• Patrick

    AUTEUR : TSM


    ATTENTION, le sujet abordé par ce texte est violent et aborde la vie très particulière d'un malade mental.


    ************************

    Laurie est loin d'imaginer qu'elle vient de se confier à un fou. Un véritable fou, un malade mental extrêmement dangereux, car son intelligence lui permet de raisonner pour vivre sa folie.


    Petite et frêle affichant avec grâce ses 19 printemps, Laurie est jolie, intelligente, pauvre et sans famille. Issue de la D.A.S.S, elle n'a connu qu'une vie misérable, habitée du souvenir d'une famille disparue lorsqu'elle n'avait que six ans. Vivant de petits boulots, mais aujourd'hui au chômage, le connard de patron du bistro où elle était serveuse ayant essayé hier, après la fermeture, de la coincer dans les toilettes. Laurie a pu lui échapper d'un coup de genou dans ses précieuses ridicules, perdant du même coup son emploi.

    Assise à la terrasse d'une brasserie, elle se confie à Patrick, un homme charmant qui l'écoute attentivement, sans jamais la couper. Profitant de cette oreille attentive à son désespoir, elle se laisse aller en confessions. Cela fait tellement de bien de vider son cœur de temps en temps.

    Il est lui aussi de la DASS. Mise en confiance, elle accepte sa proposition de la reconduire chez elle. Elle est même flattée quand, grand seigneur, il lui ouvre la portière comme on le ferait à une princesse. Son cœur résonne de l'émoi que déclenche ce quidam alors qu'elle s'assied avec le plus de grâce dont elle est capable, dans le riche cuir du véhicule sport. Un violent coup sur la tempe la plonge dans l'inconscience en plein cœur de son rêve.

    *****************
    Elle reprend conscience.

    Quelque chose gêne sa langue, elle a mal à la tête, ses bras et ses jambes sont immobilisés. Laurie reprend conscience lentement puis ouvre les yeux sur l'horreur absolue. Ce qui gêne sa langue, c'est une sucette de bébé maintenue dans sa bouche par un élastique qui fait le tour de sa tête, elle est nue, hormis une couche ! ! ! ! Ses bras et ses jambes sont liés aux barreaux d'un lit, un nounours en peluche est posé contre son cou !

    Dans un premier temps, elle se croit encore endormie et en plein cauchemar, avant de réaliser qu'elle est bien réveillée et que c'est bien un cauchemar qu'elle est en train de vivre. Elle recrache la sucette et se met à hurler des « au secours » désespérés en tirant sur ses liens comme une furie, mais en vain. Patrick entre dans la chambre d'enfant aux murs recouverts de papier peint rose orné de divers motifs représentant les personnages de Disney. Il sourit et tient dans sa main un biberon !

    Laurie explose dans une avalanche verbale faite de cris, d'insultes, d'ordres de libération et de menaces, mais il reste calme et souriant, placide. Cette quiétude horripile Laurie qui s'essouffle et pleure en se démenant contre les entraves. Il s'assoie près d'elle pour caresser son visage ruisselant de larmes d'un doigt léger qui se veut apaisant.

    - Chut, calme-toi, tonton est là et va bien s'occuper de toi !

    - Mais vous êtes fou, libérez-moi de suite ou je vais ....

    - Ou tu vas quoi ? Tu vas rien du tout, tu vas prendre ton biberon comme une grande fille, cela ira mieux après.

    - Allez vous faire foutre espèce de taré ! Hurle Laurie en détournant la tête pour esquiver le biberon qui s'approche de sa bouche.

    Même si le rapport de forces qui s'engage est inégal, les mains de Patrick qui déforment les joues du visage crispé pour faire ouvrir les mâchoires serrées ne parviennent pas à lui faire prendre en bouche la tétine qui commence à goutter.

    - Grosse vilaine, tu vas être punie ! Explose Patrick en posant le biberon sur la table de nuit avant d'ouvrir son tiroir pour en extraire un martinet qui n'a rien d'un martinet d'enfant.

    A sa vue, Laurie se met à hurler mais cela n'arrête pas Patrick dans ses intentions punitives. Il arme son bras puis entreprend de flageller les cuisses agitées de la captive criant sa douleur et son désespoir. Lorsqu'il se met à fouetter sa poitrine aux jolis seins en forme de poire, les ruades de souffrance sont telles, que le bruit du lit qui grince en ripant sur le carrelage est largement couvert par les cris inhumains.

    La correction ne voit son terme que lorsque la peau est uniformément bien rougie, signe pour Patrick que la punition est bonne. Pleinement satisfait, il range le martinet dans son tiroir et reprend son biberon pour s'asseoir près de sa victime à la peau écarlate.

    - Moi, j'aime les enfants, mais il y a toujours un parent qui le cherche et c'est chiant. Par contre toi, tu es seule et sans famille, alors tu vas jouer la petite fille pour moi. Je serai ton tonton et tu seras bon gros bébé. Tu es d'accord hein ? Tu vas boire mon biberon ?

    Après la raclée qu'elle vient de prendre, Laurie est d'accord avec tout, pourvu qu'il ne la frappe plus, pour gagner du temps aussi et reculer l'échéance fatale, parce qu'elle est maintenant convaincue que ce malade mental va la tuer après avoir fini le jouer à la poupée avec elle.

    Entre ses lèvres, la tétine trouve sa place sans résistance, les tremblements nerveux de ses mâchoires l'aident à faire couler le lait chocolaté et un anxiolytique puissant pour l'aider à assumer sa nouvelle vie de bébé. Patrick s'est étendu contre elle, il passe son bras sous la petite tête blonde puis la regarde téter en déposant des baisers sur les joues rouges de honte et mouillées de larmes. Le contact physique avec le visage chaud de son bourreau la répugne. Elle n'a de cesse que de mâchouiller la tétine pour mettre un terme au plus vite avec cette infamie.

    Le biberon terminé, il le dépose sur l'oreiller puis glisse la main sur son ventre pour la faire passer dans la couche qui protège encore sa pudeur en se serrant contre elle pour la dorloter un peu.

    - Non ! Arrêtez s'il vous plait. Pas ça. Pitié, libérez-moi.

    - Oh ! Tu es toute mouillée. Tu vois que tu es encore un gros bébé et que j'ai bien fait de te langer tout à l'heure. Rassure-toi, je vais te laver et t'en mettre une propre.

    Dans la tête de Laurie, l'horreur s'installe. Le débile mental farfouille dans sa couche pisseuse en se délectant semble t-il des poils de son pubis mouillé de ses urines tout en la touchant entre les jambes. Oh mon dieu, c'est ignoble !

    Même si elle s'est laissée aller quand il l'a battue comme un damné, elle ne veut pas être lavée par cet être abjecte, ce rebus de la société.
    NON elle ne veut pas qu'il la voit nue, qu'il la touche, elle veut vivre loin de lui. Elle veut partir loin de cette folie.

    Autour de son cou de jeune fille, il passe un horrible collier d'acier noir qu'il referme avec un cadenas avant de détacher ses poignets un par un qu'il entrave de force aux bracelets de cuir. L'emblématique de sa nouvelle condition lui saute aux yeux : elle est le bébé esclave d'un débile mental !

    Les jambes déliées, tenue d'une main ferme, elle marche avec ce truc qui frotte et pendouille entre les cuisses mais protège encore son intimité. Ils arrivent dans une salle de bain morbide, faite d'un lavabo, d'un bac à douche sans rideau et d'un miroir qui lui renvoie l'image de sa déchéance. Complètement désespérée, elle entre dans la douche puis le regarde lui retirer la couche humide de sa peur, mais aussi l'ultime protection de sa pudeur. Le jet d'eau est réglé, il mouille son corps puis se munit d'un gant qu'il savonne pour la laver comme un enfant, sauf qu'elle n'est plus un enfant !

    Ses yeux ruissellent de désespoir et de honte, quand il insiste entre ses jambes, entre ses fesses comme si elle était encore un bébé alors qu'elle est à l'aube d'une vie déjà bien difficile et cruelle dont la fin semble proche et devient un véritable enfer.

    Laurie meurt de froid quand il la sèche avec une serviette, sa peau de pêche n'est plus que chair de poule. Il s'assoie sur un vieille chaise de bois puis l'attire à lui. Assise sur ses genoux, elle regarde la main pileuse qui la sèche puis qui s'attarde aussi sur ses seins aux tétons en érection malgré eux. Les contrecoups de ce qu'elle a vécu emballent son cœur, il la serre dans ses bras et la berce.

    Pendant un instant, elle s'abandonne à lui, à sa chaleur et pose sa tête contre son épaule mais ce moment apaisant ne dure pas. La main s'aventure entre ses cuisses pour jouer un instant avec la toison de son pubis. Les poignets liés, elle ne peut que resserrer les jambes pour fuir la caresse perverse.

