• Les défis d'auto bondage n°3
    Pour homme ou femme

    03°) Le plaisir de ramper enchaîné
    Cinq options possibles et faciles

    Allez-vous oser ?

    Rassurez-vous, personne ne le saura, sauf les membres de ce groupe quand vous nous raconterez avec vos mots les émotions ressenties si vous réalisez ce défi.

    Matériel :
    3 mètres de chaîne
    4 cadenas

    Divers
    Sous-vêtements et/ou vêtements à votre convenance.
    Pinces à seins

    Programme :

    Réaliser une ceinture de chasteté puis se lier les pieds et les mains en laissant les clés dans une pièce éloignée.

    Comment faire :

    A) Placez vos clés dans le salon par exemple. Fermez les volets ou tirez les rideaux sur l'itinéraire prévu. Bloquez les portes pour qu'elles restent ouvertes.
    B) Allez dans votre chambre et mettez-vous nu.
    C) Autour de votre taille, faites un tour de chaîne. Serrez bien mais sans excès puis fermez le cadenas.
    D) Placer ce que vous voulez dans votre intimité. (Œuf vibrant, gode, plug, pinces...) Vêtements et sous-vêtements à votre convenance.
    E) Avec la chaîne restante, fabriquez vous une mini ceinture de chasteté. Ne serrez pas trop. (Voir défis 1 et 2 pour savoir comment faire)
    F) Fermez le deuxième cadenas.
    G) Toujours avec la même chaîne, liez vos chevilles jambes pliées. Fermez le cadenas.
    H) Enchaînez vos poignets le plus prés possible de vos pieds. Fermez le cadenas.
    I) Allez chercher les clés.
    J) Arrivé au salon, après la libération de vos mains, interdisez-vous le retrait de la chaîne ( et autre) tant que vous n'avez pas rédigé et adressé vos impressions au groupe.
    K) La suite vous appartient.

    Variables :

    Rien ne vous empêche de vous faire un harnais ou de broder autour de ce premier défi facile.

    Astuces annexes

    Si vous vous avez un ordinateur portable, laissez-le dans votre chambre pour essayer d'écrire vos impressions avant les déplacements.

    VARIABLES / OPTIONS


    Option n°1

    Si ce défi vous a semblé trop simple, reproduisez-le en vous masquant la vue.

    Option n°2

    Si ce défi vous a semblé trop simple, reproduisez-le en vous liant les mains dans le dos. Dans ce cas, il faudra vous mettre sur le ventre ou sur le côté pour lier vos poignets.

    Option n°3

    Si ce défi vous a semblé trop simple, reproduisez-le en attachant une chaise à vos chevilles avant de vous lier les poignets dans le dos.

    Option n°4 pour personnes averties

    Si ce défi vous a semblé vraiment trop simple, reproduisez-le en attachant une chaise à vos chevilles avant de vous vous masquer la vue et de vous lier les poignets dans le dos.

    Option n°5 piquante pour personnes averties

    Si ce défi vous a semblé vraiment trop simple, rajoutez des punaises sur votre itinéraire et reproduisez-le en attachant une chaise à vos chevilles avant de vous vous masquer la vue et de vous menotter les poignets dans le dos. Bloquez les menottes à une ceinture si vous mettez des pinces à sein, vous devrez les garder jusqu'au bout....

     

    RAPPEL : vous pouvez adressez vos trames de jeux et histoires de selfbondage à fes.sestivites@laposte.net nous les publierons sur le site en indiquant votre pseudo si vous le désirez.

     


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  • Les défis d'auto bondage n°2
    Pour homme ou femme


    02°) Les plaisirs de la chaîne

    Allez-vous oser ?

    Rassurez-vous, personne ne le saura, sauf les membres de ce groupe quand vous nous raconterez avec vos mots les émotions ressenties si vous réalisez ce défi.

    Matériel :

    3 mètres de chaîne ( Mr Bricolage ou autres magasins si vous n'en avez pas )
    1 ou deux cadenas

    Programme :

    Réaliser une mini ceinture de chasteté en laissant les clés à la consigne de la gare et / ou dans la voiture.

