• Dépucelage d'un minet par son patron

    AUTEUR : Laurent

    Je suis un petit artisan en électricité et plomberie et divers autres corps de métier, quand la demande s'en fait sentir. Suite à la crise et à bon nombre de chantiers qui se sont décommandés, je ne travaille plus que tout seul avec un apprenti qui est en contrat d'alternance et dont je suis le tuteur. Ce jeune homme s'appelle Farid et on à signé son contrat l'année dernière alors qu'il avait tout juste 16 ans.

    A cette époque, j'ai du avoir recours à ses papiers d'identité pour pouvoir certifier que son âge était bien celui qu'il annonçait et non celui qu'on lui aurait donné au premier abord. En effet, il avait un aspect tellement juvénile et était tout en retenu en raison sa grande timidité, qu'on lui aurait accordé deux ans de moins au minimum. J'ai eu plus de dix apprentis depuis que je suis à mon compte, mais Farid à été, dès le début, celui que j'ai préféré. C'est un gamin qui est très sympathique et attachant, qui à beaucoup d'humour pour son jeune âge et malgré sa réserve naturelle, une bonne volonté à apprendre le métier, beaucoup d'écoute en règle générale pour tout ce qui est conseils et connaissance de la vie. De plus il est beau comme un coeur si j'en croie les dires de ma femme et surtout ceux de ma dernière fille qui n'a qu'un an de plus que lui et je suis personnellement d'accord avec leurs avis.

    L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulée au début de cet été. Les parents de Farid possèdent un terrain dans l'Hérault sur lequel ils font construire une petite maison pour leur retraite. N'étant pas très fortunés, Farid m'a demandé de pouvoir réaliser l'électricité, la plomberie, la pose des menuiseries et divers autres travaux de maçonnerie par lui même. Mon carnet de commande étant désespérément vide, j'ai accepté et même mieux, décidé de partir avec lui pour l'aider, dès que ses cours seraient terminés cet été. Pour limiter les frais, ses parent nous ont déposé leur caravane sur le terrain de la construction afin de nous loger. La première semaine tout s'est bien passé, nous travaillions énormément et étions heureux de retrouver notre lit après nous êtes douché et restauré.

    La promiscuité imposé par la caravane m'avait déjà permis de constater que mon apprenti était sur le chemin de la maturité et que le gamin embauché il y a deux ans, bien que conservant son aspect juvénile, se transformait de jour en jour en un charmant jeune homme, un petit apollon à la peau joliment ambrée par les longues journées passées sur le chantier torse nu. Toute la journée j'appréciais son joli torse imberbe, légèrement musclé tout comme il faut par les travaux du bâtiment, ses jambes longue et bien modelées et surtout son joli petit cul. Ce qui commençait surtout à me troubler, c'était de le voir en permanence avec des shorts au moins deux tailles en dessous de la sienne.

    Ces shorts lui moulaient ses petites fesses à merveille et ça en devenait presque indécent. Quand je lui ais fait part de cela, il me dit qu'il avait changé morphologiquement et qu'il utilisait ses vieux shorts, afin de les finir en travaillant, bien qu'ils soient trop petits. En plaisant, je lui ai conseillé de ne pas sortir en ville comme cela car c'était un appel au viol. Il m'a répondu que «ça ne le dérangerait pas de se faire violer à condition que ce soit par une belle fille», puis après un petit temps d'attente «ou même un beau garçon» me dit-il en rougissant jusqu'au bout des oreilles. Le temps de bien comprendre le sens de ses paroles, il avait disparu en courant de l'autre côté du chantier. Moi qui était déjà tout excité, tout en refusant de me l'avouer, par son joli corps à peine sortie de l'adolescence et par son petit cul bien rebondi dans ses mini shorts, cet aveux d'homosexualité de sa part n'allait pas calmer ma libido ni les fantasmes que j'essayais bien inutilement d'enterrer au plus profond de mon esprit. Je me suis dit que c'est bien à cette période, située entre l'adolescence et l'homme mur, que la beauté du corps d'un hommes est à son apogée, plus tout a fait un enfant, mais pas encore véritablement un adulte.

    Une nuit je me suis réveillé en me retournant dans mon lit et j'ai été surpris d'entendre des petits gémissements venant du côté ou dors Farid. J'ai attendu quelques secondes pour être sur qu'il n'était pas malade, et me suis vite rendu compte que ces gémissements n'avaient rien à voir avec une quelconque douleur mais plutôt provoqués par la recherche du plaisir solitaire. Tout simplement Farid était en train de se branler vigoureusement, se croyant invisible d'où il était et me pensant endormi. Seulement je venais de me réveiller et la lune diffusait suffisamment de clarté pour que je puisse assister à la scène comme voyeur contraint, grâce à l'ombre de son lit et de son corps projetée sur la cloison de séparation des 2 chambres.

