• Fantasmes et cauchemars (texte un peu hard)

    Fantasmes et cauchemars
    TSM

    Note de l'auteur
    Le premier chapitre est accessible à tous, mais attention le deuxième est bien plus hard.


    Je dispose d'autres textes et de romans très hard.


    DESIREZ-VOUS que j'en mette en ligne ici ?


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      fes.sestivites@laposte.net

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    Il y a des années qu'un fantasme érotique récurant de prostitution hante mes nuits. Dans mes rêves, pour transgresser cet interdit, la contrainte est ma complice, peut-être pour sauver ma conscience à moins que je ne sois réellement maso ou folle.

    Je m'imagine attachée sur un lit par un beau mac autoritaire et prise sauvagement par des clients virils puis je me réveille, dans tous mes états, le minou poisseux à l'aube d'une nouvelle journée qui ne peut commencer sans que j'apaise le feu qui gronde en moi.

    Comment concrétiser ce fantasme ne serait-ce qu'une fois, pour voir ?

    Si j'allais voir ? Juste voir les filles au bois !

    Et si je suçais un inconnu ?

    Il m'arrive aussi de rêver d'une verge inconnue qui enfle dans ma bouche, elle se tend lentement, mes lèvres coulissent et se serrent convulsivement sur son sexe gonflé de sève et le masse doucement. L'homme me force à l'absorber profondément puis à le boire.

    Et puis une idée folle m'est venue comme ça un soir ! Je me suis habillée sexy, maquillée plus que de raison et je me suis rendue au bois de Vincennes. Après avoir roulé dans les allées, j'ai garé ma voiture pas trop loin d'un coin tranquille pour vivre mes premiers frissons de folle et que la morale condamne.
    ..............................................

    Rien que de marcher seule en ce lieu m'a fait vibrer. J'avais peur, j'avais honte et pourtant j'étais terriblement excitée. A l'affût du moindre bruit, je m'enfonçais dans le bois, la lumière blafarde des réverbères n'éclairait qu'un côté des troncs d'arbres. Je devinais plus que je ne voyais, les buissons qui caressaient mes jambes et ont effilé mes bas.

    Toutes sirènes hurlantes, une voiture de police est passée, brisant mon rêve fou. Comme une voleuse sur le point de se faire surprendre, je suis sortie du bois pour me précipiter dans ma voiture et rentrer chez moi à toute vitesse.

    ...........................................

    Cette espèce de folle en bottes et mini-jupe noire, appuyée contre un arbre à 200 mètres de la rue dans le bois de Vincennes c'est moi. J'ai 28 ans, mes cheveux sont châtains clairs et c'est décidé je vais essayer. Je ne sais pas si je rencontrerai quelqu'un, mais je suis terriblement excitée, sous mon string ma vulve déjà toute émoustillée doit être gluante de mes sécrétions intimes si généreuses, que s'en est parfois gênant. Les battements de mon cœur tambourinent mes tempes, ma respiration est rapide, la tête me tourne un peu, une indicible envie me pousse à rester même si j'ai peur.

    Un ombre furtive attire mon attention. Oui il y a quelqu'un. Il s'approche, maman, que dois-je faire ?

    - C'est combien ?

    Un terrible silence s'installe, lourd, effrayant, je n'ose répondre à cet homme en costume cravate.

    - Tu prends combien ?

    - 500 !

    - C'est cher.

    - 400 ça vous va ?

    L'homme s'approche encore, il est ni beau ni laid, je suis raide morte de peur.

    - T'es nouvelle toi. Je t'ai jamais vu ici ! Tu as des problèmes fric ?

    - Oui, mais on est pas là pour causer. Que voulez-vous ?

    - Te baiser ! Me dit l'homme en sortant des billets de la poche de son pantalon.

    Je frémis à la vue de cet argent qui me répugne, je ne suis pas à vendre. Quel pénible dilemme ! Devenir à ses yeux un simple jouet à plaisir, est particulièrement dégradant. Dans mes fantasmes, quelqu'un m'obligeait, là, je suis seule, face à ma folie.

    Je sais que je dois le prendre mais je ne pensais pas que cela serait si difficile. Le magnétoscope de mon film débile est en pause, les secondes passent, il attend, là, face à moi. J'ai tendu la main, presque malgré moi, mon dieu, je l'ai fait. Où le mettre, à oui, dans mon sac.

