, je matte les filles ».

    Blême, il range le carnet puis nettoie ses bêtises en essayant de se concentrer. Prié de laisser la bouteille et d'attendre à la cuisine, à défaut de suivre les ébats, il en perçoit les bruits faits de gémissement, de claques, de cris rauques ou de louve. Même isolé, Henri comprend aisément que les filles sont des adeptes de la fessée et des jeux cuisants. Deux heures et de sévères érections plus tard, il est appelé pour raccompagner les invitées. Après lui avoir fait un compliment sur son dîner, elles quittent la maison. Aussitôt poussé dehors par Carole qui l'engueule, il sort dans le jardin en tenue féminine pour aller leur ouvrir le portail. La peur d'être vue travesti, il revient à la maison aussi vite que lui permettent les talons. Convoqué au salon, il attend les remontrances debout les mains dans le dos.

    - Nous sommes vendredi, cela fait une petite semaine que tu travailles pour nous. Tu as fait des efforts, ton diner était excellent mais tu as fait aussi beaucoup de bêtises. Es-tu d'accord ? Lui demande Carole.

    - Oui madame.

    - Ton voyeurisme de ce soir n'est pas acceptable et mérite une punition. Es-tu d'accord ?

    - Oui madame. Répond Henri trop heureux qu'elle ne lui dise pas qu'il est licencié.

    - Nous sommes vendredi, c'est le jour des punitions. Plutôt que de te virer, je vais te punir et nous arracherons la page du carnet où sont notées tes fautes dont une qui affecte beaucoup France, le pull angora que tu as détruit avait pour elle une grande valeur sentimentale.

    Le mot « virer » sonne dans la tête d'Henri comme un glas et le fait que France soit peinée le mine. Il se sent prêt à tout pour ne pas perdre son travail et être privé de la princesse de ses rêves secrets.

    La main tenue par France, il se laisse conduire à la pièce jusqu'à présent fermée à clé. Le sol semble de dérober sous ses pieds lorsqu'elle ouvre la porte et allume la lumière. Un véritable donjon est installé là, avec des instruments comme sur les photos vues sur le net. Tenue par la main comme un enfant se rendant chez le dentiste, il se laisse guider et coucher sur un banc à fessée. En entravant ses mains, France lui dit qu'elle sera avec lui et qu'elle va l'accompagner dans cette épreuve. Le souffle d'Henri est rapide, son inquiétude monte d'un cran lorsqu'elle lui entrave les jambes. Elle soulève sa robe et pour baisser ses leggins lui demande de se soulever un peu, il coopère aussitôt par réflexe d'obéissance. Sur ses fesses on ne peut plus exposées, l'air frais le fait frémir tout comme la main qui se pose sur elle pour les caresser et sembler les préparer.

    Derrière eux, Carole les observe silencieusement et attend patiemment, France ayant pour mission de le préparer mentalement à se soumettre physiquement. Elle ouvre le cadenas de la cage de chasteté pour la lui retirer avec douceur, cette douceur et ses mains sur ses fesses et son sexe ne sont pas sans effet sur sa libido. Sa princesse vient ensuite s'accroupir devant lui pour caresser la joue en lui expliquant que Carole le purgera ensuite. Il écoute sans comprendre et ne voit que le triangle de tantale avec les lèvres luisantes d'humidité. France lui indique qu'il doit être digne pour elle et met sa tête contre la sienne et faisant signe à Carole qu'il est prêt.

    Elle entre et saisit un martiné puis se place derrière lui. Les premiers coups le font bondir mais ne sont pas bien douloureux. Les suivants sont de plus en plus appuyés, si France ne l'accompagnait pas psychologiquement il commencerait à crier et à se révolter. Cet accompagnement de sa princesse et la situation fesses nues ainsi exposées génèrent quelque chose d'inconnu pour lui, la fierté de subir sans crier pour lui plaire. Ses fesses sont brulantes lorsque Carole s'approche d'eux pour embrasser France sous ses yeux.

    - Combien de coups de canne lui donnons-nous pour que tu lui pardonnes pour le pull que je t'ai offert lorsque de notre première rencontre ? Demande Carole.

    - C'est Henri qui va décider ! Lui répond France en le regardant dans les yeux.

    La perte de contrôle de son corps, dans ses fonctions les plus intimes ne permettent plus à Henri d'avoir conscience de la réalité de la possession de ces filles diaboliques qui l'envoutent.