    Comment faire :

    A) Allez à la gare et placez un double des clés dans une consigne.
    B) Rentrer à votre logis et mettez-vous nu.
    C) Autour de votre taille, faites un tour de chaîne. Serrez bien mais sans excès puis fermez le cadenas.
    D) Placer ce que vous voulez dans votre intimité. (Œuf vibrant, gode, plug, pinces.....)
    E) Avec la chaîne restante, fabriquez-vous une ceinture de chasteté. Ne serrez pas trop.
    F) Fermez le deuxième cadenas.
    G) Habillez-vous avec des vêtements larges.
    H) Allez chercher les clés.
    I) Votre retour au logis. Interdisez-vous le retrait de la chaîne ( et autre) tant que vous n'avez pas rédigé et adressé vos impressions au groupe.
    J) La suite vous appartient.

    Variables :

    Rien ne vous empêche de vous faire un harnais de corps ou de broder autour de ce défi facile.

    Astuces annexes

    Si vous vivez en couple et que votre moitié n'est pas informée, plusieurs options s'offrent à vous pour la libération :
    1°) Utilisez la salle de bain mais le bruit de la chaîne est difficilement compatible avec la discrétion.
    2°) Les toilettes publiques. Le bruit est gênant mais vous ne connaissez pas les curieux qui s'interrogeront.

    VARIABLE mais attention, risque de "prolongation"

    Reprendre la présente trame mais se poster les clés en recommandé.




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  • Les défis d'auto bondage n°1
    Pour homme ou femme


    01°) Les plaisirs de la corde

    Allez-vous oser ?

    Rassurez-vous, personne ne le saura, sauf les membres de ce groupe quand vous nous raconterez avec vos mots les émotions ressenties si vous réalisez ce défi.

    Matériel :

    2 mètres de cordes ( Mr Bricolage ou autres magasins si vous n'en avez pas )
    1 culotte (si vous ajoutez des accessoires )

    Programme :

    Réaliser un gros string de corde et aller faire quelques courses. C'est simple mais à découvrir.

    Comment faire :

    A) Autour de votre taille, faites deux tours de corde. Serrez bien mais sans excès puis faites un nœud.
    B) Placer ce que vous voulez dans votre intimité. (Œuf vibrant, gode, plug, pinces...) Si vous avez ajouté des accessoires et choisi une robe (ou pantalon) mais mettez une culotte par prudence.
    C) Avec la corde restante tissez le fond du string en passant de votre ventre à vos reins. Serrez bien mais sans excès. Vous pouvez rajouter des nœuds biens placé si vous êtes une dame. Si vous êtes un homme, n'hésitez pas à enrouler et nouer autour de ce qui dépasse de votre bas-ventre. Ne serrez pas trop.
    D) Faites le dernier nœud.
    E) Habillez-vous avec des vêtements larges.
    F) Allez faire vos courses en ville.
    G) A votre retour au logis, interdisez-vous le retrait de la corde ( et autre) tant que vous n'avez pas rédigé et adressé vos impressions au groupe.
    H) La suite vous appartient.

    Astuce annexe

    Si vous vivez en couple et que votre moitié n'est pas informée, utilisez la salle de bain.

    Variables :

    Rien ne vous empêche de vous faire un harnais de corps ou de broder autour de ce premier défi facile.

    Rien ne vous empêche de vous faire un léger string de corde pour aller travailler en réduisant la longueur.



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  • Ce texte est diffusé avec l'aimable autorisation de La capricieuse

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    Cher TSM,

    Tu pourras te vanter de m'avoir fait découvrir quelque chose. L'auto bondage était une piste de moi inconnue.

    Tu as su motiver mes pensées érotiques, m'instruire par ton groupe je vais donc sans pudeur te dévoiler ma première réelle tentative. N'étant pas très douée en écriture, j'ose espérer que tu me pardonneras mes erreurs et coquilles indélicates.

