• Les « p'tits pédés » se vengent

    Les « p'tits pédés » se vengent

    AUTEUR TSM
    ATTENTION les sujet abordés sont : Bagarre, enlèvement, viol, torture

    Nous sortions de boite complètement allumés sans être ivres, mais avec de la musique plein la tête et des envies de rires et partager notre joie de vivre. Et là cet abrutis de Fred n'a rien trouvé de mieux que de nous faire passer dans une rue chaude où les commerces, bars et club gays foisonnent. Il avait comme distraction avec un de ses amis de prendre cette rue et d'insulter les gays, de leur jeter des œufs, de vieux pots de peinture de l'atelier où il travaille.

    Passé le moment de découverte, je n'ai pu me contenir et de lui dire ma façon de penser sur son attitude irrespectueuse. Histoire de faire le « mariole » et de m'épater, il s'est arrêté prés des motos puis en a poussé une avant de redémarrer comme sur les chapeaux de roue. J'étais fou de rage et voulais descendre de sa voiture mais à cet endroit là, cela aurait été suicidaire.

    Notre enfer venait de débuter avant même que son rire débile ne prenne fin.

    Trois motos démarrèrent en trombe derrière nous, sur chacun de ces monstres de la route il y avait deux personnes le pilote et un homme armé d'une barre de fer. Lorsque la course poursuite a débuté, je savais que cette histoire finirait mal. Sans même s'en rendre compte et pensant parvenir à les semer Fred prenait la direction de leur choix. Je me vis mourir à plusieurs carrefours mais cet idiot sait piloter. A la croisée d'une rue de zone industrielle un gros 4X4 les a rejoints nous forçant à entrer dans des docks portuaires. Lorsqu'il a pris une traverse en faisant hurler les pneus, j'ai immédiatement vu que la course allait se terminer et l'enfer qui nous conduirait à une mort certaine allait commencer. Debout sur les freins, Fred hurlait sa rage au moyen de mots graveleux, aussi bon pilote soit-il, sa voiture ne se transformerait pas en bateau.

    La vitre arrière vola en éclat, puis ce fut celle du côté de Fred. Reculer était impossible, le 4X4 nous fermait le passage. Je me suis maudite de ne pas avoir appelé la police pendant la course poursuite. Prise de panique j'ai voulu sortir de la voiture en espérant que de voir une fille les calmerait mais il n'en fut rien. Une gifle monumentale me projeta contre la voiture.

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    Ce sont les hurlements de Fred qui me tirèrent de l'inconscience, les motards étaient en train de le massacrer. Mon premier réflexe a été de me précipiter sur eux pour le défendre en leur hurlant d'être moins con que lui et que tuer quelqu'un n'est pas la solution pour résoudre un problème. Ils se sont arrêtés un instant, je leur ai parlé de constat, d'assurance, de dédommagements, de la leçon qu'il venait de prendre puis de la prison pour eux s'ils le tuaient. Leur réaction n'a pas été celle que j'imaginais comme une cruche que je suis. Le mot « dédommagements » a eu un écho que je ne pouvais imaginer quand dans mon désespoir j'essayais de sauver la vie de mon ami.

    En guise de dédommagements l'un deux a proposé que je leur fasse une pipe, un autre à proposé que j'offre mon « cul » d'autres que ce soit Fred qui fasse son mea culpa en leur taillant une pipe. Les idées toutes aussi folles et vulgaires les unes que les autres ont fusé des gays mi-furieux, mi-cons-vulgaires et profiteurs de la situation. L'un d'eux a trouvé le moyen d'entrer dans le hangar et proposa que le dédommagement soit payé immédiatement. En les entendant approuver son idée, mon estomac s'est noué. Qu'avais-je dit là ! ! ! !

    Ils nous ont fait entrer dans le hangar, la lumière s'est allumée, Fred s'est retrouvé avec la chaîne d'un treuil autour du cou. Quand ils l'ont mis en marche, j'ai cru qu'ils allaient le pendre mais non, c'était bien pire.

    « A poil salope » a crié l'un d'eux si tu ne veux pas qu'on le pende. Je les ais incendié et traité de fous, celui qui tenait la commande du treuil a appuyé sur le bouton, Fred a commencé à s'étrangler. Les mains accrochées à la chaîne, il m'implora des yeux de ne pas les laisser le pendre. J'ai hurlé « stop » en le voyant se débattre, la situation me rendait folle de rage et de peur. L'un d'eux a demandé un striptease, un autre est allé chercher sa Harlay, ils me conduisirent à un tas de palettes sur lequel je fus portée. Le moteur de la Harlay s'est éteint, sa sono se mit à diffuser de la techno, j'ai su à cet instant que je n'échapperai pas à l'humiliation de me dévêtir devant eux. Mon immense peur étant qu'ils tuent mon ami si je ne m'exécutais pas, j'ai cédé. Quand l'un d'entre eux est arrivé avec des bières, j'ai compris que mon calvaire ne faisait que commencer mais j'étais loin d'imaginer l'enfer qui nous attendait.

