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Le curé pervers
Par TSMAttention cher lecteur, il n'est pas bon que tout le monde lise le texte qui suit car il s'appuie sur l'affaire dévoilée le samedi 13 décembre 2003.
Un vicaire savoyard a reconnu avoir abusé de personnes majeures ou mineures depuis son ordination qui remonte à une quarantaine d'années. Il n'en fallut pas plus pour plonger toute la vallée de Saint Jean de Maurienne dans la consternation la plus totale.
Je prie le ciel si c'est utile, qu'un lecteur ou une lectrice, ne se reconnaisse pas parmi les acteurs involontaires de cette sombre histoire........................................
Du haut de ses dix-huit printemps, Aurélia, superbe descendance d'une lignée aussi pieuse que respectable, affiche avec bonté et modestie une beauté à damner un saint, rehaussée d'un visage d'ange, un corps svelte et souple savamment masqué sous des étoffes démodées.Les garçons bagarreurs qu'elle juge vulgaires ne l'attirent pas. Aurélia, qui a suivit toutes ses études dans des écoles privées où elle a aidé au catéchisme, envisage de prendre le voile au grand dam de ses parents. Elle ne parle réellement qu'à Paul, le boulanger du village, une montagne de muscles qui souri tout le temps et qui paraît si doux, si gentil....
Ils ont eu l'occasion de se parler et même de converser longuement une après-midi entière lors de la kermesse de la paroisse en vendant sur des stands côte à côte lui des petits pains et elle des livres d'occasions pour les bonnes oeuvres. Si elle ne s'était pas destinée au voile, elle se serait volontiers laissée séduire par ce jeune homme qui lui semble si bon.
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Elle attend dans l'église et s'interroge à présent sur la réaction du curé quand elle lui a confessé s'être touchée et avoir exploré les méandres des plaisirs. Aurélia les a qualifiés de satanique tant elle tient à préserver sa virginité mais a cru défaillir lorsqu'il lui a demandé de lui donner tous les détails. Honteuse mais honnête jusqu'au bout des ongles, lors de sa confession, elle lui a tout dévoilé, même ses sensations les plus intimes qu'elle imageait dans son subconscient de jeune fille à l'aurore d'une vie de femme.
S'il lui a ordonné de prier immédiatement et longuement pour obtenir le pardon du seigneur, la voix du Père lui a semblé bizarre quand il lui a dit " Je viendrai te chercher pour ta pénitence ". Fidèle à ses valeurs morales exacerbées par une foi omniprésente dans son quotidien, elle a écouté et réalisé sans discuter ce qu'il lui a demandé.
- Viens ! Résonne soudain la voix du curé qui la regarde avec des yeux pareils à ceux d'un requin. Aurélia frissonne de la tête aux pieds.
D'un pas hésitant, elle suit sans discuter l'homme qui représente à ses yeux le pouvoir suprême, celui qui a été désigné par dieu. Il la précède dans la sombre sacristie aux odeurs de vieux bois et de bougies puis dans les étroits escaliers qui descendent sous l'église. « Ferme les portes derrière-toi » ont été ses seuls mots.
Lorsqu'ils arrivent dans une grande salle voûtée aux murs de pierres recouverts d'un salpêtre verdâtre, elle croit défaillir. Le lieu ressemble à s'y méprendre à une salle de « questions » sous l'inquisition avec des bougies dans des niches murales noircies et d'inquiétants instruments. Le curé saisit rapidement un crucifix et s'approche d'elle en proférant des incantations qu'elle ne comprend pas puis il s'arrête face à Aurélia.
- Ma fille, tu as soulagé ta conscience, mais je ne peux te délivrer du mal par une simple confession. La chose est fort grave ! Nous n'avons pas le choix : la pénitence extraordinaire doit être immédiatement appliquée. Comme tu as choisi d'entrer dans les ordres, je dois sur le champ chasser le diable qui est en toi et tu te dois d'accepter ton destin par amour de dieu et de sceller à jamais tes lèvres sur ce que tu vas vivre.
- Mon Père, dit-elle d'une voix nouée, précipitée, je vous en supplie, je ne suis qu'une jeune fille, pas une sorcière.
- Hélas ma fille, le démon est en toi. Regarde, mon crucifie tremble quand je m'approche trop de toi, il faut pratiquer de toute urgence sur toi quelque chose de douloureux mais qui te délivrera du mal et qui te permettra de te présenter devant notre créateur en bonne chrétienne. Enjambe ce chevalet et allonge-toi sur le ventre
- Mais qu'allez-vous me faire mon père ?
- Je dois flageller ton dos avec une canne trempée dans l'eau bénite en prononçant des incantations. Cela te sera douloureux mais ne te blessera pas. Rassure-toi, je parlerai de ta dévotion et de ton courage à l'évêque. Courage ma fille, je prierai pour que le seigneur t'aide dans ta pénitence.
Ressentant comme une épée de Damoclès qu'un simple refus pourrait lui interdire la vie à laquelle elle se destine, Aurélia déglutit avec peine, ses bras se couvrent de chair de poule.
- C'est ton seul espoir de purification et ton dernier recours pour être digne d'entrer dans les ordres ! Lance le père d'une voix concupiscente en approchant le crucifix de son beau visage d'ange.
Le coeur d'Aurélia semble soudain s'arrêter et son sang se glacer dans ses veines. Le désarroi qui l'envahit la rend incapable de la moindre réaction. Elle éprouve un tel sentiment d'impuissance absolue qu'elle plonge dans un tourbillon d'émotions de honte et de désespoir mais aussi d'une peur froide, primaire, insurmontable.
Toute résistance lui est impossible, Aurélia se laisse guider comme un pantin sans vie. De grosses larmes roulent sur ses joues quand elle s'allonge sur la poutre en relevant pudiquement le bas de sa longue robe noire pour ne pas la déchirer.
Elle frissonne de peur lorsque la corde rêche s'enroule autour de ses poignets. Elle commence à paniquer et ne comprend pas pourquoi il serre si fortement les nœuds qui lui scient sa peau blanche et fragile. Quand il tire sur une de ses chevilles et la fixe durement contre le pied du chevalet, Aurélia prend pleinement conscience du danger et tente de se dégager avant d'être totalement immobilisée mais il est déjà trop tard. Sa jambe encore libre fouette inutilement l'air avant d'être happée par une poigne titanesque qui tire et fait craquer le bas de sa robe quand il lie sa cheville à l'autre pied de l'horrible instrument.
Plongeant dans le pire cauchemar qu'elle n'aurait pu imaginer, elle se tend sous les mains du père qui explorent son corps sur ses vêtements puis rapidement sous ses vêtements ! ! ! Ces attouchements sont insupportables pour Aurélie, le souffle coupé, elle n'arrive même plus à crier et reste un instant la bouche grande ouverte.
- Mon père que faite-vous ? Arrêtez, je vous en supplie; arrêtez...
Sans qu'un mot de lui ne soit prononcé, la robe d'Aurélia est brusquement troussée, exposant au Père ses fesses gainées d'une sage culotte blanche.
Aurélia a l'impression que son cœur va exploser quand une main se met à masser son entrejambes à travers le tissu tendu. Ainsi attachée, touchée et manipulée, elle se sent plus avilie que jamais, offrant au prêtre ses reins cambrés qui ondulent inutilement pour essayer d'échapper à l'ignoble attouchement.
- Non, non, NOOOOON pas ça. Je vous en prie.....
- Ma fille, je suis obligé de te dévêtir un peu et d'explorer ton anatomie, charmante au demeurant.
Aurélia est prise par le sentiment dévastateur de s'être faite piéger par un fou lorsqu'il arrache le slip plutôt que de le baisser. Le Père fait aussitôt aller et venir ses doigts au cœur du buisson féminin puis entre les fesses où son index tente de franchir la barrière de son petit anneau plissé et peureusement contracté. Elle secoue la tête avant de hurler des " non " à gorge déployée.
- Ne faite pas ça mon Père, non ........
D'une seule poussée, il enfonce son doigt dans l'anus vierge et contracté d'Aurélia qui pousse un cri de bête forcée en se débattant inutilement sur le chevalet. Tout en fouillant sans ménagement le petit anneau plissé, il assène des claques magistrales sur les petites fesses qui tressautent et rougissent déjà.
Laminée de douleur et de honte, Aurélia pleure et pousse des cris entrecoupés de supplications sans effet. Ses pleurs se font stridents et commencent à agacer le Père qui arrache son doigt de l'étroit fourreau malmené et l'abandonne en lui lançant un " Surtout ne bouge pas ! " Qui le fait rire grassement. Il revient avec un bâillon et un fouet en souriant à la pauvre jouvencelle terrorisée qui supplie toujours et encore.
- Tout ceci est fort pénible mais nous n'avons hélas pas le choix
- Non mon Père, non pitié, pas ça, arrêtez mon Père, arrêtez !
Derrière Aurélia au visage déformé par un rictus de terreur, il glisse sa main sous sa robe de bure et se caresse un instant avec un sourire pervers.
- Je vais être contraint d'explorer tes reins et ton ventre satanique puis de te flageller, mais rassure-toi, si cela ne suffit pas, j'ai bien d'autres moyens pour t'aider à te purifier ! Clame le Père en prenant une voix des plus sérieuses.
- Mon Père ne faites pas ça, le diable est en vous ! Dit-elle d'une voix stridente en espérant encore un miracle. Arrêtez, je vous en supplie; arrêtez ... reprenez-vous !
En guise de réponse, il ouvre la robe d'Aurélia en arrachant les boutons et caresse ses seins lourds et fermes de chaque côté de la poutre de bois en riant des cris redoublés de sa victime.