    Il s'approche, sa main qui me touche et se glisse sournoisement sous sa jupe, me fait bondir. Je frissonne, mes sentiments et mes sensations sont très mêlés. Je ne parviens plus à discerner ce que je veux, ce que je dois faire. Lui rendre son fric et fuir ou rester ? Elle remonte le long de ma cuisse pour atteindre mes fesses entre lesquelles un doigt tente de s'infiltrer puis butte contre le fin rempart de mon string.

    Son autre main passe sous ma jupe et caresse mon sexe par-dessus le tissu. Je ferme les yeux de peur et de honte mais en même temps mon excitation recommence à grimper. Debout, jambes écartées, je laisse cet illustre inconnu me tripoter et ça me fait vibrer. C'est complètement fou, mais c'est bon.

    Avec une extrême douceur, il me fait pivoter puis m'adosser à l'arbre. Sa main caresse mes cheveux, passe derrière ma nuque et attire lentement mon visage vers le sien. Je ferme les yeux au contact de ses lèvres qui se mettent à jouer tendrement avec les miennes pendant que ses doigts agiles massent mon sexe et effleurent mon petit bouton d'amour.

    Alors qu'il force mes lèvres, sa main se faisant toujours plus aventureuse ravive des décharges électriques au creux de mon ventre, nos langues complices commencent à jouer. Etrangement, un sentiment de bien être comme j'en ai toujours rêvé m'envahit. Pendant qu'il caresse mes fesses sans vulgarité en tyrannisant ma féminité, mes bras enlacent son cou et l'attirent contre moi.

    Cet homme n'est pas un goujat, il ne me baisse pas, il me fait l'amour en prenant son temps et cherche mon plaisir. Entre ses bras puissants, je me laisse aller depuis un moment, comme flottant sur un nuage en appréciant chaque seconde, chaque caresse attentionnée qui me rendent folle d'impatience.

    - Prend-moi !

    Oui, c'est bien moi qui ai dit ça. J'ai un peu honte mais j'ai trop envie de lui. Sans aucune précipitation, il plonge la main dans sa poche puis ouvre son pantalon. La curiosité ou le vice, me pousse à le « toucher » à mon tour. Dans son slip, je découvre avec ravissement, une longue et belle verge bandée, chaude, douce, agréable au toucher.

    Son auguste membre déploie toute sa vigueur entre mes doigts, le corps en feu, dans un état second, je m'agenouille pour prendre en bouche avec conviction, ce sexe dont je me plais à rêver en le gratifiant de mes plus douces attentions. Pendant que mes lèvres glissent lentement autour de se barreau de chair, ma langue en agace le gland puis tourne autour en titillant le prépuce à chaque passage.

    Au bout de quelques minutes, il me repousse avec délicatesse puis déchire un préservatif, capuchon utile à notre désir commun qu'il convient d'apaiser. Par chance, il n'y a pas de voyeur, comment aurai-je réagit, s'il y avait eu quelqu'un ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Appuyée contre l'arbre, jambes écartées, les fesses tendues vers lui, ma jupe sur mes reins relevée, j'attends le coup de grâce.

    Il écarte mon string puis me nargue un instant avec sadisme en caressant de son gland mes lèvres intimes avant de s'enfoncer profondément en moi. Oummfff. Sous ses mouvements puissants et profonds, un spasme me traverse, je tremble, je défaille, je geins, je suis désespérément conquise.

    Il ralentit et se penche sur moi pour ouvrir mon chemisier libérant ma poitrine nue qui fait aussitôt l'objet d'un malaxage sans retenue puis de petits pincements pendant que mon clitoris est agacé par sa main experte et mon ventre divinement comblé. De terribles ondes nerveuses traversent mon fourreau intime. Il me pince bien les seins, doucement au début puis en les faisant rouler sous ses doigts. J'adore ça, je vais craquer.

    Comme s'il avait décidé de porter l'estocade, il se redresse et me prend brutalement en claquant mes fesses. Il me fait un peu mal mais en le même temps, une vague inouïe d'excitation me submerge. D'où me vient cet étrange plaisir d'être ainsi malmenée ? Je ne saurais le dire mais c'est divinement bon d'être un peu bousculée, d'être sa chose.

    Cette douleur érotique provoque chez moi une confusion mentale totale. Je hulule pour brusquement crier « oui, oui, ouiiiiiiii » en atteignant le plus long et le plus puissant orgasme de ma vie. Et là encore, il est divin et respecte ma jouissance avant de reprendre ses mouvements à la recherche de son plaisir.

