• Sainte Rita

    Sainte Rita

    AUTEUR : Abel de Cadix

    Lorsqu'il fut décidé que je devrais m'inscrire à la faculté de médecine de Montpellier, mes parents eurent bien sûr l'idée de me faire loger sur place par « Sainte Rita » comme l'appelait mon père. L'idée ne me plaisait pas trop
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    Celle que l'on appelait ainsi était en fait la sœur aînée de mon père. Ils ne se fréquentaient d'ailleurs pas, et leurs relations se limitaient à une communication téléphonique annuelle.
    « Sainte Rita » célibataire, et professeur de mathématiques avait une réputation de vieille fille, dotée d'un caractère impossible et consacrant ses loisirs à s'occuper des œuvres paroissiales. « Quel dommage, une si belle femme ! » Anonnait mon père !
    Il n'y eut même pas de négociation, ma tante avait justement une chambre à louer, ce serait « tant » par moi (en fait ce n'était pas cher du tout) mais j'avais l'interdiction de recevoir qui que ce soit, et je devais prévenir quand je rentrerais après les horaires communément admissibles.
    Ma première surprise fut de la découvrir ! « Sainte Rita » avait 42 ans, 23 de plus que moi, c'était une grande rousse au physique passe partout, qui s'habillait de façon très classique. Son visage était agréable, et un observateur attentif (mais j'en étais un) ne pouvait pas faire autrement que remarquer les caractéristiques ridelles du plaisir aux coins des yeux et aux commissures des lèvres. Sans doute me disais-je, la contemplation extatique de la vierge Marie la rendait-elle trop heureuse ? Mais cela n'expliquait pas le discret mais présent maquillage, ni le rouge à lèvre... rouge cerise !!!
    Ma seconde surprise était que contrairement à ce que je pensais, ma chambre ne serait pas séparée, je logerais carrément chez l'habitant, chez ma tante, à la sortie de la ville.
    Très rapidement il m'apparut que « Sainte Rita » ne correspondait pas à la caricature que m'en avait faite mon père. Elle se révélait comme une femme intelligente, ouverte et fière de l'être et capable d'argumenter de façon pertinente sur de nombreux sujets. Je remarquais aussi que son appartement ne comportait aucune des bondieuseries qu'on aurait été en droit de s'attendre à voir vu ce qu'on m'avait dit d'elle. Par contre quand je voulus aborder dans la conversation ses activités professionnelles, elle m'expliqua qu'elle avait quitté l'enseignement depuis longtemps et qu'elle faisait à présent dans l'agencement de magasins
    - Et ça consiste en quoi ?
    - Bon, ce n'est pas très intéressant, mais c'est bien payé ! Répondit-elle, concluant ainsi la conversation sur le sujet.
    J'en arrivais à me demander s'il n'y avait pas confusion, si la personne en question était vraiment ma tante. Alors évoquant la famille, elle me parla de son enfance, des jeux avec mon père, de sa mère, (donc ma grand-mère) avec laquelle elle s'était fâchée, pour des bêtises précisait-elle, et je vis à ce moment là passer sur son visage un nuage d'une infinie tristesse. Rita était donc bien ma tante...
    La confiance s'installa entre nous et elle me laissa l'appartement en garde alors qu'il lui fallait effectuer un déplacement d'une semaine.
    Je m'enhardis à cette occasion à "explorer" un peu mieux cette petite maison. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir dans un placard de nombreuses paires de chaussures à talons aiguille, toute une collection d'accessoire en cuir, sous-vêtement, combinaison, cravache, fouet, martinets, pinces, godemichés, ainsi qu'une pile de cassette vidéo. Curieux, j'en glissais une dans le magnétoscope, pour découvrir une suite de passage ou on la voyait en guêpière noire, chevauchant un homme attaché sur son lit, bâillonné et en fouettant un autre écartelé sur une croix !
    Sainte Rita ! Tu parles !
    Intrigué, je retournais dans le placard, afin d'y prendre une autre cassette, j'y aperçus une grande sacoche de voyage, je l'ouvris, elle était vide, mais un papier traînait dans le fond. Je le ramassais, il s'agissait d'une carte de visite d'un type sur laquelle avait été écrit : « Bonjour Maîtresse, je passerais au studio mardi vers 2 heures, j'espère que vous pourrez me garder jusqu'en fin d'après midi. Respectueusement, votre esclave....