    Je pouvais distinguer son corps étendu sur sa couche et surtout son mat dressé au bas de son ventre, qu'il caressait en alternant l'amplitude et la vitesse de ses allés et retours; Même si c'était la première fois que j'assistais à ce genre de spectacle, à ma grande surprise il ne me choqua pas du tout, et au contraire, bien qu'en ombre chinoise, il commençait à m'exciter bougrement. Mon boxer commençait à manquer de place pour y loger ma tige gonflée. Quand je l'ai vue s'achever et s'assécher à l'aide d'un mouchoir papier, le pensant reparti dans les bras de morphée, je me suis administré le même remède que lui pour enfin évacuer la pression à mon tour. N'ayant plus eue depuis plus de trente ans de pulsions, ni de relations homosexuelles, c'est en essayant de penser à des aventures féminines que j'essayais de me faire venir. Mais rien à faire, mon esprit me ramenait systématiquement à la scène à laquelle je venais d'assister et c'est comme cela que j'ai joui pour la première fois depuis longtemps en pensant à un homme, son corps, son cul, son sexe.

    Le lendemain matin Farid s'est réveillé avant moi, ce qui n'arrivait pratiquement jamais. Il est venu me voir et eut un large sourire aux lèvres en découvrant le klineex au pied de mon lit. Je pensait m'en débarrasser avant son levé. Le petit vicieux me dit en souriant: "bien dormi patron? j'espère que je ne vous ai pas trop dérangé cette nuit, j'ai eu un sommeil super agité"

    Son sourire ne laissait aucun doute sur le double sens de ses propos. Je lui répondis, pour rester dans le même esprit, qu'il ne m'avait pas dérangé du tout, que moi aussi à son âge, j'avais régulièrement des nuits agitées et que même encore aujourd'hui, éloigné de ma femme, cela m'arrivait occasionnellement. Cet échange verbal nous fit partir tous les deux dans un grand éclat de rire et la situation qui aurait put être très embarrassante s'est immédiatement transformée en connivence, chacun connaissant l'activité nocturne de l'autre. A partir de ce moment, Farid toujours très réservé et pudique jusqu'alors, n'hésita plus à se changer ou s'habiller, sans trop tirer la cloison accordéon pour s'isoler et c'est comme cela que, mine de rien, je me suis mis à lui mater de plus en plus souvent son petit cul tout nu bien offert à ma vue.

    J'ai compris que le petit salop cherchait bien à m'allumer, car il mettait toujours plus de temps pour enfiler son short à même la peau sans rien dessous. Le tableau qu'il m'offrait était magnifique, surtout qu'il oubliait de plier ses genoux pour enfiler son short et que c'est quand il était courbé en deux, cuisse bien écartées, que je pouvais admirer, rapidement hélas, son petit anneau brun, ses petites couilles pendantes et au dessous une partie de son sexe.

    Au cours de la deuxième semaine, une journée nous avons subie un violent orage. Sur le chantier, j'ai demandé à Farid si toutes les fenêtres de la caravane avaient bien été fermées, il m'a affirmé que oui. Hélas, ce n'était pas le cas et la fenêtre restée ouverte avait détrempée son lit. Après avoir mis toute sa literie à sècher, il fut évident que nous devions coucher tous les deux dans le grand lit. Le soir venu, il est venu se coucher dans mon lit avec comme tout vêtement son shorty. Je me suis de nouveau fait la réflexion qu'il était vraiment très beau et ce que laissait deviner la forme de son shorty était de belle proportion. Je me suis couché après lui en boxer et après avoir un peu lu, j'ai essayé de trouver le sommeil. Ce dernier ayant du mal à venir, je me suis tourné et retourné plusieurs fois dans le lit et quelques fois nos corps se sont touchés sans aucune arrière pensée. Je me suis fait la réflexion que sa peau était douce comme celle d'une jeune fille.

    Ces contacts involontaires et les idées qui s'en sont suivie me firent bander rapidement sans que je puisse me contrôler. La cause de mon état? sa peau douce, sa jeunesse, son odeur de petit mâle, son sexe deviné magnifiquement blotti dans sa cache, la masturbation surprise l'autre jour, les images de son intimité qui me tournaient en boucle dans la tête, également le manque de ma femme, ou peut être une grande fatigue physique qui finie par me mettre les nerfs à fleur de peau? Certainement un peu de tout cela. J'ai réussi à m'endormir enfin au bout de plus d'une heure d'attente à me tourner et me retourner. Dans la nuit, je me suis réveillé avec toujours cette érection énorme qui commençait à me faire souffrir et en plus une bonne envie de me soulager la vessie. Je suis allé me soulager dans le petit coin toilette de la caravane, mais si pour soulager ma vessie ça c'est bien passé, impossible de me branler sans bruit. Hélas, le faire sans toucher les cloisons et sans faire remuer toute la cambuse s'est avéré absolument impossible et je me suis contenté de me caresser gentiment le sexe entre le pouce et l'index.

