• Dame Mil ma maîtresse et nurse

     Résumé : Paul fait connaissance d’une femme de militaire sur le net. Devenue sa Maîtresse et sa nurse elle lui fait vivre une aventure originale pendant ses vacances.

     ………………

      Depuis quelques années, je me suis découvert une passion pour l’ABDL. Les photos où l’on peut voir des filles en couche jouant les gros bébés ont éveillé en moi de nouveaux fantasmes, de nouveaux délires. Au plus grand des supermarchés du monde, par ordinateur interposé je me suis donc offert des tenues féminines comme de grandes culottes « gainantes » du type gaine de Playtex permettant de faire entrer mon petit ventre et de rendre plus discrètes les couches que je porte par plaisir de temps en temps.

     Jouer tout seul offre des avantages certains vis-à-vis de la pudeur, mais manque de charme et ne permets pas réellement de s’imposer des pseudos contraintes. Certes sur le site fessestivites.com il y a bien des trucs et astuces puis des scénarios d’auto bondage mais à il n’y a pas de rencontres ni d’échanges au sens propre du terme. Depuis peu, ce site à ouvert une rubrique rencontre sérieuse et des zones dédiées aux personnes qui préfèrent se limiter aux fantasmes et jeux virtuels.

     Sur un des forums du site, j’ai trouvé une Maîtresse virtuelle, mère de famille avec trois enfants et un mari jaloux et vanille, cette domination virtuelle lui permet de vibrer secrètement en dominant par internet. Nous nous sommes liés d’amitié, nos échanges portent sur de multiples sujets allant de l’Art aux enfants en passant par des séances de domination. Lorsque je lui ai avoué mes attirances pour la féminisation elle s’y est engouffrée en m’imposant lors de nos dialogues d’ouvrir ma webcam et de me féminiser.

     L’incident

     Le 17 avril, elle m’avait imposé de me présenter à elle intégralement nu à 21 heures avec toutes mes petites affaires coquines, la webcam allumée je vibrais comme un gamin en attendant qu’elle se connecte. Après les petits « coucous » et échanges d’usage, elle m’a demandé de lui faire voir toutes mes petites tenues. Nu face à l’ordinateur à lui faire voir mes sous-vêtements féminins « j’avais l’air d’un con ma mère » mais peu importe, j’étais bien et monstrueusement excité.

     Et là, lorsque j’ai sortie ma gaine Playtex elle a aperçu ma culotte en plastique et mon body rose de bébé adulte. Que n’avais-je pas fait que de regrouper mes affaires de femmes et mes tenues ABDL ! ! ! Elle a voulu tout voir, tout savoir sur l’ABDL, mon l’excitation fit place à la honte, j’étais découvert et blême car je lui avais caché que j’aimais aussi jouer avec les couches. Pour ma punition, j’ai du mettre une couche et me vêtir comme un bébé face à la webcam puis boire en direct une bouteille d’eau. Comme avant de dîner et de me connecter j’avais déjà fait l’apéro, l’envie pressante n’a pas tardé mais Maîtresse Mil (mil de militaire) ne m’a pas autorisé à aller aux toilettes.

     Pour la première fois, j’ai fait pipi devant quelqu’un sachant ce qu’il se passait dans ma couche. Au fur et à mesure que l’urine se rependait dans la ouate l’absorbant sans difficulté puisque je me laissais aller par petits jets, une forme de jouissance m’a submergé. De petites contractions agitaient tout mon être, ce fut monstrueusement grisant. A peine terminé, j’adressais donc à Maîtresse Mil un message sur le tchat.

     - J’avoue Madame, qu’en m’imposant cela devant vous vous m’avez humilié mais c’était aussi très jouissif au sens propre du terme.

     - Tu es une vilaine fille, pour la peine tu garderas ta couche sale jusqu’à demain. Met-toi debout et tourne sur toi-même que je vois ta couche pleine.

     Rouge comme une écrevisse e m’exécutais donc comme un gamin puni. Elle m’ordonna soudain une heure plus tard de mettre une chemise de nuit est d’aller me coucher, un de ses enfants ayant attrapé la rougeole venait de se réveiller. Sa nuit fut bien moins agréable que la mienne faite de songes érotiques fous.

     ………………………..

     Ses rendez-vous virtuels nous animèrent tous deux pendant une paire de mois, la confiance venant avec le temps, Maîtresse Mil m’a surpris une fois en se mettant debout devant sa webcam. Elle a relevé sa robe d’été, sous laquelle nul rempart de tissu ne protégeait son intimité, puis elle s’est mise à tourner, offrant à mes yeux un petit striptease impromptu en guise de cadeau à son soumis.

    Même si jusqu’à présent je n’ai pu voir que ses doigts ou sa poitrine (elle dirige la webcam pour que je ne vois pas son visage) dire que j’étais heureux serait un euphémisme. Ce n’est pas de voir un joli « cul » et un bas-ventre dépourvu de pilosité qui m’a fait plaisir, il y en a plein le net, mais de voir le sien fut vraiment pour moi un véritable cadeau.

