• Nathalie La découverte

    Nathalie La découverte

    Auteur : inconnu

    La main tremblante, Nathalie étala la couche pour adulte sur son lit. Elle avait trouvé tout un attirail de bébé taille adulte dans l'armoire de sa mère, bien dissimulée derrière une pile de pull-overs. Une fois la surprise passée, elle s'était vivement emparée d'une couche et d'une culotte plastique et s'était enfermée à clef dans sa chambre au cas où sa mère rentrerait plus tôt que prévu.

    L'idée de porter une couche ne l'avait jamais effleurée auparavant, mais une étrange chaleur s'était répandue dans son ventre en s'imaginant engoncée dans une épaisse couche pour adulte. Elle avait donc retiré son jean, son tee-shirt et ses sous-vêtements et s'admirait devant la glace de sa chambre à coucher. Peut-être était-elle un peu ronde pour ses vingt et uns ans mais elle avait vite compris que son derrière rebondi avait le don d'exciter l'envie de ses amis de fac. Sa lourde poitrine y était aussi probablement pour quelque chose, mais son " gros cul " avait clairement les faveurs de la gent masculine en général. Quelques mois auparavant elle avait pris l'habitude de se raser le pubis sur la suggestion de Frank, son copain de l'époque. Le mélange d'un corps d'adulte généreux et de ce sexe d'enfant lui semblait maintenant naturel et elle avait eu l'occasion de vérifier à de nombreuses reprises l'effet qu'elle produisait quand elle se déshabillait, révélant son petit secret.

    Satisfaite de son examen, elle étudia la couche posée sur le lit. C'était un modèle en tout point similaire aux Pampers que portaient les bébés mais adaptés à la morphologie d'un adulte. Elle hésita un instant. N'était-ce pas ridicule ? Les gens allait s'apercevoir immédiatement qu'elle portait un tel sous-vêtement si elle décidait de sortir dans la rue. Et oserait-elle se soulager dans la couche, transgressant par-là même une habitude si chèrement acquise tout au long de son enfance ? D'un haussement d'épaules, elle balaya ces idées et se décida finalement à l'essayer. Elle n'allait pas soudainement refuser une nouvelle expérience, d'autant que la chaleur qui se propageait dans son ventre lui indiquait clairement qu'elle en mourrait d'envie. Elle s'assit donc sur la couche, sentant le contact doux et un peu duveteux contre son sexe.

    D'un geste mal assuré, elle rabattit le devant de la couche et fixa avec soin les deux autocollants qui fermaient la protection de part et d'autre de ses hanches. Elle laissa un instant sa main se promener sur l'enveloppe plastique qui recouvrait la couche, appréciant le contact étrange de cette matière inhabituelle à cet endroit. Elle se releva et s'examina à nouveau dans le miroir. La couche couvrait son " gros cul " en le rendant encore plus volumineux ce qui la fît sourire en pensant à l'effet déjà dévastateur de son derrière en temps normal. Tout en étant perdue dans ses pensées, elle laissait sa main glisser sur la matière plastique de la couche. Elle ne s'était pas trompée sur la nature de son trouble à la vue de la couche puisque son sexe était déjà plus humide que jamais.

    Résistant à l'envie de se masturber immédiatement, elle recouvrit sa couche de la culotte en plastique transparent et chercha dans son armoire une jupe longue suffisamment ample pour dissimuler le gros paquet qui enrobait son bas ventre. Une fois habillée avec sa jupe à motifs violets, elle passa un tee-shirt propre, une paire de chaussure et s'examina une dernière fois devant le miroir. Bien malin celui qui aurait deviné ce qui se cachait sous sa jupe ! Son excitation monta d'un cran quand elle décida de sortir se promener dans le parc voisin.

    Elle se saisit d'une bouteille d'eau dans le réfrigérateur, la glissa dans son sac et sortit. Sous le soleil de ce dimanche après midi, elle ne regrettait pas la bouteille d'eau rafraîchissante dont elle abusa volontairement. De nombreuses familles ayant profité de cette belle journée pour se promener, le parc était bourré de monde. Elle choisit un banc un peu en retrait et s'installa confortablement pour lire, sentant la couche contre ses fesses au moment où elle s'assit. Elle eut le plus grand mal à se concentrer sur sa lecture, un mauvais bouquin de S.F., tant le contact de la couche contre son sexe l'excitait. Puis, la sensation devint naturelle et elle s'abandonna totalement à sa lecture buvant à longs traits chaque fois que l'occasion s'en faisait sentir. Une petite heure plus tard, sa vessie était sur le point d'exploser. Elle avait beau faire, son envie de faire pipi devenait de plus en plus insoutenable mais elle ne se décidait pas à s'abandonner dans sa couche.