- Je ne comprends pas pourquoi tu cris, le seigneur t'a envoyée à moi pour que je te punisse et te purifie ! Ouvre la bouche que je puisse la clore de cet instrument que tu pourras mordre à ta convenance !
Aurélia en proie à une crise de nerfs refuse de se laisser bâillonner et hurle maintenant comme une folle. Le Père n'arrive pas à la faire taire, furieux, il saisit son fouet et la fouette sans pitié, totalement insensible à ses hurlements ni à ses supplications.
Les hurlements de désespoir deviennent des hurlements inhumains qui résonnent dans toute l'église. Chaque coup fait l'effet d'une brûlure à la pauvre Aurélia. Le Père s'est déplacé et profite d'un de ses cris pour forcer sa bouche grande ouverte de la boule de fer du bâillon particulier.Lorsqu'elle sent le métal sur ses lèvres et sa langue, il est trop tard. Le Père vient de la bâillonner. Elle a beau bouger la tête dans tous les sens, il parvient malgré tout à serrer et fermer les sangles de cuir derrière la petite tête agitée en emprisonnant puis arrachant quelques-uns de ses longs cheveux.
Lorsqu'il entreprend de tourner la molette métallique du bâillon, le Père la fixe avec des yeux pervers et un sourire cruel sur ses lèvres. Vaincue par l'horreur, Aurélia ne résiste plus. Les plaques de fer s'ouvrent dans sa bouche, bloquent ses mâchoires en position ouverte dans un bâillement forcé, douloureux, ignoble.
Pris par le vent de folie qui le hante, il s'agenouille derrière elle, en nichant son nez entre les lèvres délicates de l'intimité de la jeune vierge et dit : « tu sens bon, je vais m'éclater à te purifier ». De sa langue boulimique, il lèche avec violence les lèvres sensuelles et le fourreau intime qu'il va forcer.
Si Aurélia avait un doute, elle est maintenant convaincue d'être entre les mains d'un ecclésiastique fou. Celui-ci se lève puis commence à frotter lamentablement de son phallus sanguinaire et tendu l'entrée de la grotte humide de salive. Aurélia a senti l'ignoble contact et attend pétrifiée d'angoisse l'agression ultime qui va la détruire à jamais en priant le seigneur qui semble sourd à ses prières de miséricorde.
L'ignoble ecclésiastique entreprend lentement la profanation de l'intimité aux chairs délicates du bout de sa verge. Son gland caresse puis force les lèvres à s'ouvrir pour jouer avec l'hymen qui ne va pas tarder à se rompre.
Aurélia, dont le visage d'une beauté magique rappelait jusqu'à présent l'innocence des anges est maintenant bâillonnée, hideuse de douleur, de honte, sa bouche dégouline de salive.
D'abondantes larmes s'écoulent de ses yeux fermés qui se refusent à voir l'horrible évidence. Les membres paralysés par les liens, et la gorge muette sous le bâillon, elle va subir l'horreur être violée et martyrisée par un Père dément !Dans un ultime espoir, elle essaie de faire résonner un " notre Père " à travers le bâillon mais ......
A suivre
TSM
FLASH PUBLICITAIRE DU CLUB DES AUTEURSChers lecteurs, serait-il « Père Nicieux » de vous demander de m'adresser un petit mot qui me permettrait de penser que vous n'êtes pas indifférents.
3 commentaires -
Le curé pervers chapitre 2 et fin.
ATTENTION, cette partie est vraiment hard
Dans un ultime espoir, elle essaie de faire résonner un " notre Père " à travers le bâillon mais......C'est ici qu'il y avait le message publicitaire un peu moralisateur. Je reprends donc la phrase.
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Dans un ultime espoir, elle essaie de faire résonner un " notre Père " à travers le bâillon mais la prière n'émeut nullement l'ecclésiastique fou. Sa redoutable verge puissante et dure déchire l'hymen et la pénètre avec violence. Aurélia hurle dans son bâillon comme un animal blessé. Sa tête roule sur les côtés, ses yeux se révulsent, un filet de bave s'écoule de sa bouche.
Elle a l'horrible impression d'être pourfendue et brûlée par cette verge qui laboure son ventre qui était vierge et pur. L'humiliation et la douleur insupportable provoquent l'espace d'un instant l'érosion de sa foi. Aurélia voudrait mourir pour échapper à cet enfer !
Pour ne rien perdre de cet horrible spectacle, d'une main comme folle, le prêtre retrousse sa robe de bure et la bloque entre ses dents.
De ses mains posées sur les fesses, il en écarte les deux hémisphères pour s'enfoncer plus encore puis reprend son va-et vient sauvage, brutal. Un peu de sang coule sur leurs cuisses.
Elle vient de perdre sa virginité de la façon la plus horrible qu'il soit alors que lui se délecte de cette vision.
Les poignets liés d'Aurélia sont agités de vaines contractions, qui rythment le martèlement démoniaque, incontrôlé et pervers qui conduit le tortionnaire à une jouissance rapide et précoce. En souillant le ventre ensanglanté d'un puissant jet de semence, il pousse un cri de bonheur qui accompagne les gémissements de désespoir de sa victime saisie de tremblements nerveux.
Malgré l'étroitesse de ce petit corps qui semble encore le refuser, l'ignoble sadique savoure l'instant avec délice les yeux fermés et la bouche grande ouverte. La robe de bure qu'il tenait avec ses dents, est retombée sur les hanches martyrisées comme un voile noir, le noir de l'ignoble, de la honte et de l'enfer.
Aurélia pleure toutes les larmes de son corps, une coulée de salive demeure suspendue à son menton. Elle s'imagine fécondée, triste destin pour une belle et jeune fille qui se vouait à entrer dans les ordres.
Son calvaire est hélas loin d'être terminé.
Le Père se retire et va prendre une canne qu'il choisit fine et souple. Il pose ses mains sur ses fesses presque juvéniles et les frotte avec véhémence.
- Je suis navré ma fille, mais il faut maintenant que je flagelle ces fesses qui attisent les convoitises et les passions perverses.
Il lève la canne et l'abat sur les rondeurs merveilleusement douces et fermes. L'impact douloureux fait l'effet d'une brûlure à Aurélia qui bondit, se tord de douleur et tire sur ses liens en hurlant dans son bâillon. La cadence de la flagellation n'est pas rapide, le Père prend son temps et se nourrit des gémissements de sa proie mais aussi des fesses rondes et parfaites striées de zébrures fines et rouges.
Après une bonne quarantaine de cinglées, alternées parfois avec des caresses gourmandes, ces rondeurs qui n'ont pas arrêté de tressauter sous les coups, l'ont dramatiquement ému. Son pénis dressé pointe fièrement et tend la robe de bure.
Aurélia, le corps rompu de souffrance, est pétrifiée quand elle sent de nouveau le Père contre elle et son gland qui touche ses lèvres intimes et délicates. La verge fouille ses tendres replis et s'ajuste sur sa vulve lubrifiée par le sperme et le sang du viol précédent. La pénétration est moins douloureuse mais tout aussi ignoble et difficile à vivre.
Elle pousse de petits gémissements plaintifs pendant qu'il la prend à grands coups de reins. Ses poignets s'agitent de vaines contractions qui rythment le martèlement sauvage.
Il la besogne longuement en s'arrêtant parfois pour retarder son plaisir, puis, plié en deux, quasiment allongé sur elle, pelote à pleines mains ses seins volumineux mais fermes et reprend ses vas et vient toujours plus puissants.
Une de ses mains s'insinue maintenant entre les cuisses d'Aurélia puis au cœur de son buisson féminin qu'il fouille sans vergogne d'un doigt inquisiteur à la recherche du petit bouton des plaisirs.
Sa poitrine fait l'objet d'un malaxage doux et de petits pincements pendant que le doigt agace doucement son clitoris. Le Père manipulateur cherche maintenant à lui donner le plaisir coupable qui lui permettra d'avoir une emprise sur elle. Il la prend avec retenue et la sollicite intimement puis embrasse tendrement son cou à la peau de velours.
Au bout d'un temps fort long, malgré la souffrance et l'humiliation, elle éprouve d'étranges sensations et se sent devenir une femme. Une drôle de chaleur dans son ventre génère une confusion d'idées contraires.
Dieu m'envoie t-il une épreuve ? La lumière divine peut-être ou Satan cherche t'il à me pervertir par le plaisir coupable s'interroge Aurélia.
Une onde maléfique traverse ses reins et trouble sa pensée quand le Père se met à la prendre avec une vigueur qui la fait haleter par le nez. L'oie blanche ne deviendra pas le jouet de l'ecclésiastique pervers. Elle retrouve soudain sa raison égarée et morte de honte se met à ruer dans ses liens en secouant la tête en poussant un « non » étouffé mais inutile pour que cesse enfin cette horrible torture.
Le Père, qui est allé bien trop vite dans ses actes stratégiques, est furieux d'avoir échoué ce qu'il a réussi par deux fois dans le passé : la manipulation psychologique d'une jeune âme qu'il écrase et broie par un subtil mélange de honte, de peur de l'éternel, de plaisir coupable et de potions faites de drogues qui asservissent le sujet fragile.
Elle m'appartient maintenant pense le prêtre et devra passer par tous mes désirs, de gré ou de force, je vais la cloîtrer puis l'asservir par les drogues, la souffrance et la honte pour en faire une véritable esclave sexuelle.