    - Je vais te faire un beau ventre bien lisse, tu seras plus jolie. Dit Patrick en la forçant à se lever.

    Debout dans la salle de bain, toute abasourdie, elle le regarde fouiller dans l'armoire à glace pour en extraire des ciseaux, de la mousse à raser et un rasoir. Laurie craque. Dans un premier temps, elle hurle un « non » puis se met à courir vers lui la tête en avant pour trouver un passage et fuir.

    Projeté contre la porte, Patrick s'écroule et heurte le mur avec sa tête. Furieux, il bondit aussitôt après la vilaine en lui criant qu'elle mérite une fessée. La vilaine en question n'est pas d'accord et fuit, mais elle est vite rattrapée dans le couloir sombre, elle glisse de ses pieds mouillés avant de s'étaler sur le carrelage froid.

    Tel un requin, le faciès de l'homme qui s'approche n'a plus rien d'humain. Elle déglutie avec peine et le supplie de la laisser partir. La prenant à bras le corps, il la soulève de terre et la porte jusque dans le salon, insensible aux coups de pieds de Laurie qui se contorsionne pour tenter d'échapper à son étreinte.

    Il s'assoie sur une chaise et la couche sur ses genoux. Elle se sent serrée contre son corps par un véritable étau, une jambe bloque les siennes, les fesses offertes à son courroux, elle n'a plus aucune liberté de mouvement. Laurie n'arrive pas à concevoir ce qu'il va lui arriver, elle ne peut pas l'admettre. Elle se débat pour se délivrer, rendue hystérique par la main devenue caressante comme la brise prévenante qui annonce l'orage.

    Ce n'est pas une fessée, mais une bastonnade fessière. La main devenue battoir claque terriblement fort sur l'épiderme en laissant les traces d'une giroflée à cinq branches à chacun de ses passages. Les cris d'agonie de Laurie galvanisent ses ardeurs punitives. Il bande comme un taureau, ce petit corps chaud agité contre son sexe prisonnier dans un jean, génère des mouvements provocateurs de désirs qu'il conviendra d'assouvir sans trop tarder.

    De grosses larmes roulent sur les joues de Laurie, pendant que ses lèvres tremblantes laissent échapper de longs gémissements. Elle est épuisée de crier, de lutter et subit maintenant sans résistance. Pour Patrick, la couleur bleutée des charmantes rondeurs correspond à ses critères de bonne fessée. Il s'est fixé une échelle d'indicateurs pédagogiques dans ses corrections, rouge devant, bleuté derrière mais pas plus, parce qu'après la peau éclate et c'est moche.

    Cette torture au-delà du supportable physiquement la fait sombrer dans une forme de léthargie. Immobile et choquée, elle ne réagit plus quand les doigts apaisants caressent ses formes brûlantes avant de s'insinuer entre ses cuisses pour venir visiter son intimité. Portée sur la table pour y être étendue sur le dos jambes écartées, elle n'a même plus honte du spectacle qu'offre sa fente béante dévoilant sans pudeur son puits des amours.

    Abandonnée un instant, Laurie ne bouge plus, stoïque, elle attend la suite de ses tourments en plongeant dans le gouffre psychologique de la déchéance imposée.

    *

    Paul regarde son doberman. Il a encore sauté la clôture et s'amuse dans le jardin du voisin. Loin de s'offusquer et de rappeler son chien, il se complait à imaginer la tête de Patrick quand il verra son nouveau massif détruit par un animal errant. Il n'aime pas le locataire du pavillon contigu au sien. Il le trouve impoli, débile et ne s'explique pas pourquoi il n'ouvre jamais ses volets et plante des massifs de roses la nuit !

    C'est le troisième qu'il voit pousser ainsi au milieu de la pelouse jamais arrosée ni tondue depuis qu'il s'est installé il y a six mois. Cette incohérence chagrine la logique.


    *

    Il l'a rasée, talquée puis lui a passé une grosse couche culotte. Elle n'a pas résistée, ni émis la moindre objection comme si sa voix s'en était allée avec sa pilosité. Avant de la coucher avec l'éternelle sucette de bébé, il l'a prise sur ses genoux pour lui donner un deuxième biberon de lait chocolaté agrémenté d'un somnifère et d'anxiolytiques.

    *
    Le lendemain

    Laurie est désespérée mais particulièrement vaseuse. Dans sa tête un songe étrange mine sa pensée embrumée. Cela est très confus, mais elle garde le souvenir d'avoir embrassé quelqu'un cette nuit et d'avoir apprécié des mains câlines. Cela ne peut être qu'un rêve lui crie sa volonté. Je ne peux pas avoir embrassé ce débile mental !

    La porte s'ouvre soudain pour laisser passer Patrick encore en pyjama mais avec un biberon à la main.

    - Ca va bébé ?

    - Je ne me sens pas bien et j'ai envie d'aller aux toilettes ! Répond Laurie après avoir craché sa sucette.

    - Il faut d'abord que je te donne ton biberon. Après, je te ferai voir où est le pot. C'est bien, tu grandis vite.

    Le monstre s'étend sur le lit, caresse son visage et ses seins en déposant une kyrielle de baisers sur la figure blême. Comble de l'horreur il lui murmure un « je t'aime » en la baisouillant du bout des lèvres. Tendrement enlacée, elle prend le biberon au lait narcotique en pleurant. Elle aimerait être comme ses larmes pour fuir son corps pendant qu'il mange délicatement son oreille gauche. Pour abréger ce lamentable contact, elle aspire comme une goulue sur la tétine, mais il la lui retire de temps en temps pour faire durer le plaisir.

    Le biberon bu, Laurie est levée, ses poignets sont entravés comme toujours derrière le collier d'acier qui ne la quitte plus. Patrick la guide vers la salle de bain maudite, lui retire sa couche puis l'invite à prendre place sur un seau qu'il appelle pot. Elle le supplie de la laisser, mais il refuse, c'est trop dangereux, elle pourrait tomber et se blesser. Uriner et déféquer devant lui est une étape humiliante supplémentaire qu'elle ne peut éviter, mais ce qui est horriblement dégradant c'est d'être essuyée.

    La douche ne lave rien de sa honte. Murée dans son silence, elle s'abandonne au gant puis à la serviette, l'honneur, la dignité et le respect sont comme sa liberté, réduits à néant. Ses jambes en coton longuement frottées la portent à peine, jusqu'au salon où il la guide pour les « soins obligatoires » d'après lui. Sur la table bancale, elle s'étend difficilement sur une grande serviette installée pour la préserver du froid du plateau de bois et lui offrir son intimité dans une monstrueuse position. Jambes écartées, cuisses repliées sur sa poitrine, elle s'attend maintenant à ce qu'il la viole, cela ne peut être autrement.

    Patrick n'en est pas encore à cette étape dans son processus diabolique qui la conduira à la mort, non, il veut reproduire les étapes d'une vie heureuse qu'on lui a volée. Il étale délicatement sur les cuisses frémissantes du lait de bébé, qu'il accompagne de ses gros doigts dans les moindres replis. L'index agile masse avec précaution les nymphes exposées puis entre les fesses avec insistance. Le petit anneau s'est affolé pour rien quand il y a déposé de la crème parfumée, non, il n'a pas l'intention de la forcer, enfin, pas encore.

    - Hum ! Tu sens si bon qu'on en mangerait ! Dit Patrick en souriant avant de déposer avec une joie perfide des baisers sur la vulve lisse et exposée.

    Il l'abandonne un instant et va quérir les accessoires indispensables pour assouvir sa folie, une couche, une jupe rouge à carreaux, une grande étoffe en coton rose, une boite de suppositoires à la glycérine. A la vue de l'ovule, Laurie fait des signes de la tête pour dire « non » mais les souvenirs cuisants de la veille lui rappellent que la résistance inutile lui a valu deux corrections d'une violence inouïe.

    Les jambes écartées et les cuisses ramenées sur la poitrine, son fondement attise les attentions câlines du pervers débile. Il s'abandonne en tendresses déplacées par de petits baisers bruyants sur la peau des fesses qui portent encore les stigmates de la bastonnade fessière. Par prévenance, il se met à humidifier l'anus peureusement contracté en léchant attentivement la zone située entre les deux hémisphères rebondis puis en titillant le petit anneau plissé de la pointe de la langue.

    Le contact froid provoque la contraction du sphincter mais cette résistance toute naturelle ne dure que le temps de le dire. Le colon de Laurie est rapidement investi de l'ovule accompagné dans les profondeurs par un index précautionneux ou curieux, arrachant un gémissement à la captive submergée de honte et en proie à une crise d'angoisse. La phalange installée, s'agite en de petits mouvements circulaires comme s'il y avait besoin de remuer après avoir inséré, pendant que les lèvres et la langue de Patrick chagrinent le clitoris peu motivé à sortir de son écrin ce qui est une très sage idée.