    Mes parents qui me croyaient hébergé par une grenouille de bénitier, était donc loin de se douter que je logeais en fait chez une dominatrice professionnelle
    ... Sans même m'en rendre compte, j'avais sorti mon sexe et je m'étais masturbé dans sa chambre. Tous les jours, je visionnais une cassette en me caressant. La semaine suivante fut difficile. J'étais très excité, mais je ne pouvais plus me satisfaire en sa présence. Un soir, nous regardions la télé et ne parvenions pas à trouver un film intéressant, Tante Rita me proposa une cassette. Dès les premières minutes, le rouge me monta aux joues : sur l'écran, on me voyait entrer dans sa chambre, fureter dans ses tiroirs, m'installer devant la télé, sortir mon sexe et me caresser en gémissant.
    - Mes films te plaisent, apparemment. Je me demande ce que tes parents penseront de celui la" déclara t'elle d'un air mauvais.
    - Je vous en prie, ne faite pas cela. Je vais chercher une autre chambre, et vous n'entendrez plus parler de moi, mais n'en parlez pas à mes parents."
    - Ne t'inquiètes pas, je déteste le chantage, tu ne risque rien ! Prend la cassette, je te la donne, tu l'effaceras ou tu la garderas en souvenir, c'est comme tu veux !
    - Merci ! Parvint-je à balbutier, le corps en sueur.
    - Mes activités t'auraient choqué, je suppose que tu n'aurais pas été excité à ce point.
    - Je ne sais pas quoi vous dire, ma tante...
    - Et si on jouait tous les deux ?
    - Jouer ? Jouer à quoi ?
    - Ne fais pas l'andouille ! Tu vas jouer à l'esclave !
    - Moi votre esclave ?
    - Commence donc par te mettre nu, que je vérifie que tu puisses me servir !
    Lorsque je fus nu, debout devant elle, elle fit une moue déçue en regardant mon sexe, mou :
    - Si tu ne montres pas plus de disposition, je crains de devoir annuler notre jeu. Agenouille-toi devant moi !
    Lorsque j'eus obéi, elle posa le pied sur mon bas ventre et s'amusa avec mon sexe, ce qui ne tarda pas à le faire durcir.
    - Voila qui est mieux. Chaque fois que je voudrais me servir de toi et que tu ne banderas pas, chaque fois que tu désobéiras ou que tu discuteras mes ordres, tu seras puni. Rhabille-toi, je t'emmène au paradis !
    Nous prîmes la voiture et elle me guida jusqu'à son studio, je découvris l'endroit que j'avais déjà vu sur les vidéos, où elle s'amusait avec ses clients. Je fus rapidement suspendu par les chevilles et les poignets, écartelé sur une croix de métal froid. Elle me déclara détester les poils et entrepris de me raser, les aisselles, les jambes, pour finir par le bas ventre et la raie des fesses. Durant toute l'opération, mon sexe resta bien droit, ce qui me valu un demi-compliment
    - La taille n'a rien d'extraordinaire, mais tu sembles assez endurant !
    Pour finir de me préparer, elle me passa une espèce de harnais de cuir qui faisait saillir mes testicules de part et d'autre d'une bande de cuir qui venait enserrer la base de mon sexe, autour duquel elle fit passer un étui de cuir souple qui s'accrochait au harnais par des pressions, et en amplifiait de façon conséquente la longueur et la grosseur, avant de me détacher.
    Elle se laissa tomber dans un canapé, retroussa sa jupe en me révélant ses porte-jarretelles rouges, ses bas noirs et sa toison rousse. Ma queue était douloureuse à force de désir, quand elle m'ordonna :
    - Viens sucer ta maîtresse, esclave !
    Je tombais à genoux entre ses cuisses et enfoui ma tête sous sa jupe. Sa fente était trempée de désir lorsque ma langue s'y enfonça, et je fit de mon mieux pour titiller son bouton gonflé, alternant les caresses avec de profondes pénétrations de ma langue dans son vagin. Elle avait empoigné mes cheveux et guidait mes mouvements, jusqu'au moment ou elle cria en me repoussant violemment du pied.
    - Quelle surprise ! Tu suces divinement, esclave. Tu as des dispositions, pour un esclave, car tu n'es qu'un esclave n'est ce pas ?
    - Oui, maîtresse ! Répondis-je, très excité par les événements.
    Du bout du pied, elle me poussa sur le dos, enleva sa jupe et son chemisier et vient s'accroupir au-dessus de moi.
    - L'avantage de l'esclave sur le godemiché, c'est qui te caresse les seins en même temps qu'il te baise, vois-tu !