    Je le sens vibrer et me prendre de plus en plus violemment, avant d'exploser en moi, avec violence peu commune. Comme deux amoureux, nous restons un moment l'un contre l'autre, il m'enlace tendrement. Adossée contre lui, je plane totalement, la poitrine à l'air. Mes mains caressent les siennes, posées sur mon ventre.

    - Tu n'es pas une pute. Je ne sais pas ce que tu es venue chercher ici, mais tu es une fille extraordinaire. Tu m'honorerais en me permettant de t'offrir une coupe de champagne sur les Champs-élysées.

    Je sais que c'est sûrement une grosse bêtise, mais j'ai envie d'accepter l'invitation de cet amant extraordinaire. En même temps, j'ai un peu honte de ce que j'ai fait.

    - J'accepte, si tu reprends l'argent et ne me poses aucune question !

    - Puis-je refuser ?

    - Non !

    - Alors j'accepte. Mais c'est moi qui t'emmène.

    Nous remettons un peu d'ordre dans nos vêtements, il prend ma main et me guide jusqu'à sa voiture, une grosse BMW noire garée à deux rues du bois. Je plane un peu, je l'avoue. Oh, il m'ouvre la portière, quel galant homme. Je m'assoie sur le siège avant en le gratifiant d'un sourire complice, mais son visage est soudain différent. Quelque chose de froid atteint mon visage, mes yeux me brûlent soudain, mon nez me pique, ma.............

    CHAPITRE DEUX

    Note de l'auteur
    Le premier chapitre était accessible à tous, mais attention, le deuxième est dur.

    ***********************

    Je suis nue, étendue sur un lit, attachée les bras et les jambes écartés, offerte. J'aimais avoir les yeux bandés et être liée par Fred, mon amant d'un temps par une blondasse détourné. Aveuglée et sans défense, j'avais l'impression de me livrer totalement à lui mais là, quelque chose ne va pas. J'ai froid, j'ai mal à la tête, ma bouche est pâteuse, un rayon de lumière bleue perce les rideaux par intermittence.

    Pendant un instant, je rassemble mes pensées, puis une vague d'horreur me submerge ! J'ai été enlevée. Je suis séquestrée !

    Je me cabre sur le lit, dans les liens qui résistent en poussant un hurlement. Je cris des « au secours » sans répit, parce que quelqu'un finira bien par entendre et me venir en aide. Des images effrayantes passent devant mes yeux, faites d'article de presse et de journaux télévisés, où l'on parle de disparues.

    Ce kaléidoscope infernal me traumatise. J'ai beau ruer et hurler et ruer et hurler et ruer encore en hurlant de rage et de peur, ces putains de liens me massacrent la peau sans céder et personne ne vient.

    Je m'étouffe et déglutit avec peine. J'ai envie de pleurer. Dans un tourbillon de sentiments de honte et de désespoir, je prends conscience qu'en réalisant mes fantasmes débiles, j'ai fait la plus grosse connerie de ma vie, peut-être la dernière.

    Mes rêves érotiques à la con vont se transformer en véritables cauchemars. Je pleure maintenant sur mon sort. Les larmes coulent sur mes joues. On va me violer, me torturer peut-être mais quoi qu'il en soit, ils me tueront, c'est sûr.

    Avec la rage du désespoir, je tire encore sur les liens en criant, une lampe au plafond diffuse soudain une lumière blafarde. Mon ventre se noue, car je ne sais pas si je dois avoir peur, ou être contente. Je suis enfermée dans une chambre miteuse d'une propreté douteuse. Les murs semblent blanchis à la chaux. Il n'y a plus de meuble, simplement un bidet et un lavabo mal fixé qui penche.

    La porte s'ouvre, révélant un couloir sombre, lugubre derrière mon amant d'un soir, maintenant mon ravisseur. Cet homme horrible qui m'a si bien fait l'amour et que je déteste plus que tout au monde, entre en refermant derrière lui. Le lit laisse entendre des grincements sinistres quand il s'assoie près de moi.

    - Alors, on a fait un gros dodo la bourgeoise ?

    - Laissez-moi partir, je vous en supplie; arrêtez...

    - Ne voulais-tu pas faire la pute sur mon territoire ?

    Par sa réponse, je mesure l'étendue de ma bêtise. Honteuse et sûrement rouge comme une pivoine, je lui avoue que c'était pour voir.

    - Et bien tu vas être servie ma belle !

    Dans un excès de fureur, je tire encore sur les liens en criant et en lui intimant l'ordre de me détacher sur le champ. Devant son absence de réaction immédiate, je l'insulte copieusement avec tous les mots qui me viennent en lui promettant les pires représailles.

    - A la première occasion, j'irai à la police et je te........