    En effet, pour Patrick, le bébé fille est bien une enfant, car si elle s'était mise à mouiller et à se trémousser sous sa langue en acquiescant, il aurait violée et étranglée sur le champ l'enfant devenue salope !

    Rassuré sur la moralité de sa captive, le débile mental se relève en arrachant sans plus de précaution l'index de l'étroit conduit qui aurait préféré plus de douceurs dans le retrait. C'est avec une grande satisfaction que Laurie le voit saisir une couche. Comme l'on peut s'en douter, il n'a point besoin d'user de la force pour enfiler la protection qui lui servira surtout à protéger son intimité. Ce dont ne se doute pas cette pauvre fille, c'est qu'aller dans le sens de son bourreau pour être épargnée sur l'instant ne sera pas toujours une bonne idée.

    Malgré le fait qu'elle est été invitée avec gentillesse à se relever, elle observe les faits et gestes de Patrick avec une boule d'angoisse sur l'estomac et le cœur battant d'appréhension. L'étoffe est savamment enroulée autour de son buste pour compresser sa poitrine et la jupe rouge à carreaux est enfilée autour de sa fine taille. Guidée par la nuque, elle prend place sur les genoux de son bourreau pour être longuement coiffée avec une grande attention ce qui lui permet d'apprécier toute la misère du lieu.

    Les chaises en pin dénotent avec la table en chêne et le buffet en teck des années soixante-dix, bien usé par le temps. Aux murs couverts de papier jauni, s'alignent des cadres avec des photos de famille, la vitre de certains étant fendue, aucun n'étant droit. La femme de ménage a du être congédiée il y a fort longtemps au vu de la poussière installée tout comme les « moutons » qui s'entassent au sol ça et là. Le mur face au canapé troué est dédié à une exposition réservée à un bébé, toujours le même, dont on peut voir la passion des parents désireux d'immortaliser chacun des premiers instants de leur trésor emmailloté.

    Laurie est prise d'un sentiment de tristesse pour cette famille éclatée ou disparue, puis, lorsqu'il entreprend de lui faire de couettes sur les côtés, se dit dans un instant d'amertume qu'il faudrait interdire à de tels malades mentaux de procréer.

    L'état psychologique de Patrick est particulièrement complexe. Il manque cruellement d'affection, d'en donner comme d'en recevoir, il vit avec une haine farouche pour les femmes tout en ayant besoin d'elles pour assouvir ses envies. Les prostitués sans aucun sentiment ne peuvent être une solution, le self-service n'a rien de sentimental, il éprouve une passion sans limites pour les enfants sans pour autant être pédophile.

    Il a très mal vécu la séparation difficile avec son ex femme. Tellement effrayé de perdre son enfant, il avait alors réagi avec violence et, dans un accès de colère plus fort que les autres, avait perdu son self contrôle et jeté au visage de son épouse une poêle d'huile bouillante avant de se barricader avec son bébé.

    Comble de détresse et pour parachever de construire le monstre qu'il a fini par devenir, en perdant son épouse, Patrick a définitivement perdu sa petite fille si essentielle à son équilibre déjà précaire. Il n'aura plus jamais l'occasion de retrouver sa famille, disparue à l'occasion de son internement en hôpital psychiatrique après cet incident.

    ****

    Ils sont installés dans le canapé devant la télévision qui diffuse des dessins animés comme tous les dimanches matins. Blottie malgré elle dans les bras de Patrick qui la berce comme un bébé, elle sombre dans une léthargie médicamenteuse et s'abandonne contre sa poitrine sous de tendres et sages caresses paternelles. Le flash publicitaire pour un film d'adolescents réactive la névrose en titillant les neurones malades.

    La bouche de Laurie est soudain investie par une langue répugnante pendant qu'une main jusqu'à présent simplement affectueuse s'insinue sous la jupe avec des intentions clairement affichées. Même si elle se doutait bien qu'à un moment ou un autre il la violerait, elle ne peut s'y résoudre et se contorsionne pour essayer d'échapper aux mains et aux lèvres avides.

    Ramenée à la raison par une pluie de gifles et de claques magistrales sur ses cuisses, qui arrachent à Laurie des cris et hurlements, elle se laisse embrasser à pleine bouche en pleurant à chaudes larmes terrassée de douleur et terrifiée par l'inévitable à venir. Repoussée manu militari, elle le voit avec horreur baisser son pantalon de pyjama pour un extraire une verge bandée.

    - Regarde ma jolie poupée, elle a envie de toi. Il va falloir être gentille et la prendre dans ta bouche pour lui faire des bisous. Oui de gros bisous parce que moi aussi j'ai droit aux bisous, dit Patrick avec un sourire malsain inscrit sur le visage en tenant Laurie, sous le menton, bien serrée, tête haute.

    Les larmes et suppliques n'altèrent en rien ses pulsions perverses. Il passe la main derrière sa nuque et la referme fortement comme s'il voulait lui broyer ses vertèbres cervicales en la guidant vers son sexe nauséabond. Laurie ne peut qu'abdiquer et prend dans sa bouche l'appendice en réprimant une nausée quand le gland fétide heurte sa luette.

    *

    Paul s'étonne de l'acharnement de son doberman à vouloir creuser le même massif depuis deux jours. Lorsqu'il le rappelle, une forme émergeant des roses attire son attention. Ne parvenant à définir clairement ce que cela peut être, il va quérir sa longue vue. Passionné d'astronomie, sa dernière acquisition lui permettrait sans problème de compter les pétales s'il en éprouvait l'envie. De la fenêtre de la chambre située au premier étage de sa maison, ce qu'il découvre par l'objectif justifie largement le fait qu'il s'assoie un instant sur le lit avant de dévaler quatre à quatre les escaliers pour appeler la police.

    - Le 17 j'écoute !

    - Un cadavre est enterré dans le jardin de mon voisin.

    - Si c'est une plaisanterie, vous risquez la prison monsieur.

    - Vous êtes con ou quoi ? Une main qui dépasse de terre vous semble une plaisanterie ?

    - Je vais prendre votre adresse et vous envoyer une patrouille, mais si elle se déplace pour rien, je vous collerai en plus un outrage à agent. Vous êtes monsieur .....


    Vingt minutes plus tard, deux inspecteurs se présentent au domicile de Paul. Il leur explique la situation et les conduit à sa longue vue toujours installée à la fenêtre. La réaction ne se fait pas attendre, un rapport est immédiatement fait au commissariat par radio. Il ne s'agit pas d'une plaisanterie !

    En attendant les équipes compétentes pour ce genre d'affaire, l'inspecteur Moiret fouine autour de la maison pendant que son collègue finit de restituer son petit déjeuner sur le trottoir de la rue. Toutes les portes et fenêtres sont fermées, il n'y a pas de voiture, la maison semble abandonnée.

    Par la fente d'un volet particulièrement endommagé, ce que découvre l'inspecteur Moiret dépasse l'entendement dans le monstrueux. Face à lui, une jeune fille en larmes, avec une sucette de bébé dans la bouche, est entravée sur un cheval à bascule qu'un homme d'une quarantaine d'années semble violer en s'amusant de la bascule qu'il agite par une corde passée autour du cou de sa victime qui doit s'étrangler au vue de la couleur de son visage.

    Devant l'urgence de la situation, il est hors de question d'attendre. L'inspecteur se précipite vers l'entrée du pavillon, tire trois balles dans la serrure, pousse la porte et s'engouffre à l'intérieur. La rencontre avec le pervers débile se fait dans le couloir qui mène à la chambre. L'inspecteur glisse sur une couche sale et s'étale sur le carrelage. Patrick se précipite sur l'intrus venu casser son rêve, avec la ferme intention de le massacrer avec son rasoir.

    L'inspecteur tire. La première balle dans l'épaule ralentit à peine le pervers, la deuxième tapisse le plafond de neurones malades, accompagnée d'une troisième inutile dans la logique de défense mais qui parachève le travail en repoussant le corps qui allait s'écrouler sur lui.

    Au moins, celui-là, on ne lui trouvera pas de circonstances atténuantes ! Dit son collègue en libérant Laurie de son carcan d'enfant avant de la prendre dans ses bras pour tenter de la consoler un peu, mais bien plus naturellement que Patrick.

    Fin d'une sombre histoire.





    votre commentaire
  • Outils et accessoires à petit prix et astuces de discrétion

    AUTEUR : TSM de fessestivites.com


    Ci-dessous quelques trucs et astuces pour du matériel à petit prix :

    SLING Pour se faire un sling CONFORTABLE et à un prix raisonnable, aujourd'hui, on trouve des balancelles UNE PLACE d'appartement. C'est joli, sympa, confortable et cela plait même à vos amis qui ne se doutent pas de l'usage que vous en ferez.... Lorsque vous la transformez en sling, ajoutez des sangles ou autres pour maintenir les jambes relevées.