    Par amour pour France, il répond 50 coups, mais elle refuse aussitôt en lui expliquant que la canne est bien plus douloureuse que le martiné. Ils transigent à 20 coups, cette négociation permet à Carole de mesurer le degré de soumission d'Henri. Gynarchiste dans l'âme, qu'elles soient obligées de négocier à la baisse la comble, sa patience et ses manipulations ont porté leurs fruits. En grande dominante, elle prend son temps et lui fait faire « connaissance » avec la canne en lui caressant le fessier. Le premier coup le fait bondir dans ses entraves, un trait de feu semble se dessiner sur ses fesses. « Un » crie France en serrant ses cuisses contre les oreilles d'Henri.

    Les dix-neuf autres coups sont un calvaire pour Henri la tête coincée entre les jambes de sa princesse. La main de France passant ensuite une crème sur ses fesses dont la peau semble envahie de fourmis rouges est un véritable moment de pur bonheur. Sous ses mains, son corps et son âme semblent comme transportés dans un autre monde, ses tempes bourdonnent, sa tête est chaude. Pendant un instant il se croit au paradis. France vient s'asseoir face à lui pour lui expliquer que Carole va maintenant le purger parce qu'il est important pour sa santé de prendre soin de son sexe. Il l'écoute sans comprendre.

    Carole attrape la verge gorgée de désir pour faire comme si elle voulait le branler mais en même temps, elle inonde son anus particulièrement exposé par la position d'un lubrifiant froid. Lorsqu'elle le force d'un doigt, Henri réagit aussitôt en criant qu'il n'est pas PD. Elles lui expliquent qu'il n'y a aucun rapport entre un massage de la prostate et l'homosexualité en poursuivant ses gestes sans tenir compte de ses réfutations. Quelques minutes et gémissements plus tard, il se met à crier qu'il a envie de faire pipi mais on lui répond qu'il n'a qu'à se laisser aller, ce n'est pas grave. Monstrueusement gêné, il essaye de se retenir, malgré les encouragements de France toujours aussi douce lui faisant une bise de réconfort. Avec deux doigts parkinsoniens sur sa prostate et une main semblant le traire, il n'arrive plus à se contenir et se laisse aller. Ce n'est pas de l'urine qui coule mais son sperme sans qu'il n'ait la moindre contraction orgasmique. Une fois purgé et libéré, Carole fait une toilette rapide du gland avec une lingette puis le conduit à la chambre d'amis.

    - J'ai vu quelques irritations sur ton sexe, tu vas être obligé de dormir ici mais c'est France qui va te préparer pour la nuit, elle adore ça et sait même comment ça fait de dormir dans ce lit.

    L'alcool et les évènements l'ont tellement perturbé qu'ils ne lui permettent plus de réagir quand elles lui retirent ses vêtements et lui demandent de se coucher. France sort de l'armoire des bracelets et des chaînettes, elles les passent à ses poignets puis lui écartent les bras pour les accrocher aux anneaux fixés dans les angles. Henri réagit et refuse d'être attaché.

    - Ne commence pas à m'ennuyer, laisse-toi faire et France t'offrira une gâterie très coquine quand elle aura fini de te préparer. Lui indique Carole en sortant pour les laisser seuls afin qu'elle puisse le manipuler. L'Haptonomie est la science des interactions et des relations affectives humaines et donc la science de l'affectivité. Carole en maîtrise les rouages et sait d'avance qu'il va céder à leurs jeux et que cette nuit cimentera la relation gynarchique. Le mot « gâterie » est la cerise sur le gâteau de sa manipulation.

    France lui explique qu'il va passer une superbe fin de soirée et s'assoie sur lui pour caresser la poitrine et les tétons. Henri croit rêver quand deux minutes plus tard, elle se tourne pour enjamber son visage. Complètement subjugué, il voit son petit trésor s'approcher de ses lèvres. Il n'ose réagir que lorsqu'elle s'assoie sur son visage. Sa langue découvre avec délice le goût sucré de l'intimité dont il rêvait. Elle se crispe aussitôt et pouce un grognement félin pour lui faire croire qu'elle éprouve beaucoup de plaisir. Flatté Henri lèche avec enthousiasme. En lui titillant ardemment les parties intimes, il parvient à générer des sensations fortes agréables à France très gourmande des plaisirs de la vie. Eprouvant un désir irrépressible d'accroître encore la sensation voluptueuse elle pose un doigt sur son clitoris fortement érigé pour le masser en un frottement lent, circulaire. Pour accélérer la langue, sa main libre s'attaque aux tétons masculins, emporté par les sensations et émotions, il la glisse à l'intérieur de son ventre trempé jusqu'à ce que le bout de son nez butte sur les fesses écartées.