    Et elle s'empala sur ma bite avec un grand cri. Elle me chevaucha ainsi pendant une éternité, tandis que mes mains fébriles exploraient son corps, faisant durcir les pointes de ses seins, courant le long de son dos, caressant ses cuisses, ses hanches et ses fesses. Cependant, l'étui de cuir qui enveloppait mon sexe atténuait tellement les sensations que lorsqu'elle s'abattit sur moi terrassée par l'orgasme, je n'étais toujours pas parvenu à jouir.
    - Tu gagnes à être connu, esclave. C'était très bon. ! A présent, nous allons renter !
    Nous revînmes chez elle, et là elle me proposa :
    - Serais-tu d'accord pour que l'on prolonge le jeu, disons jusqu'à demain midi ? Attention réfléchis bien, ça risque de te faire drôle !
    - Oui, Maîtresse ! Répondis-je sans hésiter
    Chez elle, je la suivis dans sa chambre
    - Viens que je t'installe pour la nuit.
    Elle passa autour de mon cou un collier de chien, m'attacha les mains dans le dos avec une paire de menotte, et me fit allongeais sur le ventre au pied de son lit, où elle relia mon collier à un anneau par une courte chaîne, ce qui me forçait à rester le nez dans la moquette.
    - Tu es bien, esclave ? Passe une bonne nuit !"
    - Maîtresse, je n'en peu plus, laisse moi jouir ! La suppliais-je.
    - Tu m'as donné du plaisir, je vais faire quelque chose pour toi, pour cette première nuit. Mais à l'avenir, tu ne jouiras qu'avec ma permission. Et ne t'avises plus de me le demander !
    Elle sortit de son placard un escarpin à haut talon, m'ordonna de soulever mes fesses et le posa sous moi, glissant ma queue et mes couilles dans la chaussure. La position était assez inconfortable, mais très excitante.
    - Tu peux te branler comme ça, et si tu parviens à jouir, tu ne seras pas puni. Bonne nuit, esclave !
    Elle se déshabilla et se coucha sans plus s'occuper de moi. Malgré tous mes efforts, ne je pus réussir à tirer du plaisir de son escarpin, et finis par m'endormir très tard, le sexe toujours douloureusement dressé. L'inconfort de la position me réveilla très tôt, et j'essayais aussitôt, sans plus de succès qu'auparavant, de me faire jouir dans le soulier de ma maîtresse. Tandis que je m'agitais de la sorte, les mouvements la firent sortir de son sommeil, et elle se leva du lit, l'œil mauvais.
    - Je n'aime pas beaucoup être réveillée à cette heure ci, esclave. Je te jure que demain tu y réfléchiras à deux fois avant d'oser bouger un orteil !
    Elle se leva, fouillant un long moment dans le placard, dans mon dos. Quand elle se retourna, je l'aperçus dans la glace, nue, la taille ceinte d'un gros godemiché noir, une cravache à la main.
    - Tend moi ton cul, enculé ! Ordonna-t-elle en me cinglant de sa cravache.
    J'eus beau la supplier de me pardonner, elle me cravacha les fesses jusqu'à ce que je parvienne à dresser la croupe, le sexe toujours dressé et coincé dans son escarpin vernis. Elle s'agenouilla derrière moi, posa les mains sur mes fesses, et je sentis le gland de plastique forcer doucement mon cul. Elle enfonça par petit coup, et je criais de douleur et de surprise. Lorsque le gode fut complètement entré dans mon cul, elle resta un moment sans bouger, et commença à donner de petit coup de reins. Je constatais avec surprise que la douleur disparut rapidement pour faire place à un plaisir trouble. Après quelques minutes de ce traitement, je me mis à haleter, puis à gémir, de plus en plus fort à mesure qu'elle accélérait son mouvement. Et sans me toucher, je sentis mon sexe exploser et je m'effondrais en répandant mon sperme dans son soulier.
    Je m'endormis cette fois pour de bon ! Je fus réveillé par des petites tapes sur le visage ! D'abord surpris de me trouver là, je réalisais ma position.
    - Je vais te donner ton petit déjeuner ! Me dit Tante Rita !
    Elle me détacha afin que puisse me retourner sur le dos, puis sans que j'aie eu le temps de réaliser, ma tante assit sa chatte sur mon visage, m'ordonna d'ouvrir ma bouche et me fit avaler sa tiède urine matinale !
    - Qu'est ce qu'on dit ?
    - Merci Maîtresse !
    FIN
    (Et merci à... Cécile)




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