    SULKY (pour le pony-play) Les chariots de jardin de Catena , Mr Bricolage suffisent amplement et en plus, ils font double usage : jardinage / jeux BDSM.

    ENTRAVER N'IMPORTE OU avec des serre-joints de maçon. Ils peuvent se poser aux portes, au chambranle des portes mais ne sont pas suffisant pour de la suspension. Ils se trouvent en magasin de bricolage à de très petits prix. Pour ne pas abimer le papier peint ou la peinture prévoyez des gants de toilette ou des chiffons.

    UNE PORTE ! Qui n'a pas de porte chez lui ? Personne ! Une sangle passe entre la porte et le chambranle, de fait, si elle est attachée à une barre (manche à balai coupé par exemple) quand la porte est fermée (à clé c'est plus prudent) la barre qui est derrière la porte bloque la ou les sangles. Quand la porte est fermée, il est possible d'avoir un point d'encrage TRES SOLIDE voir même de se suspendre sans risque. (je n'ai jamais vu un chambranle s'arracher).

    UN PILORI portable qui se cache ? Il est facile à fabriquer avec une planche épaisse, une scie sauteuse quelques anneaux et une fermeture puis de la peinture pour le décorer à votre convenance. Rangé derrière ou dans votre armoire, personne ne le saura.

    Decathlon ou GO sport ou autres
    Cravache, stick, mors, cordes solides, matériel canin ou équestre, matériel d'alpinisme ou de saut à l'élastique ou de sécurité pour le trampolin, tenue de danseuse (humiliation), gant de boxe (sans aide pour les retirer cela peut être galère) Dans ces magasins, avec un peu d'imagination, il est possible de se faire un très bon coffre à jouet avec du matériel solide. Certes l'aspect ne fait pas SM, mais c'est moins cher et surtout plus SOLIDE que la camelote de certains sexe shop.

    SUR EBAY on trouve de bons accessoires BDSM ou autre à des prix fous ! Nous avons toujours été livré et croyez-moi, nous y achetons souvent.
    On y trouve des camisole de force à 50 euros, des cages de chasteté en métal traitée anti rouille pour 80 euros (plus solides que les CB qui se cassent), de vraies menottes pour 15 euros si vous n'avez pas un armurier près de chez vous, de la corde spéciale pour le shibari à 8 euros.

    LES POINTS D'ACCROCHE / D'ATTACHE !
    Avec une chaine et des cadenas par exemple il est aisé d'attacher quelqu'un dans un lit, aux WC, aux barreaux de la fenêtre, au pied du lavabo, au cliclac, ......

    LES PINCES A LINGE ou la mitraillette ?
    Si vous posez une boite de pince à linge sur le corps d'un soumis, il est possible en les liant avec de la ficelle à rôti de faire quelques trucs.
    A) Tirer tout d'un seul coup (d'où le bruit de la mitraillette) C'est assez douloureux.
    B) S'il a les mains menottées, attachez le bout de la ficelle à quelque chose de solide puis demandez-lui de vous rejoindre au salon par exemple. Auto punition forcée....

    ATTACHER VOTRE SOUMIS AVANT DE PARTIR mais en TOUTE SÉCURITÉ
    Mettez les clés du ou des cadenas dans un récipient plein d'eau et congelez-le. Cela s'appelle un ice-timer. Mettez le ice-timer prés de votre soumis qui restera attaché tant que la glace n'aura pas fondue.
    Si vous avez décidé de sortir au cinéma par exemple MAIS qu'il doit resté entravé, ce moyen lui permettra de se libérer seul s'il vous arrive quelque chose. PRUDENCE coupez le chauffage, le gaz et limitez tant que peu se faire ce qui peut générer un incendie, rien autour du cou et aucune entrave qui puisse se serrer seule du type sangle ou menottes de pacotille. Une chaine et un cadenas sont très efficaces.
    PENSEZ à laisser le téléphone à portée au cas où....

    JEUX D'HUMILIATION ou DE CHASTETE
    Sur un bon jean, cousez la fermeture éclair ou à bouton, remplacez la ceinture par une chainette et un cadenas. Laissez mijoter ou "réservez" (Sourire aux cuisinières...)

    JEUX ABDL ou d'humiliation

    Pour ne donner qu'une adresse mais en cherchant vous trouverez d'autres magasins. www.sphere-sante.com pour les GROSSES couches, les culottes en plastique. Ce magasin de vente en ligne est très sérieux. Ils vous remboursent même les colissimo sans aucune réclamation de votre part si la poste vous livre en retard !!!!!!!

    Conseil : pour des nuits de bondage prolongées ou des jeux de longue durée, prenez des couches d'une contenance supérieure à 3000 ml (3 litres) et mettez-en deux si vous aimez jouer la durée. Si vous en mettez deux l'une sur l'autre, pensez à percer la première pour que les liquides se répartissent dans les deux couches.

    AUTO DELIRES ET PLAISIRS SOLITAIRES

    Chasteté : avec les cadenas vendus par fessestivites.com qui vous permettent d'avoir une gardienne de clé (KH) 100 % à votre écoute.

    ABDL : avec les cadenas vendus par fessestivites.com pour vos culottes à cadenas ou ceintures réalisées avec des chainettes.

    Bon amusement



    votre commentaire
  •  

     

    Le sujet "chasteté" sera grandement abordé et développé sur le site www.fessestivites.com  (GRATUIT) qui ouvre ses portes aux environs du 10 mai 2011.

     

    Pourquoi la chasteté ?

    Ce n'est pas sombrer dans les banalités de la psychologie que de rappeler que, dans leur grande majorité, les hommes et les femmes ont une approche sensiblement différente de la sexualité. Les femmes s'investissent dans une relation sexuelle sur un plan passionnel et émotionnel, le physique n'étant qu'une résultante. Les hommes, eux, s'investissent principalement physiquement et cérébralement, mais cette cérébralité est largement abstraite c'est à dire peu personnifiée, ce sont donc le contexte et la situation qui les motivent pendant l'acte, les sentiments étant relativement peu présents.

    Il faut savoir que les hommes fidèles sont fidèles parce qu'ils ont décidé de l'être et non parce que la relation sexuelle sans sentiment les rebute. Les femmes ont souvent du mal à comprendre cela mais c'est pourtant vrai. Preuve en est d'ailleurs que nombre d'hommes infidèles restent sincèrement très attachés à leur femme, alors qu'une femme qui trompe son mari est toujours mûre pour le divorce à brève échéance.

    Les hommes fidèles sont donc beaucoup plus facilement victimes d'une baisse d'intérêt pour les relations conjugales du fait d'une certaine routine qui s'installe dans le couple avec le temps et ce sans que leurs sentiments pour leur femme ne connaissent pour autant une quelconque baisse d'intensité. En outre, vous savez sans doute que, passé 30 ans, les besoins purement physiques de la plupart des hommes déclinent sensiblement.

    Même si la fréquence des rapports reste satisfaisante, votre mari n'a plus, ni physiquement ni cérébralement, les mêmes pulsions, la même envie de vous qu'avant. Sa motivation pour les préliminaires longs chute d'autant plus qu'il n'est plus capable de rester en érection sans pénétration pendant des heures comme il pouvait le faire à 20 ans. Vous avez toutes certainement constaté que, lors des préliminaires, son érection défaille s'il vous embrasse ou vous caresse sur tout le corps pendant une dizaine de minutes ! Consciemment ou non, il compense cette situation en voulant presque toujours raccourcir ces préliminaires pour aller au plus vite à la concrétisation.
    Trêve de considérations psychologiques, venons en au concret maintenant.

    Pourquoi la chasteté de votre mari peut elle vous apporter plus de satisfactions sur le plan sexuel ? La réponse à cette question est entièrement contenue dans une constatation que vous avez toutes pu faire un jour :
    Il vous est bien évidemment arrivé d'être séparée de lui quelques jours ou mieux quelques semaines. Les retrouvailles se font rarement directement dans le lit, le premier contact, après cette absence, s'est donc déroulé soit dans un lieu public, tel un aéroport par exemple, soit en présence des enfants ou d'amis et vraisemblablement vous avez dû patienter plusieurs heures avant de vous retrouver tous les deux seuls dans l'intimité.

    Pendant toute cette période d'attente, avez vous remarqué à quel point son comportement était plus câlin qu'à l'habitude : à tout moment il cherche votre contact, ses mains sont baladeuses, en quelques heures vous recevez plus de baisers même furtifs que vous n'en avez eu en un mois, il vous dit des mots gentils et vous fait des allusions grivoises. Bref, pendant quelques heures, vous avez le mari dont toutes les femmes rêvent. Puis vient le moment de l'intimité, vous cédez à son impatience, et ensuite ...;..il est redevenu votre mari de tous les jours !
    Cherchez l'erreur...;

    Puisque tant qu'il est excité sexuellement mais qu'il ne peut pas se satisfaire il est si tendre, si câlin, si attentionné, si caressant, etc. le seul moyen de l'empêcher de changer est donc de le maintenir dans cet état d'excitation sans lui donner la possibilité de se satisfaire. C'est aussi simple que cela. Privez donc votre mari de jouissance ( au sens d'éjaculation, pas au sens de plaisir ) et vous aurez un mari parfait 24H sur 24.