Les mots « souffrance et honte » résonnent dans son esprit malade. Il va forcer l'orifice qu'elle pense prohibé. Oui, il va l'enculer, voilà ce qu'il doit faire maintenant pour la choquer et provoquer un sentiment de déchéance totale qui lui fera perdre tous ses repères, tous ses espoirs, toutes ses valeurs.
Le Père se redresse soudain et se retire de l'intimité malmenée pour poser son index dans le sillon de ses fesses. Son doigt se fait très pesant sur son rectum. Aurélia râle et gémit fortement en secouant la tête dans tous les sens mais cela ne l'empêche pas d'insister.
Il humecte ses doigts de salive et force de nouveau l'étroit passage. Aurélia serre les fesses mais petit à petit, ses sphincters cèdent sous la pression. Elle a l'impression de sombrer dans les ténèbres quand il se met à la fouiller malgré ses gémissements implorants de ne pas m'infliger cette torture infamante.
Il arrache soudain son doigt, geste douloureux pour Aurélia qui pousse un cri aigu dans son bâillon, et va chercher un lubrifiant dont il enduit généreusement l'anus délicatement froncé et peureusement contracté qu'il joue à forcer pour l'écarter encore davantage à l'aide d'un deuxième doigt.
Il titille maintenant l'étroit orifice de son gland et en se cambrant, s'y appuie de tout son poids. Malgré l'étroitesse de ses petites fesses, l'anus lubrifié d'Aurélia commencent à céder sous la pression impitoyable de la verge. Le Père sourit lorsqu'elle se débat inutilement dans ses liens sous la douleur de cette pénétration contre nature. Avec un « han » de bûcheron, il enfonce brutalement son membre viril et perfore son anus jusqu'au tréfonds de ses reins.
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Aurélia avait toujours été une fille sérieuse et ponctuelle. Le retard de ce jour est, de mémoire de ses parents, le premier de sa courte vie. Dès la première heure ils s'en étaient inquiétés. Une après-midi entière sans nouvelle les avait mis dans un tel état de panique que la nouvelle de la disparition de la jeune fille fait le tour du village savoyard comme un feu de paille. Paul, le jeune boulanger amoureux ne tarde pas à se mettre à sa recherche. Il fouille chacun des lieux où la jeune fille a ses habitudes. Bibliothèque, associations caritatives, école et enfin l'église.
Les cris quelques peu étouffés qui lui parviennent de la sacristie le mettent immédiatement en alerte. Il se passe des choses anormales pour le lieu et l'heure. Il en cherche l'origine et la provenance et se retrouve devant une porte close sur laquelle il appose son oreille.
Tandis qu'Aurélia gémit sans discontinuer comme un animal blessé, pris par la frénésie de son infâme excitation perverse et la douleur provoquée qui exalte son plaisir, les expirations bruyantes du Père fou se transforment en cris et propos quasiment hurlés.
Paul perçoit les mots agressifs et vulgaires hurlés qui glacent son sang, un frisson d'angoisse le fait frémir. La vieille porte de bois noir et vermoulue vole aussitôt en éclats sous son épaule. Les mots qu'il entend quand il descend dans les escaliers sombres le choquent profondément et le font frémir. En pénétrant dans la salle, il embrasse d'un seul regard toute l'horreur de la situation. Aurélia presque nue, attachée et bâillonnée est en train de se faire violer par le curé !
Paul est un boxeur semi-professionnel qui ne désire qu'une chose à cet instant précis : massacrer le Père ! Il évite sans peine la canne saisie à la hâte et d'un coup de poing au visage l'envoie valser contre le mur. Sans lui laisser le temps de réagir, il lui envoie un coup si violent dans l'estomac que l'ecclésiastique, le souffle coupé, tombe à genoux en portant les mains au ventre.
Prestement relevé, la tête maintenue contre le mur par le bras gauche du boulanger herculéen, l'ecclésiastique n'est plus qu'un putchinball sur lequel s'abattent les coups de la rage et du dégoût exacerbés par la vision des jolies rondeurs striées de traits bleus d'Aurélia toujours liée sur le chevalet.
Quand le boxeur s'arrête de cogner et relâche son étreinte, le bourreau inconscient s'écroule et roule sur le sol, le visage boursouflé et ensanglanté. Trois dents jonchent le dallage de pierres.
- Ce n'est rien à côté de ce que je vais te faire vermine ! Hurle Paul en donnant un coup de pied rageur dans le corps inanimé.
Il se précipite vers Aurélia qui est pâle comme un linge et sanglote en permanence. Pendant un instant, il reste interdit et la regarde en s'interrogant : comment un prêtre peut-il faire du mal ainsi ?
Lorsqu'il délivre les chevilles de la pauvre malheureuse, ses yeux se posent sur les petites fesses striées par deux nombreuses zébrures rouges et bleutées. Sur les jolies jambes, du sang et du sperme mélangés ont tracé de fines lignes qu'il suit du regard montant sans penser à mal et le conduisent vers l'intimité féminine ravagée par le Père.
Par la position d'Aurélia, les fesses écartées laissent apercevoir l'anneau plissé d'où s'écoule aussi un peu de sang. Son cœur semble s'arrêter. Il est hébété et choqué. Ses tempes bourdonnent et ses yeux sont embués par les larmes qui montent.
Toutes ces horreurs le font déraisonner, il est pris d'une soudaine envie de meurtre. Oui ! Il va le tuer, le massacrer, mais lentement et en prenant son temps. Il n'appellera pas la police car la justice est trop douce avec ce genre de monstre. Elle serait bien capable de lui trouver des circonstances atténuantes ou des conneries du même acabit.
Il a lu dans le Dauphiné libéré l'histoire d'un violeur qui, une fois sa peine terminée, a violé de nouveau et tué à peine libéré. Celui qui a violé la femme angélique dont il est amoureux n'en violera pas d'autre ! Foi de boxeur savoyard.
Ses mains tremblent sur les liens des poignets fins à la peau fortement marquée par ses mouvements désespérés durant toutes les souffrances endurées. Il essaie de les délier au plus vite mais, quand Aurélia lève la tête et lui offre la vision de son visage cramoisi, inondé de larmes avec sa bouche déformée par l'ignoble bâillon de fer, la haine le submerge et en même temps il craque complètement et caresse son visage en pleurant.
- Mon ange, n'ai plus peur, je suis là. Je vais te libérer et te ramener à ta maison, on va te soigner, je t'apporterai des croissants chauds demain matin, je viendrai... je..... je..... je vais le tuer, je.... Murmure Paul qui se sait quoi dire pour lui donner un peu de réconfort.
Il ne sait pas comment retirer le bâillon de fer. Après l'avoir délié, il a tiré sans savoir qu'il fallait au préalable clore les lames de fer et a provoqué une forte douleur aux mâchoires d'Aurélia qui gémit en le repoussant.
Ces quatre-vingt-dix kilos de muscles ne se sont jamais sentis aussi faibles et voir la petite main de son ange essayer de faire tourner la molette qui ouvre et ferme les fers qui bloquent la bouche exalte sa rage. L'horrible instrument tombe enfin sur le sol. Il aide Aurélia à se relever, après tant de souffrances, dans l'instant sa pudeur et sa retenue n'ont plus court. Elle se précipite dans ses bras et fond en larmes. Il la serre contre lui et la berce tendrement comme un père le fait avec son enfant qui vient de faire un cauchemar.
Elle tente maintenant de cacher sa poitrine opulente qui a du mal à se dissimuler sous les restes de la robe déchirée. Paul n'ose pas la ramener à pied et traverser le village. Ce n'est pas qu'il n'ait pas la force physique pour le faire, mais les vêtements d'Aurélia sont en lambeaux.
Après autant d'infamies, il ne veut pas lui infliger la honte d'être vue à moitié dévêtues.
Il se lève et regarde autour de lui. Sur une vieille table de bois proche du chevalet, il y a des pinces, des tenailles, des brodequins qu'il prend pour des étaux et à côté, des garrots, des fouets et cannes qui ressemblent à des cravaches et dont il devine aisément l'usage.
Une croix de saint André est boulonnée contre un mur avec des liens de fer noir. Il y a aussi des bracelets pendant au bout d'une corde qui passe dans des poulies fixées au plafond en croisées d'ogives.
- Attends mon ange, je vais aller chez toi prendre des vêtements et nous reviendrons avec la voiture de ton père. Tu ne risqueras rien pendant mon absence, je vais m'occuper de lui avant de partir et j'irai aussi vite que possible.
Il l'aide à s'asseoir et s'approche du Père toujours étendu sur le sol, qu'il attrape sans ménagement pour le plaquer sur la croix. Le tortionnaire reprend connaissance quand son visage touche le mur froid. Paul a lié ses poignets aux bracelets de fer et fixe ses chevilles à l'instrument de tortures.
- Détachez-moi ! Crie le bourreau qui s'affole à son tour.
- Enfoiré, je vais revenir pour régler ton compte ! Lui répond le Paul rageur, et crois-moi, tu vas déguster. Maintenant que tu es sur ta croix et face au mur de la honte, médite à ce que tu as fait pendant que je vais chercher son père !
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Jamais un boxeur de quatre-vingt-dix kilos n'a couru aussi vite. Quand il arrive à la maison des Ducreux, Paul entre comme un fou sans même frapper à la porte. Le père d'Aurélia, le téléphone à la main, reste un instant interdit face à cette soudaine apparition. Le boulanger lui arrache le combiné des mains et raccroche !
- Prends une couverture, une robe et les clés de ta voiture, on va chercher ta fille.
- Où est-elle, comment va t-elle, que lui est-il arrivé ? Demandent les Ducreux affolés.
- Pose pas de question, magne-toi ! Rugit le boulanger.