    Au bout d'au moins une demie heure, j'ai perdu un peu de mon érection sans toute fois avoir joui et je suis allé me recoucher dans cet état là. En m'allongeant j'ai eu un choc en me rendant compte que mon petit compagnon de couche avait profité de mon absence pour virer son shorty et se retrouvait nu comme un ver devant moi sous son drap. Il était couché en chien de fusil son cul tendu dans ma direction et seul ce dernier et sa tête dépassaient du drap qui le recouvrait. Après un moment d'observation du charmant tableau offert, je me suis allongé et j'ai simulé de m'endormir et par mégarde ma main est venue se perdre sur ce magnifique postérieur offert. Le grain de sa peau était vraiment très fin à cet endroit là et c'était un plaisir que de le caresser. Farid n'a pas eu de réaction début, mais au bout de quelques minutes, il à commencé à soupirer et gémir doucement, comme lors de sa masturbation nocturne.

    Reprenant brusquement conscience de ce que j'étais entrain de faire, je me suis retourné brusquement comme pour me soustraire de cet appel au plaisir coupable et suis resté longtemps dans cette position, tachant de me vider la tête de tout ce que j'étais entrain de vivre et qui me faisait perdre la tête. Enfin j'ai trouvé un sommeil réparateur et nécessaire qui, j'espérais, allait me calmer. A mon réveil, mauvaise pioche, je me suis retrouvé le bas ventre collé dans au dos de Farid qui était toujours couché en chien de fusil et je frottait langoureusement mon sexe sur son sillon fessier. Lui n'était pas immobile de son côté et il faisait des mouvements du bassin qui venaient accentuer mes propres mouvements. Il m'a fallu quelques secondes pour bien être bien réveillé et enfin bien réaliser ce que j'étais entrain de vivre et de faire. J'étais entrain de me masturber la bite sur le cul de mon apprenti, qui aurait largement pût être mon fils et voir plus et, celui-ci avait l'air d'apprécier ce contact obscène.

    J'ai eu un mouvement de recul pour me détacher une nouvelle fois du contact de cette peau qui m'attirait trop fort, mais cela m'a procuré un tel sentiment de frustration qu'après quelques secondes seulement, mon excitation était à un tel point que je n'ai pus résister et j'ai jeté aux orties tous les tabous qui me tournaient en rond dans ma tête et je me suis recollé vivement et complètement et volontairement cette fois ci, dans le dos de mon petit compagnon. J'ai glissé ma bite, qui me faisait mal tellement je bandais fort, entre les cuisses de Farid et me suis mis à le limer fortement en singeant l'acte amoureux. Sa peau fraîche et bouillante, sa chair ferme et tendre, son odeur corporelle douce et poivrée à la fois, me rendaient fou de désir pour lui. Il accompagnait toujours mes mouvements désordonnés en basculant son cul d'avant en arrière et en poussant de petits gémissements de plaisir ponctués par des «ho oui, ho oui»murmuré faiblement qui cependant m'encourageaient à continuer ma coupable activité que de toute façon j'étais bien incapable d'arrêter.

    Pendant que je le limais en essayant de me contrôler un peu, j'ai passé mes mains sur son torse pour lui titiller les tétons et le caresser sur toute partie de son corps qui me passait sous les doigts. C'est là que j'ai eu mon deuxième choc depuis que j'étais réveillé. J'ai descendu ma main sur son sexe et commencé à le caresser et c'est seulement après quelques secondes que je me suis aperçu qu'il y avait quelque chose d'anormal. Encore quelques secondes pour comprendre que si mon petit partenaire était naturellement dépourvu de poil sur tout le corps, en plus il se rasait le pubis. Je comprenais maintenant le temps passé au cabinet de toilette chaque matin avec son rasoir électrique. Cette constatation m'a encore rendu plus fou si cela était possible. Moi qui suppliait ma femme de se raser la chatte et le cul lors de nos premières années de vie commune et qui avait toujours refusée, voilà que je me retrouvais avec en main un sexe d'homme dépourvu de poil.

    J'ai retourné violemment Farid sur le dos pour pouvoir admirer le charmant tableau et là je n'ai pu me retenir, j'ai embouché cette jeune tige fièrement dressée et j'ai entamé une pipe magistrale en essayant de lui prodiguer les mêmes effets que ci ça avait été ma propre bite que je suçais. Je n'ai pas dû mal le travailler car au bout de quelques petites minutes seulement, j'ai senti monter le plaisir de Farid et je l'ai laissé se répandre dans ma bouche. Je n'ai tout pas avalé tellement il avait craché de foutre et j'ai laissé le surplus s'écouler sur son ventre. Je me suis allongé sur son corps et l'ai embrassé à pleine bouche afin de lui faire partager les quelques gouttes de son jus qui me restait. Nos ventres et nos sexe se frottaient et excité comme j'étais, je n'ai pas tardé à venir à mon tour en éjaculant également une forte quantité de sperme qui est allé rejoindre le siens qui attendait sagement. Nous sommes restés dans cette position un long moment, Farid me contemplait comme s'il me voyait pour la première fois.