    Imaginez ce que serait votre vie si votre mari était en permanence dans cet état !!!!!

    Dans la journée, il n'oublierait plus jamais de vous appeler à votre bureau et au seul ton de sa voix vous sauriez qu'il pense fort, très fort, à vous. Après deux, voire trois orgasmes, dans la même soirée vous auriez à coté de vous, non pas une souche muette assoupie, mais un mari qui continuerait à vous embrasser et vous caresser. Avant de parvenir à l'orgasme, vous seriez léchée, caressée, embrassée pendant des heures jusqu'à n'en plus pouvoir de désir. Le soir, pendant votre trajet de retour, vous ne pourriez vous empêcher de penser au programme qui vous attend, une fois seuls tous les deux dans la chambre. Chaque fois que vous vous ennuierez, votre esprit pourrait s'évader pour repenser à combien votre jouissance de la veille avait été sublime et comment celle du soir pourrait être meilleure encore.
    Arrêtons là !

    Je suis sûre que vous êtes maintenant convaincue que cela vaut la peine d'essayer.
    Comment y parvenir ? Comment faire en sorte qu'il accepte de rentrer dans ces jeux qui, il faut bien le reconnaître, sont tout de même bien loin de ce qu'il est prêt à accepter spontanément ? Comment lui faire accepter le fait de ne pas jouir et ainsi le conduire à utiliser les seuls moyens physiques qui lui restent pour avoir malgré tout du plaisir à savoir les attouchements, les caresses, les baisers, les mots doux, etc.

    Le reste de cet article vous explique comment, par le biais des jeux de domination, parvenir à ce résultat.

    Vous allez sans doute penser que cela est impossible : « le mien n'acceptera jamais ça » direz vous. Détrompez vous, dès que vous aurez réussi le travail préparatoire nécessaire, vous vous apercevrez qu'il acceptera parfaitement cette situation et même qu'il deviendra complice de sa propre chasteté en ne cherchant pas à exploiter les situations où il aurait pu jouir ( notamment au moment des pénétrations ) en trompant votre vigilance.

    En fait, ce travail de préparation c'est à dire l'introduction progressive des jeux de domination est finalement plus difficile à réaliser que la phase de chasteté de longue durée car celle ci n'est qu'une suite logique de la précédente, elle viendra donc tout naturellement.

    Je me dois de devancer la réflexion que vous allez peut-être m'adresser : « dominer mon mari ? elle va me dire de m'habiller ce soir en cuir, de prendre une cravache et de lui dire : à genoux, esclave ». Si c'est ce que vous craignez, soyez rassurée, mon programme est tout différent. Il repose avant tout et surtout sur la progressivité. Pas question de vous transformer du jour au lendemain en caricature de dominatrice professionnelle. Ce que je vais vous expliquer et vous recommander c'est une longue évolution qui va vous conduire effectivement, mais à votre rythme, à dominer votre mari mais les modalités extérieures de cette domination c'est à vous de les inventer, de les imaginer et de les réaliser au gré de vos envies, vos goûts et vos préférences.

    Même si en lisant cet article jusqu'au bout, vous pensez que certaines pratiques ou certaines situations ne sont pas de votre goût, ne vous inquiétez pas, rien n'est indispensable, tout pourra se faire à votre façon, selon votre style, selon votre personnalité. Et puis, vous découvrirez, et vous en serez la première étonnée, que des pratiques ou des situations qui vous paraissent aujourd'hui peu attractives voire mêmes rebutantes vous feront un jour envie et que vous en éprouverez à les pratiquer un plaisir que vous ne soupçonniez même pas.
    Tout est affaire de progressivité, laissez vous guider par vos envies au fur et à mesure qu'elles naîtront, soyez seulement curieuse, imaginative et inventive, les nouveautés viendront d'elles-mêmes en leur temps.

    Chapitre 1; Comment commencer ? Introduction au Bondage
    Les jeux de « bondage » constituent à n'en pas douter la meilleure et la plus simple des préparations pour introduire la domination dans votre chambre à coucher. Pour celles qui l'ignorent « bondage » est un mot anglais signifiant littéralement esclavage mais qui, dans le cercle des adeptes de la domination signifie « ligotage ».

    Un sondage publié par le magazine « Elle » en 1998 révélait que 26% des femmes avaient, au moins une fois dans leur vie, attaché leur partenaire et 29% avaient été attachées par leur partenaire. J'ignore la fiabilité de ce sondage, mais il est certain que ces pratiques sont en évolution ne serait-ce que par ce que l'on voit dans les films ou à la télévision.

    Il est donc probable que la plupart d'entre vous a déjà au moins une petite expérience dans ce domaine que ce soit comme liante ou comme liée ou plus vraisemblablement tantôt dans un rôle tantôt dans l'autre. Dans ce cas, il vous suffit de partir des bases déjà acquises pour aller plus loin.
    Pour les autres, il s'agit d'introduire ces jeux dans vos relations amoureuses avec votre mari mais, comme en toutes choses, la progressivité est essentielle. Il convient donc de créer les circonstances nécessaires pour que cela paraisse arriver naturellement.

    Pour ce faire, vous ferez en sorte que, lors de vos ébats amoureux, un objet pouvant servir de lien soit, comme par hasard, présent sur le lit : le plus simple est bien sûr une ceinture en tissu, que ce soit celle de votre robe ou celle de votre peignoir. Les ceintures en cuir ne conviennent guère pour débuter, par contre les ceintures en chaîne ( elles sont à la mode en ce moment ) peuvent aussi faire l'affaire. En dehors des ceintures, vous pouvez aussi vous arranger pour laisser traîner sur le lit un long ruban ou une ficelle provenant d'un paquet que vous avez ouvert quelque temps auparavant. A vous d'avoir de l'imagination. Multipliez les occasions, mais variez les de façon que cela ait l'air parfaitement naturel.

    Lorsque vous l'attacherez, pensez que les hommes ont du mal à résister à leurs envies, vous devez donc l'attacher avec un maximum de réalité car si ses liens sont trop symboliques il est probable qu'après un moment de passivité qui l'amusera, il mettra fin à sa situation pour pouvoir concrétiser au plus vite son désir de jouissance. Si votre lit est à barreaux ( s'il ne l'est pas, envisagez de le changer dès que vous pourrez, cela vous simplifiera la vie ultérieurement ) attachez lui les mains séparément et suffisamment écartées pour qu'il ne puisse pas atteindre avec une main les nœuds de l'autre main. A défaut de lit à barreaux attachez lui les poignets ensemble au dessus de sa tête, le plus simple étant de le faire en utilisant successivement deux ceintures de robes ou de peignoir : même si vous êtes encore totalement inexpérimentée dans cet art du bondage, cela devrait être largement suffisant à ce stade.

    Ca y est, il est à votre disposition, alors profitez en : léchez, embrassez, caressez, titillez, mordillez, recommencez, faites vous lécher, sucer, empalez-vous, sortez, entrez, en clair ...;.faites durer. Terminez ensuite par une bonne chevauchée, mais arrangez vous pour être prête à jouir rapidement car il risque d'être beaucoup plus rapide que vous et vous seriez alors obligée soit d'attendre le deuxième service soit de lui demander d'activer sa langue !