    La verge masculine tendue à rompre démontrant l'état psychologique d'Henri totalement en transe, Carole entre silencieusement avec une grosse couche pour personne incontinente. Sans même se poser de


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  • Sainte Rita

    AUTEUR : Abel de Cadix

    Lorsqu'il fut décidé que je devrais m'inscrire à la faculté de médecine de Montpellier, mes parents eurent bien sûr l'idée de me faire loger sur place par « Sainte Rita » comme l'appelait mon père. L'idée ne me plaisait pas trop
    .
    Celle que l'on appelait ainsi était en fait la sœur aînée de mon père. Ils ne se fréquentaient d'ailleurs pas, et leurs relations se limitaient à une communication téléphonique annuelle.
    « Sainte Rita » célibataire, et professeur de mathématiques avait une réputation de vieille fille, dotée d'un caractère impossible et consacrant ses loisirs à s'occuper des œuvres paroissiales. « Quel dommage, une si belle femme ! » Anonnait mon père !
    Il n'y eut même pas de négociation, ma tante avait justement une chambre à louer, ce serait « tant » par moi (en fait ce n'était pas cher du tout) mais j'avais l'interdiction de recevoir qui que ce soit, et je devais prévenir quand je rentrerais après les horaires communément admissibles.
    Ma première surprise fut de la découvrir ! « Sainte Rita » avait 42 ans, 23 de plus que moi, c'était une grande rousse au physique passe partout, qui s'habillait de façon très classique. Son visage était agréable, et un observateur attentif (mais j'en étais un) ne pouvait pas faire autrement que remarquer les caractéristiques ridelles du plaisir aux coins des yeux et aux commissures des lèvres. Sans doute me disais-je, la contemplation extatique de la vierge Marie la rendait-elle trop heureuse ? Mais cela n'expliquait pas le discret mais présent maquillage, ni le rouge à lèvre... rouge cerise !!!
    Ma seconde surprise était que contrairement à ce que je pensais, ma chambre ne serait pas séparée, je logerais carrément chez l'habitant, chez ma tante, à la sortie de la ville.
    Très rapidement il m'apparut que « Sainte Rita » ne correspondait pas à la caricature que m'en avait faite mon père. Elle se révélait comme une femme intelligente, ouverte et fière de l'être et capable d'argumenter de façon pertinente sur de nombreux sujets. Je remarquais aussi que son appartement ne comportait aucune des bondieuseries qu'on aurait été en droit de s'attendre à voir vu ce qu'on m'avait dit d'elle. Par contre quand je voulus aborder dans la conversation ses activités professionnelles, elle m'expliqua qu'elle avait quitté l'enseignement depuis longtemps et qu'elle faisait à présent dans l'agencement de magasins
    - Et ça consiste en quoi ?
    - Bon, ce n'est pas très intéressant, mais c'est bien payé ! Répondit-elle, concluant ainsi la conversation sur le sujet.
    J'en arrivais à me demander s'il n'y avait pas confusion, si la personne en question était vraiment ma tante. Alors évoquant la famille, elle me parla de son enfance, des jeux avec mon père, de sa mère, (donc ma grand-mère) avec laquelle elle s'était fâchée, pour des bêtises précisait-elle, et je vis à ce moment là passer sur son visage un nuage d'une infinie tristesse. Rita était donc bien ma tante...
    La confiance s'installa entre nous et elle me laissa l'appartement en garde alors qu'il lui fallait effectuer un déplacement d'une semaine.
    Je m'enhardis à cette occasion à "explorer" un peu mieux cette petite maison. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir dans un placard de nombreuses paires de chaussures à talons aiguille, toute une collection d'accessoire en cuir, sous-vêtement, combinaison, cravache, fouet, martinets, pinces, godemichés, ainsi qu'une pile de cassette vidéo. Curieux, j'en glissais une dans le magnétoscope, pour découvrir une suite de passage ou on la voyait en guêpière noire, chevauchant un homme attaché sur son lit, bâillonné et en fouettant un autre écartelé sur une croix !
    Sainte Rita ! Tu parles !
    Intrigué, je retournais dans le placard, afin d'y prendre une autre cassette, j'y aperçus une grande sacoche de voyage, je l'ouvris, elle était vide, mais un papier traînait dans le fond. Je le ramassais, il s'agissait d'une carte de visite d'un type sur laquelle avait été écrit : « Bonjour Maîtresse, je passerais au studio mardi vers 2 heures, j'espère que vous pourrez me garder jusqu'en fin d'après midi. Respectueusement, votre esclave....