    Des petites larmes coulait au bord de ses yeux, je les ai séchées à l'aide de ma langue et lui ai demandé de me pardonner pour ce que je venais de lui faire subir. Je l'avais sûrement blessé dans sa dignité d'homme en construction, il devait surement me prendre pour un salop, un profiteur, etc, etc... La dessus il s'est mis à pleurer franchement et m'a dit que j'étais bien long à comprendre et que bien au contraire, c'est lui qui m'a chauffé au maximum et qu'il avait pris un énorme plaisir ce matin.

    Son désir le plus cher serait que l'on «s'amuse encore souvent ensemble comme ce matin» mais qu'il ne pensait pas que ce soit possible que j'accepte maintenant l'on continue ensemble. Il avait commencé à s'ouvrir en me faisant part de ses désirs les plus intimes et maintenant il n'arrêtait ses confidences. Il m'apprit ainsi qu'il ne s'intéressait pas beaucoup aux filles et préférait surtout les garçons. Sa seule expérience s'est déroulée avec un ce ses copain de collège, Mathieu, que j'avais déjà croisé quelques fois avec lui. Ils s'étaient plusieurs fois isolés de leurs famille pour se retrouver dans leur chambres, nus tous les deux à se caresser, se masturber et se sucer en 69 afin de jouir et se soulager mutuellement.

    Il me dit aussi qu'ils n'avaient pas osé pousser plus loin leur relation et que maintenant il voulait impérativement que ce soit moi qui lui dépucelle le cul. Moi assommé mais aussi amusé par cette demande incongrue, j'ai essayé de sortir gentiment du piège ou je m'était mis tous seul (avec plaisir) en lui expliquant que ce n'était peut être pas idéal de faire ça avec un homme de plus de 30 ans son aîné, et que la dernière fois que j'ai baisé avec des hommes, il n'était même pas né, de plus je suis quand même censé exercer une responsabilité morale vis à vis de lui et de ses parents et que de plus, je suis bien avec tout un tas d'autres arguments, plus raisonnables les uns que les autres.

    Il se remit à pleurer et me dit que c'est moi qui lui à tout appris, les bases de son métier, tous les repères pour se comporter correctement en société, moi encore qui lui ai fait aimer l'enseignement des fondamentaux, mahts et Français où il était nul auparavant et encore beaucoup d'autres choses du quotidien. Il voyait la suite de notre relation amoureuse (ou seulement sexuelle selon mon bon désir) en remerciement de tout ce que j'avais fait pour lui.

    Je devais prendre comme une offrande qu'il me réservait, ce qu'il avait aujourd'hui de plus cher au monde après ses parents, son pucelage. Lui désirait cet acte amoureux comme un enseignement, car il était persuadé que j'avais suffisamment d'expérience pour que cela se réalise dans les meilleurs conditions possible et sans trop souffrance pour lui. C'est bête à dire, mais ces paroles m'ont vraiment émue et j'ai été flatté de cette grande confiance qu'il m'accordait. Pendant ce temps, tout le sperme étalé sur nos ventres avait séché et devenait maintenant désagréable au touché.

    Pour suspendre cette conversation, je lui dis que j'avais besoin de réfléchir à tout cela et que je lui ferais part rapidement de ma décision. Nous nous sommes levés et sommes allé prendre notre douche ensemble. Cette douche de caravane n'était pas bien large et nous nous sommes retrouvés bien collé l'un à l'autre. Bien entendu ce contact nous a fait rebander immédiatement. Nous nous sommes savonnés mutuellement et nous sommes masturbé l'un l'autre jusqu'à la jouissance. Inutile de dire que le chantier n'a pas beaucoup avancé ce jour là.

    Nous avons passé la journée sur le lit à nous embrasser, nous caresser et encore nous faire jouir un fois pour moi, mais deux ou trois pour lui. Sa jeunesse lui donnait des ressources inimaginables et une récupération exceptionnelle. Vivre d'amour et d'eau fraîche est une belle chose, mais nos ventres commençaient à crier famine. J'ai pris la voiture pour me rendre à la ville voisine faire des courses, en refusant qu'il ne m'accompagne. J'avais besoin de faire le point seul et tranquillement.

    Tout ce que nous venions de vivre était si fou et si fort, qu'il fallait absolument que je réfléchisse à cette situation, avant de prendre la bonne décision pour le proche avenir. Pendant au moins une heure, assis à la terrasse d'un café, j'ai pesé le pour et le contre, les risques pour mon avenir et également pour le sien. Mais dès que mon raisonnement devenait un tant soit peu censé, ce que l'on est en droit d'attendre d'un homme de mon âge et de mon expérience, mon esprit revenait systématiquement aux plaisirs que m'avait procurés le contact de sa peau juvénile, son sexe glabre, de son petit cul rebondi qui n'attendait que ma grosse bite pour s'ouvrir sur des plaisirs encore inconnus par lui. Toutes ces pensées commençaient à me faire perdre de nouveau la raison et malgré la débauche d'énergie de cette journée, je commençais à rebander dans mon short.