     La période estivale arrivant à grands pas ainsi que les vacances de son époux militaire, le 21 juillet, date gravée à jamais dans ma mémoire, elle m’adressa l’émail suivant :

     Petit soumis d’amour,

     Je vais devoir t’abandonner trois semaines, mon mari nous emmène comme tous les ans en Ardèche où il fera sur sport…. Nous retrouverons les mêmes amis que l’année dernière et que l’année prochaine ce qui est particulièrement passionnant et innovant…. Nos petites séances quotidiennes vont me manquer mais je penserai à toi.

     Pour que tu ne m’oublies pas, j’aimerai que tu commandes une des cadenas à combinaison du site. Nous rentrerons de vacances comme tous les ans dans la nuit du vendredi pour éviter les bouchons. Je veux donc que tu commandes le cadenas, que tu mettes une couche puis ton pantalon que tu fermeras avec une chaînette et le cadenas vers 20 heures.

     Demande qu’ils t’adressent la combinaison à midi le lendemain, nous serons donc le 20 août. Tu seras donc en couche et chaste cette nuit

     Ta nuit sera sûrement plus passionnante que la mienne, avec les enfants qui se réveillent, râlent, pleurent, veulent aller faire pipi. Je hais ces huit-cent kilomètres de nuit mais te savoir emprisonné dans ta couche en train de penser à moi me fera plaisir.

     Je veux des photos de chaque étape dans ma boite email. Comme ils sont datés, tu ne pourras pas tricher. Je veux donc une photo de toi en couche, une quand tu fermes le cadenas sur la ceinture qui servira de ceinture à ton pantalon et une de face et de dos quand tu retireras ton pantalon le lendemain midi. Tu me feras également un compte-rendu sans rien me cacher de tes émotions, de tes sensations et de tes sentiments.

     Bonnes vacances

     Mis Mil

     J’étais à la fois heureux et blême. Heureux parce que même si elle partait en vacances avec son mari elle penserait à moi, blême parce que 18 heures en couche ne me disait rien de bon surtout le matin……

     La commandé de cadenas à combinaison sur le site www.fessestivites.com a été effectuée comme demandé ainsi que la date d’envoie par email de la combinaison pour le 20 août à 12 heures. Le colis est arrivé sous 48 heures avec une fiche conseil. Jamais au grand jamais je n’aurai imaginé qu’ouvrir une boite contenant un cadenas puisse me faire autant d’effet ! ! ! Popaul au garde-à-vous était prêt à partir en manœuvre comme le mari de Maîtresse Mil. Autant avouer que je ne l’ai pas laissé ainsi souffrir des heures et que je l’ai « soulagé » de ses tensions.

     Le 19 août vers 19h30

     Seul face au mur de mes fantasmes, j’ai lu et relu trois fois la fiche « conseils » adressée par le site. J’ai comme indiqué percé une couche et préparé la seconde que je mettrai par-dessus afin de doubler la contenance des couches. N’ayant pas d’insert traversable j’ai démonté une couche pour en fabriquer un. Le cadenas dont la combinaison était masqué était prêt tout comme la chainette qui allait servir de ceinture à mon pantalon. Si l’idée de porter des couches sous contrainte m’avait fait bander plus d’une fois, présentement j’étais mal. Au troisième pastis j’ai osé.

     Oui j’ai mis les deux couches l’une sur l’autre, une à l’endroit une à l’envers avec mon insert fabrication maison.

    Oui j’ai enfilé mon pantalon avec la chaînette en guise de ceinture.

    Oui j’ai fermé le cadenas sur cette chaînette.

    Oui j’ai fait des photos de tout ça pour faire plaisir à une femme que je n’ai jamais rencontrée.

    Oui je lui ai envoyé les photos en me traitant de fou.

     Mon premier pipi sous « contrainte » m’a fait des effets surprenants. Je ne saurai l’expliquer mais ce simple pipi en couche prenait une dimension particulière. Les sensations étaient divines, grisantes et monstrueusement excitantes.

     Ma première soirée en couche sous « contrainte » fut particulièrement érotique. L’ambiance de ces soirées de célibataire n’était pas la même. Je n’étais plus seul, ce cadenas changeait tout. Il était à la fois mon ami coquin et le tortionnaire m’interdisant l’accès à mon sexe que je rêvais de caresser.

     Ma première nuit en couche sous « contrainte » fut animée de songes érotiques fous. Je me suis levé deux fois pour faire pipi debout, j’avais peur que cela fuit sur les côtés. A chaque fois me rendormir fut long. Est-ce que Maîtresse Mil pensait à moi ? Serait-elle fière de moi ou me prendrait-elle pour un débile mental d’avoir suivi ses demandes ?

