• Guidé(e) Par Ma Femme

    AUTEUR : Silkywayrunner

    Il est le matin vers 7 heures 30, ma femme se prépare dans la salle des bains devant la glace, penchée un peu en avant pour finir son maquillage. Elle porte un soutien-gorge noir en dentelle qui montre sa poitrine généreuse plus que il la cache. Je devine une culotte assortie sous les collants transparents. Aux pieds déjà les escarpins pointus noirs avec les talons hauts qui se fixent à l'aide d'un collier aux chevilles.

    Je la regarde. Elle prend aujourd'hui particulièrement soin à son maquillage et le rouge aux lèvres foncé en contraste avec les yeux rendus plus grandes par les miracles de la cosmétique la font irrésistible. Hier elle a été chez le coiffeur et elle m'a surpris avec une nouvelle coupe mi-longue, et une couleur châtaigne avec des jolis reflets rouges.

    Je sens un picotement en moi. Elle est excitante, belle. Elle me donne un sourire quand elle quitte la salle des bains et va à la chambre où elle ferme la porte. Je reste la avec son image et son parfum très féminin qui perturbe l'atmosphère.

    Elle reste un bon moment dans la chambre. Plus long pour choisir tout simplement une robe, mais mes pensées agréables me ne laissent pas m'ennuyer.

    Enfin elle sort en ferment encore la porte derrière elle ce qui me semble un peu étrange. Elle porte une jupe courte verte foncée et un top rouge Bordeaux au col haut et manches longues qui mets en valeur ses formes. Une veste satinée portée ouverte complète sa garde-robe. Elle me jette un petit bisou sur le joug et dit : Je ne rentre pas ce soir, j'ai te préparé quelque chose dans le frigo et... avec un sourire un peu malicieux, ...une petite surprise dans notre chambre.

    Elle descend l'escalier, je vois ses fesses dans la jupe étroite et ses jambes couvertes de nylon de ses collants. Dans sa main la petite valise qui est toujours prête pour ces déplacement spontanés. Elle quitte la maison, j'entends sa voiture démarrer et de la fenêtre je vois les feux arrière de sa Golf prendre le virage de la route.

    Ca va dire qua, une surprise? Curieux j'ouvre la porte de la chambre et je suis vraiment surpris. Sur le lit est étalée une robe rouge, le haut en dentelle et la jupe transparente doublée en satin. Un soutien-gorge noir comme j'adore sur elle mais les bonnets, j'ai vu un peu plus tard, de la taille B et pas C, Une culotte identique de la sienne, des collants, une gaine culotte également noire et devant le lit une paire des escarpins rouges avec des talons hauts de cinq centimètres. De la taille 41,5. Elle porte des 38. A côté du soutif une petite boite en carton et une enveloppe rose. J'ouvre d'abord la boite. Elle contient des faux seins en silicone presque naturels avec les tétons. L'enveloppe est fermée. Je tremble un peu en l'ouvrent et je trouve une lettre manuscrite de sa main :

    Mon chéri,

    Depuis déjà un bon bout de temps j'ai le soupçon t'a un petit pêché mignon. J'ai découvert mes sous-vêtements rangés un peu différemment dans le tiroir, mes jupes et robes ont bougées tout seul dans le placard, peut-être quelqu'un les a aidé? Dans la corbeille à linge mes culottes prennent des tâches, quelques fois même les soutient gorges. Depuis le jour où t'as plus eu le droit de toucher mon corps je me pose la question comme tu feras. J'ai pensée à une petite copine mais jamais il a eu un signe. Après, j'ai compris. T'as trouvé d'autres objets pour ton désir.

    C'est bien, et dès maintenant je vais m'occuper de ta nouvelle vie sexuelle. Mais sous mes conditions et t'es ténu de les respecter. Jamais t'as le droit de t'exciter et encore moins de te masturber sur d'autres objets que mes sous-vêtements, robes, jupes personnelles où d'autres que je peux te donner. Tu me dois en contrepartie un rapport exact sur toutes tes « activités » sans gène. Tu ne regretteras pas par ce que je vais te guider dans le ciel et tu vas être comblé.

    Ce soir notre nouvelle intimité commence et tu vas t'habiller avec les vêtements j'ai te préparé. Je pense ton sexe va s'ériger déjà quand il touche à ma culotte. Enfile doucement les collants, t'a l'expérience je soupçonne, et maîtrise ton petit ami dans la gaine culotte. Je suis sûr l'expérience de porter pour la première fois des faux seins et de voir les tétons couverts à peine par la dentelle du soutif va te donner l'envie de te transformer le plus souvent possible. Tu vas voir la robe te passera comme faite pour toi et avec un peu d'exercices tu te promènes avec les escarpins aux talons comme une vraie femme.

    Je t'interdis de te branler, Tu vas te regarder dans les glaces. Tu vas profiter de te promener et de sentir glisser la robe sur tes collants. Si tu t'assoiras croise les jambes comme font les femmes. Touche tes seins à travers de ta robe. Il faut tu t'adapte à la légère pression des bretelles de ton soutif, tu vas le porter dès maintenant très souvent. Et laisse partir tes fantasmes. Pense aux choses qui fait ta femme quand elle est en déplacement. Peut-être ce soir. Une femme mûre comme moi prend les hommes pour se faire plaisir. J'adore d'allumer un homme viril et de faire l'amour avec lui. Au début j'ai exigée la capote mais c'est tellement jouissant de sentir un sexe dur direct dans mon vagin et le faire éjaculer profondément dans mon ventre que je ne veux plus des préservatifs. Tu comprends?

    Je suis sûr tu n'es pas jaloux. Je pense au contraire ça te plait. Tu t'imagine ta femme sur un homme musclé qui tient ses seins avec ses mains et tortille ses tétons. Elle bouge ses hanches, la grosse queue du mec rentre et sort de son vagin plus en plus vite. Elle commence à jouir et l'excite son amant en montrant sa bouche ouverte et dit lui des mots qui seulement une femme expérimentée peut dire. Il s'envole en air avec elle. Il prend ses fesses au moment où il sent venir son sperme, tient le corps de sa maîtresse pour que rien ne se perde et éjacule en plusieurs coups forts. Ta femme continue ses mouvements du bassin en douceur, un sourire décontracté sur son visage.

    Tu veux voir la scène? Un jour peut-être. Mais pour le moment notre vie sexuelle reste séparé.

    Je te souhaite une soirée enchantée et nous nous reverrons demain.

    Ta femme

    PS : Pour ta nouvelle garde-robe j'ai libéré une partie côté fille de l'armoire et pour ta linge deux tiroirs.

    Je suis comme hypnotisé. J'ai envie de la remercier. Il est 9 heures et la soirée est encore loin.

    J'ouvre son armoire pour regarder ses robes et jupes comme je fais souvent, mais cette fois ci c'est autrement. C'est elle-même qui me guide. C'est comme chaque robe, comme son chemisier transparent me parle avec sa voix et me dit : prend moi, montre moi à ton petit ami pour le rendre fort et dur, frotte lui sur moi et fais le sentir la différence des tissus délicats sur son gland.

    Mais ne fais pas trop vite. Je suis ton objet de désir. J'appartiens à ta femme qui me porte sur son corps. J'ai vu quelques choses quand j'été avec elle. Si tu me vénères comme je mérite je vais te raconter mes aventures.

    Je prends le chemisier fait d'un tissu ultra fin, col et manches entourés de dentelles et une jupe d'été en soie aux motifs des grosses fleurs et je le pose sur le deuxième lit. J'ouvre la braguette et sors mon sexe déjà en train de s'ériger. Je passe le gland lentement sur le bord de la jupe et j'embrasse la dentelle du chemisier. J'ai envie de venir tout de suite, mais je m'arrête et je vais dans la salle des bains où je cherche dans la corbeille à linge une de ses pièces intimes.Je choisis une culotte d'une jolie couleur « champagne » en satin, devant doublée en dentelle avec des petites roses et une rose brodée sûr le bord en milieu.

    Je reviens dans la chambre et je commence doucement de glisser mon gland sûr sa culotte, de le montrer la différence entre le satin et les excitantes aspérités de la dentelle. Il a le droit de s'enfiler et de pousser contre la partie qui garde l'entrée de son vagin, il se sent si proche des gouttes de désir. Je m'imagine ma femme portent chemisier et jupe sur la banquette arrière d'une voiture. Elle est au dessus d'un homme à la braguette ouverte et tient son sexe érigé dans sa main. Elle tire sa culotte, celle je sui en train d'explorer, et sa main fait glisser la queue dans son vagin. Il n'est plus possible de me retenir. Je tiens la culotte fort contre mon petit ami et je regarde le nylon prendre mon éjaculation. Je vois une tâche s'agrandir sur le satin et gagner la dentelle. Je le retire un peu,les dernières gouttes sortent et je les laisse aussi tomber sur mon objet fetish.

    Après j'ai remis jupe et chemisier dans l'armoire sans me soucier si ils sont exactement à leur place car si ma femme les trouve un peu déplacé elle sait j'ai exercé mon pêché mignon et c'est elle qui m'a donnée la permission. La jolie culotte qui a vu deux sexes en 24 heures dans les circonstances très différentes est repartie dans la corbeille à linge.

    La journée passe, je fais mon travail quotidien en pensent à ma surprise. De temps en temps je rentre dans la chambre comme pour m'assurer il n'agit pas qu'd'un rêve. Mais non, la belle robe est bel et bien réalité. Et les escarpins me rappellent l'intérêt ma femme porte sur la perfection.

    Le soir vient, Je prends une douche, mon gel douche habituel n'est plus la. Il y a un autre, « spécial femme », avec un parfum subtil de roses. Il laisse sur la peau une douceur plaisante agréable à toucher. Tout nu je vais dans la chambre et je me mets le soutien gorge, pressé de me voir avec des jolis seins. Je ferme les agrafes et monte les bretelles. Comment ma femme a pu deviner la taille des soutifs pour moi? Il est parfait. J'ouvre le petit carton et sors les seins en silicone. Doucement je touche les tétons. Je les enfile dans les bonnets. Je les prends dans mes mains et je les caresse dans la dentelle noire. Mon sexe est dur et érigé comme j'ai rarement vu. Pour la première fois je me vois avec les atouts féminins qui me font rêver depuis longtemps. Je n'ose pas de me regarder dans la glace je n'aurais sûrement pas résisté à la tentation de masturber immédiatement. Mais sa lettre m'interdit, je me maîtrise et je prends la culotte. C'est bien celle qui a été portée hier, je me souviens car elle a en milieu du bord un petit papillon avec une perle. En plus elle sent son corps et son parfum. Ce n'est pas facile de la mettre. Il me faut trouver la place pour mon petit ami impatient. Et maintenant les collants. Assis sûr le lit je enfile une jambe après l'autre, je me mets debout et je les tire jusqu' à la taille. Ils sont d'une jolie couleur marron clair, sur l'étiquette est marqué « fauve ».

    J'apprécie la prévoyance de ma femme qui m'a préparé la gaine culotte. Elle est faite du Lycra avec des renforts devant prévu pour l'effet « ventre plat » La douce force du Lycra retient mon sexe toujours dur et maintient aussi une étrange pression sur mes testicules. Elle forme des fesses rondes proéminentes, comme je vois maintenant car je me sens plus sûr avec la gaine de me contrôler dans les glaces avant de mettre la robe.