    Un à un, sous leurs cris, les coups de barre de fer sur les palettes j'ai du retirer tous mes vêtements en dansant. Si j'avais pu les tuer, je l'aurai fait. J'ai du mimer du plaisir et me branler comme si je pouvais jouir devant eux quelle horreur. Mon striptease a du leur plaire et générer des envies car certains d'entre eux le sexe à la main m'ont demandé des les « éponger ». Mon refus a été catégorique, Fred s'est retrouvé sur la pointe des pieds quand ils ont remis le treuil en marche. Pour ne pas que mon ami soit pendu et être massacrée j'ai cédé. Ces enfoirés ont été ignobles. C'est à quatre pattes comme une « bonne chienne » que j'ai du prendre leur verge dans la bouche pour les soulager. Les comparaisons sur les fellations hommes/femmes me rendirent folles de rage et de haine. Alors que je m'abaissais à faire des fellations, l'un d'eux est venu flatter ma « croupe » avec des mots qui m'ont horrifiée. L'horreur ne s'arrêterait donc pas à leur faire une fellation, non, ils voulaient comparer un cul de femme avec un cul de mec. Le sol s'est dérobé sous mes pieds, perdant toute retenue je les ais insulté ce qui a eut pour effet de les énerver plus encore.

    Mes coups de pied ne les ont pas arrêtés, L'un d'eux a attrapé mon pied au vol et j'ai perdu l'équilibre. J'aurai préféré tomber sur les palettes que dans leurs bras qui m'ont soulevée et écartelée. Immédiatement les attouchements obscènes et honteux ont commencé. Des mains fouillaient mon intimité offerte, d'autre se mirent à molester ma poitrine en s'acharnant sur la pointe de mes seins. Hormis pleurer et supplier je n'avais aucun moyen de les en empêcher.

    Les mains agrippées à la chaîne qui l'étranglait Fred en larme les suppliait de me laisser, de ne pas me faire de mail quand l'eu d'eux lui a demandé s'il offrait son cul en guise de dédommagement. Fou de rage, il leur a répondu « d'aller se faire enc.. » ce qui les a encore plus énervé. Un des motards lui a répondu que c'était déjà fait, un autre que cela allait être son tour de se faire casser le cul en lui hurlant d'une voix hystérique de baisser son froc en s'approchant de lui. Dans une vaine tentative résistance ses coups de pieds lui ont valu un coup de poing dans le ventre qui stoppa net la lutte aussi horrible qu'inégale.

    Des doigts durs s'attardant dans les replis de ma féminité et entre mes fesses me firent un instant oublier Fred. Un de ses doigts tenta de franchir la barrière de mon anus, il cracha dans sa main puis le lubrifia pour faciliter le passage. Outre la honte et toute l'horreur de la situation, le fait qu'il annonce à la meute que je n'étais pas « neuve » de ce côté-là. Pour éviter le contact sauvage de ses doigts fouilleurs, je me suis lancée dans une danse involontaire entre les bras des salops qui me tenaient cela les a fait éclater de rire.


    Une des brutes avait déjà sorti son sexe et enfilé un préservatif. J'ai su à cet instant que mon viol était inévitable. Mes suppliques sont restées vaines quand il s'est approché de moi. Du gland il fouillait mes lèvres intimes, j'ai eu beau hurler l'agression ultime a été brutale et abominablement douloureuse. La douleur et la rage ont eu raison de ma prudence, de ma retenue, je l'ai copieusement insulté et lui ai hurlé que s'il était pédé c'est parce qu'il n'était pas capable d'avoir une femme sans la violer. Son va et vient sauvage s'est arrêté net, son regard froid et terrifiant m'a glacé le sang. Sa réponse fut aussi déconcertante qu'atroce à entendre : « Ta chatte ne remplacera jamais un bon cul, je vais essayer le tien pour voir s'il est bon ».
    Mes jambes ont engagé un combat sans espoir quand il a sortie du lubrifiant de sa poche et me l'a passé sur l'anus. Les brutes me soutenant ont aussitôt ramené mes jambes à ma tête. Il s'est frayé un passage entre mes fesses grandes ouvertes pour forcer mon anus, c'était horrible, affreux. Monstrueusement ouverte, je n'ai rien pu faire pour lui interdire le passage. Sous les yeux écarquillés d'horreur de Fred et les yeux attentifs de la meute, j'ai été sauvagement possédée. Le mec m'a baisée comme un malade, un vrai fou en rut, mes « ah » essoufflé ont été interprétés comme des râles de plaisir, quelle infamie. A la vitesse où il allait, cela n'a pas durée longtemps dieu merci. Ses cris de jouissance ressemblaient à s'y m'éprendre à ceux d'un porc que l'on égorge.