    Ma première expérience

    Assise devant l'ordinateur, alors que je me sustentais à la lecture des récits du groupe, l'idée m'est venue d'essayer. Ayant quelques expériences et accessoires en matière de bondage et de jeux non consensuels, je me suis dit après tout pourquoi pas !

    Les clés de mes menottes ont soudain décidé de se rendre au congélateur et de noyer leur tristesse dans un gobelet d'eau. En suivant attentivement tes conseils éclairés, je les ai liées entre elles avec de la ficelle à rôti en laissant deux bons mètres de fil. (Trop mais bon)

    Pendant le sachet de haricots verts et les frittes observaient sans comprendre la congélation des clés, j'ai sorti innocemment quelques bricoles comme des sangles, des menottes + des bracelets achetés sur le net et la corde utilisée pour étendre le linge quand il pleut ainsi que les épingle qui vont avec. Les sous-vêtements étant une de mes passions, il m'est venue l'idée d'enfiler un petit ensemble en satin noir avec son porte-jarretelles assorti, des bas ainsi que ma dernière acquisition : de superbes bottes de cuir à très hauts talons. Une folie, mais bon, on ne vie qu'une fois.

    Une petite douche est devenue obligatoire pour faire patienter mes folles envies car un glaçon prend quand même un peu de temps à se faire, même en surgélation. L'eau n'a pas réellement atténué mes désirs avec son passage entre mes cuisses et le jet dirigé sur mes seins aux tétons érigés non plus. Vêtue seulement de mes sous-vêtements et de mes bottes, je me suis installée devant mon PC pour méditer et trouver des idées pratiques pour ne pas dire techniques. Les images prennent dans ces moments, une certaine dimension dans l'imagination......

    L'attente étant trop cruelle, mon hystérie érotique m'a poussée à commencer le jeu. Ton idée de ballade bondagée en ville m'ayant donné une solution d'attente. J'ai enroulé la corde autour de ma taille puis l'ai faite passer entre mes jambes pour m'en faire un string comme sur une des images. Mon mini godemiché s'est logé sans aucune difficulté dans mon ventre devenu « affamé ». Comme se promener en ville avec un mètre cinquante ou de mètres de corde qui sortent de votre robe est gênant, je me suis acharnée pour la faire disparaître.

    En conclusion : la corde est devenu le plus gros string que l'on peut imaginer et la douche précédente a perdu tout son sens tant je transpirais. Par prudence j'ai remis mon string mais bon ne te moques pas. Tu dis le mot prudence quatre fois par page.

    Perdre son gode dans un café peut engendrer des risques tu as raison. Alors j'ai décidé de t'écouter, tu vois cela arrive.

    Mes mains devenues curieuses, n'arrêtaient pas de fureter dans le creux de mes cuisses..... L'appel des tétons turgescents a été entendu et après des pincements et roulements divers et multiples, s'il n'y avait pas eu la corde protectrice, j'aurai craqué. Passer une robe pour sortir devenait une urgence. Pour dissimuler la bosse qui soulevait le derrière et le devant de ma robe, un manteau s'imposait malgré le temps encore doux.

    Les escaliers de l'immeuble ne m'ont pas posés de problème, mais marcher dans la rue si ! Surtout au début ! J'avais l'impression que tout le monde me regardait. Pour me donner une contenance, je suis passée à la boulangerie pour prendre une baguette de pain puis.... une part de tarte aux pommes. Ne va pas dire que je suis gourmande, c'est parce que ma tête tournait. Au début, j'ai cru à une crise d'hypoglycémie mais après l'avoir dévorée sur le trottoir, j'en suis arrivée à la conclusion que c'était l'excitation. Entre-nous, la boulangère n'a pas du comprendre pourquoi je persistais à garder mon manteau fermé pendant que je faisais la queue. MDR comme dit ta copine Bluette !