Sentant qu'il y a urgence, Monsieur Ducreux s'exécute sans discuter. Paul refuse que la mère d'Aurélia les accompagne en lui rétorquant : « Ce n'est pas une histoire de femme ! »
Pendant le trajet qui ne dure que quelques minutes, Paul expose toute l'horreur de la situation. L'immense chagrin qui submerge Monsieur Ducreux érode sa foi et provoque en lui des pulsions des plus morbides.
- On va le tuer pour toutes les horreurs qu'il a faites à ta fille ! Hurle Paul dans la voiture.
Monsieur Ducreux, jusqu'à cet instant, farouche opposant à la peine de mort, réalise pleinement le sens de ce qu'une personne lui a rétorqué un jour : « Tant que l'on a pas été personnellement concerné par un malheur qui justifie la peine de mort, on parle du respect de la vie au nom de la bonne conscience ».
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L'ecclésiastique attaché sur la croix est tellement angoissé à l'idée de ce qui l'attend qu'il transpire à grosses gouttes en marmonnant ses prières de miséricorde. Il sursaute dans ses liens quand il entend les voix de Paul et du père d'Aurélia.
Monsieur Ducreux est effrayé un instant par ce lieu maudit qui ressemble à s'y méprendre à une salle de torture sous l'inquisition. Il se précipite vers Aurélia qu'il prend dans ses bras, l'embrasse et la cajole tendrement.
Paul les regarde et déglutit avec peine quand Aurélia craque et parle enfin, extériorisant toute sa honte et sa peine. Elle raconte qu'il l'a battue et violée mais aussi toute sa souffrance lorsqu'il a forcé ses reins. Puis, comme pour se justifier, tous les mensonges qu'il a utilisés pour l'emmener ici, elle s'excuse même auprès de son père !
Monsieur Ducreux, rouge comme une pivoine de ce qu'il vient d'entendre, est au bord de la crise de nerfs. Une indicible rage venant du tréfonds de son âme le fait se lever d'un bond.
- Tu as raison ! Il ne mérite pas de vivre, je vais débarrasser la terre de ce déchet de la société ! Déclare soudain le paternel.
- Non ! Ramène ta fille, elle a vu assez d'horreur pour aujourd'hui, je vais m'occuper de cet enculé. Dit Paul en l'arrêtant d'une main.
- Je veux m'occuper moi-même de ce suppôt de satan.
- Aide-moi à le coucher sur le chevalet où il a torturé ta fille puis ramène-là chez toi. Elle a besoin de calme et de réconfort, pas violences.
Les deux hommes décrochent l'ecclésiastique de la croix de saint André et le jettent plus qu'ils ne le couchent sur le chevalet.
- Ce n'est pas le Père qui a voulu me faire du mal. Il était habité par le diable, non, ne faites pas ça ! Crie Aurélia qui assiste hébétée aux vaines tentatives de fuite de son tortionnaire à son tour lié à l'horrible instrument.
- Ramène-là, elle ne doit pas voir ça. Je t'attendrai pour achever cette crevure ! Promet Paul d'un air grave.
- Tu as raison, je reviens ! Répond Monsieur Ducreux en prenant sa fille dans ses bras.
- Apporte aussi un bidon d'essence !
Paul s'approche du chevalet avec un cierge de bonne taille dans la main. Sans qu'un mot ne soit prononcé, les vêtements ecclésiastiques sont brutalement arrachés. L'ancien bourreau devenu victime tremble de peur car il pressent qu'il va vivre de terribles souffrances avant d'être présenté à dieu qui ne l'épargnera pas non plus.
Paul lui écarte les fesses et enfonce le cierge dans le fondement qui ne résiste qu'un instant à la force décuplée par la haine. Le Père crie comme un animal que l'on égorge quand il lui perfore l'anus puis jusqu'au tréfonds des reins pour y faire quelques vas-et vient des plus brutaux.
- Alors enfoiré, c'est aussi bon que tout à l'heure quand tu l'as violée ? Hurle Paul en forçant sauvagement le fondement et en l'enfonçant un peu plus profond à chaque fois.
- Oh mon Dieu, crie le Père qui ne savait pas que cela pouvait faire aussi mal ! Arrêtez, je vous en supplie; arrêtez.....
Abandonnant les rondeurs masculines d'où n'émerge plus qu'un tiers du cierge, Paul ramasse le bâillon et s'assoit à même le sol face au curé édenté qui le supplie encore et encore. En guise de réponse, Paul lui assène une gifle à décorner un bœuf. Les suppliques s'étouffent aussitôt dans un hoquet puis un petit flot de sang.
- Ouvre la bouche, je vais te faire essayer ton truc de merde !
L'ecclésiastique résiste à son tour comme Aurélia dans l'après-midi puis sent une poigne de fer se refermer lentement sur sa gorge. Paul serre les doigts progressivement et l'étrangle. Dans un réflexe de survie, le curé étouffé, cherche l'air en ouvrant la bouche tel un poisson sur un étal en plein soleil. Sans aucun effort et en prenant son temps, Paul enfonce profondément le bâillon dans la gorge du Père puis referme les lanières de cuir derrière le cou qui retrouve avec difficulté une de ses facultés initiales : laisser passer l'air par la trachée !
N'ayant maintenant aucune crainte de générer de la douleur, Paul manipule volontiers le bâillon de fer pour l'ouvrir dans la bouche du prêtre qui éprouve encore quelques difficultés à retrouver sa respiration et tousse en rejetant du sang. Il tourne la molette à gauche puis à droite pour en voir les effets sur le volume sonore des réfutations qui se transforment en gémissements. Lorsqu'il repense aux petites mains d'Aurélia qui essayaient de se le retirer, il n'éprouve aucun remords à tourner, à tourner, à tourner, à tourner......
C'est un craquement et un horrible cri étouffé qui lui font comprendre qu'il vient de lui déboîter la mâchoire. Sans aucune pitié pour celui qui a torturé un ange, le petit ange qu'il rêvait de séduire, il se délecte à tourner encore la molette, action qui génère d'horribles gémissements continuels.
- En attendant que le papa d'Aurélia revienne, je te propose de mettre un peu plus de lumière, enfoiré !
Paul se dirige vers les niches creusées dans le mur, se saisit d'une des bougies encore allumées et revient lentement pour ne pas qu'elle s'éteigne vers le Père. Quand il allume la mèche du cierge planté profondément dans les entrailles du curé, de la cire chaude coule sur les fesses de l'ecclésiastique qui vient de comprendre en frissonnant de peur les intentions du boulanger.
Le cul transformé en bougeoir bondit chaque fois qu'une goutte de cire chaude s'écoule et brûle son anus. Paul étudie les instruments posés sur la table de bois, se saisit d'un couteau, puis tout en s'en servant pour maintenir le cierge que l'anus du curé tente de rejeter, puis il regarde attentivement le palan fixé dans le plafond en croisées d'ogives.
Il est tiré de ses pensées par une horrible plainte qui déchire la pièce. Le Père convulse sur le chevalet alors qu'une odeur de chair brûlée commence à monter avec la fumée du cierge. La flamme arrive maintenant sur l'anus et brûle quasiment dans le fondement. Il détourne la tête, un peu honteux de ce qu'il fait, mais laisse le cierge se terminer en pensant au sang qu'il a vu sur l'étroit orifice du petit ange qu'il aurait tant aimé demander en mariage.
.....................
Le père d'Aurélia entre dans la salle avec des yeux fous et rouges, trouvant le Père inanimé et Paul qui bricole le palan il lance rageur :
- Tu l'as tué salaud !
- Non ! Il a profané Aurélia, j'ai fait la même chose avec son cul. Donne-lui quelques baffes ça le réveillera. Comment va t'elle ?
- Ma femme l'a soignée, lavée et couchée avec un somnifère. Aurélia est détruite à jamais, laisse-moi seul avec lui et va-t'en ! Cette affaire ne regarde plus que moi maintenant.
- Non c'est hors de question ! J'aime profondément ta fille et depuis fort longtemps, si elle n'entre pas dans les ordres j'aimerai te demander sa main.
- Mais tu es proche de la trentaine si je ne me trompe !
- Oui, mais je suis un bon catholique célibataire, un commerçant respecté et je l'aime en secret depuis plus d'un an. Rassure-toi, je ne l'ai jamais touchée, il n'y a jamais eu un mot déplacé de ma part mais je rêve d'elle toutes les nuits. Je rêve de vivre avec elle et qu'elle nous donne de beaux enfants ! Répond Paul timidement en rougissant jusqu'aux oreilles.
Pour Monsieur Ducreux, les émotions sont multiples aujourd'hui. Sa fille unique a été violée et torturée, le boulanger lui demande sa main et il s'apprête à commettre un meurtre. Complètement abasourdit, il s'assoit à même le sol et plonge son visage entre ses mains.
- La police découvrira un jour ou l'autre le meurtrier du Père. Je ne peux te laisser aller en prison à ma place. Répond soudain le père d'Aurélia en regardant Paul dans les yeux.
- Personne n'ira en prison ! Après avoir débarrassé la terre de cette vermine, nous mettrons le feu dans cette pièce pour effacer nos empreintes. Si tu ne parles pas, l'honneur de ta fille sera sauf tout comme nos libertés. Assez parlé ! Vengeons ta fille et peut-être l'amour de ma vie si elle veut de moi, nous effacerons toutes les traces de notre passage.
Le pauvre homme qui a perdu en moins de vingt-quatre heures tous ses repères et toutes ses valeurs trouve soudain dans cette déclaration le moyen d'éviter la déchéance d'un scandale étalé dans la presse et qui éclabousserait sa fille mais aussi toute la famille.