    Mes « porteurs » commençant à fatiguer, mon déposée sur la pile de palettes où je me suis recroquevillée comme un bébé. L'un d'eux entreprenait Fred qui avait déjà son pantalon sur les chevilles. Il lui arracha sauvagement sa chemise et son slip plutôt que de le baisser puis se mit à malaxer son sexe. Les insultes sur sa « nouille » fusèrent aussitôt, sous la douleur et la honte, il hurlait et se débattait comme un diable en tenant la chaîne l'étranglant d'une main et en essayant de repousser son agresseur de l'autre. Un de nos agresseurs a retiré la ceinture de son pantalon et a entrepris de le faire danser en fouettant copieusement ses fesses. Les hurlements démentiels de Fred, m'ont fait bondir. Comme une folle et totalement inconsciente je les ai encore insultés, je leur ai dit que c'était de la torture, ils m'ont répondu que c'était une initiation SM. Quels connards. L'un d'eux m'a dit aimer les rebelles, j'ai pris deux gifles et des claques monumentales sur les fesses. Il n'a pas aimé mon coup de pied tombé hélas à côté de ses couilles, j'ai pris la fessée et rouste de ma vie. Le corps en feu, brisée et anéantie, je n'ai plus rien dit, plus rien fait qui puisse leur déplaire.

    Fred, privé de force c'est laissé conduire au tas de palette où ils l'ont couché sur le dos. Les jambes relevées et maintenues derrière la tête, son cul est devenu la cible du moment. Ecrasé par le poids des motards le maintenant, il ne pu rien faire hormis hurler. Un de nos agresseurs s'est approché, son sexe bandé de bonne taille recouvert d'un préservatif me fit froid dans le dos. Quand il a mis du lubrifiant sur l'anus de Fred, il s'est mis à hurler de terreur. Ses « non » « pitié », « pardon » et tentatives de fuite n'ont rien changé. Les genoux bloqués sur la poitrine, il n'a même pas pu serrer les fesses pour essayer de se soustraire à son viol. D'une seule poussée le mec s'est enfoncé dans son anus vierge en forçant comme une brute. Fred poussait des cris de bête forcée en se débattant inutilement sous le rustre qui le pilonnait en insultant.

    Soudain, son violeur s'est retiré et s'est tourné vers moi avec un sourire carnassier. Il m'a dit qu'il allait me ramoner la chatte puis me défoncer le cul et je crierai de plaisir comme une vraie salope, que cela allait me changer de la nouille de mon mec. Mon viol a duré longtemps, le mec a cherché à me donner du plaisir, à me faire craquer. Il n'est pas arrivé à me faire jouir mais à m'arracher des râles malgré moi

    Fred a été déplacé pendant qu'il me baisait, dans les brumes de mes sensations, les yeux fermés pour essayer de me soustraire à cette horreur, les râles et couinements de Fred n'étaient qu'un fond sonore. Gagnée par une sorte de frénésie, ma résistance s'évaporait peu à peu. La douleur du début a fait place à un feu entretenu qui me chauffait tout le corps, mes sens étaient troublés par le doigt rugueux qui caressait doucement le capuchon de mon clitoris pendant qu'il me prenait avec un rythme soutenu. Les muscles de mon vagin commençaient à réagir positivement, durant une seconde j'ai effleuré l'extase, j'en ai encore honte aujourd'hui.

    Il m'a planté là après avoir jouis sur mon ventre et ma chatte en me traitant de bonne salope pour aller chercher Fred. Son beau visage juvénile était tout barbouillé de sueur, de larmes et de foutre. A grands coups de ceinture, ils l'ont obligé à me lécher et à bouffer le sperme de mon violeur. Ils voulaient voir sa langue bien tirée et que ma chatte soit bien propre.

    Pour clore cette horrible correction, ils nous ont obligés à nous asseoir par terre l'un contre l'autre puis ont fait un cercle autour de nous. Quand je les vis avec effroi ouvrir leur pantalon puis baisser le devant de leur caleçon j'ai aussitôt compris ce qui nous attendait. Murés dans notre silence nous n'avons pas bougé quand ils nous ont pissé dessus. Pour les « remercier » de nous laisser la vie, nous avons du les sucer pour les nettoyer l'un après l'autre à tour de rôle pour leur dire au revoir mais nous ne sommes plus jamais retourné les voir.

    TSM



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