• Contrainte ABDL gérée par ordinateur.

    Contrainte ABDL gérée par ordinateur.

     D’un naturel joueur un brin maso, j’ai testé l’auto bondage qui m’a bien amusé mais dans mes fantasmes ce sont plus les contraintes que le masochisme qui m’attirent. Les jeux ABDL m’ont donc séduit mais ma culture judéo-chrétienne et la propreté apprise pendant l’enfance m’empêchaient de me laisser aller. A peine avais-je fait trois petites gouttes, que je retirais la couche pour aller finir de me soulager aux toilettes comme tout le monde.

    Mes surfs et lectures sur www.fessestivites.com puis les divers témoignages généraient des envies de plus en plus fortes mais par pudeur, je n’en ai jamais parlé à personne. Le jour où fessestivites.com a lancé son système de gestion des cadenas des ABDL  et des cages de chasteté l’idée m’a séduit. J’allais enfin vivre au moins une fois une contrainte ABDL sans que personne ne se moque de moi.

    N ’étant pas très équipé j’ai osé adresser un email au gestionnaire pour lui parler de mes problèmes de matériel. En parler même à un inconnu fut pour moi extrêmement difficile mais sa réponse sympa et sans aucun jugement m’a permis de sauter le pas et de résoudre mes soucis de matériel.

     Au rayon bricolage j’ai donc acheté la chaînette et le cadenas pour essayer son astuce de mettre un short à l’envers, à savoir le devant derrière et inversement avant d’enfiler le pantalon à fermer avec une chaînette et le cadenas. C’est tout con et effectivement, cela fonctionne.   Lorsque j’ai commandé ce fameux cadenas avec livraison différée du code, (20 euros tout compris) j’étais fou d’excitation.

     Le fameux samedi de mon auto initiation qui allait devenir une contrainte réelle et sérieuse, j’ai donc mis deux couches une devant derrière l’autre normalement en perçant la première comme il m’a indiqué afin d’augmenter le volume de liquide. J’ai donc mis mon short à l’envers puis mon pantalon que j’ai eu bien du mal à fermer.

     La fermeture du cadenas à combinaison fut également une étape difficile et quand j’ai retiré le collant noir les chiffres mis à tourner. Piégé, je m’étais piégé. Paradoxalement, je me suis traité de malade mental mais en même temps j’étais super excite. Ce à quoi je n’avais pas pensé (c’est idiot) c’est qu’avec les couches et le pantalon fermé à clé, j’allais devoir rester sage et chaste. Sans être vulgaire, je peux dire que j’avais une trique d’enfer.

     Frotter les couches à travers le pantalon et le short ne générant rien, je me suis allé sur l’ordi pour surfer après avoir ouvert une bouteille de champagne, après tout, on ne vie qu’une fois me suis-dit.

     Ce n’était pas une très bonne idée ! ! ! Vers 20 heures, l’envie de faire pipi me tenaillait. L’alcool aidant, je me suis laissé aller par petits jets comme indiqué afin de laisser le temps aux couches d’absorber. Uriner quand on est en érection avec le sexe tiré vers le bas n’est pas évident du tout. Ce qui est complètement fou c’est que j’avais des contractions proches de la jouissance sans jouir évidement. Ce genre de truc ne m’est jamais arrivé en faisant pipi.

     Vers 23 heures, le sommeil ne venant pas, je me suis surpris à frotter mes fesses comme une chate en chaleur sur le fauteuil de mon ordi. « Je deviens fou » ais-je pensé en finissant de renvoyer la bouteille de champagne si vous voyez ce que je veux dire. Ce n’est que vers une heure du matin que j’ai fini par trouver le sommeil car dormir avec ce gros paquet inquiétant entre les jambes et mon pantalon, étais très perturbant. Le sommeil ne fut que de courte durée, car vers trois heures, une envie pressante m’a réveillé.

     Même en couche, me laisser aller dans le lit m’était mentalement impossible. Je me suis donc levé pour marcher en pensant que j’allais arriver à faire passer l’envie. Ce fut pire, l’envie s’est comme « décuplée ». L’inquiétude grandissante au sujet des fuites éventuelle m’est venue, j’ai donc ajouté deux draps de bain dans le lit avant de me recoucher. Je n’osais plus bouger. Entre deux sommes, des rêves érotiques m’ont mis dans tous mes états. Une domina nurse aussi jolie que sévère venait m’attacher dans le lit pour m’obliger à rester couché. Attaché jambes écartées avec les bras liés à un truc de contention médicale, je la suppliais mais elle me grondait et me menaçait d’une fessée si je continuai.