- Que proposes-tu ?
- Vidons la rage qui encombrerait notre vie si nous ne le punissons pas et faisons ce que je t'ai dit ! Répond Paul.
Complètement perdu, Monsieur Ducreux ne raisonne plus. Pour lui, Paul le boulanger représente soudain la bonne parole et un espoir dans l'enfer de cette horrible journée.
- Il a frappé ma fille et pourri sa vie à jamais, je vais le massacrer !
Après l'avoir tiré de son inconscience, ils s'arment chacun d'une canne pour fustiger le corps impie du curé pervers.
- Tu l'as flagellée, nous allons te flageller ! Hurle le papa au curé tortionnaire en lui donnant une gifle qu'il n'aurait jamais imaginé donner à un ecclésiastique.
Lors du premier coup, le curé a l'impression d'être scié en deux au niveau des reins. Un trait de feu qui n'est que le premier d'une longue série vient d'enflammer son dos.
Une avalanche de coups s'abat sur son corps. Les deux hommes n'ont aucune pitié et sont totalement insensibles aux hurlements démentiels qui fusent à travers le bâillon. Pendant un moment, ce n'est plus de la flagellation, c'est de la bastonnade. Cette bastonnade représente la punition que la justice en France ne rendra jamais. Elle n'effacera pas le traumatisme d'Aurélia, de sa famille et de son amoureux mais l'apaisera. Savoir que son honneur et que sa souffrance de vie a été vengée aide celui qui a subi l'horreur et l'ignoble dans la reconstruction de son moi ainsi que sa famille.
L'impunité accordée à ceux qui font subir les outrages extrêmes par de biens faibles condamnations en comparaison à une vie détruite ou perturbée à jamais pour soi et son entourage, est aussi ignoble que les sévices vécus et les interrogatoires de la justice qui s'en suivent.
Le dos, les fesses et les jambes du prêtre ne sont plus que des plaies sanguinolentes. Il est inconscient mais la rage de Paul est à peine apaisée. On va le pendre par là où il a pêché. Méthodiquement, ils détachent le corps et le couchent sous le palan.
Monsieur Ducreux, qui n'aurait jamais imaginé toucher un sexe d'homme autre que le sien, passe le corde et la serre par un nœud coulant sous le sexe et les testicules du bourreau de sa fille. Paul tire le lien qui élève progressivement le curé par les parties alors que le père d'Aurélia le ranime par des gifles pas réellement modérées.
Si les membres du prêtre sont libres, il est maintenant dans une fort mauvaise posture pour ne pas dire une monstrueuse position. Debout, sur la pointe des pieds, les mains rivées le plus fortement possible à la corde qui le suspend par le sexe et les couilles qui menacent de devenir des orphelines.
Dans un dernier effort, Paul et Monsieur Ducreux tirent sur la corde du palan et soulèvent le Père qui se balance dans les airs.
Très vite la fatigue envahit ses mains, ses bras et ses épaules. Des crampes tordent effroyablement ses muscles. Les ondes douloureuses des ses parties broyées par le nœud irradient dans ses nerfs qui les véhiculent dans tout son corps.
Le souffle lui manque à cause du bâillon, ses muscles se tétanisent mais il tient bon. Monsieur Ducreux qui ne s'est toujours pas vidé de sa rage, frappe comme un fou avec une canne le corps puis les mains du prêtre en hurlant des injures plutôt surprenantes pour un homme de si bonne famille.
Ce qui devait arriver arriva !
Les mains du prêtre lâchent la corde. Pendant un instant, il se retrouve cruellement pliée en arrière pendu par le sexe. Ses pieds et ses mains, à peine à un mètre du sol, fouettent le vide, un cri d'agonie résonne longuement avant de se muer en gémissements.
Il se met à convulser et un horrible gargouillis attire leur l'attention. De sa bouche s'écoule un liquide nauséabond tinté de sang. Il vomit. Ses mains s'agitent autour du bâillon sans pour autant parvenir à le retirer. Ses gestes perdent rapidement de leur vivacité. Après un dernier soubresaut ses membres retombent et pendent dans le vide. L'ecclésiastique vient de vivre son dernier cauchemar et n'en fera plus vivre à personne.
Les deux vengeurs regardent le corps sans vie qui se balance dans le vide. La honte se lit sur leurs visages.
- Qu'avons-nous fait ! Dit le papa d'Aurélia.
- Ce que nous avions à faire ! Répond Paul. Imagine un instant que la justice le laisse sortir pour un vice de forme ou dans dix ans pour bonne conduite. Ce fou aurait recommencé à massacrer, à violer et à abuser d'enfants.
Votre fille ou votre fils peut-être !
.........................................
Epilogue
Paul et Monsieur Ducreux ont tout arrosé d'essence et mis le feu en partant.
Les pompiers ont retrouvé le corps du Père calciné avec un bâillon de fer figé dans le crane.
La police n'a trouvé aucune empreinte ni coupable.
La mairie, la Région, le conseil général ont financé la restauration de l'église un peu endommagée par l'incendie.
Paul et Aurélia ont eu de nombreux cauchemars et trois enfants qui ne sont pas baptisés.
La famille Ducreux a eu de nombreux cauchemars et trois petits-enfants.
......................................
Cette histoire est partie d'un fait réel. Les personnages et les lieux ont été changés. Le pédophile n'a jamais fait de la prison et n'a pas été pendu par les couilles.
TSM
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Bien le bonjour à toutes et à tous,
Nous organisons une rencontre (couples) chez nous en Camargue le samedi 4 juin sous la forme d’un pique-nique sur notre propriété. Si le cœur vous en dit, n’hésitez pas à nous contacter ici : toto.tsmdeux@laposte.net
ATTENTION : il ne reste plus que DEUX places. (Info du 14 avril)
C’est GRATUIT donc pas de mauvaises questions !
PROFIL DES PERSONNES PRESENTES :
BDSM/ ABDL/ Fessée H ou F / pony-girl / boy / chasteté H ou F / shibari H ou F soumises / soumis féminisés ou non.
Les objectifs sont :
- Se rencontrer et faire des connaissances,
- Découvrir les pratiques des autres
- Discuter de nos passions et en découvrir d’autres
- Jouer en fonction de vos envies
- Tester des trucs (toujours si vous en avez envie)
Les 6 règles de fonctionnement chez les TSM lors de ces rencontres GRATUITES sont les suivantes :
1°) Prise de contact par email PUIS échange de numéro de téléphone pour faire connaissance de vive voix entre couples. Nous ne recevons chez nous que les personnes dont nous avons le téléphone. (C’est chez nous et nous ouvrons notre maison c’est donc imposé)
2°) Chacun vient avec son pique-nique + une bouteille de …. à partager en toute amitié.
3°) C’est pour couple uniquement. (Couple lesbien accepté, pour les couples gays seulement ceux que nous connaissons déjà)
4°) Rien n’est imposé aux participants HORMIS une tenue de circonstance afin d’éviter les voyeurs.
5°) Photos et vidéos interdites. L’appareil photo des TSM est mis à disposition. Cela rassure tout le monde car les visages sont masqués avant la rediffusion aux participants. (Pour un exemple, voir les liens ci-après qui conduisent aux reportages de nos pique-niques précédents sur notre blog)
6°) Comme en règle générale, le pique-nique du midi dure jusqu’au soir tard (rires) par mesure de prudence il est possible de planter la tente (gratuitement) sur la propriété.
AU cas où : comme il arrive que des « jouets » soient échangés / testés, pensez à prendre des préservatifs et du lubrifiant.
Nous ne recevrons que 15 couples et comme certains de nos couples d’amis ont déjà répondu « présent », ne tardez pas.
A vous lire
TSM
Exemple des photos diffusées avec les visages masqués :
http://tsm-textes.over-blog.com/article-carnaval-bdsm-anni-fesstif-55924768.html
http://tsm-textes.over-blog.com/article-pique-nique-couple-homme-soumis-54471316.html
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Mésaventure Sauf que !
Par TSM
Sur un groupe, j'ai rencontré deux filles qui sont de véritables garces de première et encore bien plus mais je me contiens pour ne pas tomber dans la vulgarité.
Adapte de plaisirs, avouables ou non, mais relatifs à la soumission masculine, je me suis plus à rêver pour ne pas dire à fantasmer sur l'idée d'une rencontre avec une dominatrice adepte de gode ceinture. Mon premier message de prise de contact est resté sans réponse pendant une semaine, le suivant également. J'ai donc laissé tomber, mais je ni croyais pas trop.
*********** Mes aventures et mes GROSSES PEURS******************
Un retour soudain dans ma BAL relance mes rêves un peu fous. Les échanges wébiens se font réguliers, Claudie est la plus douce Solange est d'un tempérament plus ferme dans le ton des messages. Le temps passe et nous emmène à un échange téléphonique mais je ne puis connaître leur numéro en LR puisque ce sont elles qui appellent. L'entretien ressemble à un interrogatoire mais elles s'en excusent et le justifient en précisant que cela est par prudence car elles se méfient des fous sur le net.....
Je peux vous dire sans vous dévoiler la suite qu'il y a aussi des folles !
Le rendez-vous est organisé dans une brasserie proche de la gare de Lyon. Si affinités, elles me promettaient un week-end de rêve. Dans le cas contraire, retour à la case départ sans toucher les vingt mille francs. A 15 heures précises, le fameux samedi en question, les deux roses rouges emballées séparément et un verre de lait imposés comme signe de reconnaissance étaient en évidence sur une table en terrasse au lieu indiqué. Une charmante brune aux cheveux mi-longs, âgée de 30 ans environ arrive avec un léger retard (fort angoissant) puis s'installe face à moi avec un sourire à faire fondre un iceberg même par - 50°.