    Lors des premières fois, détachez le dès qu'il a joui : toutes les prostituées pourraient vous le dire, en état d'excitation l'homme est un être faible et facilement manipulable ( notamment pour lui soutirer des rallonges sur le tarif convenu ! ), par contre une fois son affaire faite, il retrouve aussitôt ses esprits, sa contenance et son statut de macho. En redescendant sur terre, sa position de victime pourrait le gêner voire le choquer et il se refuserait à recommencer. D'une manière générale et c'est une constante tout au long de ce chapitre et du suivant, ne réalisez vos sessions avec lui que dans le cadre d'un orgasme unique. Même si votre mari est parfaitement capable de rapports multiples, vous devez achever vos séances dès sa première jouissance et tout arrêter ensuite : plus de dominant, plus de dominé, vos rapports redeviennent « normaux ». Ceci est important non seulement pour la raison que je viens d'évoquer, mais beaucoup plus encore en vue de l'entraînement au programme de chasteté qui est le but final. Nous y reviendrons. Mais si vous avez déjà pratiqué ou pratiquez depuis quelques années, s'il éjacule il vous suffit de le punir. Pour bien faire vous le prévenez à l'avance : vous ne supporterez pas une goutte de sperme et si par malheur il ne se retient pas, il sera contraint de tout avaler et nettoyer. Sa position ne lui permettant pas de vous résister vous n'allez certainement pas vous gêner et vous pourrez le chevaucher sans vous retenir...;

    Parlez lui ensuite sur un ton gourmand de ce qui s'est passé : évoquez le plaisir que vous avez pris, et surtout complimentez le sur son érection qui était plus belle et plus longue que jamais (vous le savez, l'homme ne résiste jamais à de telles flatteries). Et bien sûr dites lui que vous avez très envie de refaire cela un jour.
    Laissez passer un peu de temps, et recommencez. Toutes ces séances initiales doivent bien sûr se passer dans la bonne humeur et la gourmandise, ne lui montrez pas que vous prenez cela au sérieux, mais soyez plutôt enjouée et faites lui constater que la simple évocation de ces jeux vous excite vraiment.
    Voilà, vous avez réussi à introduire le bondage dans votre relation amoureuse. Il s'agit maintenant d'aller plus loin et de commencer à introduire les jeux de domination qui sont préparatoires à ceux de chasteté. A ce stade le mot chasteté est beaucoup trop fort, parlons plutôt de jouissance différée.
    C'est la deuxième phase du programme.

    Chapitre 2 : La domination : Introduction à la jouissance différée

    Maintenant que la pratique du bondage à commencé à faire partie de vos jeux amoureux, sophistiquez peu à peu votre technique : ne vous contentez plus de lui attacher seulement les mains de façon plus ou moins efficace, mais commencez à réaliser des immobilisations plus complètes en lui attachant aussi les pieds. Si vous voulez un prétexte pour cela, il vous suffit de le titiller, de le mordiller un peu plus que de raison au niveau des jambes, il se mettra à se tortiller comme un ver ce qui vous gênera pour poursuivre votre travail ( attention aux coups de genoux, c'est douloureux ! ) : vous aurez là un parfait prétexte pour lui attacher aussi les chevilles.

    Commencez aussi à varier ses positions : au lieu de l'attacher seulement en position fixe sur le lit, attachez lui les mains dans le dos, il sera alors plus mobile et vous pourrez par exemple lui demander de vous embrasser sur tout le corps ou bien le faire mettre à genoux pour une petite « gourmandise » tandis que vous êtes debout contre un mur ou assise dans un fauteuil. Osez demander ce dont vous avez envie, osez le guider en lui indiquant ce que vous voulez qu'il vous fasse, petit à petit ces indications doivent prendre la forme d'ordre, tout cela bien sûr sur le ton de la plaisanterie :« Tu es mon prisonnier, tu dois m'obéir ! ». Petit à petit et insensiblement, vous passerez de situations de simple plaisir sexuel ( « embrasse moi partout » à des situations et positions de domination voire d'humiliation « embrasse moi les pieds »).

    Arrangez vous pour ne pratiquer ces séances que lorsque vous disposez de temps, de beaucoup de temps et faites durer. (Le temps joue pour ses fantasmes et donc pour vous)

    Il faut songer aussi à commencer à vous équiper : les ceintures de peignoirs devenant maintenant insuffisantes, passez aux cordes, et si vous sentez que les choses sont assez mures entre vous, achetez aussi des menottes, on en trouve partout ( évitez les sex-shops car elles y sont hors de prix ). Commencez à utiliser des bâillons ( au motif qu'il parle trop, bien sûr ), à ce stade un bâillon symbolique suffit, utilisez donc un foulard mais non pas sur la bouche, mais dans la bouche, ce n'est pas très efficace pour le rendre silencieux mais au moins ses lèvres seront accessibles quand vous aurez envie de l'embrasser et de plus il en retirera beaucoup plus de sensations.

    Progressivement étoffez votre équipement de bondage. Comme je vous l'indique au chapitre spécialement dédié au bondage, une grande partie de votre équipement viendra des magasins de bricolage. Intéressez vous aux cordes, aux chaînes, aux cadenas, aux crochets, aux poulies, etc.. Se promener dans les rayons d'un « Brico-quelque chose » en ayant quelques idées nouvelles nées de la vue d'un objet qui jusque là ne vous avait jamais rien inspiré, je vous assure que c'est un plaisir dont on ne se lasse pas. Vous ne regarderez plus les magasins de bricolage comme avant, croyez moi ! Et si vous avez la chance d'avoir un mari bricoleur, vous serez ébahie par les ressources que peut avoir un homme pour fabriquer les instruments de sa propre torture !

    Cette progression dans sa domination doit vous conduire maintenant à introduire les punitions. Au début appelez plutôt cela des gages et créez un climat de jeu et de bonne humeur pendant leur exécution.

    Quand vous sentirez les choses suffisamment mures, commencez à utiliser le terme de punitions, puis introduisez la première fessée qui sera certes plus symbolique que réelle mais sachez le, le symbole est fort ( si vous en avez déjà reçue une vous le savez, et dites vous que pour un homme c'est encore plus fort ). Soyez attentive à n'introduire ces premières punitions que dans des moments d'intense excitation, je l'ai déjà dit, c'est essentiel.
    Il est temps de commencer à parler de chasteté ou plutôt à ce stade de jouissance différée.

    En fait si vous avez suivi mes conseils jusque là, cette introduction s'est déjà faite toute seule: je vous ai recommandé de faire durer vos sessions le plus longtemps possible, de le maintenir en état d'excitation quasi-permanente, et de toujours retarder sa jouissance à la fin de la session. Il a donc passé son temps à vous désirer, vous l'avez excité comme jamais mais, étant attaché, il a été contraint d'attendre votre bon vouloir pour obtenir son but suprême, l'orgasme. Il s'agit donc bien là d'une première forme de chasteté temporaire.
    Petite parenthèse pour éviter tout malentendu : s'il est condamné à un orgasme unique et longtemps différé, par contre vous, vous ne l'êtes pas ! Prenez votre pied autant de fois que vous le voulez !

    Mais attention, sauf à parfaitement connaître les réactions de votre mari dans ces moments ( avec le temps on y arrive plus ou moins ), n'oubliez pas que le fait d'être attaché ne l'empêche pas de jouir : s'il est assez facile de le contrôler quand vous le sucez ou le masturbez, par contre il peut jouir sans prévenir en cas de pénétration. Privilégiez donc vos propres orgasmes buccaux ou manuels, ne pratiquez la pénétration que pour des durées très courtes et soyez vive à vous retirer au premier signe avant coureur de sa jouissance, tant pis si vous restez en rade ! Au passage je vous signale aussi qu'il n'y a rien de plus excitant que de se masturber en regardant votre mari ligoté qui bande comme un fou. Aucun homme n'est insensible à une femme qui se caresse et si vous n'avez jamais osé lui offrir ce spectacle, c'est l'occasion rêvée pour trouver le courage de le faire. Vous vous dites peut-être que vous n'oserez jamais faire cela, détrompez vous, vous n'imaginez pas à quel point peuvent reculer les limites de la pudeur et la timidité dans ces moments, je vous garantis que vous n'aurez pas à vous forcer, cela vous viendra tout naturellement. Après tout, il n'est pas le seul à être excité !

    A ce stade du processus d'éducation, il n'est peut-être pas inutile de faire un petit bilan intermédiaire. Repensez aux questions que je posais en Introduction ( « Depuis quand cela ne vous ? »). Je suis convaincue que vos réponses seront une puissante motivation à continuer le processus.

    Pour en revenir à notre sujet, vous avez donc commencé sans même vous en rendre compte ( lui par contre s'en est rendu compte ! ) à l'initier à l'orgasme différé. Il suffit maintenant d'officialiser progressivement la chose : avant de le faire jouir en fin de séance, demandez lui s'il pense vraiment avoir mérité de jouir, s'il a été bien obéissant, s'il vous a fait suffisamment bien jouir pour que vous vous occupiez de lui, etc.. Puis, lors d'occasions suivantes, menacez-le de le laisser dans cet état parce que vous n'êtes pas sûre qu'il ait été suffisamment méritant. Les premières fois, ne mettez pas votre menace à exécution, soyez patiente car vous atteignez là un virage crucial de son éducation, et il convient de ne pas le manquer..