    Une violente douleur me broie le ventre. Le souffle coupé par le coup de poing qu'il vient de me donner, je n'arrive même pas à crier et reste un instant la bouche grande ouverte avant de recommencer à l'insulter.

    Mes cris sont rapidement noyés par un bâillon sorti de je ne sais où. Je suffoque de dégoût et de honte, les quelques "mmppffhh" qui sortent de ma bouche semblent bien dérisoires par rapport à la poigne de fer qui referme la sangle derrière ma nuque.

    - Ma chère Karine Dulac, tu ne me laisses pas le choix. Je vais te prendre en main et t'éduquer à ma façon. Tu vas devenir Sophie la maso et tu commenceras cette nuit ! Pourquoi battre une fille quand des clients veulent payer pour le faire ? Ne bouge pas, je reviens.

    Sur ces mots terrifiants, il sort en laissant la porte ouverte. Les larmes montent aussitôt à mes yeux, je suis désespérée, terrorisée, blême. Des filles et des hommes passent devant la chambre miteuse où je suis offerte à qui le veut, nue et ligotée, exposée sans pitié avec mon intimité orientée face au couloir.

    Cinq minutes plus tard, je reconnais sa voix. Il revient, oh non ! Il n'est pas seul. Je frissonne de panique et transpire en même temps. Dans ses mains, il y a tout un attirail de sex-shop, des godemichés et un gros truc noir dont dépassent les lanières noires d'un martinet.

    Le tout est posé entre mes jambes tremblantes. L'homme aux cheveux courts qui l'accompagne, saisit ma tête par les cheveux et la maintient droite pendant que le souteneur enfile le gros truc noir autour de mon cou. Lorsqu'il le referme, ma tête est bloquée dans ses mouvements, c'est une sorte de minerve avec de gros anneaux d'acier.

    Mes liens sont un à un changés pour être remplacés par des bracelets à cadenas. Impuissante et vaincue, je n'oppose plus de résistance. Ils changent également mon bâillon baveux par un autre qui lui aussi est verrouillé. Telle une condamnée à mort, j'attends mon heure en assistant hébétée aux préparatifs de je ne sais quoi, mais qui ne peut qu'être horrible. Puis ils repartent comme ils sont venus, sans dire un mot, ni fermer la porte.

    Mes yeux embués de larmes contemplent le plafond gris. Quelle heure peut-il être ? Où suis-je ? La première échéance cruelle est pour dans combien de temps ?

    Les émotions de la nuit m'ont épuisée. La porte qui se referme me tire d'un sommeil entrecoupé de cauchemars. Dans mon champ de vision un homme passe. Il est vieux, gros et laid, ses cheveux sont grisonnants. Je vie les pires secondes de ma vie, à être ainsi entravée et exposée ventre et seins nus, totalement offerte devant cet homme abjecte qui vient acheter un moment de plaisir qui pour moi ne peut être que douleurs.

    Assis sur le bord du lit, il palpe mes seins avec douceur, comme pour faire connaissance avant de me pincer sauvagement les tétons de ses doigts qui ne peuvent être que boudinés avec un tel triple menton. Alors que je me cambre sous la douleur en gémissant, il jubile en me disant que je réagis bien et qu'il est content parce que nous allons passer d'agréables moments tous les deux.

    J'ai beau essayer de faire « non » de ma tête bloquée puis des yeux, cet abruti pervers me sourit sans rien comprendre en retirant sa chemise, sa poitrine velue et grasse est recouverte de poils blancs. On dirait un singe. Puis j'ai droit à un strip-tease masculin, avec le retrait de son pantalon qui libère son gros ventre et dévoile son énorme sac blanc qui fait office de slip. Mon dieu que cet homme est laid. Il me fait penser à un ancien nazi devenu cadre retraité des gâteaux machin.

    Mes sentiments de dégoût, provoqués par son anatomie masculine qui ne peut être que défaillante à la vue de l'état du machin ridicule qui pend entre ses jambes, se transforment aussitôt en peur panique quand je vois son sourire cruel dès qu'il saisit le martinet.

    Les "mmppffhh" affolés qui sortent de ma bouche close, semblent l'exciter.

    Il lève le martinet et l'abat avec une violence inouïe sur ma poitrine. L'onde de choc et la douleur cuisante m'ébranlent en profondeur. Je tire inutilement sur mes liens pour essayer de me soustraire aux morsures infernales. Chaque coup me fait l'effet d'une multitude de brûlures et qui doivent créer d'horribles marques saignantes. Ca pique horriblement par endroit.