Solange n'a pu se rendre à notre rendez-vous mais cette divinité rase immédiatement ma prudence. Nous voilà donc partis dans sa Clio pour une fermette dans un petit village en banlieue dont je ne connais ni le nom ni l'adresse. Les petites routes empruntées et un chemin ne me permettent pas de savoir comment se nomme le hameau.
La fermette en question se trouve en pleine campagne. Je constate qu'elle est aménagée avec goût malgré l'usure du temps sur cette bâtisse du début du siècle. L'entrée en matière est brutale. Après avoir déposé mes affaires dans une chambre d'amis, elle m'imposa de prendre une douche et de revenir intégralement nu au salon. Je ne vous dis pas mon état d'excitation malgré l'eau qui normalement aurait du apaiser un peu ma libido exacerbée par les pensées érotiques générées par cette superbe fille et mes messages un peu fous imprimés et laissés visibles sur la table du salon.
Débarquer nu avec mon Popaul qui annonçait midi pile devant Claudie aux sourires amusés était un peu gênant mais aussi extrêmement grisant je l'avoue. La belle aux yeux rieurs faisait balancer une paire de menottes d'un air de dire « c'est pour qui ça » et moi, totalement inconscient je ne me suis posé aucune question en lui tendant les poignets.
Sauf que ! ! ! (1)
Elle ne me les a pas liés devant mais dans le dos, m'a passé un large collier avec de gros anneaux auxquels elle a rajouté une chaînette pour forcer la remontée de mes menottes. Jusque là, l'histoire sans paroles défilant devant mes yeux me comblait. J'allais vivre une réelle aventure SM + gode avec deux filles superbes.
Sauf que ! ! ! (2)
Je m'imaginais contraint à une dégustation de son corps de rêve et je me suis retrouvé sous une des poutres du salon avec les poignets tirés si haut que pour soulager mes épaules je devais me mettre sur la pointe des pieds.
Sauf que ! ! ! (3)
La belle Solange est apparue. Au lieu de la jolie blonde légèrement enrobée âgée des 30 printemps annoncés dans les mails, une montagne de femme de 45 ans et d'au moins 140 kilos s'est approchée de moi. Le grosse belle, ne pas confondre avec gospel, avait une poitrine gigantesque, des jambes trois fois plus grosses que les miennes et un cul à prendre deux chaises pour s'asseoir !
Cette fourberie a provoqué ma rage mais, mon instinct de survie m'a rappelé que ma position inconfortable en terme de self défense, ne me permettait qu'une chose : me taire et prier un dieu quelconque ou un de ses saints détaché aux abrutis inconscients.
Mes réfutations modérées dans la formulation, le temps d'attente, les attouchements et leurs échanges moqueurs m'ont permis de comprendre que Solange et Claudie étaient des sœurs, lesbiennes de surcroît et qu'elles avaient toutes deux un compte à régler, l'une envers les hommes, l'autre envers la nature.
La laitière aux énormes seins non siliconés et tombants s'est offert les baisers TRES attentionnés de ma bouche câline particulièrement motivée par la cerbère armée d'une cravache qui se complaisait à rudoyer et à marquer mes fesses et mes cuisses. La cravache est un instrument douloureux et, si vous ne le saviez pas, les chevaux ont la peau épaisse et plus résistante que l'homme. Pour prouver ma dévotion (à celle qui agitait la cravache) je me suis même donné totalement et avec conviction aux baisers demandés par le mammouth femelle.
C'est pendant ces instants de contrainte que j'ai commencé à apprécier cette femme que la mère nature a isolée des galants par son image contraire en tous points aux caryotypes définis par les magasines et le web. Ses baisers et caresses m'ont perturbé par leur ferme générosité.
Sauf que ! ! ! (4)
La jolie cerbère nous a abandonné un instant à nos échanges câlins pour revenir vêtue d'une tenue de mec faite d'un pantalon en cuir noir, d'un débardeur assorti sans féminité et d'un gode ceinture dont la taille m'a immédiatement affolé. Lorsqu'elle a entrepris de me lubrifier le fondement de ses doigts inquisiteurs sauvages, l'inquiétude grandissante a motivé la tentative de fuite de mes reins rapidement ramenés à la raison par sa poigne particulièrement ferme avec mes bijoux de famille. Face à ses arguments convaincants, mes suppliques sont restées sans effet. Son intention était bien de loger ce gode de grande taille dans mon étroit conduit anal habitué à des dimensions plus raisonnables.
Le visage perdu dans la poitrine plus qu'opulente de Solange qui commençait à caresser sans aucune gêne la zone située au milieu de ses cuissots de bonne taille, mes plaintes étouffées et incompréhensibles n'ont eu aucun écho. Le chose froide est venue se poser sur ma rosette puis à entreprendre de forcer le passage, action qui se résume en deux mots : extrême dilatation !
Comme dit la chanson de Georges Brassens, le juge criait maman sauf que je ne suis pas juge mais c'est du pareil au même pour le choix des mots/maux. La plus jolie des gorilles femelles avait bien l'intention de me labourer le fondement et elle l'a fait. Je vais résumer les impressions avec les mots suivants : horrible, enfer, casser le petit coin, ramonage, douleurs intenses, dilatation, mal, puis, après l'horreur des premières CINQ minutes très longues, l'impression de n'être plus qu'un cul sur lequel mon cerveau s'est focalisé. Petites portes grandes ouvertes indéfiniment et incontinence aussi, cette triste pensée m'est venue lors de son retrait de mon fondement douloureux.
.........................
Une demi-heure plus tard, les fesses «torchées » et lavées (difficile à vivre) je me suis retrouvé étendu sur le lit d'une chambre aux murs blancs avec la grosse laitière Solange bien décidée à s'offrir un broute minou. Si je me complais volontiers à partager les plaisirs féminins provoqués par ma langue naturellement motivée pour ce type de câlins, la taille des rondeurs et des cuissots passés au-dessus de mon visage m'ont inquiété même si mon cerveau était embrumé par la fatigue.
Ce qui devait arriver est arrivé ! La dame aux formes ultra généreuses s'est assise sur mon minois, ce qui a eu pour effets d'enfoncer ma tête dans le lit et de m'écraser le visage de ses chairs intimes particulièrement émues. J'entends par émues, le fait qu'elle mouillait si abondamment, que mes lèvres se sont littéralement noyées dans un marécage aux abords boisés et aux senteurs marines. Mon nez quant à lui s'est égaré dans la raie fessière au milieu des collines, pardon montagnes, qui n'ont pas tardé à se refermer sur mon appendisse nasal comme un glissement de terrain qui recouvre tout sur son passage.
Perdu au milieu de cette montagne de chairs intimes, je me suis vue mourir étouffé avec les poignets broyés par les menottes. Les 140 kilos + mon poids même modeste, sont devenus un véritable calvaire musculaire. Pour soulager mes poignets je devais me cambrer en appuie sur mes épaules ( zizi pas motivé en l'air) et forcer ma nuque vers l'avant pour trouver un léger passage d'air au centre de ses nymphes qui n'en finissaient pas de m'inonder. Lorsque j'ai senti Claudie enjamber mon bas ventre, l'image de son corps de rêve a soudain titillé ma libido. Enfin de bonnes choses.
Sauf que ! ! ! (5)
La lesbienne n'avait nullement envie de moi !
Assise sur ma verge qui n'a pas tardé à prendre de l'ampleur, elle a accroché des pinces particulièrement cruelles à mes seins puis s'est mise à jouer la chevauchée fantastique. Son entrejambe, hélas protégé par le pantalon de cuir, est très rapidement devenu irritant et très douloureux.
Mes tentatives de fuites via mes ruades limitées, ont été négociées à coups de poings dans le ventre. L'envie de meurtre ou de mordre m'est venue je l'avoue, mais l'idée d'une forme de suicide lent et organisé par ces furies ne m'a pas séduit. Je me suis donc investi totalement pour donner du plaisir à la pieuvre assise sur mon visage. Ma langue se mit à fureter le plus haut possible pour atteindre le bouton déclencheur des ondes orgasmiques mais la grosse dondon ne l'entendait pas ainsi. Elle me recadra d'un léger (mais lourd) mouvement de hanches pour que je lutine son intérieur vaginal à l'abondante générosité.
Pour mettre un terme à cette situation devenant particulièrement cruelle pour mes tétons en feu, ma verge malmenée et mes poignets écrasés, j'ai donné de la langue à en avoir des crampes. (Oui, oui vous avez bien lu !)
Ce qui devait arriver arriva ! Un tsunami moins important que celui de l'Asie m'a recouvert le visage sauf que celui-ci était accompagné des secousses sismiques ressenties dans les deux gouffres par mon nez et ma bouche. Pour m'en sortir vivant, j'ai bu les liquides liquoreux de cette femme fontaine, la première de ma vie malgré mes 42 ans et quelques.... expériences !
La dondon s'est ensuite avachie sur moi comme un immeuble qui s'affaisse ! La furie Claudie s'en est allée, nous laissant tous deux épuisés mais pas pour les mêmes raisons. Solange couchée visage sur ma masculinité toute molle pour cause de trop d'émotions douloureuses, s'est soudain remise. Lorsque sa bouche plantureuse a absorbé ma verge, j'ai enfin pu me délecter de quelques douceurs érotico-buccales.