    Je la lève du lit. Elle est de taille 42 avec une fermeture éclair côté gauche. J'ouvre la et je la mets au dessus de ma tête et je la fais glisser sur mon corps. La première fois je porte ma propre robe. Un rêve avec la partie haute en dentelle qui est parfaitement ajustée à ma nouvelle silhouette et le jupon en satin doublé de voile. Elle finit juste aux genoux, est généreusement large et le rouge vif me plait beaucoup. Je m'asseoir encore sur le bord du lit et je mets les escarpins. Je ferme les petites boucles dorées sur les chevilles et je me lève. Les premiers pas prudents vers le grand miroir de la chambre. Je me tourne une fois. Une autre fois plus vite, le jupon vole. J'ai envie de me toucher partout. Je touche mes fesses, les seins qui me semblent déjà comme mon propre chair, je lève un peu les jupons pour admirer mes jambes couvertes de nylon.

     

    Passer la main sur les collants, entendre le son inoubliable quand la jupe glisse dessus. Ma femme m'a tout pré dicté et dans ce moment je pense à elle et les jolies choses elle est sûrement en train de faire avec un homme. Je voudrais la féliciter pour son esprit pétillant et je souhaiterais elle allumera son amant dans la plus belle façon et qu'il la fera l'amour plusieurs fois cette nuit et surtout sans préservatif. Elle doit garder le sperme dans son vagin comme sa culotte gardera le mien.

    Et il m'arrive quelque chose qui ne m'est jamais arrivée avant. J'été debout devant le miroir et j'ai commencer d'avoir les jambes qui tremblent. Je me vu portant une belle robe choisi pour moi par ma femme et toutes le sous vêtements elle ma préparé pour mon plaisir et je senti venir mon orgasme. Elle m'a averti, ma déesse, je pourrais jouir sans me masturber que en pensant à elle et en portant les vêtements enchantés. Je senti mon éjaculation, mon sexe été pris dans sa culotte fermement fixé par les collants et la gaine. J'été livré à elle, obligé de mouiller sa linge et j'ai m'imaginé son sourire quand elle trouve les piéces de conviction pleines de sperme dans la corbeille.

    Avant de me déshabiller j'ai pris place sur son lit, croisant les jambes en regardent les escarpins sur mes pieds dans les collants. C'été merveilleux, j'été comblé.

    Après quelques minutes je commencé de me mettre à nu et comme elle a promise, une partie de son armoire été vide et je mis ma première robe sur un cintre à sa place. Le soutif et les seins j'ai mis dans le tiroir prévu, mais mon éjaculat a taché culotte, collants et gaine et je le mis dans le lavabo à tremper pour m'occuper plus tard.

    Le temps est passé en vitesse, déjà 11 heures et je cherche mon pyjama sous l'oreiller. Je trouve à sa place une de ses chemisettes de nuit en soie avec des fines bretelles et brodées autour de la poitrine et en bas. Je la prends et passe dedans. Je file dans la salle des bains pour me brosser les dents et j'ai envie à nouveau. Mais cette fois l'orgasme ne peut pas venir tout seul. Le lève la chemisette et je prends mon sexe dans la main. Je commence doucement de me branler, je prends mon temps pour l'observer et le plaisir de le voir grossir sous mes caresses. Une fois bien érigé je me masturbe devant la glace. Nu dans la chemisette bleue de ma femme qui couvre à peine les fesses, je continue de m'exciter, en pensent à elle dans sa lingerie au matin. Contre mon gène je voudrais que elle pourrait me voire maintenant.

    Mes frictions sur mon sexe deviennent plus en plus vite et j'éjacule contre le miroir en trois coups. Enfin je suis fatigué et je retourne dans la chambre et dans mon lit.

    Le lendemain je me réveille, la chemisette sur mon corps me rappelle que un rêve est devenu réalité. Je prends une douche et avec un petit regret je m'habille en chemise et pantalon mais je me permets de porter dessous une culotte de ma femme, pour me sentir proche d'elle. Aux toilettes je me pose assis comme les femmes tout naturellement en baissant ma petite culotte.

    Le soir venu elle revient, souriante et radieuse, une femme épanouie. J'ai l'impression que le sexe fréquent avec ses différents amants la rend plus en plus belle. Elle me donne un bisou avec les lèvres pointues sur la joug et me demande : Comment ma chérie a trouvé ma petite surprise? Elle t'a plu?

    C'été un enchantement j'ai répondu et je te trouve merveilleuse. Bien, et tu veux continuer?

    Bien sûr et je vais suivre tes consignes qui m'ont déjà porte au septième ciel. Si c'est comme ça elle répond, nous avons toute la soirée pour tu apprends plus de ta nouvelle vie et moi je suis à la bonne place pour t'introduire dans les secrets de la féminité. Elle pose sa main avec les ongles soigneusement vernis sur mon bras et je remarque un nouveau bracelet au poignet.

    J'été en ville hier elle dit, une promenade dans le centre . J'ai visité quelques boutiques, un peu de shopping, aussi pour toi, et après j'eu un rendez-vous avec un homme dans un restaurant et en suite nous sommes allé dans un hôtel très classe où il a réservé une chambre. Tu sais je ne bois jamais, mais je pris quand même une coupe de champagne qui m'a visiblement déchaîné, nous avons fait l'amour trois fois et il m'a offert ce joli bracelet. Je la confiais mon fantasme sur elle ou j'ai souhaité hier de plein cœur elle aura des rapports sans capote et elle se fasse jouir. C'est adorable de toi elle me dit et nous avons maintenant une telle complicité comme des amies, donc j'aimerais de te trouver un jolie nom de fille pour t'appeler comme tu te sent.

    Ques'que tu penses d'Irina? C'est un nom slave et vraiment féminin. Il me plait et j'aimerais bien que tu m'appelle ainsi. Top, tu es Irina ma copine et maintenant tu va avec moi dans la chambre et nous faisons ça que toutes les filles aiment : essayer les vêtements.

    Elle me prend dans la main et me tire vers la chambre en rigolant. Sur les lits sont étalé différentes jupes, robes, tops, je remarque un nouveau chemisier, quelques poches des marques exclusifs. Entre autres les noms des maisons de lingerie fine.

    Déshabille toi et on va te donner un nouveau look.

    Je participe à son jeux volontairement et quand elle voit je porte une de ses culottes elle me dit que ça le plait parce que ça montre mon dévouement à ses idées. Tu peux la garder mais tout le reste doit changer. Elle commence de fouiller dans une des poches et sort un corselet blanc hyper sexy avec les bonnets balconnets. Où t'a tes jolis seins? Dans le tiroir avec ton soutif? Je vais les chercher. Essaye entre temps le corselet. Je rentre dedans et elle me place les seins dans les bonnets. Irina, tu seras très séduisante et il sera dommage de ne pas compléter ta lingerie avec un porte-jarretelles et des vrais bas.

    Immédiatement elle a une petite merveille en dentelles blanches dans sa main et elle le fixe sur ma taille. Quel bas tu préfères Irina? Les noires classiques ou les fantaisie? Ca dépend de la robe je répond et je suis récompensé par un bisou. Exact, et la question est robe ou chemisier et jupe. Je peux te proposer ce chemisier noir transparent qui laisse plus que deviner ton corselet avec une jupe étroite en cuir noir un peu au dessus des genoux. Les bas classiques sont de vigueur. Où une robe style Dior rétro, aux motifs des années 50 avec les bas fantaisies. Si tu choisiras cette robe il est indispensable de porter un petticoat en tulle pour obtenir une bonne largeur.

    C'est sûrement excitant de porter un petticoat mais nous n'allons pas au bal, je prendrais la jupe. Comme tu veux, tout va te rendre attirante et un jour tu iras aussi au bal avec la robe ; Tu verras.

    Assis sur le lit et entouré du Capharnaüm féminin des poches et textiles je mis les bas et elle m'aide de les fixer correctement. Le chemisier est un soupçon de tissu avec des manches longues et un col en V avec une boucle. Il est vraiment transparent et légèrement plissé. Je la demande si il n'est pas trop audacieux et elle me répond que si on a de jolies choses à montrer il faut le faire et point.

    Souriante et presque aussi excité que moi elle me tant la jupe et je me dépêche de la mettre. Elle a une fente derrière et est si étroite que elle me pose la main sur les fesses en rigolant que les hommes voudrant donner beaucoup si ils eurent le droit de le faire. Je me défends un peu et elle me dit en murmurent dans l'oreille que si c'était le prince charmant je le laisserai faire et peut-être plus. Tu verras.

    Halte, elle dit j'ai oublié une boite dans ma voiture. Elle court à l extérieur et revient avec un carton assez grand elle est en train d'ouvrir en courant. Regarde, tu les veux? Elle tient une paire de bottes aux talons hautes de 7 cm minimum en cuir noir brillant. Ils sont coûtés une fortune je m'inquiète. Oui, mais c'est mon amant qui les a payé et il n'a pas fait attention sur la pointure. J'ai l'eu, j'ai l'eu, elle danse devant moi en jonglant avec les bottes. T'a aucune raison de te faire des réflexions, il est riche et il a reçu sa récompense. J'ai le fait une fellation de luxe, ça vaut bien une paire de bottes. Met les vite aux pieds, je veux te voire avec et tu va devenir une grande fille, 7 cm plus grande. Je marche devant elle comme sur un défilée de mode. L'entraînement d'hier avec les escarpins n'été pas inutile. Je me tourne à la porte et je reviens. Elle me tire à son côté sur le lit et m'embrasse sur la bouche, encore très discrètement. Tu es ma meilleure copine, Irina elle me dit dans l'oreille et me mets sa langue dedans pour un clin d'œil.



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  • L'Education de Suzie par baby Coralie
    Auteur : Coralie

    Avec Dominique, nous avons très tôt eu des jeux bizarres. Enfants, en jouant aux cow-boys et aux indiens, c'était toujours lui le prisonnier. En jouant au gendarme et au voleur, j'étais toujours le gendarme qui le gardait des mercredis après-midi entiers attaché les mains au dos, pour notre plus grand plaisir commun. Nous avions confusément conscience de ne pas entrer dans la norme et, sans jamais l'avoir évoqué, nous gardions secrets nos jeux de ficelle. Je ne me souviens pas de la première fois ou Je l'ai habillé en fille. Nous devions avoir quatorze ou quinze ans. Je me souviens parfaitement, par contre, du plaisir diffus que j'ai éprouvé à le transformer ainsi. Je crois sans en être sûre que c'est ce jour là que j'ai eu mon premier orgasme, sans qu'il me touche et encore moins sans que je me caresse. Je n'ai pas compris sur le moment ce qui m'arrivait mais je savais que c'était délicieux et que j'avais envie de recommencer. Ainsi débuta ma longue quête du plaisir défendu, quête qui n'est pas terminée, loin s'en faut.
    Nous ne passions pas notre temps à ce genre de jeux. Nous avions la vie normale et frénétique des ados de notre âge, mais régulièrement, les jours de vacances pluvieux et les mercredis ou l'on s'ennuie, nous faisions l'assaut des armoires parentales et nous changions de peau et d'âme. Je me transformais en princesse, en bourgeoise, en catin au gré de mon humeur et Dominique se métamorphosait en soubrette, en écolière ou en petite fille. Que de jours délicieux avons nous passé ainsi...