    Puis c'est au tour de mon ventre d'être fouetté sans relâche. Putain que ça fait mal. Je n'arrive plus à respirer, je vais mourir ce soir dans d'atroces souffrances. Je me tords de douleurs et lui s'éclate !

    Un coup suivi d'une intense brûlure sur le haut de ma cuisse gauche, m'indique que je n'ai pas encore atteints les sommets de la douleur et de l'ignominie. Cet homme dément, aliéné mental et méthodique va fouetter mon sexe, j'en suis aussi sûre que désespérée. L'intérieur de ma cuisse gauche est en feu.

    Le coup fatal arrive comme ça, même si psychologiquement je le savais, rien ne pouvait me préparer à une telle souffrance. La cruelle morsure des lanières de cuir enflamme les lèvres de mon ventre. J'ai beau prier dieu pour qu'il m'aide à défaillir, j'endure de nouveau la terrible morsure du martinet qui cette fois, était dirigé vers la partie la plus sensible de mon anatomie.

    C'est atroce ! Ce connard débile s'acharne là où ça fait le plus mal. Mon sexe doit être tout rouge, mes lèvres enflées et déjà pleines de sang. Chaque cinglage m'enflamme tellement le ventre que la douleur se diffuse dans mes reins jusque dans ma nuque. Je n'en peux plus, je veux mourir vite.

    Désespérée et percluse de douleurs, je tape sans cesse des cuisses sur le lit pour lui signifier d'arrêter. Au bout d'un moment fait d'intenses souffrances, le vieux débile jette le martinet et se couche sur moi. Nous baignons dans la sueur. Ses mains et ses dents prennent le relais des lanières pour martyriser mes seins enflammés. Sa morsure et si forte, que j'ai peur qu'il me mutile en me sectionnant un téton. Puis il monte sur moi plus encore et me lèche le visage, comme s'il cherchait à récolter mes larmes de sa langue. Oui, c'est ça, il lèche mes larmes !

    Entre mes jambes, je sens soudain quelque chose de dur. C'est son sexe ! Comment ce vieux débile peut-il bander après tant de cruauté ?

    M'écrasant de tout son poids, il guide sa verge entre mes lèvres enflammées. La douleur est aiguë puis lancinante quand il me pénètre sans préservatif. Transformée en pantin je ne peux que subir ces mouvements désespérés pour atteindre le plaisir qui ne semble pas décidé à venir. Il me besogne comme un malade longuement. Il est tout rouge foncé, presque violet. Il va mourir c'est sûr. Qu'il meure ne me déplairait pas, mais pas sur moi, pas dans moi, mon dieu, faite que cela n'arrive pas.

    En appuis sur ses bras, il me regarde en me besognant comme un chien en rut. Ses vagissements se transforment en râles tandis que ses yeux égarés par la volupté chavirent doucement. Entre mes cuisses et dans mon ventre, la douleur du début fait place à un feu entretenu qui maintenant chauffe tout mon corps.

    Durant une seconde, le trouble pointe son nez mais le feu et la rage qui me hantent castrent aussitôt le plaisir qui ne peut être en de telles circonstances même si ce vieux, à deux doigts de l'apoplexie, émeut dramatiquement ma féminité.

    Il se bloque enfin et se met à couiner comme un porc qui va mourir. Horrifiée je suis !

    Le vieux me souille de sa semence de pervers alors que je ne prends plus la pilule depuis que Fred m'a quittée. J'aimerai lui crier, « non pas dedans » mais de toute façon, il est trop tard et ma supplique n'aurait pas été entendue.

    Pendant qu'il cherche désespérément à respirer, je pleure comme une madeleine souillée. Puis il s'endort sur moi, comme Fred parfois après nos intenses câlins. Que puis-je faire, à par attendre, qu'il se réveille ?

    Puis le doute me vient.

    Je ne l'entends plus respirer. Il bave dans mon cou. Non, cela sent mauvais, on dirait du vomit. Une fille entre en tirant un homme par la main. Elle se penche sur nous, je roule des yeux pour lui faire comprendre qu'il y a un problème. Soudain, elle se met à hurler. L'homme qui l'accompagne sort son portable, appelle les pompiers avant de s'enfuir à toutes jambes.

    EPILOGUE

    Par chance et pour une fois, la police est arrivée moins de cinq minutes plus tard, bien avant les pompiers. Je sais, c'est rare mais cela arrive parfois....

    Je suis fichée, mais ils ne risquent pas de me retrouver au bois !

    TSM



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