    Avant d'en arriver à la première fois où il sera privé de son orgasme, faisons un petit retour en arrière car je m'aperçois que je n'ai pas évoqué les circonstances dans lesquelles il obtenait jusqu'à présent cette jouissance tant attendue. Doit-il être attaché ou non ? A-t-il droit à une pénétration ou seulement à une faveur buccale ou manuelle ? Doit-t-il se faire jouir tout seul devant vous ? Au deux premières questions, je répondrais sans hésitation, variez les plaisirs : tantôt attaché, tantôt libéré, tantôt vous venez sur lui, tantôt c'est l'inverse, tantôt avec vos mains, tantôt avec votre bouche. A vous de choisir selon votre humeur, je dis bien à vous de choisir, pas à lui ! Pour ce qui est de la troisième question, je suis beaucoup plus réservée : si vous appréciez vraiment cela tous les deux, alors vous pouvez l'inclure dans la panoplie mais personnellement je pense que cela est plutôt contre-productif. Tout d'abord parce qu'à de rares exceptions près, les hommes n'aiment pas du tout se masturber devant leur partenaire, et beaucoup plus encore parce que cela vous exclut totalement du but qu'il attend. C'est par vous que sa jouissance a été longtemps différée, c'est donc par vous qu'elle doit venir. La dépendance à votre égard n'en sera que plus totale et plus affirmée.

    Donc, après plusieurs menaces non concrétisées, vous choisissez une soirée où la séance s'est particulièrement bien déroulée, vous l'informez qu'il va rester en l'état toute la nuit. Ne vous attendez pas à le voir accepter son infortune de gaîté de cœur. Il va s'insurger, contester et dès qu'il sera détaché, vouloir vous pénétrer en faisant plus ou moins usage de la force. Plutôt que l'autorité, je vous conseille la persuasion, la gentillesse et la douceur, dites lui que ça vous ferait tellement plaisir, que vous en avez envie, qu'il peut faire ça pour vous, promettez lui que le lendemain matin vous lui accorderez ce qu'il aime le plus, que vous le ferez jouir comme jamais, que ...;, que...; Bref ; soyez convaincante mais restez ferme sur votre décision. Et surtout, le lendemain matin, ne tenez pas votre promesse ! Pour cela faites lui mettre sa cage toute la nuit au moins.
    Puis le matin félicitez le, remerciez le, montrez lui votre reconnaissance, dites lui combien vous êtes consciente de ce qu'il a fait pour vous, etc...; Dites lui enfin bien sûr combien vous avez très envie de recommencer prochainement.
    Et voilà, bravo, vous avez réussi.

    Avant d'aller plus loin, prenez votre temps, recommencez plusieurs fois en restant dans le même schéma : jouissance reportée avec fausse promesse et cage de chasteté jusqu'au lendemain matin. Une fois ce palier respecté pendant quelque temps, il conviendra alors de passer à la troisième et dernière phase : la chasteté de plus longue durée.

    Chapitre 3 : La chasteté de longue durée : la ceinture de chasteté
    Avant d'entrer dans le cœur de cette phase finale, je me dois de répondre à une question qui vous est peut-être venue à l'esprit : pourquoi ne pas le laisser attaché toute la nuit pour être sûre de son abstinence ? Si cela vous amuse, vous pouvez l'attacher pour la nuit. Mais sachez qu'il n'est pas possible de le faire dans n'importe quelle position : le faire dormir les mains attachées dans le dos est tout simplement irréalisable, d'abord parce qu'il ne fermera pas l'œil de la nuit ensuite parce qu'il nous pourra pas supporter toute une nuit les douleurs qui ne manqueront pas de venir au niveau des épaules. Si vous voulez l'attacher de façon quelque peu confortable, vous avez le choix entre trois techniques possibles.

    La première est celle de la camisole de force. Pas besoin d'en acheter une vraie ( si cet instrument vous excite, vous pourrez en acheter une à un stade plus avancé de votre relation, on en trouve sans problème sur Internet ), fabriquez en une vous-même : achetez un tee-shirt manche longue un peu trop grand pour lui, cousez très solidement par leur milieu 2 rubans aux extrémités de chaque manche ainsi que 2 autres au bas du tee-shirt ( un sur le devant et un sur le dos), il vous suffira d'enfermer chacune de ses mains dans une manche en nouant un ruban, puis, après lui avoir fait croiser les bras au niveau de la taille, de relier dans le dos les 2 manches entre elles avec les autres rubans ; terminez ensuite en nouant entre ses jambes les rubans avant et arrière cousus au bas du tee-shirt de façon à éviter que celui-ci ne remonte pendant la nuit. Une autre technique consiste à relier ses mains à un collier fixé à son cou, vous pouvez réaliser cela en utilisant un collier de chien pour le cou et des bracelets de cuir pour les poignets ou à défaut ( mais ce sera moins confortable ) des cordes.

    Enfin, la dernière méthode consiste à enfermer ses mains dans des sortes de moufles que vous pouvez fabriquer ( à défaut utilisez des gants de toilettes ), puis vous attacherez une corde autour de sa taille en la faisant aussi passer 2 fois entre ses jambes pour éviter que la corde ne puisse tourner autour de sa taille, et pour finir, avec du ruban adhésif vous fixerez tout à la fois chaque moufle à son poignet et à la corde de chaque coté de sa taille.

    Tout naturellement ( si l'on peut dire ) vous trouverez des raisons de ne pas le soulager au petit matin et de reporter cela au soir. Le soir venu avant de passer à la récompense tant attendue, faites le attendre, imposez lui des épreuves, attachez le, punissez le au moindre prétexte, et surtout imposez lui de vous satisfaire la première ( pourquoi pas 2 fois voire plus ?). En un mot, progressez dans votre domination, soyez de plus en plus exigeante, plus dure, plus sévère, je dirais même plus injuste : commencez à l'habituer à ne pas toujours respecter vos promesses ( attention, je parle exclusivement dans ces moments d'intimité particulière, pas dans la vie courante !), à le punir sans raison, parce que tel est votre bon plaisir. En un mot, soyez la plus parfaite des garces.
    Il est parfaitement naturel, s'il n'a pas joui depuis 24 ou 48H alors que vous l'avez excité comme jamais que vous soyez inquiète sur son comportement tout au long de la journée qu'il passe loin de vous : taquinez le sur les fantasmes qu'il a dû avoir au contact des femmes, faites lui part de vos inquiétudes et dites lui donc ...;.qu'il va falloir que vous lui fassiez porter une ceinture de chasteté.

    Poursuivez dans cette idée, reparlez en à chaque fois. Et puis un jour passez à la réalisation.

    Voilà vous avez achevé votre long voyage initiatique. Il vous reste maintenant à profiter de tout le travail accompli. Le principal instrument dont vous avez besoin maintenant c'est votre imagination. Pour vous aider à la fertiliser, lisez sur www.fessestivites.com les articles sur la chasteté.




    votre commentaire
  • La poste libération d'ABDL

    Pour tester son délire d'auto contrainte en couche, par 3 fois Paul s'était adressé des clés par la poste. En les mettant le matin avant la levée, il les avait reçues le lendemain en fin de mâtiné. Aujourd'hui, il le ferait une quatrième fois avec les clés du cadenas qui allait l'obliger à rester en couche. Le premier jour de ses congés qu'il voulait 100% érotique, le jeune homme âgé de 26 printemps se rendit donc à la poste de bonne heure pour s'adresser la fameuse enveloppe renforcée contenant la dite clé. Rien que de glisser l'enveloppe dans la boite, l'excita grandement !!!!

    Arrivé chez lui, il se confectionna une sévère épaisseur de couches en perçant la première, puis la seconde avant de mettre la troisième. L'idée était de s'assurer d'avoir assez de protections absorbantes pour ne pas « fuir ». Par-dessus, il passa sa culotte en plastique de contrainte équipée d'une chaîne en guise de ceinture. En la cadenassant, il eut le sentiment très jouissif qu'il allait vivre une aventure érotique titanesque. Il passa la fin de la mâtiné à surfer sur www.fessestivites.com visionna des photos et lu de textes très érotiques. Excité comme une puce, il s'offrit un apéro, puis deux, puis trois puis...

    Le cerveau embrumé par l'alcool, il prit vers 13 heures sa pizza et le laxatif qu'il avait prévu de prendre le soir, histoire de corser un peu son délire. Quand il passa l'après-midi à délirer sur sa chasteté forcée, avec autant d'apéro, les pipis furent assez fréquents et assez excitants. Son ventre se mit à gargouiller, une petite crampe et les vapeurs d'alcool se dissipant le ramenèrent un peu sur terre. Prenant conscience qu'il risquait d'avoir les fesses très sales longtemps, il tenta de se retenir.

    Le premier apéro du soir consommé, il quitta son bureau pour aller s'en chercher un second mais marcher en serrant les fesses pour ne pas « fuir » n'est pas aisé surtout quand les cuisses ne peuvent pas trop se rapprocher pour causse de gros volumes entre les jambes. S'il parvint à la cuisine sans trop de difficultés, le retour ne se passa pas de la même façon. Debout, droit comme un « i » contracté jusqu'aux oreilles au milieu du salon, son anus ne put résister à la pression des excréments rendus liquides par le laxatif. La matière fécale se mit à envahir la couche. Si le sentiment de violer un interdit généra quelques troubles émotions en lui, s'asseoir lui posa un problème et un sentiment de dégout. En regrettant d'avoir pris le laxatif trop tôt, il reprit ses lectures érotiques. Pour dîner, il préféra rester debout... En écoutant le journal télévisé, il faillit s'étouffer avec sa clémentine lorsque David Pujadas annonça un mouvement de grève à la poste. L'horreur ! ! !