    La sagesse, si l'on peut dire, m'a guidée sur le chemin du retour, mais de vous à moi les filles, c'est délicieusement érotique de se promener ainsi « équipée » et cela fait perdre quelques kilos pour cause de sudation massive. J'ai dit la sagesse, car l'idée m'est venue d'aller prendre un café au bar de l'OM histoire de m'émouvoir encore en regardant quelques beaux sportifs bien musclés même si je n'aime pas les voir beugler des insanités devant la télé.

    Retour donc à la case maison. Plus délicats, les escaliers. La porte enfin close, le sadique manteau protecteur et la robe n'ont pas tardé à chuter à même le sol, mes mains étant prises d'une frénétique envie de palpations. Le ventre en feu et la tête brûlante, plaquée contre le mur de la chambre devant le lit recouvert de tous les accessoires, je me suis acharnée sur mes seins et mes pauvres tétons en gesticulant du popotin sans pour autant arriver à la jouissance.

    La sangle bleue qui sert à fixer les bagages sur le toit de la voiture, ne me tendait pas les bras mais presque. Elle m'a donnée l'idée d'un petit bondage de poitrine comme sur tes images encore une fois je sais. Je me suis donc conçu un deuxième soutien-gorge type cœur croisé en enroulant la sangle autour de mon buste puis en réalisant un X. Ce n'était pas terrible mais pas déplaisant quand même.

    J'étais dans un état second, le désir me tenaillait. Accélérer les choses est devenu une obligation. J'ai donc coincé les menottes dans mon dos avec la corde de mon gigantesque string et posé des épingles à linge sur mes seins en rabattant doucement le balconnet car la pince en s'appuyant sur mon buste tordait douloureusement mon téton.

    L'espèce de folle en chaleur qui a débarqué dans la cuisine ainsi accoutrée c'est moi. Elle a ouvert le congélateur, pour constater que le glaçon n'était pas tout fait prêt quand arraché de son gobelet de l'eau s'est répandue sur le carrelage mais qu'importe, elle s'en foutait royalement n'étant pas disposée à faire du ménage. Pour ne pas mettre de l'eau partout, j'ai pris une coupelle puis je me suis précipitée à la chambre.

    Que faire, comment faire ? J'ai posé la coupelle avec son glaçon sur le sol et la ficelle sur le lit qui me tendait les bras. Quand j'ai passé les bracelets à mes chevilles assise sur mes fesses, (logique je sais), le petit gode c'est enfoncé profondément en moi et m'a procuré un plaisir intense et un gémissement de satisfaction des plus impudiques mais on s'en tape quand on est seule. Au cas, où le délire m'emporterait, l'idée d'un bâillon m'est venue pour ne pas ameuter les voisins. Le foulard rouge a quitté le tiroir de la table de nuit, pour venir se loger entre mes dents pendant que mes mains tremblantes réalisaient un double nœud derrière ma tête. Comme il me restait une ceinture, je l'ai enroulée et serrée autour de mes cuisses en bricolant un peu pour cause de longueur inadaptée. Son contact cumulé à la pression de l'entrave des jambes et au fait que j'étais assise sur mes fesses m'a encore comblée d'agréables sensations.

    J'avais un peu peur en fermant les menottes sur mes poignets, mais en même temps j'étais ravagée par une envie de vivre l'aventure. Etendue sur le dos, les menottes me faisaient mal aux poignets, je me suis donc retournée sur le ventre. Là, j'ai failli tomber du lit. J'ai donc gesticulé pour parvenir à la position souhaitée. Les liens ne m'ont pas aidé et c'était très bien ainsi question sensations. Sur le ventre, la douleur des pinces à seins était supportable. Quand j'ai commencé à tirer et forcer sur mes entraves, c'est devenu génial.

    La corde de mon string légèrement détendue, permettait par de savants jeux des reins, d'obtenir un petit mouvement de l'objet figé en moi (si vous voyez ce que je veux dire) tout en frottant un peu mon clitoris. Avec cette auto pénétration cumulée à la pression de mon buste aux seins pincés sur les draps, mon plaisir exacerbé par les entraves gagnait en intensité.