    Comment réfléchir sereinement dans cet état permanent d'excitation? Je me suis vite fait une raison et j'ai décidé de vivre à fond le moment présent, sans tenir compte des suites à venir, puisque c'était mon plus fort désir et je savais que c'était aussi celui de Farid. J'ai rapidement fait mes courses et suis rentré à la caravane. En arrivant, mon petit amant se promenait simplement vêtu d'un tee-short qui lui arrivait à mi-fesses. Cette tenue était encore plus indécente que s'il s'était baladé complètement à poil. Je me suis précipité sur lui comme un mort de faim pour l'embrasser, le caresser, le sentir. J'avais l'impression que mon absence avait durée un siècle. Après nous êtes calmés un peu, j'ai disposé mes courses sur la table à manger.

    Une bouteille de champagne, une de bon vin de bourgogne, une boite de préservatifs et un flacon de lubrifiant corporel. Je n'ai pas eu besoin de parler pour que Farid comprenne que ma décision était prise et qu'elle était conforme à son désir le plus cher. Je lui ai expliqué que si j'accédais à sa demande de dépucelage annal, j'y mettais quelques conditions. Premièrement il ne fallait pas qu'il s'imagine que notre relation puisse perdurer au delà de la fin du chantier et que je lui conseillais de reprendre contact rapidement avec le jeune amant de son âge, afin de vivre une relation plus conforme à la norme. Deuxièmement je désirais que cette initiation se fasse de façon très douce et amoureuse afin qu'il profite au maximum et ce dès le début, de toute la jouissance que peut procurer une sodomie bien faite. C'est ma troisième condition qui l'a le plus surpris, je voulais que lui aussi me sodomise avant que l'on mette fin à notre relation amoureuse et sexuelle.

    Il m'a dit OK pour les deux premières mais qu'il ne se sentait pas capable, par respect, de «baiser» son patron, son modèle, presque son père du moins son idole, mais que pour me faire plaisir, si j'insistais, il essaierait quand même. Avant de réaliser nos projets, nous nous sommes restaurés à l'aide des petits plats fins achetés chez le meilleur traiteur de la ville. Durant le repas, il est resté sur mes genoux et je n'ai pas cessé de frotter ma queue sur son joli petit cul, de lui caresser le torse, les tétons et mélanger nos mets dans nos bouches à l'aide de nos langues. Après ce repas rapidement expédié, j'ai bue le champagne, après l'avoir versé directement sur son sexe tendue, directement à la source, comme s'il me pissait le divin breuvage directement dans la bouche. Ensuite, c'est son sillon fessier qui à eu droit à ce régime et j'ai visé le plus possible son petit anneau plissé qui subissait les assauts de ma langue inquisiteuse. Le moment de réaliser ce qui était dorénavant notre fantasme commun, arrivait.

    Nous avons décidés ensembles que je le prendrais comme une femme, sur le dos et les yeux dans les yeux afin de surveiller la montée de son plaisir. Tout en le masturbant à la main, j'ai continué un bon moment à lui bouffer le cul en introduisant au maximum ma langue dans son anus. Cette délicieuse torture au champagne le rendait fou de désir, son corps se tendait comme une corde à piano puis se relâchait quelques secondes pour reprendre immédiatement sa douloureuse tension. Après un bon moment, j'ai pris du lubrifiant et lui ai introduit un doigt, puis deux, puis trois. Je les faisais tourner en les mettant en parapluie pour bien élargir sa petite rosace secrète. Pendant ce temps, je l'embrassais, le caressais de partout, lui suçais les tétons qui étaient érigés et sensible comme ceux d'une gonzesse. J'en profitais aussi pour me régaler de la vision de ce magnifique petit cul encore vierge et cet anus, qui s'offrait indécemment à mon regard et à mes doigts, en attendant de recevoir la véritable offrande de ma virilité, actuellement si douloureusement tendue sur mon bas ventre.

    Je l'ai laissé me réclamer longtemps de venir en lui, il me lançait, des larmes de bonheur dans les yeux, des: «maintenant, oui maintenant, j'en peux plus, je vais jouir, encule moi, STP, encule moi maintenant». Mon obsession était de l'empêcher de se vider avant que je ne l'ai baisé et j'ai alterné des périodes de mouvements vigoureux dans son cul, avec d'autres plus sensuels et pleins de douceur. Le moment fatidique était maintenant venu. J'enduisie encore une fois son anneau cullier de lubrifiant et après avoir enfilé une capote, en mis également une bonne tartine sur mon gland. Je lui ai remonté les jambes le plus haut possible de chaque côté de son visage et me suis positionné à l'entrée de sa petite grotte d'amour. Je l'avais tellement bien travaillé que mon gland est rentré sans difficulté en lui, comme aspiré dans sa profondeur. Craignant de lui causer une douleur, j'ai fais une pose, pose inutile car il me supplia de continuer à m'enfoncer en lui. J'ai donc introduit lentement mais régulièrement la totalité de ma bite dans son cul et ne me suis arrêté que lorsque j'ai senti mes couilles lui toucher les fesses. Impossible de décrire le bonheur de sentir ses chairs intimes, encore inviollées, s'ouvrir sur le passage forcé de mon mandrin Là j'ai fais une pose pour le caresser encore, l'embrasser tendrement et masturber son petit sexe vaillamment tendu qui, mieux que des paroles, me signifiait que ce dépucelage avait été réalisé sans aucune douleur. Ce moment était vraiment sublime pour moi.