    Tout naturellement, nous avons continué après notre mariage. J'ai continué à dominer et à travestir Dominique, pour notre plus grand plaisir. Maintenant que nous étions chez nous, je lui confectionnais une garde robe a mon goût. Chaque vêtement fut choisi avec soin, pour un usage spécifique. En effet, je décidais de reprendre son éducation à zéro. Dominique aimait de plus en plus sa vie de femme et avait du mal à reprendre ses habits de garçon. Il évoquait souvent sa féminité frustrée et préférait la plupart du temps rester à la maison, habillé en fille, plutôt que de sortir. Nous en avons longtemps, repoussé l'idée plusieurs fois mais nous avons fini par nous décider à sauter le pas. Mais quitte à transformer Dominique en femme, je la voulais épouse, dame de compagnie, amante et soubrette tout à la fois et son éducation de garçon, même améliorée par mes soins, ne pouvait y suffire. Un soir donc, je lui expliquais mon plan mûrement réfléchi. J'allais le faire régresser jusqu'au stade de bébé, puis le faire grandir en le modelant à mon idée, jusqu'à ce qu'il soit exactement ce que je voulais. Dominique ne fut pas difficile à convaincre et une fois l'idée acquise, fut même franchement enthousiaste. Il avait depuis toujours l'habitude se reposer sur moi pour toutes les choses de la vie quotidienne comme les décisions les plus importantes et les changements à venir ne lui faisait pas peur.

    Peu après, un samedi matin, je me levais tôt et me préparais comme je l'avais prévu. Je m'étais procuré un véritable uniforme de nurse. J'enfilais la blouse à fines rayures roses et blanches, nouais le large tablier de coton blanc à bavette et épinglais une petite coiffe blanche sur mes cheveux relevés en chignon. Avec mes collants blancs et mes talons plats, je faisais une ravissante puéricultrice. Mon mari ne fut pas surpris de me voir habillée ainsi, comprenant que son éducation commençait. Nu comme un ver, je l'emmenais dans la salle de bains et là, après lui avoir donné un bain bien chaud, je lui administrais un bon lavement à l'eau glycérinée. C'est une pratique que nous aimons tous deux depuis longtemps. Puis j'entrepris de l'épiler entièrement. Cela pris très longtemps, car je voulais mon bébé fille toute lisse. Non pas qu'il fut très poilu, il était même pratiquement imberbe, à la fois sur le visage et corps, mais épiler complètement quelqu'un qui ne l'a jamais été est un sacré travail. Je m'attardais particulièrement sur le visage, le sexe et l'anus, que je voulais rendre vierge. Je lui épilais entièrement les sourcils, ce qui lui fut très douloureux. Comme il commençait à gigoter, je lui attachais les mains et les pieds avec de larges rubans de soie rose que j'avais préparé. Quand il fut bien lisse comme un bébé, je l'enduis d'huile précieuse pour éviter l'irritation et le talquais des pieds à la tête. Pour parfaire la transformation je lui fis un brushing car je voulais une petite fille parfaite. A ce moment, Dominique paniqua un peu. "Je ne vais plus pouvoir sortir dans la rue " s'inquiéta t-il. Je lui répondis qu'un bébé ne sort pas dans la rue et qu'il ne ressortirait pas de la maison de sitôt. Pour couper court à ses inquiétudes je le mis face au grand miroir de la salle de bain.

    Quel changement ! Le jeune homme qu'il était trois heures plus tôt ressemblait à un gros baigneur avec les gros nœuds de soie rose qui l'entravait. Je vis son petit sexe tout lisse se tendre instantanément. J'avais prévu cela et comme je le voulais pour l'instant asexué, je pris sa verge dans ma main et la caressais.
    "Oh! La jolie petite poupée que tu as ici, lui dis-je, il ne faut pas la laisser toute nue, nous allons lui mettre une jolie robe." Et joignant le geste a la parole, j'emmaillotais bien serrée sa verge et ses testicules dans un fourreau de soie blanche orné de dentelles cousues a cet effet. Ainsi fait, Il ne me restait plus qu'à le détacher et à l'habiller. Je commençais par lui mettre ses couches. J'optais pour deux couches droites bien absorbantes que je glissais dans un large change complet de nuit avec une culotte en caoutchouc rose, fermée avec des pressions sur les cotés. Cela lui faisaint un adorable derrière bien rebondi. Par-dessus, je lui enfilais un body de coton blanc puis une grenouillère toute rose en coton, fermée aux poignets et aux chevilles par de jolis rubans bleu ciel que j'avais cousu moi-même. Avec un bandeau blanc dans les cheveux, j'avais devant moi une charmante pouponne.

    Je parlerais désormais de Dominique au féminin car à partir de ce jour, je ne l'ai jamais considérée que comme une fille, au point que je ne l'imagine même plus comme ayant été un homme. Cela me fait l'impression d'être une existence antérieure et extrêmement lointaine. Je lui expliquais les termes de sa nouvelle condition : "A partir de maintenant, tu es une petite fille. Tu t'appelles Suzie et je serais ta nounou jusqu'à ce que tu grandisses. Je serais intraitable sur la propreté et sur l'obéissance mais si tu es gentille et bien sage, tu auras plein de bisous. Mais maintenant, il est l'heure d'aller te coucher." Il était à peine onze heure du matin et je l'emmenais à quatre pattes jusqu'à la chambre d'enfants. Cette chambre était déjà aménagée quand nous avions acheté la maison et était tapissée d'un joli papier bleu ciel avec des petits nounours. Nous y avions installé un lit d'une personne pour les amis. Je la couchais sur le lit et sortis du placard la gigoteuse que je lui avais cousu dans un sac de couchage. Je la glissais dedans, lui passais les bras dans les trous prévus à cet effet, remontais la glissière et serrais la ceinture élastique. Ainsi ma petite filleJe lui attachais à nouveau les mains, pour qu'elle ne se blesse pas et lui mis une tétine dans la bouche que j'attachais derrière la tête pour qu'elle ne puisse pas la perdre. Qu'elle était adorable ainsi, entravée dans la turbulette, a ma plus entière merci. Je l'embrasais tendrement et sortis.

    Je la laissais comme cela pendant deux heures. Vers treize heures donc, j'allais ouvrir ses volets. Ma bébé fillette était réveillée et me regardait. Je la fis monter sur la table à langer improvisée sur la commode de la chambre. Je lui ôtais la grenouillère et changeais sa couche. Elle avait fait pipi dedans et sa poupée était tachée d'urine. Il faut dire que le matin, je lui avais fait boire deux bons litres d'eau, pour qu'elle élimine bien. Je décidais de sévir sans attendre. Je la couchais en travers de mes genoux et lui administrais une bonne fessée. Elle se tortillait mais je n'arrêtais pas avant que les fesses soient bien rouges. Sa petite poupée était toute dressée mais de quelques bonnes claques, je lui fis baisser la tête. Pas d'arrogance avec moi ! Pour ma part, je sentais la pointe de mes seins se presser contre ma blouse de nurse et ma culotte était toute chaude et humide. Je n'en laissais toutefois rien voir car je voulais être une éducatrice parfaite. J'emmaillotais à nouveau sa poupée avec un fourreau de soie que j'avais cousu le matin. Je serrais bien cette douce camisole en lui expliquant que c'était la punition de sa mauvaise attitude. Une fois nouée, sa poupée aurait été bien en peine de se redresser. Ensuite je talquais ses fesses rosies et lui remis une couche, une culotte en plastique et sa grenouillère. Ainsi habillée, je l'emmenais manger. Après lui avoir noué un bavoir autour du cou, je lui donnais un bon biberon de lait, assise sur mes genoux. Puis je lui donnais à la cuillère une bouillie et un yaourt. Comme elle avait bien mangé, pour la récompenser, je la couchais sur le ventre dans le canapé et lui passais une cassette de Babar. Pour éviter qu'elle ne tombe et ne se blesse, je lui repliais les jambes de façon à ce que ses pieds touchent ses fesses et je lui attachais les mains aux chevilles avec les rubans roses. Je lui remis aussi sa tétine car les bébés aiment se sentir en sécurité. A la fin de la cassette, hop au lit ! Je la recouchais pour trois heures. Puis le soir à nouveau, biberon, bouillie, yaourt et après deux heures dans le canapé, je la mis au lit pour la nuit.


    Ainsi se passa la première journée de la nouvelle vie de Suzie. Sa vie de bébé dura six mois. Elle resta couchée, attachée dans sa gigoteuse la plupart du temps même si de temps en temps, je la laissais l'après-midi enfermée dans sa chambre avec ses jouets. Dans ce cas, je lui attachais les chevilles et les repliait sur ses cuisses pour les y attacher ensembles. Je ne voulais pas qu'elle marche tout de suite et ainsi ligotée, j'étais tranquille. Pendant tout ce temps, elle ne me vit jamais habillée autrement qu'en nurse et ne m'appela que nounou. Avant de partir travailler le matin ou en rentrant le midi et le soir, j'allais d'abord mettre ma blouse et mon tablier blanc avant d'entrer dans sa chambre. Là, je la changeais, lui donnais à manger, la câlinais ou la punissait si ces couches étaient mouillées puis la recouchais. Pendant ces six mois, elle ne marcha qu'a quatre pattes et ne parla que comme un bébé. Elle essaya bien au début de parler comme une grande mais à chaque fois je lui lavais la bouche au savon noir puis la bâillonnais pour la journée. Elle abandonna bien vite. Tous les matins, je lui administrais un suppositoire de glycérine et la mettais au pot car je ne voulais pas changer de couches souillées de caca. Les quelques fois ou cela arriva, je lui donnais un bon lavement puis lui bouchais l'anus avec un godemichet qu'elle gardait la journée et la nuit suivante. Elle appris bien vite à régler ses intestins et les trois derniers mois, pas une seule fois elle ne fit caca dans sa couche. Sa verge aussi resta emmaillotée pendant six mois et pas une seule fois elle n'eut le droit de la soulager. Le soir, elle venait se pelotonner contre moi. Je la sentais chaude et moite, rouge d'excitation, mais malgré mes envies je ne cédais pas et la laissais mariner des états d'éternelle frustration.

    Après un mois de ce traitement, je trouvais régulièrement la robe de sa poupée, comme je l'appelais, souillée de semence. Dans ce cas, je la montrais a Suzie et elle savais que là aussi, elle aurait droit au lavement et au godemichet. Pour moi au contraire, la vie sexuelle était on ne peu plus active. Je me masturbais chaque jour et je collectionnais les aventures. J'amenais mes amants ou amantes chez moi pour me faire l'amour et penser a ma pauvre petite fille attachée et couchée dans sa chambre me mettais dans des états d'excitation incroyables. De temps en temps, pour m'occuper de mon bébé, je portais des boules de geisha sous ma blouse et je m'offris ainsi quelques beaux orgasmes que je lui dissimulais bien sur.