    J'ondulais en poussant des gémissements exaltés dans le coussin tout en dévorant le bâillon de tissu. Les effets diaboliques de la situation d'une indécence folle ont généré une onde de chaleur bienfaitrice dans mon ventre. Mes yeux fortement fermés projetaient dans ma tête brûlante le film d'un homme viril qui abusait de mon jeu pour me labourer le ventre de sa verge en m'écrasant sur le lit. Plus je bougeais, plus il me taraudait, plus mes seins réclamaient sa rudesse. Prise de frénésie, j'ai accéléré les mouvements de riens et la pression sur mes seins jusqu'à ........l'explosion finale. C'était si fort, si puissant, si long, si bon que le bâillon doit m'en vouloir.

    Je suis restée un petit moment sans bouger, épuisée mais heureuse et bien. Mes seins se sont un peu révoltés et me retourner sur le côté ne les a pas réellement apaisé bien au contraire. J'ai découvert plus tard les raisons de la douleur de mon sein droit. La pince a bougé, (normal) et ne pinçait plus que la pointe. Cette douleur motivait une libération rapide. Lorsque j'ai cherché la ficelle pour tirer les clés jusqu'à mes mains, j'ai découvert qu'elle était tombée !

    Lorsqu'après quelques reptations délicates j'ai posé mes pieds sur la descente de lit pour entreprendre de une descente prudente, la dite descente de lit a glissé. Je me suis fracassée lamentablement sur les fesses (Aie et aie pour deux raisons) avant de tomber sur le ventre. Si j'ai pu préserver mon visage, cela n'a pas été le cas de ma poitrine. Les pinces, m'ont fait mal, très mal. Je voulais de la grande secousse, j'ai été servie. Je me suis mise sur le côté pour ramper un peu jusqu'au fil des clés.

    Il y avait de l'eau parterre mais pas là où j'étais. Une barre s'est installée sur mon front pendant mes reptations. Comment le fait de ramper comme un ver de terre peut-il procurer autant de plaisir ? Je suis débile peut-être, mais c'était exquis. Assise sur mon popotin avec la tête tournée vers les menottes pour me délivrer, bouger des fesses me sublimait encore. J'avais chaud à ne plus en pouvoir, je transpirais à grosses gouttes, j'étais encore prisonnière et j'avais encore envie de plaisir.

    Je vais être impudique et ignoble mais je t'avoue que me frotter les fesses par terre comme une chienne en chaleur, m'a à nouveau conduite au plaisir. Quand je me suis enfin libérée la première des choses a été de retirer les pinces à seins. (Douloureux) je me suis étendue sur le sol toute heureuse de cette aventure.

    Sacré TSM !

    La capricieuse



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  • EMOTIONS D'AUTO BONDAGE
    Par la Capricieuse


    Ah ce truc, quand on y a goûté.... .

    Mes nuits de célibataire sont de plus en plus agitées. Depuis ma première expérience d'auto-bondage, j'en arrive à me faire des plans en rêvant. TSM tu es un pyromane et ton texte sur la maso 13 a mis le feu aux poudres de ma libido. Il me faut avouer que mon précédent compagnon l'avait déjà bien débridée et que je ne suis pas trop farouche non plus quand il s'agit de câlins. Tempête sous la couette et sieste crapuleuse suivi d'une envolée lyrique des sens devant la boite à malice qu'il a oubliée en partant et que je n'ai pas voulue lui rendre puisqu'il n'a pas été particulièrement correct. Mais bon c'est du passé. J'ai été happée par ce jeu débilement génial comme une crevette égarée se fait aspirer par un tourbillon. Tout cela pour dire que j'ai été inspirée par la maso 13 !

    Sagement et patiemment cette fois, je me suis préparée une compil aux petits oignons. Pendant que l'iceberg libératoire terminait sa vacation dans le congel, je me suis offerte une petite formation intensive en visionnant les dernières photos de ton groupe et en lisant très attentivement les derniers mails de mon professeur en compagnie de ma nouvelle copine « la corde » achetée chez monsieur Bricolage. Mon coquillage subissant les effets d'une marée d'équinoxe, il convenait donc de mettre un terme (provisoire) à cette formation à distance, pour passer aux exercices pratiques.