    Je ne me rappelle pas avoir connue pareil moment de plaisir de toute ma vie amoureuse, aussi bien en compagnie d'une femme que d'un homme. Je ressentais un sentiment de domination virile qui en côtoyait un autre de volupté, de tendresse et d'amour ressentie pour ce gamin qui s'offrait ainsi avec plaisir à mes assauts paillards. Je me suis mis à le limer, en alternant les enculades lentes et profondes par des galops violents, des sorties de piste fréquentes suivies de réenculages violents. J'étais trop bien dans son corps et aurais voulu ce moment n'en finisse plus. Lui, à mon grand étonnement tenait le coup aussi, je lui interdisais de se toucher la bite en enlevant ses mains et les bloquants au dessus de sa tête, afin de prolonger le plaisir au maximum pour nous deux.

    Devant ses suppliques dites d'une voie roque et les yeux presque à la retourne, ses mots obscènes: «oui baise moi, baise moi fort, encule moi encore, c'est bon, je veux jouir maintenant, oui maintenant» j'ai décidé que le temps de conclure était venue, moi même je ne tiendrais plus encore très longtemps. Je l'ai fait mettre à quatre pattes pour le prendre en levrette et ainsi pouvoir me finir en m'introduisant au plus profond de son intimité. C'est dans cette position qu'il à joui dans ma main que j'avais passé sous son ventre pour le masturber et que moi, quelque secondes après, j'ai remplie ma capote, bien fiché dans son magnifique petit cul.

    Cette chevauchée sauvage nous à laissés anéanties au moins une demi heure. Nous sommes restés tendrement enlacés sur le lit à nous caresser et nous donner des petits bisous d'amour. Si cette histoire vous à plu, n'hésitez pas à me le faire savoir et je continuerais ainsi mon récit bientôt pour vous expliquer comment j'ai amené mon petit compagnon à me prendre à son tour, malgré son refus du début, et surtout du plaisir que j'en ressenti. A bientôt de vos commentaires j'espère.



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  • SOIREE CLUB SURPRISES SM
    A découvrir ......

    Paul et André sont ensemble depuis plus de dix ans. Paul a 48 ans, il est grand, légèrement enrobé, le crâne rasé sans faire skinhead. André est plus petit et très musclé. Cet homme adorable de 46 ans peut rapidement devenir teigneux à la moindre provocation. Ce sont les amis qui m'ont initié, non pas aux plaisirs masculins, mais à ce monde, cette façon de vivre, la préséance, les lieux, les clubs gays.

    J'ai 35 ans, sans être 100 % gay, je me complais dans ce monde. Je ni suis pas venu par dépit, bien que mes amours avec les femmes que j'adore, n'aient pas été pérennes. Côté sexe, en dehors de mes penchants SM, j'ai gardé une passion, celle des sous-vêtements féminins ! Après en avoir offert à mes douces gazelles, qui ne les portaient que rarement, j'ai décidé de m'en offrir depuis que je suis célibataire. Le contact de ces tissus m'excite tellement qu'il m'arrive d'en porter à la maison, pour le plaisir de me sentir moulé de ces nobles étoffes.

    J'en ai parlé à Paul et André, qui en souriant mais sans moquerie, m'ont incité à en porter lors de certaines de nos soirées. La première fois, j'étais particulièrement gêné, mais ils ont su me mettre à l'aise comme on sait le faire dans ce milieu plus tolérant que les hétéros. Depuis près d'en an, une complicité s'est installée, André m'appelle parfois sa petite femelle, lors de certains jeux cuisants pour mes fesses exposées et soulignées par un string ou un collant ajouré.

    SOIREE CLUB

    Récemment, ils se sont mis en tête de m'aider à réaliser mon fantasme de porter en public des sous-vêtements féminins. Les préparatifs de cette soirée érotiques lorsque je choisissais puis en essayais différentes tenues m'ont fait fantasmer sur leurs idées qui ne pouvaient être que perverses. Entre les envies et la concrétisation, le pas à franchir était aussi important que de franchir le pas de la porte de mon appartement avec une tenue achetée à prix d'or sous mes vêtements masculins. Enfin, j'ai osé ! Enfin, j'ai osé !

    22 heures

    Nous sommes au bar d'un club gay/SM, je n'ai toujours pas le courage de me dévoiler alors que Paul est déjà en tenue, avec un pantalon et un débardeur en cuir et sa casquette militaire. André est allé se changer dans la salle réservée à cet effet, avec des casiers fermés à clé pour laisser ses affaires que je qualifierais de « civiles ».

    Comme à son habitude, il porte son shaps, (pantalon ouvert entre les jambes), son short de cuir moulant ses parties grossies par un large cook-ring (anneau dans lequel on passe les couilles puis le sexe qu'il est impossible de le retirer si l'on bande) et son tee-shirt noir.

    Moi, j'ai l'air cruche, je n'oserai pas me dévoiler et ma soirée va être gâchée.