    Au bout de six mois donc, j'estimais qu'elle était prête à passer a la suite de son éducation. Sa docilité et son obéissance étaient de bonne augure et je décidais de la transformer en petite fille. Ses cheveux avaient poussé et lui tombaient maintenant sur les épaules. J'étais sûre qu'elle serait absolument ravissante. Un matin donc, j'entrais dans sa chambre habillée normalement. Je portais juste un tablier sur ma jupe. Ma bébé me regarda, l'air étonnée. Une fois détachée, je la mis debout au milieu de la chambre. C'était la première fois depuis six mois et elle était un peu chancelante. "Voila, ma petite Suzie, il est temps que tu grandisses et que tu deviennes une grande fille, luis dis-je. J'espère que tu seras aussi sage que tu l'as été jusqu'à présent." Suzie hocha la tête, n'osant répondre. "Tu as le droit maintenant de parler, lui signifiais-je, je t'apprendrais à avoir une voix de jolie petite fille." Suzie n'avait pas parlé du tout pendant ces six mois. Je l 'avais obligée à vagir et à pleurer si elle désirait me faire comprendre quelque chose. Cela avait aussi très dur pour moi, bien que je fus consciente de cette nécessité. Je décidais que pour les étapes suivantes de sa transformation, elle aurait droit de parler autant qu'elle le voudrait. Au départ, j'étais un peu réticente car il s'agit tout de même d'une règle importante de l'obéissance, mais le fait d'être toujours au contact de Suzie, qu'elle me dise au dur et a mesure de ses changements tout ce qu'elle ressentait à se sentir transformer en ma petite femme aimante ne me l'on jamais fait regretter. Et puis j'ai trop vu de maisons silencieuses ou les esclaves n'ont pas le droit de parler. J'ai toujours trouvé cela un peu triste.

    J'avais amené avec moi un paquet contenant ses vêtements. Après lui avoir remis couche, culotte en plastique et fourreau de soie sur sa poupée, car elle était encore petite, je lui enfilais un panty de Nylon blanc, des collants blancs opaques, un chemisier blanc à col Claudine et une robe chasuble écossaise sur un jupon de dentelles blanches. Avec des petits vernis rouges et un ruban dans les cheveux, elle était adorable. Je l'embrassais tendrement en lui montrant son image dans la glace. "Comme je suis jolie, me dit-elle, on dirait une petite fille modèle". "C'est ce que tu vas être, je te le promets, lui répondis-je".

    C'est comme cela que Suzie appris à être une petite fille. Si elle avait désormais le droit de manger autre chose que des laitages et des bouillies, elle s'aperçut bien vite que les contraintes étaient nombreuses. Elle ne pouvait toujours pas sortir, il y avait maintenant six mois qu'elle vivait enfermée, et les premières semaines, je lui liais les chevilles chaque matin avec une fine chaîne chromée de trente centimètres. Comme cela, elle apprit a faire de petits pas. La nuit, elle ne dormait plus entravée dans sa turbulette mais je lui attachais les mains au montants du lit pour éviter qu'elle ne puisse tripoter sa poupée. Elle portait pour dormir de ravissantes chemises de nuit de coton que je lui mettais après le dîner. Dans la journée, elle portait des habits de petite fille : kilts et jupes plissées courtes ou robes chasubles et le dimanche, de merveilleuses robes romantiques, en mousseline, pleine de volants et de rubans. Je commençais aussi à lui apprendre la discipline. D'abord, les bases: ne jamais me faire répéter un ordre, ne jamais me couper la parole, ne jamais être insolente, être toujours impeccable. J'avais acheté un bon martinet dont j'usais largement. Culotte baissée, jupe relevée, les mains attachées au dos, je la fouettais énergiquement avant de l'envoyer au coin, parfois a genoux sur une règle. Elle restait les fesses a l'air le reste de la journée et comme elle ne portait pas de couches et qu'elle n'avait pas le droit d'utiliser les toilettes, elle devait me supplier pour se soulager. Je la laissais quelquefois se mouiller sous elle et elle était obligée de venir me le dire en pleurnichant. C'est ainsi qu'elle fit connaissance du cabinet noir. C'était un réduit sous l'escalier ou je rangeais les balais. J'y enfermais Suzie, en chemise de nuit, mains et pieds attachés ensemble, Une cagoule de soie noire sur la tête et un godemichet entre les fesses. Elle y restait la journée entière et parfois même la nuit à se morfondre et à regretter ses bêtises.


    Afin d'en faire une future parfaite petite femme, ce qui était le but final, je l'éduquais chaque soir. Je lui appris à marcher, à parler, à se tenir droite, à s'asseoir, les milles choses qu'une fille sait faire. Je suis par nature extrêmement perfectionniste et patiente et elle passait des heures, parfois au bord de la crise de nerf à effectuer le même geste. Elle avait maintenant les ongles des mains et des pieds faits en rouge et je lui perçais les oreilles pour lui poser de jolies boucles. Ce ne fut pas douloureux mais ma douillette était terrorisée. Je lui faisais aussi une queue de cheval ou des nattes tous les matins, dans lesquelles je nouais des foulards ou des rubans, rendant ses coiffures le plus fragile possible. Je commençais aussi à lui apprendre les tâches ménagères qui seraient son lot en tant que femme. Je n'avais pas l'intention de lui faire sa lessive toute sa vie. Je lui appris donc à repasser parfaitement, à coudre, à tricoter, à faire la lessive et le ménage. Elle portait pour toutes ces activités de jolis tabliers blancs à bretelles volantées et croisées au dos, noués a la taille par de gros noeuds de satin amidonné. Elle les cousit elle-même, un pour chaque jour de la semaine , et j'exigeais que ce tablier soit toujours immaculé et sans un pli, ce qui était loin d'être évident avec les corvées que je lui donnais. Chaque tache et chaque faux pli étaient sévèrement sanctionnés et punis. Humilité, obéissance et ordre étaient mes leitmotiv et je les lui enseignais chaque jour, chaque minute, pour la conditionner à sa prochaine condition de parfaite femme d'intérieur. Je réglais ses journées de manière à ne lui laisser aucune minute de répit.

    Le matin, après avoir fait au pot pendant que je lui préparais son biberon, je la détachais puis la lavais et l'habillais pour la journée. Je commençais par bien lui emmailloter la verge et je lui tirais maintenant entre ses cuisses, bien au chaud dans sa couche et sa culotte de caoutchouc. Ensuite, je lui faisais enfiler par dessus un panty de latex couleur chair, très fin, bouffant à la taille et serré aux cuisses sur quinze bons centimètres. Il était fermé à la ceinture par un minuscule cadenas chromé, et ainsi j'étais tranquille pour la journée, tant au niveau de son hygiène que de sa chasteté. Ensuite je la laissais s'habiller seule avec les vêtements que je lui avais choisi. Elle se coiffait, se maquillais puis venais se présenter devant moi.

    Si le moindre détail clochait, Suzie avait droit au cabinet noir pour la journée, sanglée et bâillonnée jusqu'au soir. Une fois l'inspection terminée, elle recevait à genoux, les yeux baissés, les mains croisées sur le devant de son tablier, ses ordres pour la matinée. Ménage, lessive, repassage et repas du midi, elle ne chômait pas. Le midi, elle apprit à me servir le repas debout en uniforme de bonne, avec robe noire, tablier de dentelles, coiffe et gants blancs. Elle prenait soin de précéder mes moindres désirs et avant de repartir, je lui donnais à nouveau ses ordres. L'après-midi, je la faisais le plus souvent coudre et faire des devoirs. En effet, j'avais trouvé comme support pédagogique un traité d'éducation du début du siècle. Je lui faisais recopier et apprendre des chapitres par coeur, qu'elle me récitait le soir jupe troussée et fesses à l'air, pendant que je rythmais sa récitation à coups de martinet. Le soir, bien au chaud dans sa chemise de nuit de coton romantique, assise sur le tapis à mes pieds, nous discutions en regardant la télé pendant que je lui brossait les cheveux. Elle avait maintenant une magnifique chevelure noire et brillante qui lui arrivait au milieu du dos, très fournie avec une frange toute droite.

    Il fallut cette fois-ci presque un an avant que je sois satisfaite de sa transformation et que je passe à l'étape suivante. Cela faisait donc pratiquement un an et demi que ma petite Suzie vivait cloîtrée à la maison. Pendant cette période, elle n'avait jamais vu ni parlé à quelqu'un d'autre que moi mais cela ne l'affectait pas. Elle était heureuse et me le disait. Elle ne se plaignait jamais, toujours souriante et radieuse. Elle aimait me servir et s'ingéniait à devancer mes désirs, juste pour le plaisir de me rendre heureuse. Elle n'était ni servile, ni brisée, et je la modelais doucement à l'image que je m'étais fixé. Elle avait à la fois hâte d'être ma femme légitime et aimait être une petite fille et traitée comme telle. Elle me demandait souvent quand elle aurait des seins et regardait toujours les miens avec envie. Je lui laissais parfois me les caresser et les téter un peu. Pour calmer ses ardeurs, j'étais encore obligée de lui administrer un bon lavement bien chaud. Je la soupçonnais aussi d'essayer de se masturber au travers de sa couche en serrant ses jambes l'une contre l'autre mais je laissais faire. Cela m'amusait en fait beaucoup car j'imaginais la frustration qu'elle devait en tirer.

    Après en avoir à nouveau discuté ensemble, je soumis ma Suzie à un traitement hormonal. Nous ne nous sommes pas posé la question bien longtemps car toutes deux en avions très envie. Bientôt, de petits seins commencèrent à poindre sous ses robes et sa voix mua. Elle était très fière et demanda à porter des soutiens-gorge. Elle regardait avec avidité les pages lingerie des magazines, et je décidais alors qu'il était temps de la lancer dans le monde. Un samedi matin donc, je fis venir Suzie devant moi. Elle était adorable. Elle portait une robe chasuble de velours bleu marine qui lui arrivait jusqu'à mi-mollets et un chemisier blanc à col Claudine, des mocassins bleu marine, des chaussettes blanches et un serre tête de velours rouge. Les mains croisées sur la robe, les ongles faits, de petites perles dans les oreilles, on aurait dit une petite collégienne japonaise. Elle fit une petite révérence, comme je le lui avait appris. J'étais très fière d'elle et je voyais bien qu'elle était rayonnante. Quand je lui appris que son éducation de petite fille était terminée, elle était aux anges et un peu inquiète tout de même. Je lui expliquais que si elle devenait adulte, les punitions aussi seraient des punitions d'adultes et que les contraintes n'en seraient que plus nombreuses. Pour appuyer mes dires, je la fis mettre toute nue. Je lui cadenassais un collier de fer autour du cou et la tirait à la salle de bains par la laisse qui y était accroché. Après le rituel bain-lavement, je l'assis devant la coiffeuse de la salle de bains. Tout d'abord, je lui tressais ses cheveux en une longue natte que je roulais et relevais en un chignon compliqué. Je la maquillais pour la première fois comme une vraie femme et la parfumais. Puis je fis mettre debout et l'amenais devant le grand miroir.

    Elle était nue hormis son maquillage et son collier et paraissait délicieusement fragile. Je la trouvais magnifique, lisse et douce de la tête aux pieds, son petit sexe seul rappelant ce qu'elle avait été. J'avais longtemps réfléchi au problème de sa verge. Il était bien sûr impensable que je la laisse libre et ma petite femme n'était désormais plus en âge de porter des couches. D'un autre côté, ces couches m'apportaient une sécurité sans faille et l'humiliaient constamment. Elles la rendaient complètement dépendante de moi et j'adorais entendre le bruissement du caoutchouc et du plastique quand elle s'asseyait sur une chaise ou deviner sous ses robes d'été un derrière bien rembourré.