    Elle attendit encore mal à l'aise tout en commençant à regretter cette idée et serrant ses jambes autant qu'elle le pouvait. Mais rien n'y fit et il n'était plus question de se lever pour tenter d'atteindre les toilettes publiques. L'envie se fit plus forte que tout. Jetant un œil aux passants pour étudier si leur visage trahissait la moindre attention suspecte, elle se rassura : personne ne devinait ce qui se passait en ce moment sous sa jupe. D'un air naturel, elle écarta donc légèrement ses jambes et pris une profonde inspiration. C'est à ce moment qu'elle s'abandonna. Un premier petit filet de pipi s'échappa sans même qu'elle en ait conscience, imbibant la couche entre ses cuisses. Le contact du liquide chaud à demi absorbé finit de briser ses inhibitions. La pisse se mit à couler sans retenue dans sa couche, réchauffant son sexe et mouillant ses fesses. La sensation était tellement excitante qu'elle regrettait d'avoir eu l'idée de sortir tant elle avait envie de se masturber.

    Elle se vida complètement dans la couche, inquiète que cette dernière n'absorbe pas tout et que sa pisse chaude dégouline le long de ses jambes. Mais rien ne semblait indiquer que ce fut le cas et elle resta un moment assise dans sa pisse chaude frottant aussi discrètement que possible son sexe contre le bord du banc au travers de sa protection spéciale. Jamais elle n'avait imaginé qu'elle ferait volontairement pipi dans ses dessous en en retirant du plaisir. Même s'il s'agissait de dessous spéciaux, cette expérience augurait bien d'autres plaisirs. Ses jambes tremblaient un peu trahissant son trouble mais elle réussit à se maîtriser et décida de rentrer chez elle. Lorsqu'elle se mit debout, elle sentit que sa couche avait prit du poids, imbibée qu'elle était de sa pisse chaude. D'une démarche qu'elle espérait aussi naturelle que possible elle rentra chez elle, sentant à chaque pas l'épaisse protection frotter entre ses jambes.

    Arrivée chez elle, elle fila directement dans la salle de bain où elle arracha littéralement sa jupe et frotta sa main aussi fort que possible contre la couche, tentant de se faire jouir de cette manière. Son excitation ne fit qu'augmenter et bientôt elle se vit haletante à quatre pattes dans la salle de bain, une main entre les cuisses en expirant d'une manière peu équivoque. Qu'elle aurait aimé être prise comme une chienne et hurler son plaisir à ce moment ! Son gros cul trempé ne désirait qu'une chose : qu'on y enfonce un sexe dur et puissant. L'envie de pisser la reprit soudain. Elle se redressa, toujours à genou, les jambes écartées, elle étudia son reflet dans le miroir alors que sa main glissait à l'intérieur de sa couche pour venir se placer sur sa petite chatte trempée. Puis, fermant les yeux, elle laissa à nouveau couler la pisse chaude.

    Elle sentit le contact du liquide brûlant contre la paume de sa main, puis cette dernière fut recouverte par une véritable fontaine tiède. La couche déjà bien imbibée ne put totalement absorber le liquide chaud qui à nouveau venait de tremper et son sexe et son cul. Se relevant maladroitement, gênée par le lourd paquet qui pendait entre ses cuisses, elle enjamba le rebord de la baignoire et s'assit dessus de tout son poids faisant fuir la couche au niveau de l'entrejambe.

    La pisse chaude s'écoula le long de ses jambes pour finir dans la baignoire. Son excitation était telle qu'elle aurait pu supplier n'importe qui de la prendre à même le sol, comme la chienne qu'elle se sentait être. Son orgasme à la fois violent et intense vint quelques secondes après qu'elle ait recommencée à se masturber. Elle resta ainsi, haletante et les yeux fermés, assise dans son pipi. L'expérience avait été incroyablement érotique pour Nathalie qui se résolut à explorer les possibilités de cette découverte aussitôt que possible. Tout en prenant sa douche, elle songeait déjà à de nombreuses applications.

    Mais ceci est une autre histoire...



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