Sauf que ! ! ! (6)
La Solange est devenue gloutonne, elle n'a pas entendu mes suppliques pour le retrait des pinces à seins. Quand l'onde bienfaitrice a commencé à monter dans mon bas ventre, je n'ai pu résister à l'envie d'embrasser les nymphes épanouies qui s'agitaient au-dessus de mon visage. Ce 69 est devenu torride et nous nous sommes envolés tous deux au paradis des plaisirs à quelques secondes d'intervalles. Elle m'a bu a son tour sans pour autant calmer ses ardeurs. Ouf ouf !
Repues et comblés comme deux amants complices, nous avons partagé quelques baisers, étendus sur la couche après le retrait extrêmement douloureux des pinces à seins.
Sauf que ! ! ! (7)
Claudie est entrée sans frapper, a guidé sa sœur vers la salle de bain puis m'a accroché une laisse au collier de mon cou en me tirant comme un chien. Je l'ai alors clairement informée que je n'avais plus envie de jouer. Le dialogue social n'étant pas son fort, elle s'est absentée quelques secondes pour revenir m'expliquer sa vision des choses la cravache à la main. Je l'ai carrément envoyé paître, elle m'a carrément cravaché. Le mot « connasse » m'a échappé et m'a valu un coup de pieds là où ça fait (très) mal mettant ainsi un terme à mes réfutations. A genoux devant cette salope, je me suis excusé platement sous peine d'autres représailles plus douloureuses. Je l'ai suivie dans la cour de la fermette où elle m'a imposé de « lever la patte » avant de me faire monter, toujours nu et entravé, dans le coffre de sa voiture.
Là j'ai eu très peur, mais vraiment très peur, même si elle cherchait à me rassurer en me promettant la liberté avant de refermer le coffre. L'angoisse de ce moment est indescriptible. Croyez-moi, il n'y a rien d'érotique qui puisse agir sur votre libido.
Quelques dizaines de minutes plus tard, la voiture s'est arrêtée et mon cœur s'est emballé. J'allais mourir dieu sait comment, mais j'étais convaincu d'une fin de vie proche. Sur un chemin perdu au milieu d'un bois, Claudie m'a fait descendre en essayant encore de me rassurer. Elle m'a fait marcher dans la pénombre puis a posé mon sac de voyage sur le sol en me disant : « Toutes tes affaires sont à l'intérieur avec ton portefeuille, ton argent et tous tes papiers ».
Elle a alors retiré la chaînette reliant mes menottes au collier qu'elle a également retiré et récupéré. Lorsqu'elle m'a demandé d'ouvrir la bouche, j'ai imaginé qu'elle allait y placer le canon d'un pistolet. Je l'ai supplié de ne pas me tuer, elle m'a traité d'idiot et m'a placé une clé dans la bouche.
- C'est la clé de des menottes. Tu va devoir te libérer seul, mais rassure-toi c'est facile. Ne cherche jamais à nous retrouver ou je te castre. Suis-je claire.
- Oui oui juré !
La belle est partie en courrant et moi j'ai pleuré un moment de toutes les émotions et peurs. Comme vous pouvez vous en douter, puisque vous me lisez, j'ai pu me libérer, me rhabiller et rentrer chez moi après avoir beaucoup marché pour trouver un taxi à l'approche de Lyon.
J'ai cherché à les joindre par mail car j'aurai bien aimé revoir Solange, mais elles ont changé de pseudo.
TSM
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L’entrepôt réaffecté
Par TSM
18 juin 2010
Dans mon intérieur la haine et la rage côtoient mon angoisse, cela doit bien faire deux ou trois heures que je suis suspendue. Ma passion des photos érotiques et SM dans des lieux glauques risque cette fois de me coûter cher si ce n’est la vie.
Quelle conne ai-je été de venir ici, il m’a promis de me libérer mais je n’y crois plus. Cet enfoiré s’est joué de moi sur tous tableaux non pas pour me convaincre puisque j’étais déjà piégée mais juste pour jouer avec moi comme le chat et la souris.
Quand j’ai vu cet entrepôt désaffecté en pleine Camargue mon regard artistique m’a fait foncer tête baissée. J’imaginais des plans, des poses, je m’excitais comme une folle puis j’ai découvert qu’une partie de l’entrepôt était encore utilisé pour des soirées SM parce qu’une porte de sécurité était mal fermée. Etant seule avec mes fantasmes et ma curiosité maladive, j’ai pris des poses sur les instruments en imaginant des étalons beaux comme des dieux en train de me faire l’amour. C’était si grisant que je me suis abandonnée au plaisir et ne l’ai pas entendu arriver. Je n’ai ouvert les yeux qu’au moment où il a fermé autour de mon cou le collier métallique du carcan.
Mes suppliques, mes cris et hurlements n’ont eu aucun effet, il m’a regardée me débattre en souriant avant de prendre une chaise et de s’asseoir près du carcan. Vautré sur sa chaise, cet enfoiré m’a questionnée sur les raisons de ma présence ici. Il a regardé mon matériel photographique avec un vif intérêt, nous avons parlé de l’Art de la photo, un peu de mes fantasmes et mes besoins d’argent. Son calme et sa façon de faire ont légèrement apaisé mes craintes, j’étais à ce moment là convaincue qu’il jouait juste avec mes nerfs pour me donner une leçon car à aucun moment il ne m’a touchée alors qu’il aurait pu me violer en toute tranquillité. En fait, ce pervers s’amusait à me manipuler.
Quand il a commencé à faire des photos de moi, à me demander de soulever ma robe ou de descendre une des bretelles, j’ai cru qu’il allait abuser de moi mais non, au contraire, il a redescendu ma robe en me disant qu’elle me dévoilait trop. Il me faisait des compliments sur ma beauté, mon charme et mon visage de princesse pendant qu’il me mitraillait en plaisantant sur son modèle. J’ai collaboré quand il m’a posé un bâillon en espérant que ce ne serait que pour les photos et non pas pour étouffer mes cris. Puis il a ébouriffé mes cheveux, avec de l’eau il s’est amusé à faire des trainées sous mes paupières pour faire comme si j’avais pleurée alors qu’il avait tous les moyens de me faire pleurer réellement. Puis il m’a proposé d’acheter mes photos alors qu’il aurait très bien pu tout simplement garder mon appareil, j’ai compris qu’il était dans la presse spécialisée.
Il m’a dit « je vous propose mille cinq-cents euros pour ses photos mais si vous acceptez d’en faire d’autres sur d’autres appareils, je double la somme » mes peurs se sont alors envolées, on ne propose pas de l’argent à quelqu’un que l’on va assassiner. Après m’avoir libérée et aidée à descendre, il m’a faite prendre les poses sur un pilori, sur une croix de saint André, accrochée à une chaine. Au plus le temps passait, au plus je m’amusais, au plus je m’excitais. Alors que j’étais debout avec les bras maintenus en l’air par une chaîne et des bracelets, il s’est approché de moi. Il a posé ses mains sur moi et j’ai su que j’allais m’offrir à lui sans même connaître son prénom. Ses lèvres ont commencé à butiner les miennes en douceur, je lui ai rendu son baiser. Complètement envoutée par son baiser et ses mains titillant délicatement mes tétons, mes neurones enflammés m’ont poussée à l’attirer contre moi d’une de mes jambes. J’avais envie de lui, de cet homme charmant et sûr de lui avec une voix grave et si douce. Sa main s’est faite plus aventureuse mais je n’ai pas serré les cuisses….
Alors que la vague montante s’annonçait, il m’a abandonnée un instant pour bander mes yeux en me promettant de me faire découvrir la jouissance extrême. Si j’avais eu les mains libres, dans l’état où j’étais je l’aurais violé mais entre ses mains, entre les mains du Maître de mon plaisir je n’ai pu qu’attendre qu’il m’achève. Les chaines se sont mises à bouger, mes bras sont descendus doucement puis avec délicatesse il m’a faite me pencher en avant pour attacher quelque chose à mon cou. Lorsque j’ai voulu me relever, cela n’a pas été possible, maintenue penchée en avant avec les bras encore au dessus de ma tête, le chemin de mon intimité lui était grand ouvert. Il se mit à bouger des trucs au lieu de me prendre, j’étais folle. Soudain, quelque chose s’est appuyé à l’entrée de mon sexe puis m’a pénétrée mais ce n’était pas son sexe. La chose s’est mise à bouger, à me prendre avec un rythme régulier puis une grosse boule s’est posée sur mon clitoris. Il bricola un instant puis elle se mit à vibrer trop fortement à mon goût même si c’était agréable.
Pour que je ne puisse me soustraire au plaisir qui ne pourrait que venir d’après lui, il entrava mes chevilles et pour que je garde la tête haute, il me fit une queue de cheval avec une corde qu’il attacha à la chaîne de mes mains. Mes oreilles me rapportèrent que la séance photo reprenait. Je l’aurai frappé si j’avais pu car à cet instant c’est de sexe que j’avais envie, pas de photos. L’Artiste du SM a entrepris mes seins avec de la corde au lieu de les caresser, il en a fait des boulles avant de poser sur mes tétons des pinces qui elles aussi se mirent à vibrer. En affinant ses réglages il m’a fait mal mais a refusé de desserrer les pinces en me promettant une jouissance extrême. Mon corps lui appartenait, il en faisait ce qu’il voulait, comme il voulait et le pire est que je me sentais partir de plus en plus haut dans l’excitation, l’acceptation, l’abandon.