    J'avais donc résolu le problème quelques jours plus tôt. J'avais retiré ses couches à ma Suzie pendant une semaine, pour voir si elle était propre, lui vais-je dit. Par contre je continuais à lui cadenasser une culotte large de latex transparent. Elle n'avait donc d'autre choix que de faire pipi dedans. Matin et soir, mon premier geste était de la trousser et je trouvais bien sûr une poche de pipi clapotant en haut des cuisses. Suzie était morte de honte et je me moquais d'elle en la fessant comme une gamine. Je la laissait mariner dans son jus jusqu'à la nuit, jupe et jupons troussés et épinglés au dos, les fesses rougies et irritées par son urine. Le dernier jour, je lui dis que puisqu'elle était incontinente, elle serait traitée en conséquence. Ainsi, fut-elle condamnée définitivement à porter ses couche, ses culotte de caoutchouc et ses panty.
    Au porte-jarretelles dont j'avais eu soin de lui ceindre la taille , j'accrochais des bas gris fumés, puis je la perchais sur des escarpins noirs vernis. Ce n'était pas la première fois qu'elle en portait mais cela faisait plus d'un an et demi maintenant et elle était un peu gauche. Ensuite je lui passais une combinaison de satin rose, bordée de dentelles, une jupe plissée noire et un chemiser de soie rose que je boutonnais jusqu'au cou. La jupe lui arrivait sous le genou et je terminais en lui nouant un de ses large tablier de coton blanc à la taille. " Dorénavant, tu porteras toujours un tablier, lui dis-je. C'est une marque de la déférence et du respect que tu me portes. Il sera en coton blanc pour ton ouvrage, en plastique pour la vaisselle et en dentelle pour servir à table. Mais aussi, comme tu es maintenant ma petite femme, tu as mérité un cadeau. " Et je lui enlevais le collier de fer qu'elle portait au cou pour le remplacer par un rang de perles.

    Comme elle était belle ma petite femme ! Elle tournait devant le miroir, s'admirant en riant devant le miroir, radieuse. Puis elle se tourna vers moi en souriant. Je m'étais assise sur le rebord de la baignoire et Suzie se mit a genoux devant moi. Elle leva un instant les yeux vers moi, comme pour y quêter un assentiment puis sans un mot retroussa ma jupe jusqu'à la taille. Je portais dessous des bas noirs et une petite culotte de soie grenat. Elle commença à me lécher rapidement à travers l'étoffe devenue en un instant déjà bien humide, et de sentir sa langue au travers de la soie me rendait folle de désir et je jouis au bout de quelques dizaines de secondes à peine. Suzie fis alors glisser ma culotte et la retira puis repris son ouvrage, plus lentement cette fois, pour me laisser profiter pleinement de mon plaisir. Je sentais la jouissance monter par vagues et me cambrais pour mieux m'offrir a sa bouche. Sa langue s'insinuait au plus profond de mon minou, me tirant des gémissements de plus en plus rapprochés et bientôt, une vague de jouissance sans pareil m'emporta, me laissant pantelante au bord de la baignoire. Enfin, Suzie me remit ma culotte, baissa ma jupe et se releva, toujours souriante.

    " J'étais trop contente et j'ai voulu te remercier un tout petit peu, me dit-elle, j'espère que je n'ai pas été insolente ".
    A ces mots, j'éclatais de rire et la serrais dans mes bras. Elle tremblait encore de désir et de frustration contenue.

    " Tu es très gentille, la rassurais-je, et ta spontanéité me va droit au coeur. Tu va faire une merveilleuse petite femme, douce et attentionnée. Je n'en ai jamais douté, mais quel plaisir de voir ainsi réaliser un rêve qui nous était si cher a toute les deux. " Je l'embrassais tendrement et la douceur de sa peau réveilla en moi le désir. J'hésitais un instant, prête à la débarrasser de ses couches, à la trousser et à lui rendre le plaisir qu'elle m'avait donné, mais je tiens bon. Je ne voulais pas montrer la moindre faiblesse, surtout si près du but. " Maintenant, va refaire ton maquillage et file à la cuisine, tu as du travail. " Et ma Suzie s 'envola dans un bruissement de jupes.
    Chapitre 4
    Ainsi débuta son apprentissage de femme d'intérieur. Le midi, pour servir à table, Suzie avait troqué son tablier de coton pour un tablier de dentelle, piqué une coiffe dans ses cheveux et portait des gants blancs. Elle se tenait à côté de moi, les pieds parfaitement joints, les mains croisées sur le tablier, les yeux baissés. J'ai toujours aimé manger en paix et Suzie m'offrait une vision merveilleusement reposante. Le repas est le seul moment ou j'exige une réelle attitude d'esclave et ma petite bonne est particulièrement vigilante sur ce point. Elle prend garde a devancer chaque désir, efficace et silencieuse et sait que faire tomber un couvert ou servir un plat trop chaud lui valent des corrections cuisantes, attachée sur la table de la cuisine, jupe et jupon troussés et les fesses a l'air.

    Le soir venu, à huit heures précises comme chaque soir, Suzie monta se mettre en chemise de nuit. Je l'entendis pousser des cris de joie en découvrant la combinette de satin bleu marine et le long peignoir assorti que je lui avais offert et posés sur son lit.
    " Et oui, lui dis-je, il est temps d'abandonner le confort de tes chemises de nuit en coton. Tu es une femme, maintenant, veille a ne jamais l'oublier. "
    Quand elle revint un peu plus tard, pomponnée, parfumée, coiffée, le peignoir ouvert sur la combinette, juchée sur ses mules a talons, j'eus un véritable choc. Je m'aperçus alors a quel point Suzie avait changé. Ma petite fille était devenue une jeune femme très attirante. Je lui avait dis de ne pas remettre de couche, pour une fois, et d'imaginer sa petite verge épilée, ballante sous le satin, me fit monter le rouge aux joues.

    N'y tenant plus, je lui demandais de me déshabiller, tout doucement, puis nue comme Eve, je la déshabillais a mon tour et la couchais sur le canapé. J'étais déjà toute chaude et elle toute tendue de désir. Je la léchais sur tout son corps d'eurasienne puis je m'installais sur elle. J'ai toujours été très étroite et la petite taille de sa verge est plutôt une bénédiction. Je m'empalais sur son sexe en lui pétrissant les seins, pendant qu'elle caressait les miens. Nous avons mis quelques secondes seulement à jouir, presque simultanément et quelques minutes à peine pour reprendre notre coït. Cette fois, Suzie était vraiment ma femme. Elle eu le droit de dormir dans mon lit et se pelotonna dans mes bras, soumise et aimante.

    Le samedi suivant, enfin, ma Suzie fit sa première sortie de femme. Elle était complètement retournée et en tremblait d'émotion. Je lui avais acheté un long manteau de drap noir qui lui arrivait aux chevilles, des gants de cuir et une chapeau de feutre gris. " Je ne veux pas te voir mettre le nez dehors sans porter gants et chapeau, lui dis-je. Tu dois toujours être parfaite." Perchée sur ses escarpins, sanglée dans son tailleur prince de galle, dont la jupe arrivait sagement sous le genou, elle faisait très jeune fille de bonne famille, prude et réservée. Je l'emmenais au restaurant, puis nous avons fait les magasins. Je lui fis essayer robes et jupes, rien que pour le plaisir d'exhiber ma jolie soumise aux vendeuses. A notre retour, je découvris ses couches tachées de semence et, les mains liées au dos, elle dut me lécher pendant une éternité.

    Le lendemain, je l'emmenais à la messe. Nous sommes toutes deux très croyantes et je savais qu'être privée de sa messe dominicale avait été très dur pour Suzie. Endimanchée dans sa robe de velours vert, ses hauts talons claquant sur parvis de l'église, ma petite reine était ma fierté.

    Le week-end suivant, nous l'avons passé toute deux habillées en robe de mariées. Ce fut très émouvant et très beau. Nous avons échangé nos voeux, voilées toute les deux. Suzie me jura obéissance et fidélité, me récitant pour l'occasion un petit texte très touchant. Je lui jurais à mon tour protection et fidélité et c'est les larmes aux yeux que nous avons échangé le baiser qui scellait notre union.

    A partir de ce moment, tout alla très vite. Son éducation était terminée, et il s'agissait d'installer Suzie dans un cadre quotidien sans faille. Je lui imposais un emploi du temps des plus serré. Debout à cinq heures quinze, elle commence par se laver, après être passée au pot de chambre, puis change de couche et culotte plastique. Ensuite elle s'habille, après avoir prit soin de repasser toutes ses affaires et de mettre un tablier propre et amidonné. Et je sais reconnaître un tablier repassé du matin ! Après cela elle repasse mes affaires pour la journée, sous-vêtements compris, cire mes chaussures et prépare le petit-déjeuner. A six heures quinze, elle me sert le petit déjeuner au lit, puis me donne mon bain, m'habille, me coiffe et me maquille. J'adore ce moment privilégié du matin ou, assise devant ma coiffeuse, encore un peu ensommeillée je m'abandonne aux soins de ma petite femme. Elle sent bon la jeune fille sage, fraîche et pimpante, souriante et amoureuse. Elle virevolte autour de moi, dans un bruissement de jupe et de satin, précise et douce dans tous ces gestes. J'ai du mal à me rappeler toutes ces années ou je courrais tous les matins, le café dans une main et la brosse dans l'autre !

    Suzie reçoit ses ordres ensuite pour la matinée. Entre les courses et l'entretien de la maison, toutes ses minutes comptées. L'après-midi, elle fait de la couture, du jardinage et s'occupe du secrétariat de la paroisse. Et le soir, je retrouve avec un bonheur toujours égal ma petite femme d'intérieur. La maison sent bon les petits plats mijotés et le linge frais. Encore une fois, le rituel est bien rodé. Je m'affale dans un canapé et Suzie accourt pour me déchausser et me masser les pieds. Mon cocktail de fruits est déjà prêt, mon courrier préparé sur un petit plateau. Après le repas, Suzie me fera couler un bain et viendra me laver et me sécher. Quel bonheur d'être ainsi chouchoutée. La nuit venue, bien confortable dans une longue chemise de nuit et un négligé de soie, je fais le bilan de la journée. Suzie est assise sur ses talons, à mes pieds, en nuisette de satin. Elle porte son collier de fer et sa laisse est attachée au pied du canapé. Il est bien rare que je ne trouve rien a redire, que ce soit sur comportement, sa tenue ou son travail de la journée. Sur mon ordre, Suzie va chercher les instruments de sa pénitence et me apporte respectueusement. Martinet, paddle, parfois même cravache, liens de toute sorte, en cuir ou en satin, la punition dépend de la faute et de mon humeur. Ma soumise se prête de bon gré à mes caprices, implore mon pardon et promet de ne plus recommencer. Je la console au lit ou l'état d'excitation et de contrainte perpétuelle ou je la fais vivre nous donnent des orgasmes d'une puissance extraordinaire.

    Aujourd'hui, nous sommes heureuses, le résultat de notre expérience commune dépasse nos espérances et nous filons un doux bonheur. A bien des égards notre couple est exemplaire. Chez nous, pas de disputes, pas de conflits ouverts ou larvés. Nous avons toutes deux des tâches bien définies et nous nous y tenons. Je fais vivre le ménage et Suzie s'occupe de moi et de la maison. Malgré nos rapports de domination/soumission, le respect est toujours présent et même dans ses punitions les plus sévères, Suzie sait qu'elle peut compter sur mon amour indéfectible.





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  • Mon initiation

    AUTEUR : Sandrine_tv

    J'étais encore un jeune lycéen imberbe et immature, qui avait découvert le plaisir fétichiste des masturbations solitaires en enfouissant mon visage dans les lingeries soyeuses de ma mère. Nous vivions seuls depuis qu'elle s'était séparée de mon père, et j'étais amoureux d'elle...