    Mes parents qui me croyaient hébergé par une grenouille de bénitier, était donc loin de se douter que je logeais en fait chez une dominatrice professionnelle
    ... Sans même m'en rendre compte, j'avais sorti mon sexe et je m'étais masturbé dans sa chambre. Tous les jours, je visionnais une cassette en me caressant. La semaine suivante fut difficile. J'étais très excité, mais je ne pouvais plus me satisfaire en sa présence. Un soir, nous regardions la télé et ne parvenions pas à trouver un film intéressant, Tante Rita me proposa une cassette. Dès les premières minutes, le rouge me monta aux joues : sur l'écran, on me voyait entrer dans sa chambre, fureter dans ses tiroirs, m'installer devant la télé, sortir mon sexe et me caresser en gémissant.
    - Mes films te plaisent, apparemment. Je me demande ce que tes parents penseront de celui la" déclara t'elle d'un air mauvais.
    - Je vous en prie, ne faite pas cela. Je vais chercher une autre chambre, et vous n'entendrez plus parler de moi, mais n'en parlez pas à mes parents."
    - Ne t'inquiètes pas, je déteste le chantage, tu ne risque rien ! Prend la cassette, je te la donne, tu l'effaceras ou tu la garderas en souvenir, c'est comme tu veux !
    - Merci ! Parvint-je à balbutier, le corps en sueur.
    - Mes activités t'auraient choqué, je suppose que tu n'aurais pas été excité à ce point.
    - Je ne sais pas quoi vous dire, ma tante...
    - Et si on jouait tous les deux ?
    - Jouer ? Jouer à quoi ?
    - Ne fais pas l'andouille ! Tu vas jouer à l'esclave !
    - Moi votre esclave ?
    - Commence donc par te mettre nu, que je vérifie que tu puisses me servir !
    Lorsque je fus nu, debout devant elle, elle fit une moue déçue en regardant mon sexe, mou :
    - Si tu ne montres pas plus de disposition, je crains de devoir annuler notre jeu. Agenouille-toi devant moi !
    Lorsque j'eus obéi, elle posa le pied sur mon bas ventre et s'amusa avec mon sexe, ce qui ne tarda pas à le faire durcir.
    - Voila qui est mieux. Chaque fois que je voudrais me servir de toi et que tu ne banderas pas, chaque fois que tu désobéiras ou que tu discuteras mes ordres, tu seras puni. Rhabille-toi, je t'emmène au paradis !
    Nous prîmes la voiture et elle me guida jusqu'à son studio, je découvris l'endroit que j'avais déjà vu sur les vidéos, où elle s'amusait avec ses clients. Je fus rapidement suspendu par les chevilles et les poignets, écartelé sur une croix de métal froid. Elle me déclara détester les poils et entrepris de me raser, les aisselles, les jambes, pour finir par le bas ventre et la raie des fesses. Durant toute l'opération, mon sexe resta bien droit, ce qui me valu un demi-compliment
    - La taille n'a rien d'extraordinaire, mais tu sembles assez endurant !
    Pour finir de me préparer, elle me passa une espèce de harnais de cuir qui faisait saillir mes testicules de part et d'autre d'une bande de cuir qui venait enserrer la base de mon sexe, autour duquel elle fit passer un étui de cuir souple qui s'accrochait au harnais par des pressions, et en amplifiait de façon conséquente la longueur et la grosseur, avant de me détacher.
    Elle se laissa tomber dans un canapé, retroussa sa jupe en me révélant ses porte-jarretelles rouges, ses bas noirs et sa toison rousse. Ma queue était douloureuse à force de désir, quand elle m'ordonna :
    - Viens sucer ta maîtresse, esclave !
    Je tombais à genoux entre ses cuisses et enfoui ma tête sous sa jupe. Sa fente était trempée de désir lorsque ma langue s'y enfonça, et je fit de mon mieux pour titiller son bouton gonflé, alternant les caresses avec de profondes pénétrations de ma langue dans son vagin. Elle avait empoigné mes cheveux et guidait mes mouvements, jusqu'au moment ou elle cria en me repoussant violemment du pied.
    - Quelle surprise ! Tu suces divinement, esclave. Tu as des dispositions, pour un esclave, car tu n'es qu'un esclave n'est ce pas ?
    - Oui, maîtresse ! Répondis-je, très excité par les événements.
    Du bout du pied, elle me poussa sur le dos, enleva sa jupe et son chemisier et vient s'accroupir au-dessus de moi.