De légers coups de martinet se sont abattus sur mes fesses, ce n’était pas douloureux, c’était juste un peu piquant parfois. Au fur et à mesure que je vibrais, que le temps passait, il tapait de plus en plus fort. Cela me faisait un peu mal mais paradoxalement c’était bon. Il s’est arrêté de me flageller puis a laissé ses machines me rendre folle. Quand sa verge bandée s’est posée contre mes lèvres, elles lui ont donné ce que j’aurai aimé lui donner avec mon corps. Jamais au grand jamais je n’ai autant apprécié de faire une fellation. La première vague contraction m’a faite hurler sans pudeur, je ne pouvais plus me contrôler, c’était trop fort, trop violent, trop bon, magique. La torride jouissance à peine terminée une autre s’annonça rapidement, j’étais essoufflée et en nage mais il ne changea rien, sa chose ne pouvait qu’accepter ce qu’il voulait.
La seconde vague de jouissance a laminé ma retenue, je me souviens avoir hurlée et m’être pissée dessus. Il m’a dit que je suis une femme fontaine, je ne sais pas ce que c’est réellement mais l’orgasme qui m’a emportée n’avait aucun rapport avec ce que j’ai pu connaître avant d’arriver ici. Lorsqu’il a jouis dans ma bouche sans me demander si j’acceptais de le « boire » j’ai tout bu, tout avalé sans aucune répulsion alors que j’ai une sainte horreur de ça. Entre ses mains, je n’étais plus la même femme, mon corps lui appartenait totalement. Pendant un instant j’ai eu l’impression de jouir en continue avant de me mettre à pleurer nerveusement et de m’évanouir.
Quand je me suis réveillée, j’étais suspendu par un harnais à deux mètres du sol avec une grosse couche pour personne incontinente entre les jambes. Mes mains recouvertes de moufles cadenassées sont attachées aux chaines. Mes pieds libres ne peuvent que battre l’air, cet enfoiré m’a transformée en pantin vivant et suspendue comme ça, je ressemble à un bébé dans son yoopala. Un gros bâillon recouvert d’une large bande de cuir m’interdit de parler, de crier. Le son de ma voix est presque inaudible. Où est-il ? Que fait-il ? Que va-t-il faire de moi ?
Lorsque je l’aperçois mon cœur s’emballe, il n’est pas seul, un homme l’accompagne. Je le hais, je me déteste, une peur viscérale me submerge. Ils parlent de moi je le vois, que vont-ils me faire ? La lumière est soudain tamisée, des bougies sont posées ci-et-là, ils mettent de la musique, un style qui me fait froid dans le dos on dirait du grégorien mais rythmé. L’idée qu’ils aient organisée une soirée SM dont je serai la vedette me glace le sang. L’énorme écran télé s’allume, oh mon dieu, ce sont les photos prises cet après-midi. Je me revois prendre des poses lascives on ne peut plus suggestives, pourquoi ai-je fait ça au lieu d’essayer de m’enfuir quand j’en ai eu l’occasion ?
Un couple entre, la femme porte un collier de chien, le mec la tire par une laisse. Ils se serrent la main, s’embrassent, la fille s’agenouille devant le bar pendant qu’ils prennent un verre. Un autre couple arrive, la fille bardée de cuir est énorme, sa jupe ne cache rien ou presque, l’homme lui retire la veste qu’elle porte dévoilant aux personnes la poitrine de sa soumise comprimée et exposée par un harnais. Je n’en peux plus, je fais un deuxième pipi dans ma couche. D’autres couple arrivent ils semblent ravis de se retrouver, une magnifique blonde est entravée sur la croix de saint André par son maître qui la laisse là pour aller boire un verre après avoir déposé une valise dans un coin.
Soudain, un projecteur braqué sur moi dévoile ma présence, si je suis heureuse que des gens sachent que je suis là parce que l’on n’expose pas quelqu’un que l’on va assassiner, je suis blême d’être vue ainsi suspendue pire que nue avec cette couche. Au bout d’un long moment, le maître des lieux invite les filles à prendre place sur un long banc. Elles s’y rendent, s’agenouillent et soulèvent les minces vêtements voilant leurs fesses exposant ainsi aux hommes une rangée de culs. Une séquence flagellation débute sous mes yeux, le pire c’est que toutes ces femmes semblent s’amuser comme des folles, elles discutent parfois pendant qu’ils les frappent. Quelque chose m’échappe, je ne comprends pas que l’on puisse prendre du plaisir à être ainsi flagellée devant tout le monde. Au bout d’un moment les filles se retirent, il n’en reste plus qu’une. Elle agite ses fesses comme pour provoquer trois hommes, elle est complètement inconsciente de faire ça, ils vont la massacrer.
Le massacre commence, l’un après l’autre ils fouettent ses fesses, son dos, bien que complètement libre de ses mouvements, elle ne bouge pas et garde la tête baissée. Une fille vient face à elle pour lui parler et l’embrasser. Malgré la musique j’entends ses cris, c’est complètement fou parce qu’elle semble prendre réellement son pied ! ! ! Les hommes s’arrêtent, l’un deux vient passer une crème sur ses fesses puis il l’aide à se relever. A peine est-elle debout qu’elle l’enlace et l’embrasse à pleine bouche.
Les yeux rivés sur cette fille complètement maso, je n’ai pas vu que les autres couples s’adonnent à leur envies et jeux SM. Un homme nu ou presque avec un harnais et entravé dans le pilori, une femme le fouette, une femme intégralement nue est saucissonnée devant tout le monde par un homme faisant comme des dessins avec la corde sur sa soumise. Ci-et-là on picole, on discute, en s’attache, on se fouette. Deux femmes étendues sur une couverture rouge se donnent en spectacle et se font un 69 glouton devant le bar. Un homme arrive avec un martinet fait de grosses lanières, il les fouette, elles ne bougent pas comme insensibles aux coups qu’elles prennent. Je n’en crois pas mes yeux parce qu’ils semblent s’éclater comme des fous. Mes chaînes se mettent à vibrer, oh mon dieu ils me descendent dans l’arène, que va-t-il m’arriver ?
Equipé d’un micro le mec qui m’a piégée ici attire l’attention des acteurs, il les invite à s’approcher de moi.
- Mesdames et messieurs, je vous présente Valérie, une soumise en devenir qui fantasmait en secret avant de venir ici. Paul lance le PPS, nous allons faire voir à nos amis que cette très charmante femme a des prédispositions.
Les chaînes s’arrêtent de bouger, je ne suis qu’à quelques centimètres du sol, tous les regards sont sur moi ou la télévision où défilent mes photos.
- Cette magnifique femme est venue ici par effraction. Je l’ai trouvée étendue sur le carcan en train de se caresser sans retenue. Plutôt que d’appeler la police et de porter plainte il m’a semblé intéressant de faire sa connaissance. Comme vous le constatez en regardant les poses, elle prenait lorsque je la photographiais. Valérie a de sérieuses prédispositions et attirances pour le SM. Au bout d’un moment, cette coquine très gourmande m’a presque mangé tant elle était excitée. Comme elle me semblait insatiable, je lui ai montée une séance comme le grand Maître Costello. (mastercostello.com) Comme vous le constatez sur les photos qui défilent sur l’écran, elle n’a pas été insensible et y a pris beaucoup de plaisir. Je puis d’ailleurs vous dire qu’elle pousse de très jolis cris lorsqu’elle jouit.
Même s’il ce qu’il dit est la vérité, je suis blême, morte de honte. Si je pouvais l’étrangler je jouirai de le sentir étouffer sous mes mains.
- Comme Valérie n’avait semble-t-il comme expérience que celle de ses fantasmes, je l’ai invitée à notre soirée mensuelle qui comme chacun le sait est organisée tous les premier samedi du mois. Je propose chers amis que les soumises s’occupent d’elle et la câline un peu avant de la libérer mais sans SM pour l’instant. Que des douceurs pour cette perle que je vous demande d’applaudir pour lui souhaiter la bienvenue.
Je n’en peux plus, je suis folle de rage, piégée, humiliée comme je ne l’ai jamais été et je vais être violée en public par une horde de filles masos. J’ai beau faire des « non » désespérés de la tête en les voyant s’approcher de moi, ces garces me touchent, me caressent, m’embrassent dans le cou pendant que deux d’entre-elles mangent mes seins. L’une d’elle parvient à insérer sa main dans ma couche et à titiller mon clito. Même si je n’ai aucune attirance pour les femmes, j’avoue que toutes ces mains et ces bouches commencent à m’exciter et à me rendent folle. Mon ravisseur les rejoint avec le mec prénommé Paul, ils me soulèvent dans mon harnais et arrachent la couche qui protégeait ma vertu et avait retenue l’urine. Les gloutonnes perverses en profitent, leurs mains se font très coquines et s’acharnent sur mon intimité offerte. Le plus surprenant est que leurs bouches aussi malgré que j’ai porté une couche. Ce que je ressens et complètement fou, je suis tenaillée par la honte mais aussi par l’envie de m’abandonner malgré moi. Telle la vague d’un tsunami balayant tout sur son passage, la jouissance monte en moi. Lorsqu’elle arrive elle rase en moi les mots « pudeur, gêne, principe, honte, … » la totalité de mon corps se met à vibrer puis à convulser. Dans ma tête et mon corps c’est Hiroshima. Je m’entends hurler dans mon bâillon tout baveux en prenant mon pied devant tout le monde.
Mon ravisseur prénommé Marc me retire le bâillon et me serre contre lui, les filles nous laissent tous les deux. Lorsqu’il soulève ma tête qui me semble lourde et m’embrasse à pleine bouche, ma langue lui rend son baiser sans ma permission. Cet homme m’a conquise et domptée malgré moi, il se sert de mon corps pour me faire perdre la tête, mais je ne saurai dire pourquoi je n’ai pas envie de lui résister.
TSM
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