     Ma première mâtinée en couche sous « contrainte » fut épique ! ! ! Jambes et fesses serrées, j’ai du luter avec beaucoup d’énergie pour ne pas déféquer. En allant me chercher un café dans la cuisine j’ai du faire une pause en me tenant au mur comme si j’étais sous l’emprise de l’alcool. Jambes et fesses serrées je transpirais à grosses gouttes. A me retenir ainsi, lorsque je me suis aventuré à faire un énième pipi, mon corps fut pris de petits convulsions proches de la jouissance. Ce n’était pas un véritable orgasme, mais cela s’en approchait en ressemblant aux contractions pré-orgasmiques. Il n’était que neuf heures ! Qu’allais-je devenir ? Allais-je tenir jusqu’à midi ?

     Vers 10 heures, je suis retourné à la cuisine me prendre un café et là, ce fut très dur. J’ai détesté ma Maîtresse car j’ai commencé à « fuir » du coté anal. A cet instant, mon corps se mit vraiment à trembler. Je vous passerai les détails mais je ne me suis jamais senti aussi mal. Prenant mon courage à deux mains pour m’asseoir en me promettant de ne plus bouger du fauteuil de mon ordi, je m’attendais à une grosse catastrophe dégueulasse et répugnante il n’en fut rien. La « fuite » se limitait sûrement à une trace de « freinage ».

     Ne plus me lever de mon fauteuil m’est apparu comme un impératif. Pour m’occuper l’esprit j’ai commencé à écrire ce texte. Deux heures, il me restait deux heures à tenir pour ne pas déféquer dans ma couche, chose dégueulasse qui m’aurait gêné et dégouté.

     11h30 nouvelle crise, nouvelle envie monstrueuse qui me fit vibrer et m’accrocher comme un malade aux accoudoirs de mon fauteuil. Le téléphone a sonné, je ne me suis pas aventuré à aller répondre…..

     11h55, les yeux rivés sur l’écran j’attendais avec impatience l’email de fessestivites.com, c’est celui de ma Maîtresse qui est arrivé.

     « Je fais court il y a les enfants, nous sommes bien rentrés, la nuit fut éprouvante, j’espère que tu t’es bien éclatée. Pense à m’adresser toutes les photos de ton week-end y compris celles du matin….»

     La garce (oh pardon Madame mais c’est en toute honnêteté la pensée qui a été la mienne) en soulignant le mot « toutes » elle me rappela qu’il me restait une séance photos à faire avant de retirer la couche et de me rendre aux toilettes.

     12h02 l’email de fessestivites.com est enfin arrivé ! Le cadenas ouvert j’ai pu retirer mon pantalon. Entre mes jambes, les couches commençaient sérieusement à peser. J’ai fait les photos de face et de profil conformément aux demandes de ma Maîtresse mais jamais au grand jamais le retardateur de l’appareil ne m’a semblé aussi long.

     Me précipiter aux toilettes ne fut pas une bonne idée. Droit comme un « I » accroché comme un débile à la porte des WC j’ai essuyé une nouvelle crise de « poussée ». Tout mon corps vibrait, je transpirais à grosses gouttes, mes mains et mes bras se joignant à mes cuisses et fesses serrées comme pour faire cause commune ne purent empêcher une nouvelle petite « fuite » anale. Convaincu de « baigner » dans mes excréments j’ai ouvert les couches avec précaution.

     Même seul j’ai formulé à haute et intelligible voix un OUF de soulagement en constatant que les dégâts étaient limités. Jamais au grand jamais je n’ai pris autant de plaisir assis sur mes toilettes.

     Les photos et la fin de ce récit n’ont été expédiées qu’après la douche salvatrice, ce qui m’a valu cette réponse le lendemain matin.

     Petit soumis d’amour,

     Je suis fière de toi, peu d’hommes auraient eu le courage de faire ce que tu as fait pour moi, ils sont trop macho et faibles face à certaines choses de la vie. J’ai beaucoup pensé à toi sur l’autoroute, si j’avais pu, une petite séance solitaire m’aurait apaisée.

     Récompense :

     Donne-moi ton adresse, c’est moi qui t’offrirai ton prochain cadenas. Ne pouvant faire de chèque par peur que mon mari me demande à quoi cela correspond, je t’enverrai un billet de 20 euros. Sourire car je suis grisée par ce symbole qui me fait penser que je vais « m’acheter » un homme pour une nuit.

     Punition pour ne m’avoir adressé les dernières photos que vers 13h30 :

     Je veux que tu achètes un gode un plug, avec le prochain cadenas que tu vas acheter, je vais te faire porter un gode toute une journée. J’aimerai bien te rencontrer, accepterais-tu venir à Paris ?

     Ta Maîtresse

     P.S. En pièce jointe, un petit cadeau pour toi

     La photo jointe la présentait en maillot au bord d’une rivière. Pour la première fois j’ai pu voir son visage et ses longs cheveux châtains clairs bouclés. Cette photo est aujourd’hui imprimée et encadrée sur le mur de mon bureau. J’attends avec impatience que la rentrée des classes soient passée car nous avons prévu de nous voir.

     Paul


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