    - L'avantage de l'esclave sur le godemiché, c'est qui te caresse les seins en même temps qu'il te baise, vois-tu !
    Et elle s'empala sur ma bite avec un grand cri. Elle me chevaucha ainsi pendant une éternité, tandis que mes mains fébriles exploraient son corps, faisant durcir les pointes de ses seins, courant le long de son dos, caressant ses cuisses, ses hanches et ses fesses. Cependant, l'étui de cuir qui enveloppait mon sexe atténuait tellement les sensations que lorsqu'elle s'abattit sur moi terrassée par l'orgasme, je n'étais toujours pas parvenu à jouir.
    - Tu gagnes à être connu, esclave. C'était très bon. ! A présent, nous allons renter !
    Nous revînmes chez elle, et là elle me proposa :
    - Serais-tu d'accord pour que l'on prolonge le jeu, disons jusqu'à demain midi ? Attention réfléchis bien, ça risque de te faire drôle !
    - Oui, Maîtresse ! Répondis-je sans hésiter
    Chez elle, je la suivis dans sa chambre
    - Viens que je t'installe pour la nuit.
    Elle passa autour de mon cou un collier de chien, m'attacha les mains dans le dos avec une paire de menotte, et me fit allongeais sur le ventre au pied de son lit, où elle relia mon collier à un anneau par une courte chaîne, ce qui me forçait à rester le nez dans la moquette.
    - Tu es bien, esclave ? Passe une bonne nuit !"
    - Maîtresse, je n'en peu plus, laisse moi jouir ! La suppliais-je.
    - Tu m'as donné du plaisir, je vais faire quelque chose pour toi, pour cette première nuit. Mais à l'avenir, tu ne jouiras qu'avec ma permission. Et ne t'avises plus de me le demander !
    Elle sortit de son placard un escarpin à haut talon, m'ordonna de soulever mes fesses et le posa sous moi, glissant ma queue et mes couilles dans la chaussure. La position était assez inconfortable, mais très excitante.
    - Tu peux te branler comme ça, et si tu parviens à jouir, tu ne seras pas puni. Bonne nuit, esclave !
    Elle se déshabilla et se coucha sans plus s'occuper de moi. Malgré tous mes efforts, ne je pus réussir à tirer du plaisir de son escarpin, et finis par m'endormir très tard, le sexe toujours douloureusement dressé. L'inconfort de la position me réveilla très tôt, et j'essayais aussitôt, sans plus de succès qu'auparavant, de me faire jouir dans le soulier de ma maîtresse. Tandis que je m'agitais de la sorte, les mouvements la firent sortir de son sommeil, et elle se leva du lit, l'œil mauvais.
    - Je n'aime pas beaucoup être réveillée à cette heure ci, esclave. Je te jure que demain tu y réfléchiras à deux fois avant d'oser bouger un orteil !
    Elle se leva, fouillant un long moment dans le placard, dans mon dos. Quand elle se retourna, je l'aperçus dans la glace, nue, la taille ceinte d'un gros godemiché noir, une cravache à la main.
    - Tend moi ton cul, enculé ! Ordonna-t-elle en me cinglant de sa cravache.
    J'eus beau la supplier de me pardonner, elle me cravacha les fesses jusqu'à ce que je parvienne à dresser la croupe, le sexe toujours dressé et coincé dans son escarpin vernis. Elle s'agenouilla derrière moi, posa les mains sur mes fesses, et je sentis le gland de plastique forcer doucement mon cul. Elle enfonça par petit coup, et je criais de douleur et de surprise. Lorsque le gode fut complètement entré dans mon cul, elle resta un moment sans bouger, et commença à donner de petit coup de reins. Je constatais avec surprise que la douleur disparut rapidement pour faire place à un plaisir trouble. Après quelques minutes de ce traitement, je me mis à haleter, puis à gémir, de plus en plus fort à mesure qu'elle accélérait son mouvement. Et sans me toucher, je sentis mon sexe exploser et je m'effondrais en répandant mon sperme dans son soulier.
    Je m'endormis cette fois pour de bon ! Je fus réveillé par des petites tapes sur le visage ! D'abord surpris de me trouver là, je réalisais ma position.
    - Je vais te donner ton petit déjeuner ! Me dit Tante Rita !
    Elle me détacha afin que puisse me retourner sur le dos, puis sans que j'aie eu le temps de réaliser, ma tante assit sa chatte sur mon visage, m'ordonna d'ouvrir ma bouche et me fit avaler sa tiède urine matinale !
    - Qu'est ce qu'on dit ?
    - Merci Maîtresse !
    FIN
    (Et merci à... Cécile)




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