    Paul et André, devant mes hésitations, m'offrent un whisky et m'encouragent mais en vain. Agacé, André demande alors au barman de lui passer des menottes et un bâillon.

    Je ne dis rien, je regarde les évènements un peu comme si j'étais à l'extérieur et ne résiste pas quand il me plaque contre le bar, ramène mes bras dans mon dos en refermant les bracelets métalliques sur mes poignets. Je me sens drôle, ma tête tourne un peu, je suis comme devant la télé, un spectateur ! Les consommateurs près de nous, regardent la scène avec intérêt, espérant sans nul doute, un spectacle.

    Paul trempe dans mon verre la boulle du bâillon puis en force ma bouche en me disant ; «profite, c'est ton dernier whisky de la soirée » avec un clin d'oeil complice. Lorsqu'il referme la sangle derrière ma nuque, je réalise qu'ils vont sûrement me contraindre devant tout le monde. Chez eux ou chez moi, c'était différent, mais maintenant j'ai peur et j'ai honte d'avance. En même temps, derrière la contrainte, je vais pouvoir vivre mon fantasme, mais pourvu qu'ils épargnent un peu ma pudeur, en m'amenant dans la petite salle du bas. Elle est sombre et ne peut contenir que six ou sept personnes. J'aurai du leur demander avant.

    - Alors, mon grand, c'est quoi ta petite surprise ? Me dit André avec un regard plein de malice
    en plaquant sa main entre mes jambes pour me tripoter de sa poigne qui peut être des plus ferme.

    Ce type de jeu de rapport de force, n'est pas pour me déplaire. Dans ces moments là, je ne suis plus moi-même, je suis un esclave consentant qui cherche la contrainte, la punition et la sodomie. Ils savent que j'aime que l'on me bouscule un peu, mais c'est la première fois que cela m'arrive en public. Je ne sais plus quoi penser.

    La peur du ridicule me submerge soudain à l'idée de me précieuses voilées, dévoilées.

    La main d'André se referme et me pressurise les bijoux de famille. Je me tords de douleur en dandinant sur mes jambes qui semblent devenues coton. Paul entreprend d'ouvrir ma chemise ! Horreur totale ! NON ! Pas ici ! Pas devant tout le monde ! J'ai beau gigoter dans tous les sens, le rapport de force inégal.

    Paul passe son bras autour de mon cou et me serre contre lui pendant qu'André ouvre mon pantalon en toile. Quand il se baisse pour le faire descendre, je pourrai lui donner un coup de pied dans la figure, mais je n'ose pas et me contente d'un « mmpphh » désespérés dans mon bâillon.

    Paul accentue sa pression autour de mon cou et d'une main entreprend d'ouvrir ma chemise. A l'issue d'une courte lutte inégale, je me retrouve dans une situation difficile avec un tourbillon de sentiments de honte et de désespoir. Mon pantalon en corolle sur mes chevilles castre toute tentative de fuite.

    Les clients du club se rapprochent et contemplent la scène d'un air amusé. Cet homme bâillonné et menotté, debout comme un « i » en sous-vêtements blancs, bas, string, porte-jarretelles, avec un corset en satin et son pantalon aux chevilles c'est bien moi !

    Pour couronner l'exhibition, André remonte ma chemise et la bloque dans la sangle de mon bâillon.

    - Ben dit donc, tu n'as pas fait dans la dentelle ! Me lance André très amusé en me laissant en plan pour s'asseoir sur un tabouret de bar et siroter « mon » verre.

    - Ma petite femelle, adore être exposée et tripotée, alors si les mains vous démangent, n'hésitez pas ! Dit Paul aux curieux.

    Deux hommes s'approchent. L'un est vêtu d'un pantalon en cuir et porte un harnais, l'autre également mais porte une casquette US Air force. L'un deux se met face à moi, m'observe puis caresse mes jambes et mes hanches. Sa main vient à l'intérieur de ma cuisse, remonte puis flatte mon entrejambe, pendant que l'autre homme à la casquette pelote ma croupe exposée, la presse, puis laisse s'insinuer un doigt entre mes fesses.

    Mes sentiments et mes sensations sont très mêlés. J'ai l'air cruche et pourtant, je vibre d'un plaisir inconnu sous leurs mains fureteuses et quelque chose de pervers s'anime du côté de mon bas ventre.

    L'homme à la casquette se baisse derrière-moi, écarte mes fesses puis y plaque son visage et se met à me lécher. Sa langue agace mon petit anneau autour de la ficelle du string, je ne sais plus où je suis. Je perds mes derniers repères. Puis il s'interrompt pour retirer mes chaussures et mon pantalon.

    Une grande claque retentissante et cuisante vient de s'abattre sur ma croupe.

    - T'as un beau cul tu sais, on en mangerait ! Me dit l'homme à la casquette en attrapant son copain par l'oreille pour le diriger vers ses jambes.