    Elle dirigeait le département commercial d'une grande marque de cosmétiques, et elle était souvent en déplacements en France ou à l'étranger ; pourtant, j'attendais avec ferveur ses retours, me lovant conte elle à chaque retrouvaille, respirant son parfum suave et délicat, me frottant à ses tissus raffinés.
    Elle m'avait eu assez jeune, et lorsque nous sortions ensemble, j'étais fier, avec mes quinze ans, de m'accrocher au bras de cette femme superbe, sur laquelle je découvrais les regards des hommes, et même de certaines femmes... Elle était vraiment belle, avec de la classe et ce brin de sensualité qui la rendait si désirable. Je l'avais parfois espionnée lorsqu'elle prenait son bain, savourant la beauté de sa poitrine, dont les mamelons étaient larges et dotés de tétons pointus. Ce qui m'avait passablement intrigué, c'est que contrairement aux femmes dont nous parlions avec mes copains du lycée, elle n'avait aucun poil là où nous pensions qu'elles avaient toutes " un buisson ardent " ! Sa peau était lisse et imberbe, et je découvrais par la grille d'aération par laquelle je l'observais, ses petites lèvres intimes, qui me faisaient irrésistiblement penser à un adorable coquillage. Ses cheveux auburn, qu'elle portait mi-longs " à la Lauren Bacall ", ses yeux verts et le carmin de ses lèvres et de ses ongles ont longtemps délicieusement hanté mes nuits.

    Et bien sur, ses fabuleuses lingeries intimes, que j'avais découvert dans les tiroirs de sa commode, ces bouillonnés de soie, de satin, de nylon et de dentelle...combien de fois y-ai-je enfoui mon visage, à la recherche de ses parfums intimes ! C'est durant les congés de Toussaint de l'année de mes seize ans, que ma vie a alors soudainement basculé dans un sens irrémédiable.
    Au lieu d'aller passer les quinze jours de congés scolaires chez ma grand-mère maternelle à Nice, je suis resté seul à Paris. Ma mère était partie pour un Salon professionnel à Boston, et ma grand-mère en voyage organisé en Égypte. J'étais donc seul, livré à moi-même et à mes fantasmes secrets, dans le grand appartement parisien que nous occupions avenue de Ségur.

    Je ne me souviens plus comment l'idée m'en est venue...mais je sais que j'avais été très émoustillé par des photographies de Coccinelle, une très jolie transformiste blonde, dont les journaux avaient longuement évoqué le cas... et le sexe ! L'idée qu'un homme puisse vivre habillé en femme m'était d'abord apparue vaguement saugrenue, mais la sensualité qui se rattachait aux parures de ma mère, m'amena progressivement à ressentir un trouble de plus en plus prononcé en y pensant. Lorsque, sortant du bain, je me glissai nu dans la chambre de ma mère, pour glisser ma main dans le tiroir de ses lingeries intimes, je constatai vite le désir qui monta aussitôt en moi. Je sortis l'une de mes culottes préférées - en nylon noir transparent ornée d'une large dentelle de même couleur - et je l'enfilai en constatant que le simple frottement du léger tissus sur ma peau, avait provoqué une érection !

    J'ouvris alors ses armoires et son dressing, et entrepris du mieux que je pus, de me transformer en femme. Je n'avais pas de perruque, mais je nouai sur ma tête un grand carré Hermès imprimé, et me maquillai du mieux que je pus. Le résultat devait être quelque peu hésitant, mais je me trouvais tout de suite très belle en m'admirant dans la glace de sa coiffeuse, et je minaudai en me caressant doucement... Je jouis trois fois d'affilée ce premier après-midi ! C'est ensuite que j'eus envie de sortir travesti dans la rue ; mais il me fallut quelques jours pour concrétiser ce désir. J'achetai une perruque brune mi-longue, et je m'appliquai à me maquiller chaque fois un peu mieux, surtout au niveau du fond de teint et des yeux. Je fis un premier essai le soir-même. J'avais patiemment attendu une heure tardive, et je me faufilai silencieusement hors de l'appartement. L'épais tapis du couloir étouffa le bruit des talons des jolies chaussures à brides que j'avais choisies, et avec lesquelles je m'étais entraîné à marcher longuement dans l'appartement. Je délaissai l'ascenseur hydraulique, et descendis silencieusement les trois étages sans allumer la minuterie, et en restant aux aguets.

    Arrivée dans le grand hall, je fus saisie d'un moment d'appréhension, mais la vue à travers la double porte de verre et fer forgé, de la calme frondaison de l'avenue de Ségur à cette heure nocturne, m'enhardit soudain ; je pressai le bouton électrique pour dégager la clenche de la lourde porte.

    Je me souviens encore des deux premières impressions qui accueillirent mes premiers pas mal assurés sur l'asphalte du large trottoir : le léger courant d'air frais, qui passant sous ma jupe, vint caresser le haut de mes jambes, et le léger - mais oh combien excitant ! - crissement des deux bas nylon que j'avais enfilé, à chacun de mes pas...Je serrai les pans du manteau de fourrure de ma mère autour de mon cou, resserrai le nœud de mon foulard de soie, et d'un pas de plus en plus assuré, je traversai l'avenue pour me promener sous les grands arbres de l'allée centrale. Je m'y promenai ainsi pendant plus d'une heure, m'enhardissant à quitter l'ombre des arbres pour suivre les trottoirs éclairés, en flânant dans les rues quasi-désertes de mon quartier. Le léger claquement de mes talons sur l'asphalte semblait le seul bruit de cette nuit calme et pour moi, oh combien délicieuse !

    C'est au moment où je revenais vers mon domicile, que je vis de loin, un taxi s'arrêter au pied de l'immeuble voisin ; un homme en sortit et le taxi s'éloigna. Je voulus m'arrêter, mais décidai de continuer à marcher vers lui. Il s'était arrêté et reboutonnait son pardessus sombre. Je constatai - avec un certain soulagement - qu'il était d'âge mur, mais dès qu'il découvrit ma silhouette, il parut intéressé, mais souleva son feutre pour me saluer d'un déférent " Bonsoir Madame ". En proie à un vertige grandissant, j'inclinai légèrement la tête et lui rendis d'une voix faible son salut " Bonsoir Monsieur " Il me regarda passer à côté de lui, et c'est un peu tendue que je parcourus la dizaine de mètres qui me séparaient de ma porte. En arrivant face à celle-ci, je glissai un œil dans sa direction, et sursautai en constatant qu'il m'avait suivie et qu'il se tenait là, à moins d'un mètre de moi !

    Lorsqu'il constata que grâce à ma clé j'allais entrer dans l'immeuble, il souleva de nouveau son chapeau et me gratifiant d'un charmant sourire en me disant " Il m'est très agréable de découvrir que nous sommes voisins ; j'espère avoir le grand plaisir de vous rencontrer de nouveau dans le quartier. "Ce n'est pas tous les soirs que l'on rencontre une aussi jolie jeune femme devant chez soi... " puis, s'avançant vers moi, il s'empara doucement de ma main gantée et s'inclinant , y déposa un furtif baiser. Je me glissai alors précipitamment dans le hall de mon immeuble, dont la porte se referma avec un claquement sec. Je n'allumai pas la minuterie, et je pus le voir me faire un petit salut de la main, puis rebrousser chemin pour rejoindre son domicile. J'avais le cœur qui battait follement dans ma poitrine, et je dus m'appuyer un moment à la grande glace du hall, tant j'étais émue de cette première sortie nocturne, et surtout de cette troublante rencontre. Après cette excitante première aventure, je passai la matinée du lendemain en nuisette dans mon lit, à me remémorer tous les instants de cette soirée délicieuse. Après une violente excitation, suivie d'une éjaculation qui me laissèrent épuisé et à moitié honteux, je m'endormis sereinement.

    A mon réveil il était midi passé, et constatant la journée froide et grise qui s'annonçait, j'eus soudain l'idée de donner une suite stimulante à mon aventure de la veille au soir...Je me levai, pris un long bain moussant et parfumé, puis passai dans la chambre, choisir les parures dont j'allais revêtir mon corps. J'optai pour un ensemble soutien-gorge, porte-jarretelles, culotte et caraco en satin bordeaux rehaussé d'une fine dentelle noire ; puis je choisis une paire de bas de nylon noirs à couture, que je fixai aux jarretelles. A chaque fois que je faisais glisser le nylon le long de mes jambes imberbes, j'étais gagné par la même excitation qui me procurait un mélange exquis de frissons, accompagné d'une légère érection. En dessous froufroutants devant la coiffeuse, je soignai particulièrement mon maquillage, qui se devait d'être impeccable ...pour cette première sortie de jour !

    Après un léger fond de teint, je tamponnai de la houppette un peu de poudre de riz, puis rehaussai mes pommettes d'une légère touche ocrée. Je marquai le bord de mes yeux d'un crayon de kôhl noir, puis dégradai mes paupières et le bord de mes yeux d'un fluide dégradé de bleu nuit, qui faisait ressortir l'azur de mes iris. Délaissant le rose sage que j'avais essayé la nuit dernière, je choisis un rouge à lèvres carmin, qui donna aussitôt à mon visage un air très sensuel. Dès que j'eus posée et coiffée ma perruque, je tombai amoureux de l'image que me renvoyait le miroir : celui d'une jeune femme sensuelle et décidée. Je me parfumai largement le creux du cou, la poitrine, les aisselles, et même mes dessous !
    J'hésitai un peu sur la tenue à choisir pour recouvrir d'aussi affriolants dessous, et optai finalement pour une tenue très bourgeoise : un chemisier de soie imprimée, dont l'encolure se terminait par un col foulard que je nouai d'un nœud sage, et sur lequel j'attachai un collier de perles de maman. Puis j'endossais un tailleur Channel chiné vert sombre. N'ayant pas les ongles longs, je me contentais d'une couche de vernis de la même couleur que le rouge à lèvres, puis choisis une paire de fins gants de peau noirs, aux poignets rehaussés d'une légère fourrure. Debout devant la glace du salon, j'étais presque prête. Je laçai les escarpins noirs à brides de ma mère, serrant les lanières sur mes chevilles gainées de nylon noir. Je choisis un grand foulard Hermès que je nouai sagement autour de l'ovale de mon visage, puis me glissai voluptueusement dans le lourd manteau de fourrure de ma mère. J'empruntai un sac à bandoulière dans lequel je glissai mon porte-monnaie, mes papiers d'identité et mes clefs.

    Un dernier regard dans le miroir, puis je claquais derrière moi la porte de l'appartement, et cette fois-ci, choisis d'emprunter le vieil ascenseur hydraulique. Je n'y croisai personne, alors qu'au fond de moi, je me sentais déjà prêt - prête - à affronter en plein jour, le regard de n'importe qui. Je débouchais sur l'avenue de Ségur où planait un froid brouillard de novembre, qui m'enveloppa aussitôt. On ne voyait pas très loin devant soi, mais je savais où j'allais, et je traversais l'esplanade pour me diriger vers le carrefour de l'École Militaire. Un coup d'œil à ma montre : 14h40, je serai à l'heure pour la séance de cinéma de 15h.