    Trouver le sommeil fut donc difficile pour Paul avec les fesses très sales et l'annonce du mouvement de grève perturbant ses plans. Réveillée de bonne heure pour cause d'inconfort, il se précipita sur l'ordinateur pour essayer d'avoir des informations sur la Poste. Son sang se glaça dans ses veines en lisant que 80 % du personnel suivait le mouvement. Convaincu de ne pas recevoir sa clé, il décida de briser le cadenas. N'étant pas bricoleur de nature, Paul n'avait pas d'outil dans son appartement, les seuls qu'il possédait étant dans le coffre de la voiture. Après avoir tordu quelques couverts innocents sur le cadenas, il dut se résigner à se vêtir pour se rendre au parking situé à 400 mètres de l'immeuble alors que sa boite à lettre n'était qu'à trois pas de son appartement, pas qu'il avait prévu de faire en peignoir. GRRRRRR

    Mettre un pantalon sur trois couches pleines n'est pas choses aisée. Même en s'acharnant il n'y parvint pas vraiment et dut se résigner à laisser la braguette et le bouton ouverts. Avec sa ceinture serrée au maximum et un gros pullover en plus de son plus gros blouson pour masquer ses formes, il se rendit en plein mois d'août au parking. Chacun de ses pas furent difficiles car en essayant de marcher normalement malgré le volume général entre ses jambes cela l'obligeait à serrer les couches pleines. Si l'aller se fit sans trop d'encombre, le retour fut abominable pour son moral.

    Le voisin l'interpella pour prendre des nouvelles sur sa santé en le voyant aussi chaudement vêtu en plein mois d'août. Tout en bredouillant quelques mensonges improvisés sur sa santé ; il serra les cuisses pour tenter de dissimuler son embarras mais ses protections martyrisées se mirent à fuir. En sentant quelque chose glisser le long de sa jambe, il crut défaillir. Rentrer chez lui avec ses outils fut bien plus délicat pour son moral que d'aller les chercher.

    Au loin il vit passer son facteur et remercia le ciel en lui promettant de doubler ses entraines pour le calendrier. Une serviette sous les pieds et l'oreille collée à la porte, il attendit sa clé avec impatience. A pas de velours il se glissa dans le hall de l'immeuble, ouvrit sa boite à lettre pour constater qu'il n'avait que des factures et que son enveloppe pourtant postée à 3 kilomètres de chez lui devait être bloquée au centre de tri.

    Avec une sérieuse détermination, il entreprit le cadenas récalcitrant avec pinces et tournevis. Une demi-heure et quelques coupures plus tard, il put enfin laver ses fesses.

    TSM

    Le site www.fessestivites.com propose des solutions plus sécurisantes que la poste pour vos cadenas. Voir la rubrique chasteté pour obtenir des informations sur les cadenas avec libération différée. C'est peu onéreux, plus fiable et sécurisant.



    1 commentaire
  • La poste libération d'ABDL

    Pour tester son délire d'auto contrainte en couche, par 3 fois Paul s'était adressé des clés par la poste. En les mettant le matin avant la levée, il les avait reçues le lendemain en fin de mâtiné. Aujourd'hui, il le ferait une quatrième fois avec les clés du cadenas qui allait l'obliger à rester en couche. Le premier jour de ses congés qu'il voulait 100% érotique, le jeune homme âgé de 26 printemps se rendit donc à la poste de bonne heure pour s'adresser la fameuse enveloppe renforcée contenant la dite clé. Rien que de glisser l'enveloppe dans la boite, l'excita grandement !!!!

    Arrivé chez lui, il se confectionna une sévère épaisseur de couches en perçant la première, puis la seconde avant de mettre la troisième. L'idée était de s'assurer d'avoir assez de protections absorbantes pour ne pas « fuir ». Par-dessus, il passa sa culotte en plastique de contrainte équipée d'une chaîne en guise de ceinture. En la cadenassant, il eut le sentiment très jouissif qu'il allait vivre une aventure érotique titanesque. Il passa la fin de la mâtiné à surfer sur www.fessestivites.com visionna des photos et lu de textes très érotiques. Excité comme une puce, il s'offrit un apéro, puis deux, puis trois puis...

    Le cerveau embrumé par l'alcool, il prit vers 13 heures sa pizza et le laxatif qu'il avait prévu de prendre le soir, histoire de corser un peu son délire. Quand il passa l'après-midi à délirer sur sa chasteté forcée, avec autant d'apéro, les pipis furent assez fréquents et assez excitants. Son ventre se mit à gargouiller, une petite crampe et les vapeurs d'alcool se dissipant le ramenèrent un peu sur terre. Prenant conscience qu'il risquait d'avoir les fesses très sales longtemps, il tenta de se retenir.

    Le premier apéro du soir consommé, il quitta son bureau pour aller s'en chercher un second mais marcher en serrant les fesses pour ne pas « fuir » n'est pas aisé surtout quand les cuisses ne peuvent pas trop se rapprocher pour causse de gros volumes entre les jambes. S'il parvint à la cuisine sans trop de difficultés, le retour ne se passa pas de la même façon. Debout, droit comme un « i » contracté jusqu'aux oreilles au milieu du salon, son anus ne put résister à la pression des excréments rendus liquides par le laxatif. La matière fécale se mit à envahir la couche. Si le sentiment de violer un interdit généra quelques troubles émotions en lui, s'asseoir lui posa un problème et un sentiment de dégout. En regrettant d'avoir pris le laxatif trop tôt, il reprit ses lectures érotiques. Pour dîner, il préféra rester debout... En écoutant le journal télévisé, il faillit s'étouffer avec sa clémentine lorsque David Pujadas annonça un mouvement de grève à la poste. L'horreur ! ! !

    Trouver le sommeil fut donc difficile pour Paul avec les fesses très sales et l'annonce du mouvement de grève perturbant ses plans. Réveillée de bonne heure pour cause d'inconfort, il se précipita sur l'ordinateur pour essayer d'avoir des informations sur la Poste. Son sang se glaça dans ses veines en lisant que 80 % du personnel suivait le mouvement. Convaincu de ne pas recevoir sa clé, il décida de briser le cadenas. N'étant pas bricoleur de nature, Paul n'avait pas d'outil dans son appartement, les seuls qu'il possédait étant dans le coffre de la voiture. Après avoir tordu quelques couverts innocents sur le cadenas, il dut se résigner à se vêtir pour se rendre au parking situé à 400 mètres de l'immeuble alors que sa boite à lettre n'était qu'à trois pas de son appartement, pas qu'il avait prévu de faire en peignoir. GRRRRRR

    Mettre un pantalon sur trois couches pleines n'est pas choses aisée. Même en s'acharnant il n'y parvint pas vraiment et dut se résigner à laisser la braguette et le bouton ouverts. Avec sa ceinture serrée au maximum et un gros pullover en plus de son plus gros blouson pour masquer ses formes, il se rendit en plein mois d'août au parking. Chacun de ses pas furent difficiles car en essayant de marcher normalement malgré le volume général entre ses jambes cela l'obligeait à serrer les couches pleines. Si l'aller se fit sans trop d'encombre, le retour fut abominable pour son moral.

    Le voisin l'interpella pour prendre des nouvelles sur sa santé en le voyant aussi chaudement vêtu en plein mois d'août. Tout en bredouillant quelques mensonges improvisés sur sa santé ; il serra les cuisses pour tenter de dissimuler son embarras mais ses protections martyrisées se mirent à fuir. En sentant quelque chose glisser le long de sa jambe, il crut défaillir. Rentrer chez lui avec ses outils fut bien plus délicat pour son moral que d'aller les chercher.

    Au loin il vit passer son facteur et remercia le ciel en lui promettant de doubler ses entraines pour le calendrier. Une serviette sous les pieds et l'oreille collée à la porte, il attendit sa clé avec impatience. A pas de velours il se glissa dans le hall de l'immeuble, ouvrit sa boite à lettre pour constater qu'il n'avait que des factures et que son enveloppe pourtant postée à 3 kilomètres de chez lui devait être bloquée au centre de tri.

    Avec une sérieuse détermination, il entreprit le cadenas récalcitrant avec pinces et tournevis. Une demi-heure et quelques coupures plus tard, il put enfin laver ses fesses.

    TSM

    Le site www.fessestivites.com propose des solutions plus sécurisantes que la poste pour vos cadenas. Voir la rubrique chasteté pour obtenir des informations sur les cadenas avec libération différée. C'est peu onéreux, plus fiable et sécurisant.



    votre commentaire