    L'esprit obnubilé par les détails, j'ai repris un à un tous les points de ton texte sauf la libération puisque je n'ai pas la chance d'avoir rencontré Eric son, sadique bourreau d'amour. (Quoi que)

    La bassine d'épingles à linge + le scotch d'emballage + mes menottes et les cordes ( la longue et la nouvelle de 6 mètres coupée en trois ) + mes pinces à seins, étaient posés sur mon bureau. J'ai fait comme la maso, ( logique ) avec la question suivante : par quoi commencer ? Le gode ! Bien sur, je l'avais oublié.

    Son logement dans ma charmante propriété surmontée de deux monticules côté jardin a nécessité quelques stimulations et un brin de vaseline en guise de bail locatif. Une fois assise sur mes fesses et leur nouveau locataire, lier mes jambes aux accoudoirs était épique. Que de tours de corde ... Enfin, c'était long et pas si bon qu'on ne le dit. J'ai enroulé ensuite l'autre corde autour de mon ventre et du dossier de la chaise de bureau. Avec tout ça, je ne risquais pas de tomber !

    Passons aux détails intimes.

    La pose des 6 épingles à linge sur les lèvres de ma minette n'a pas été trop douloureuse (au début). Je me suis même amusée à réaliser quelques bâillements de chatte mais tu vas dire que je suis vulgaire. Ayant oublié les ciseaux, mes dents ont du officier pour couper le scotch d'emballage chipé à l'école et coller les pinces sur l'intérieur de mes cuisses forcées à l'ouverture mais on sait pourquoi.

    Pour reprendre tes jolies expressions :

    « Ma minette, avec ses nymphes étirées, faisait portes ouvertes et ressemblait à un demi abricot coupé fendu en son milieu. Mon clitoris quant à lui, s'exposait comme la tête d'un papillon sur la planche d'un collectionneur ».


    ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^LE SUPPLICE DE TANTALE !^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^

    L'appel, pas du 18 juin mais du clito solitaire le soir au fond du salon ...... devant l'ordi sur ma chaise abandonnée....... comme dit la chanteuse.

    ACDsee 6.0 programmé (facile) sur un diaporama en continu diffusait les images téléchargées sur ton site.

    Oooh ! Comme disait Ô du haut de ses songes !

    J'ai résisté. (Différer était une obligation)

    ********(...Ô......Ô.....)*********
    Û

    ...................................................

    Une superbe géniale idée regrettablement bien (après coup), m'est venue quand je me suis mise les pinces à seins. (Offertes il y a un an par mon ex). La chaînette pouvait devenir une alliée pour la caresse ! Je m'explique. Les pinces à seins qu'il m'a offertes sont reliées par une chaînette elle-même reliée à une autre qui tombe longuement et se termine par un gros anneau d'acier brillant. Je n'en vois pas l'utilité mais tu m'expliqueras à l'occasion. Quoi qu'il en soit, je venais de lui trouver un usage pour un onanisme limité. Coincé sous mon fondement par le locataire Godemiché, la chaînette, de par mes mouvements, pouvait être une alliée dans mon onanisme limité pour cause de mimines liées.

    Placer l'anneau sous mes fesses autour du godemiché, m'a demandé quelques efforts physiques contraires à la gravité anale qui comptait profiter de l'occasion pour expulser le locataire indélicat. Main droite + main gauche + mes jambes liées + mon dos sur le dossier gémissant comme si j'étais grosse, j'y suis parvenue mais j'ai du libérer mes tétons pincés mais je l'ai eu. Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !

    Ces efforts m'ont faite transpirer et comprendre que la chaînette avait trop de mou pour mes projets d'onanisme. Je l'ai donc raccourcie, puisque cela est possible, grâce à un petit anneau qui ressemble à celui d'un porte-clés en haut de la chaînette qui part du bas.