    Celui-ci, apparemment habitué à ce traitement, ne se révolte pas et ouvre son pantalon pour en extraire une belle verge bandée qu'il se met aussitôt à sucer goulûment. Moi qui fantasmais sur une petite exhibition furtive et discrète dans une des petites salles du sous-sol, je me retrouve ainsi vêtu au cœur d'un véritable spectacle SM devant une quinzaine de personnes.

    Pendant que son acolyte le suce avec conviction, l'homme à la casquette sort de sa poche un tube de gel et un préservatif en me disant : « Tu vas y passer » !

    Le ton était presque interrogatif, mais sans attendre réellement la réponse, il dirige sa main chargée de lubrifiant vers mes fesses. Ses doigts écartent mon joufflu et la ficelle du string pour laisser place à son majeur qui rapidement franchit la barrière de mon anus.

    Sa main fermée dans ma chevelure m'oblige à me pencher en avant pendant que l'autre fouille un instant mon étroit conduit. Tout s'enchaîne alors rapidement. Il donne le préservatif à son copain, qui le lui enfile en léchant les doigts de la main qui vient de me fouiller les reins. Ils me dirigent vers une table, je me laisse guider sans résistance, de toute façon je ne contrôle plus rien, mais ai-je envie ou puis-je contrôler quelque chose ?

    Autour de nous, on se tripote ou se suce, d'autres s'embrassent. Paul et André sont au fond de la salle, avec le couple qui était à côté de nous au début. Les salopards, m'ont abandonné !

    Tout en me maintenant fermement contre la table, il se fraie un passage entre mes fesses par son ami écartées et pose sa verge contre mon anus. Je frémis à son contact. Il me force, petit à petit, je sens mon anneau de chair éclore sous son gland de belle taille. Dans un ultime plongeon, il s'enfonce sans plus de précaution dans mon étroit conduit brutalement dilaté.

    Mes sphincters sont douloureusement contractés mais il n'en a que faire. Il se met en mouvement et me pistonne sans plus de ménagement. Je crie dans mon bâillon et tente de me cambrer pour fuir son acharnement. Ses arguments de tardent point, d'une main il m'écrase les reins sur la table, de l'autre me claque les fesses violement.

    Au bout d'un moment, perdu entre douleur, honte et plaisir, je commence à fondre, cesse de me plaindre pour gémir, puis les fesses tendues et ouvertes, je lui offre mon anus épanoui qui s'extasie de plaisirs enivrants

    Face à moi, les voyeurs se rincent l'œil et commentent en consommant comme si cela leur donnait une bonne raison d'être là.

    Je ne parviens plus à discerner ce que je ressens, plaisir ou humiliation, souffrance ou volupté
    C'est comme si mon esprit s'était peu à peu évadé de mon corps. Jambes écartées et pénétré sauvagement devant tout le monde, je ne suis plus qu'un cul et je dois l'avouer, la honte s'apaise. Je flotte entre deux nuages. C'est dingue et pitoyable je sais, mais je me concentre sur les ondes voluptueuses qui traversent mon corps et rien d'autre ne compte plus pour moi.

    L'un des spectateurs vulgaire lance : « putain ce qu'elle prend » le « elle » me gêne terriblement, je ferme les yeux, j'ai trop honte de moi et de ce plaisir odieux.

    L'échéance attendue pointe son nez. Le mouvement s'accélère puis s'arrête soudain, un gémissement sonne la fin de mon humiliant plaisir. Il s'abandonne en moi et dans son préservatif qui je l'espère a résisté à ses sauvages asseaux. Puis il se retire, et viens s'asseoir sur la table, à côté de mon visage face au public. Comme si le scénario était joué d'avance, son ami se précipite pour lui retirer le préservatif et en boire sa généreuse semence. Il semble s'en délecter.

    Etendu sur la table, je contemple le spectacle de cet homme soumis qui ensuite se met à sucer la verge qui m'a donné tant de plaisir. Mes fesses ouvertes et accueillantes génèrent d'autres envies. A mon tour voyeur, je n'ai pas pris garde aux mouvements des spectateurs. Quelqu'un se positionne derrière moi, sûrement focalisé sur mon derrière offert et souligné de mes sous-vêtements blancs dans cette lumière tamisée.

    D'un pied je le repousse gentiment mais fermement avant de me relever avec difficulté. J'ai eu mon compte d'émotions pour ce soir, je n'ai plus d'envie même si je n'ai pas joui au sens propre du terme. L'homme déçu abandonne, s'il avait voulu de force, me prendre à son tour, je n'aurai gère pu résister, mais cette forme de violence n'existe pas dans un club gay SM.

    EPILOGUE

    Paul et André, me raccompagnent chez moi puis me souhaitent bonne nuit en me faisant la bise dans la lueur des phares de leur voiture. La clé dans la serrure de ma maison vide d'amour, en dehors de celui du chat « Minette » sonne la fin d'une soirée si différente de celles vécues d'habitude.

    Après la douche salvatrice, avec le chat ronronnant sur le lit près de moi, le plaisir solitaire dans le noir de la chambre est finalement terne car ce qu'il manque dans cette maison, c'est de l'amour à partager.

    TSM

     


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