    Je me dandinais sur mes talons avec un plaisir extrême, lorsque j'arrivai près du carrefour avec l'avenue Bosquet. Il y avait un peu plus de monde que sur les avenues de Ségur et de Suffren que je venais de traverser, mais j'étais si sure de moi que rien n'aurait pu me détourner de mon but. Avant de m'engouffre avenue Bosquet - où se trouvait le cinéma du même nom que j'avais choisi - je longeai la vitrine de la grande brasserie qui occupait l'angle de l'avenue, et eût la surprise d'y découvrir, assis devant la vitre, ce même monsieur distingué et cérémonieux rencontré la veille au soir ! J'éprouvai aussitôt comme un choc en le reconnaissant, et je dus marquer un temps d'arrêt, car levant les yeux de son journal, il me découvrit soudain face à lui de l'autre côté de la vitre embuée. Il me sourit aussitôt, se leva pour me saluer, mais moi, les joues en feu, resserrant le col de mon manteau de fourrure, je m'engouffrais à pas rapides dans l'avenue qui menait au cinéma.

    Ces séances de semaine en après-midi n'attiraient qu'une faible clientèle du troisième âge, parfois rejoints par quelques lycéens " sécheurs " de cours ou quelques mères de famille esseulées ; mais lorsque mon billet déchiré, je suivis l'ouvreuse dans la salle, je n'y dénombrais guère qu'une douzaine de spectateurs disséminés dans cette grande salle glaciale. Je m'assis au fond, loin de la porte d'accès, et dénouant mon foulard je me recoiffai, mais gardai ma fourrure, ne trouvant pas la température assez douce pour me mettre à l'aise.

    La première partie ne me passionna guère et lorsque les lumières se rallumèrent pour le court entracte, je m'appliquai à détailler discrètement les rares spectateurs de cette séance d'après-midi. Comme je le pensais, il n'y avait quasi exclusivement que des hommes, soigneusement disséminés aux quatre coins de la salle, et fort éloigné le uns des autres. L'un d'eux me regardait avec insistance et me sourit ; je détournai la tête ...et mon cœur faillit s'arrêter de battre dans ma poitrine, lorsque je découvris sur le même rang que moi, mais à quelques dix fauteuils de distance, ce même monsieur rencontré il y a un instant et qui habitait l'immeuble voisin du mien ! Je faillis m'évanouir lorsqu'il me sourit et me fit un petit signe de la main, et au moment même où les lumières s'éteignirent, je le vis se lever...et venir s'asseoir dans le fauteuil situé juste à côté du mien !

    L'obscurité se fit dans la salle et le générique commença à se dérouler là-bas, au bout de la salle sur le grand écran blanc. Moi, j'étais tétanisée, incapable de bouger, de respirer, avec cet homme à mes côtés. Je fixais l'écran mais ne voyait rien, tous mes sens étant tournée vers cet homme dont j'attendais (avec impatience ?) un geste, un soupir, un mot murmuré. Je crois qu'il s'est passé de longues minutes avant que je ne sente son bras droit venir se poser sur l'accoudoir mitoyen. Je faillis retirer mon bras gauche, mais avant même que j'ai esquissé le moindre geste, l'homme avait posé sa main sur la mienne, et enserré ma main gantée dans la sienne. Ses longs doigts caressèrent alors doucement le dos de mon gant, et aucune caresse intime n'aurait pu à ce moment, me procurer une onde de volupté si brutale que celle qui soudain me transperça. Je tournai légèrement mon visage pour regarder sa main caresser la mienne, lorsque sa main, quittant mon gant, vint se poser sur mes épaules ; ses doigts glissant sous le col de fourrure, se mirent alors doucement à caresser mon cou et ma nuque avec cette même douceur, à laquelle je savais déjà que je ne pourrai pas résister...

    Une légère pression de ses doigts sur ma nuque me força à tourner mon visage vers lui, mais je n'osai pas le regarder en face et je fermais les yeux. Il me fit poser la tête au creux de son épaule, et je sentis alors son visage s'approcher du mien, puis ses lèvres vinrent se poser sur les miennes. Quasi naturellement, j'entrouvris les miennes et sentis sa langue venir chercher la mienne, s'y enrouler, et me faire basculer dans un premier baiser qui fut pour moi un délice de volupté.

    Il m'embrassa merveilleusement bien, longtemps, tendrement, puis, tandis que ses lèvres venaient effleurer mon oreille dans un court baiser, il me murmura " Vous êtes si belle, et j'ai tellement envie de vous... " Sa main gauche vint alors se poser sur mon genou, et remontant lentement sous la jupe de mon tailleur en faisant crisser mon bas, elle me caressa en progressant doucement mais régulièrement vers le haut... Lorsque ses doigts atteignirent la partie de chair située au-dessus de la bordure de mes bas, je feulais doucement dans ses bras ; il me murmura aussitôt " Vous aimez mes caresses ? " et je m'entendis chuchoter " oh ouiii " en me lovant davantage dans ses bras. Sa main remonta encore et arriva au liseré de dentelle de ma fine culotte, elle en caressa le dessin, puis s'insinua sous l'élastique...

    Je souhaitais ardemment ce genre de situation, et en même temps, je mourrai d'inquiétude à l'idée de sa réaction lorsqu'il découvrirait mon état de garçon. J'eus un instant l'idée de me lever brusquement et de quitter la salle...mais j'étais vraiment trop bien là , dans ses bras, ensorcelée par ses caresses qui m "excitaient, et je m'abandonnais... Lorsque ses doigts rencontrèrent mon petit sexe dressé sous le fin satin de ma culotte, il ne marqua aucun étonnement, sa main droite posée sur ma nuque amena de nouveau mon visage vers le sien, et cette fois je gardais les yeux ouverts lorsqu'en me souriant tendrement, il m'embrassa avec passion, tandis que ses doigts fins prenaient possession de ma colonne de chair, qui fût aussitôt agitée de spasmes d'excitation.

    J'éjaculai brutalement dans sa main, qui se referma aussitôt sur mon pénis pour garder mon sperme dans sa paume. Lorsque les spasmes se calmèrent et que je repris un peu conscience après cette violente montée d'excitation, il m'embrassa de nouveau, puis sortant sa main de sous ma jupe, il l'approcha de ses lèvres, et sans cesser de me regarder, se mit lentement à la lécher... Blottie dans ses bras, pelotonnée contre cet homme qui venait de m'amener si délicieusement à l'extase amoureuse, je me sentis soudain soumise et terriblement féminine.

    Je pris sa main encore humide et je la baisai me caressa tendrement les cheveux, tandis que son autre main, après avoir dégrafé deux boutons de mon chemisier, s'était introduite vers ma poitrine, où ses doigts partirent à la recherche de mes petits tétons, raides d'excitation. Il en prit un entre son index et son pouce, et commença à me le malaxer, d'abord doucement, puis insensiblement de plus en plus fermement. Je sentais mon téton se durcir sous ses doigts, et l'excitation remonter lentement en moi. C'est alors que je découvris qu'un homme assis jusque là plusieurs rangs devant nous, s'était délicatement rapproché dans l'obscurité, et occupait maintenant le fauteuil situé juste devant les deux nôtres.

    Il s'était retourne lentement vers nous et son regard était posé sur moi, à l'endroit où la main de mon voisin me caressait doucement. Je me retournai vers mon compagnon, l'interrogeant du regard, mais il ne protesta pas, me sourit et murmura " nous allons procurer un peu de plaisir à ce pauvre voyeur qui s'ennuie dans ce grand cinéma... " ; puis prenant ma jupe à deux mains, il la retroussa très haut sur mes jambes gainées de soie. On découvrait maintenant les jarretelles de mes bas, ainsi que la chair nue du haut de mes cuisses, et même la dentelle de ma culotte. M'écartant lentement les cuisses, mon compagnon me souleva légèrement le bassin et fit glisser le long de mes jambes ma culotte de satin, qu'il respira voluptueusement, avant de la mettre dans la poche de son pardessus...

    Puis il prit mon petit sexe dans sa main et recommença à le caresser très lentement, en regardant notre voisin dont les yeux ne perdaient pas une miette du délicieux spectacle offert. Il lui demanda soudain à voix basse s'il voulait me sucer. L'inconnu acquiesça d'un hochement de tête et vint nous rejoindre sur notre rang.
    Il s'assit dans le fauteuil vide à ma droite, et inclinant son buste vers mon entrejambe, prit soudain mon sexe entre ses lèvres. Le contact chaud et humide de sa bouche autour de ma hampe fut absolument fabuleux ; je crois que je poussai un petit cri de plaisir, qui fit rire mon compagnon de gauche, et hésiter une seconde mon nouveau voisin de droite. Puis il reprit sa délicieuse caresse des lèvres et de la langue. Lorsque je me mis à jouir à longues saccades, l'homme ne quitta pas mon sexe, avalant consciencieusement la moindre goutte de ma laitance ; puis il nettoya mon méat de sa langue, se redressa, murmura " merci " et se leva pour aller retrouver son siège plusieurs rangs devant. Mon compagnon se tourna alors vers moi " Que diriez-vous de finir l'après-midi chez moi, chère amie ?

    Je rêve de vous offrir un délicieux thé afin de vous réchauffer " Je lui rendis son sourire et en minaudant lui répondit " avec plaisir cher monsieur ! " mais il m'interrompit aussitôt " non ma chérie, appelez-moi par mon prénom : Victor, pour vous servir et vous aimer belle inconnue. " Je ris et nous levâmes pour quitter la salle obscure. Dans le hall il prit mon bras, et attendit que je renoue mon foulard face aux grandes glaces, qui me renvoyaient l'image de notre couple distingué et racé : une belle jeune femme en manteau de fourrure, accompagnant un homme aux tempes argentés, en pardessus et feutre sombre.

    L'obscurité commençait à tomber lorsque nous débouchâmes sur l'avenue Bosquet, et les réverbères distillaient leur lueur jaunâtre sur le revêtement asphalté des grands trottoirs mouillés. Comme un couple bourgeois rentrant tranquillement chez lui après une promenade, nous parcourûmes et sans prononcer une parole, les grandes avenues quasi désertes pour rejoindre notre quartier. Arrivés en bas de chez lui, il m'attira vers lui, m'embrassa et me demanda " Vous voulez bien monter chez moi ? Je vous ai promis un thé, et j'aimerais bien que nous fassions plus ample connaissance " J'avais une telle confiance en cet homme raffiné, poli et merveilleusement caressant, que je n'hésitai pas une seconde, je lui souris et acquiesçai de la tête.

    Il se déroba pour me laisser passer et nous pénétrâmes dans un immeuble fort semblable à celui que nous habitions, un petit peu plus loin. Dans l'ascenseur je me lovai dans ses bras. Victor habitait un très grand appartement au second étage de son immeuble, un six ou sept pièces, somptueusement meublé, très confortable et douillet. Une douce chaleur y régnait et Victor m'aida à ôter ma fourrure, mon foulard et mes gants, puis prenant ma main, il me guida vers un grand salon dont il alluma les lumières indirectes. Je m'assis dans un profond canapé Directoire, et il s'excusa pour aller préparer le thé. Pendant ce temps, je détaillai les objets, tableaux et bibelots du salon, pour tenter de mieux cerner la personnalité de cet homme encore mystérieux ; mais je ne découvris ni photo, ni témoignage d'une quelconque présence supplémentaire. Il revint avec un plateau garni d'une théière, de deux grandes tasses, d'une assiette de boudoirs, et de deux grands verres à alcool dans lesquels brillait un liquide ambré.