     Finalement, je me suis levée vers 7 heures avec une trique d’enfer et une gigantesque envie de faire pipi. Il est vrai que me descendre la bouteille de champagne n’avait pas été une très bonne idée mais le pire restait à venir. Si les couches ont tenu bon, l’envie de faire « popo » MdR pour le choix des mots qui me sont venus à l’esprit me taraudait mais il n’en était pas question. Debout comme un I, jambes serrées et croisées, j’avais l’air d’un con mais j’ai tenu bon. Le café pris, ne pouvant sortir ainsi, je me suis installé à l’ordi pour surfer. Vers 9 heures et deux cafés plus tard, c’est en revenant à mon PC que j’ai bien cru que j’allais craquer.

     A nouveau droit comme un I, jambes et fesses serrées accroché à la porte de la cuisine, je me suis détesté tout comme j’ai détesté fessestivités.com  et leur putain de cadenas. Une fois assis, cela fut moins difficile de me retenir OUF ! Ouf car je ne me sentais pas de rester comme un I jusqu’à midi. Il n’était que neuf heure et il me restait trois heures à tenir avant de recevoir la combinaison du cadenas de mes folies. Bien décidé à ne plus bouger, j’ai commencé à écrire cette histoire ou plutôt mon aventure d’auto contrainte en couche. Et là, mon paquet de cigarettes étant vide, soit je m’abstenais de fumer soit je devais prendre le risque d’aller en chercher dans mon sac accroché dans la cuisine.

     Finalement ce cadenas permet de lutter contre la tabagie car je n’ai pas pris le risque de me déplacer et de fuir.

     Vers 11 heures et quart, la soif me tenaillant, il m’a semblé jouable de tenter un aller-retour éclair à la cuisine pour prendre une bouteille d’eau et mes cigarettes. Si l’aller fut facile, en revenir fut une catastrophe. Mon anus se révoltait et fut pris d’une sorte de série de contractions et j’ai commencé à fuir. Les poings et les paupières serrés par solidarité avec mes fesses et mes jambes, j’ai commencé à écraser avec les doigts crispés mes cigarettes et à broyer la bouteille en plastique.

     Arrivé au fauteuil de mon ordi, je me suis assis en priant pour qu’il n’y ait pas trop de dégât et en me jurant que je ne bougerai plus de là tant que je n’aurais pas la combinaison. Des dégâts il n’y en eu que très peu, mais la bagarre entre mon mental et mon anus fut rude.

     Midi, rien dans ma boite email.

     Midi une toujours rien dans ma boite email.

     Midi deux toujours rien dans ma boite email. Je cliquais sur « envoyer/recevoir et toujours rien.

     Midi trois toujours rien dans ma boite email. J’ai méchamment commencé à douter des services de fessestivites.com

     Midi quatre, l’email est ENFIN arrivé. Envoyé à midi pile il n’a mis que quatre minutes pour traverser la France. Certes c’est peu mais cela m’a paru une éternité. Ouvrir le cadenas avec la combinaison fut une formalité tout comme de retirer la chainette et ouvrir la fermeture de mon pantalon, mais me rendre aux toilettes pourtant à quelques mètres m’obligea à une étape pour contenir ce que je ne voulais pour rien au monde voir dans mes couches. J’ai tenu bon mais arrivé aux toilettes j’ai soudain détesté les fabricants de couches car j’ai soudain trouvé que leurs attaches collaient trop.

     « Et le roi des cons assis sur son trône » disait Renault dans sa chanson, ben le con qui poussa un long et brouillant soupir de plaisir et de soulagement ce fut moi. Jamais au grand jamais je n’aurai imaginé prendre autant de plaisir dans des toilettes. Le pied ou presque.

    …………………………

    Cette aventure m’a permis de découvrir des sensations physiques très agréables que je ne connaissais pas même si j’ai eu peur. L’idée me taraude est maintenant de refaire l’expérience mais en allant dormir dans un formule 1 pour m’obliger à sortir en couche et à rentrer à la maison pour me libérer. Pour l’instant ce n’est qu’un fantasme, ……

     Franck

     


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