    (Technique la description, technique mais c'est comme ça tu ne vas pas chipoter sur les mots descriptifs de mes maux)


    Donc ! Revenons-en à nos montons, pardon, à la brebis égarée dans son récit et sur sa chaise qui n'arrête pas de tourner. MDR ( Morte De Rire)

    Penchée en avant sur ma chaise, avec les yeux sur ma minette pincée faisant portes ouvertes avec mes jambes liées aux accoudoirs et mon fessier bien décidé à entreprendre une procédure d'expulsion pour son locataire encombrant, j'ai fixé pour la deuxième fois les pinces sur mes seins aux tétons érectiles en manque d'attentions. L'urgence, comme le film du dimanche, a poussé mes bras acteurs sur la voie des restrictions. Par Chance, les menottes accrochées au dossier n'étaient pas tombées. A l'aveugle, j'ai fermé le premier bracelet sur mon poignet en vérifiant, tout de même malgré mon delirium, que les ficelles qui partent du Ice timer dans son bol étaient biens présentes sur la chaîne qui les lie d'amour mais pas comme mon ex qui s'est amouraché de la première velue de 25 ans d'âge qui le virera d'ici peu.

    Je t'avoue qu'avant de fermer le deuxième bracelet, j'ai eu une pensée gentille pour toi qui s'est soldée par une vérif des éléments sécuritaires. ( Il dirait koa TSM ??? )
    Tu as raison, quand on ferme le deuxième bracelet des menottes sur son poignet, la tête est chaude et le reste aussi d'ailleurs. Même les oreilles ! Elles nous rapportent également nos respirations rapides et courtes comme quand on est en altitude.

    Les « icônes » (comme tu dis) qui défilaient sur l'écran, ont enflammé mes sens très exacerbés par les liens et le reste. Mais hélas, « Oh mon beau miroir », ( je déconne) dit moi non pas qui est la plus belle mais comment atteindre le plaisir avec cette putain de chaîne qui se pose sur mon périnée en me tirant (agréablement certes) les tétons MAIS sans se décider à venir titiller l'ami clito ?

    Je me suis donc loupée sur la stratégie de l'onanisme à la chaînette, mais c'était pas mal quand même. L'iceberg était trop gros j'aurai du faire un gla-con. ( C pas une faute ) MDR. Mes mains se sont rafraîchies sur le glaçon d'une taille trop généreuse pendant que mes tétons syndiqués lançaient leurs ondes érotiquement douloureuses. Mes doigts ne pouvant intervenir dans cette négociation sensuelle, bouger mes fesses et mon torse étaient les seules solutions possibles pour apaiser les tensions érogènes crapulo-douloureusement-trop-biens.

    Le plaisir ne se décidant pas à venir ainsi et comme tout délire aussi érotique soit-il doit avoir une fin, je me suis décidée à briser le glaçon devenu fine galette, pour récupérer les clés des menottes. Le milieu (ou pied je ne sais pas comment ont dit ) du dossier de la chaise ne me donnait pas assez de latitude pour ouvrir les menottes.

    Sur mes seins, la chaînette tendue comme la corde d'un violon vibrait de mes « aie aie aie » et m'a faite regretter mon idée loufoque de self service pendant l'auto bondage. Après quelques minutes de tentatives désespérées, j'en suis arrivée à la conclusion suivante : Il me fallait arracher les pinces de mes seins pour pouvoir me redresser et me plaquer contre le dossier de la chaise pour me libérer.


    UN DEUX TROIS GO ! Oh là, là, là que ça fait mal. .............Bouger des fesses sur le locataire godien est devenu obligatoire de chez Obligation mèèèè m'a fait du bien de chez Très bien et bon apaisant un peu. ( Pa fransais mé ci réaliste )

    Mes didis ont trouvé l'aisance et la clé son petit trou pour la libération salutaire au sens propre et au sens figuré du terme. ( Humm de chez hum)

    La Capricieuse

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    COMMENTAIRES DE TSM

    Diffusion avec l'aimable autorisation de La Capricieuse.



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