    " Vous goûterez ma fine champagne, elle vient de mes vignes familiales, et j'en suis très fier " Il vint s'asseoir à mes côtés, prit ma main, y déposa un baiser et fit le service. Le thé était délicieux, les biscuits moelleux et nous fîmes plus ample connaissance. Sans aucune honte, en totale confiance, je me mis à lui raconter comment j'en était venu à cette sortie travestie ; il m'écouta silencieusement, se contentant de hocher la tête en signe d'assentiment. Sa main avait repris la mienne, et ses doigts en caressaient la peau, comme pour me communiquer cette confiance, cette intimité qui était en train de s'installer entre nous. Lorsque j'eus fini, il me raconta à son tour qu'il était divorcé depuis cinq ans, qu'il vivait seul, partageant son temps entre sa propriété familiale en province qu'il administrait lui-même, et ses fonctions de représentant des propriétaires-viticulteurs de la région à la Chambre de Commerce de Paris. Il m'avoua qu'il vivait très isolé, et que lorsqu'il m'avait vu l'autre nuit il avait tout de suite eu envie de me revoir, me trouvant à la fois fragile, timide et si merveilleusement envoûtante.

    En me revoyant aujourd'hui, il avait saisi l'occasion de me suivre et de me rejoindre au cinéma. Étonné - mais non surpris - par ce qu'il avait découvert sous mes soieries intimes, il m'avoua qu'il avait espéré que j'étais un garçon, car me dit-il, c'est à cause de l'amour qu'il avait porté à un délicieux jeune homme, que sa femme avait demandé le divorce ! Il se rapprocha alors de moi, me prit à nouveau dans ses bras, et je m'abandonnai totalement à son baiser passionné.
    Puis nous avons parlé, et bu de son délicieux cognac, au point que j'en étais toute étourdie. Il m'avait ensuite portée dans une grande chambre dont il avait tiré les lourds rideaux et allumé une petite lampe de chevet. Il m'avait doucement déshabillée en me caressant et en m'embrassant. Je n'avais plus de culotte - qu'il m'avait dérobée au cinéma - mais il me laissa mon porte-jarretelles et mes bas, puis me prenant dans ses bras, il me porta au creux du grand lit, où il vient de sa langue caresser mon petit sexe déjà tout émoustillé par ces préparatifs... Il me suça merveilleusement bien, et je jouis dans sa bouche. Il vint ensuite me rejoindre, collant ses lèvres aux miennes, et me retransmettant ma propre laitance, douceâtre que j'avalais goulûment... Ensuite il se déshabilla, et se présentant nu face à moi me dit " Tu n'as pas trop honte de mon corps ? Tu sais, j'ai presque soixante ans " mais je lui souris en lui ouvrant les bras, et il vint se blottir contre moi.

    Peu m'importait son âge, son petit ventre replet ou ses petits bourrelets, c'était l'homme qui m'avait choisie, qui m'avait amenée au plaisir d'être femme, et je savais déjà que j'étais à lui, que je lui appartenais, totalement. Je l'aimais déjà avec une passion un peu aveuglante, et une soumission quasi totale au moindre e ses désirs.
    Il sortit alors du tiroir de la table de nuit, un tube dont il prit une grosse noix de crème parfumée ; puis s'accroupissant entre mes jambes, il posa la noix de crème au bord de mon anus, et d'une lente caresse, il la fit délicatement pénétrer en me massant délicieusement le conduit intime. Il dut sentir mes contractions, car il me parla doucement pour me calmer : " Ne crains rien ma chérie, ce sera délicieux et absolument pas douloureux, je te le jure.
    - Je vais bien te masser, et préparer ton petit temple d'amour, pour distendre tes anneaux intimes, afin que tu ne sentes que ma présence en toi. Je t'assure que je serai très doux. Tu as envie que je te fasse femme ? Tu as confiance en moi ? "

    Je jetai mes bras autour de son cou, et lui avouai "Oui mon amour ; j'ai tellement envie de connaître ce plaisir, d'être femme dans tes bras, de t'appartenir toute entière, de te sentir en moi. J'ai envie ce soir d'être ta femme et ta maîtresse... "Il m'embrassa amoureusement et reprit une nouvelle noix de crème, en continuant de me masser l'anus. Au bout de dix minutes, je sentais ses doigts pénétrer sans aucun effort en moi, et ces caresses me procuraient à chaque pénétration de courtes ondes de chaleur et déjà de plaisir... Je ronronnais arc-boutée sur le lit, tandis que ses lèvres suçaient les tétons de mes seins, en mordillant le pointes pour les étirer félinement. A un moment, il posa sa main sur mon sexe qui était de nouveau redevenu dur et dressé, et me demanda si j'étais prête ? Je lui souris et me retournai à plat ventre sur le lit.
    Il vint alors se placer entre mes jambes, en redressant doucement mon bassin. A peine sentis-je un petit caillou dur se poser à l'orée de mes fesses, que déjà, je le sentais glisser en moi, doucement, me procurant une incroyable sensation d'excitation.
    Victor avait posé ses mains sur mes hanches et il s'était aussitôt retiré délicatement, avant de revenir doucement me re-pénétrer en douceur. A chaque nouvelle intromission, il progressait de quelques centimètres, et à peine avait-il effectué cette progression, qu'il se retirait aussitôt comme s'il avait eu peur de me blesser.
    Mais je ne ressentais rien de douloureux, ben au contraire ! A chacune de ses pénétrations, je sentais mon anus s'écarter sans que j'ai besoin de le lui commander, et son sexe prenait alors doucement possession de moi. A un moment, je le sentis tout entier en moi, ses bourses butant contre mes fesses. Il s'arc-bouta et me demanda si j'étais bien " Oh oui, chéri ! c'est merveilleux, je te sens en moi, je sens ton sexe qui me possède ! " Alors il commença doucement à bouger en moi, mais cette fois il ne ressortit plus.

    Lorsqu'il arrivait au bord de mon anus, il se ré-enfournait doucement et ainsi de suite en accélérant doucement ses va-et vient en moi...J'étais comme folle, cette pénétration me procurait un plaisir nouveau, totalement inconnu, qui bien mieux que mes masturbations me possédait et me faisait soudain basculer dans un délire érotique si intense que je me sentais perdre la tête. Je réalisais soudain que je pleurais, de joie, tandis que s'agrippant soudain un peu plus violemment à mes hanches, j'entendis soudain mon amant feuler en gémissant ; je sentis alors un liquide chaud couler entre mes fesses, et tandis qu'il se retirait délicatement de moi pour me prendre tendrement dans ses bras, j'éclatais en sanglots, enfouissant mon visage contre son torse en criant presque " Oh je t'aime, mon chéri, je t'aime... Merci d'avoir fait de moi une femme, ta femme ! " Et c'est vrai qu'à ce moment précis, je me suis sentie enfin, vraiment, entièrement, pleinement femme !

    De ce moment, Victor s'installa durablement dans son appartement parisien, et je passai chaque mercredi chez lui, " séchant " mes après-midi sportives... J'arrivai à 13h, je me travestissais, me maquillais, puis selon le temps, soit nous sortions au spectacle ou faire des courses, soit nous restions chez lui, au lit.
    Il me présenta quelques rares amis, auxquels il ne tut rien, ni de mon état, ni de notre relation. Parmi ceux-ci il y avait Henriette et Charles, un couple d'une cinquantaine d'années qui habitait une superbe propriété au Vésinet. Victor m'expliqua qu'il fut longtemps l'amant d'Henriette avec le consentement de son époux, qui la maintenait en stricte obéissance et la dirigeait très sévèrement.

    Je fis leur connaissance un dimanche après-midi. Leur propriété était immense, composée d'une grande maison normande à trois niveaux au milieu d'un joli parc arboré. Henriette vint elle-même nous ouvrir en tenue de soubrette anglaise, bâillonnée et les jambes entravées par une courte chaîne munie d'un grelot, qui l'obligeait à de petits pas et annonçait partout son arrivée... Elle était très belle, grande rousse aux yeux verts, et ne portait pas son age (elle allait sur ses 46 ans.
    Très ignorante des affaires de sexe, je ne savais rien du monde de la soumission et de " l'éducation anglaise "...Victor me mit très rapidement aux courants des mœurs pratiquées par certains de ses amis, et je me glissai assez voluptueusement et rapidement dans ce monde de pouvoir, de contrainte et d'obéissance.

    Charles sentit très vite en moi, mes pulsions de soumission à Victor et il sut très intelligemment les utiliser, pour qu'au bout de quelques rencontres, Victor lui-même me laisse un soir seule en leur compagnie, en m'ordonnant de ne rien leur refuser... Un peu inquiète - mais aussi assez excitée ! - je passai une soirée et une nuit assez torride avec eux. Henriette me prépara soigneusement pour la nuit : corset lacé, bas noirs, escarpins... puis elle menotta mes poignets dans mon dos, me posa un foulard de soie noire sur les yeux et me poussa dans les couloirs de la maison où elle m'abandonna à son mari et Maître, qui usa de moi toute la nuit, me procurant à la fois douleur et plaisir dans une délicieuse suite de punitions et de caresses qui me firent découvrir une autre face du plaisir.
    J'avoue m'être glissée avec extrêmement de volupté dans cette nouvelle forme de plaisir. Je racontais tout en détails à Victor, une fois rentrée à Paris, et il prit l'habitude de me prêter assez souvent à ce couple pour des jeux érotiques qui portaient ma sensibilité au faîte de mon plaisir.

    Toujours aveuglée et entravée pendant nos rapports, je réalisai qu'il m'offrait également à d'autres hommes, puisqu'un soir je sentis soudain plusieurs mains me caresser, avant de prendre en bouche un sexe, et sentir un autre se faufiler entre mes petites fesses... Ainsi allait ma vie, soumise et ouverte au plaisir, je découvrais chaque jour de nouveaux jeux, de nouveaux plaisirs, de nouvelles sensations se terminant par des excitations de plus en plus vives.

    Je ne pus très longtemps cacher ma situation à ma mère. Même souvent absente elle avait constaté que mon corps avait changé, elle avait aussi trouvé du fond de teint sur de cols de polos, et du parfum autour de certaines affaires. Enfin, elle me trouva un jour à demi-nu dans ma chambre, avec le fin corset, les bas et le slip de soie noire qui ne me quittaient jamais.

    Notre explication fut franche et loyale ; difficile aussi. Elle se sentait responsable de mes " écarts " à cause de son travail et de ses fréquentes absences ; elle refusa dans un premier temps de rencontrer Victor, qui souhaitait la rassurer sur la teneur de notre relation, puis finit par accepter.
    Je me souviens très bien de cette soirée où j'apparus pour la première fois devant elle entièrement maquillée et travestie. Elle ressentit un choc en nous voyant assis côte à côte face à elle, mais Victor expliqua merveilleusement bien notre entente, la rassura sur mon avenir, lui proposa un contrat écrit d'engagement vis à vis de moi, et nous sentîmes la partie presque gagnée lorsque ma mère me prit dans ses bras et m'embrassant, m'avoua qu'elle me trouvait très belle !

    Je m'installais chez Victor la semaine suivante. Ma vie venait de basculer et j'avais tout juste dix-huit ans... Les premiers mois ensemble se passèrent comme dans un rêve ; Victor me couvrit de cadeaux, exigeant que je cesse de porter les lingeries de ma mère et me faisant faire le tour de très nombreux magasins pour me vêtir entièrement à sa façon.

    Puis il me fit connaître l'un de ses amis médecins - Edouard - qui me prescrivit un léger traitement hormonal, destiné à stopper le développement de ma faible pilosité, tout en développant ma petite poitrine. Je suivis également quelques séances d'épilation électrique dans un institut esthétique, et laissai - enfin - librement pousser mes cheveux et mes ongles !

    J'étais pour la première fois, et au grand jour, totalement dans mon nouveau corps de femme




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